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is it desire or is it nothing i'm feeling for you (lucky)

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( One of the brightest I ever taught. Vivacious, you know. Charming girl. @LUCKY BURBERRY)

l’envie est plus grande que la raison, on vous le dira souvent et romeo n’est pas du genre à contredire ça. il avait envie. de la peau de Lucky, de sa chair si tendre et aussi de sa présence si réconfortante. il se sentait toujours bien quand il été avec lucky, il avait l’impression de nouveau avec 17 ans et surtout avec une fille majeur, être le plus populaire de ses amis et rendre les autres jaloux du privilège d’avoir une copine plus mature et plus âgée. bien que Lucky ne soit pas si mature que ça, en ce temps là, elle était tout aussi disjoncté que lui et c’était une bonne chose de pouvoir avoir un être aussi amusant et sauvage à la fois. quand romeo arrive en bas de chez lucky, il avait pris la peine de lui prendre à manger. elle avait une envie de nouille la dernière fois et il n’a pas eu l’occasion de la satisfaire. alors il avait pris des trucs divers au traiteur chinois pour lui faire plaisir. il entre rapidement dans le bâtiment, pour arriver chez elle en trottinant, ouvrant grand ses bras quand il l’aperçoit dans l’encadrement de la porte d’entrée. il ne peux s’empêcher de venir la porter pour la faire tournée sur elle même, venant ensuite déposer un baiser sur sa joue. « Salut toi. tiens, j’t’ai pris à manger. » il tend le sac avant de rentrée doucement dans l’appartement.
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is it desire or is it nothing i'm feeling for you // @romeo chamberlain ※※※ L'eau ruisselait sur ma peau frissonnante et je laissais ce souvenir s'envoler. Il est temps qu'il retourne là d'où il vient. Le fait de te revoir ne me dérangeait pas plus que cela, le problème, c'était que c'était le gros bordel dans ma tête. Il faut dire, qu'il n'y avait pas que toi qui me troublait, il y avait aussi Daniel. Je me sentais bien avec toi et il était encore trop tôt pour se projeter dans quoi que ce soit avec toi. Ni même te demander ce que tu attendais de cette pseudo relation entre nous. J'étais dans une situation très complexe et c'était moi la cause. Je pourrais envoyer un message pour t'informer que j'avais un travail de dernière minute et que je déclinais notre soirée, bien que... Non ! Je ne pouvais pas reculer, pas maintenant. Alors sortant de cette cascade d'eau, je retournais sur mon ordi après m'être servie une tasse de café fumant. J'eusse à peine le temps de boire mon café que tu frappais à la porte. Et vêtue d'une simple robe de nuit blanche, courte, satiné et en dentelle, je courrais t'ouvrir la porte. C'était un accueil plus que chaleureuse et inattendu que tu m'offrais. Je riais en appuyant mes mains sur tes épaules. Retrouvant quelques secondes plutard, les pieds au sol et un bisou sur la joue. « Salut toi ! Que me vaut cette étreinte chaleureuse ? Je t'ai autant manqué ? » soufflais-je en baissant les yeux sur le sachet de bouffe. « Ça sent super bon ! T'es le meilleur. » que j'affirmais en te débarrassant des sachets pour te guider jusqu'au salon. J'avais déjà le ventre qui gargouillait, alors je posais tout ce contenu sur la table pour commencer à ouvrir, histoire qu'on s'émoustille les papilles sans perdre de temps. Miam.
(a) blue moon
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il la saisi et la fait tournée sur elle même, comme le vent de fraicheur qu’elle ramène dans un vie. un rire léger quand il l’a repose, déposant un baiser voler sur sa joue. ils pénètre ensemble dans l’appartement, elle avait l’air bien occuper, un ordinateur, une couverture, une tasse chaude, avec tout ce stresse, elle avait bien besoin de déstresser et heureusement que Romeo était là pour ça. il avait émis le fait de retourner à Lucky, mais pour être honnête c’était une idée débile. elle allait avoir une nouvelle vie avec l’arrivée de cet enfant, et le temps de leur jours heureux commencer à devenir un lointain souvenir. Si coucher ensemble de temps en temps était une bonne activité physique, revenir ensemble et élever un enfant alors qu’il est lui même un enfant ne mènera nul part. il en avait conscience, mais il n’avait aucune envie de quitter totalement Lucky. elle est son échappatoire, sa bouffer d’elle. son sourire ravageur et leur rire moqueur été un vrai délice, et il avoue, bêtement mais il avoue, toujours avoir eu un coup de coeur pour leur partit de jambe en l’air. Car il été loin d’être indifférent à son charmes, encore maintenant, il ne peut s’empêcher de se délecte de son corps de déesse dans cette nuisette. « tu m’accueil avec une très belle tenue. » il ne peut s’empêcher de taper dans son fessier d’ailleurs, pour rire, mais aussi pour chasser dès le départ la gêne qui pourrais s’installer. il la tourne vers lui pour pouvoir lui faire face, et joue avec le tissu de ses brettelles. « t’es super belle ce soir, Lucky. » on peut manger après ? bouffe moi d’abord.
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is it desire or is it nothing i'm feeling for you // @romeo chamberlain ※※※  Je ne savais pas ce qui me contrariait le plus, le fait de ne pas pouvoir bouffer tout de suite, où le fait de me rendre compte que toi aussi, t'étais en train de m'utiliser à ton bon vouloir ? Je sais que je suis une boulette et je me mets dans des situations difficiles et compliqués, mais ce n'est pas une raison pour vous permettre de jouer avec moi. À combien d'hommes vais-je devoir encore clarifier que je ne suis pas un jeu ? Et je ne pensais pas que toi, tu ferais partie du lot. Tu ne savais pas à quel point tu venais de me blesser parce que ok, nous nous étions échangés des sms so hard en parlant de mes seins, mais je ne pensais pas qu'il n'y aurait que mon corps pour qui tu te déplacerais en pleine nuit. Je tournais la tête sur le côté, les yeux baissés vers le sol. « mh, disons que j'étais déjà habillée de la sorte. » sur ces mots, je sentais tes doigts se déposer sur la bretelle de ma robe, m'arrachant un frisson au passage. Et aussi, j'avais conscience qu'être enceinte ferait fuir tous les hommes à un moment donné, mais j'étais prête, j'étais prête à les laisser partir parce que honnêtement, ce bébé était ce qu'il y avait de plus important à mes yeux. Donc, que je fasse fuir avec mon bide qui prendra de plus en plus d'ampleur, au fil des mois, m'importait peu. Ceci dit, je ne savais pas pourquoi Romeo, t'avais ce petit truc qui m'empêchait de vouloir te résister. Encore plus, quand mon esprit était aussi brouillé que ce soir et presque tous les soirs. « J'ai toujours été belle, mais personne ne l'a réellement perçu. » relevant mes prunelles pour les ancrer dans les tiennes, je ne parlais pas de ma beauté extérieure, mais celle de l'intérieure, que personne n'osait vraiment regarder. Et j'espérais que tu comprendrais mon allusion. Sourire carnassier sur mes charnues, je poussais ta main à se retirer de ma bretelle. « Je me suis touchée hier, mais ce n'était pas en pensant à toi... » OMG qu'est-ce que je fous là ? Peut-être que j'avais moi aussi envie de jouer, de voir surtout ta réaction, de t'énerver un peu. « Je ne sais pas si tu peux arranger ce petit désagrément. Jusqu'à encore quelques semaines, c'est à toi que je pensais en me touchant. » okey, messieurs, semblerais que la Lucky datant était en train de refaire surface, peu à peu. Comme si peu à peu, la fille fragile, douce et blessée, disparaissait de jour en jour. Il me faudrait une claque pour me réveiller bon sang.
(a) blue moon
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( One of the brightest I ever taught. Vivacious, you know. Charming girl. @LUCKY BURBERRY)

Lucky, ma douce Lucky, le destin ce joue contre nous et tu devrais être la première au courant. l’amour que nous éprouvons l’un pour l’autre été enfantin et beaucoup trop gamin. il n’allait mener nul part et bien que Romeo essayer de se convaincre tant bien que de mal que ça allait duré, il savait très bien que leurs deux caractères explosif aller refaire suface à un moment ou un autre. pourtant il y a crus très fort, il y croyait car c’est toujours dans ses bras qu’il se sentait le mieux, toujours dans ses rires qu’il se sentait le mieux, toujours dans ses yeux pétillants et brillant qu’il se sentait renaitre de ses cendres. c’est le phœnix qui pousse à se reconstruire, c’est la douceur qu’on reçoit après la claque et les coup de pieds. pourquoi est-ce si compliquer ? il n’avait pas envie de de jouer avec elle, il voulait son corps, sa chair et sa douceur, mais il ne cracherai jamais sur ses mots de têtes, ses penser en bordel et ce caractère bien tremper qui l’a fait craquer au par avant. non, tu n’existe pas uniquement pas ces yeux de biches et ses courbes délicieuses. « Tu te trompe. Je tombe rarement amoureux des demoiselles sans cervelles, j’te rassure. » et dieu sais qu’il l’a aimer. il la aimer entièrement, de la pointe de ses cheveux en bataille jusqu’au bout de ses oreilles, en passant par ses crises de nerfs et ses fous rires incontrôlés. « Tu blesses mon coeur en disant des choses comme ça. » l’imaginer entrain de se toucher sur lui ? c’était sa plus belle vision avant de dormir, aucun porno au monde ne pouvait rivaliser contre une lucky entrain de torturer son bouton. ses mains rappel de nouveau le corps de la gamine, il la tire doucement par le bras la porter tel une princesse avant de la trainer jusque dans sa chambre, ou il l’a dépose doucement sur le lit. il se met ensuite assis à coter d’elle, et capter son regard dans le sien. « parle moi. » qu’est-ce qui te tracasse ? qu’est-ce qui te vexe ? qu’est-ce que tu attend de moi ? te faire l'amour et t'aimer pour toujours, ce n'est pas la même action.
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is it desire or is it nothing i'm feeling for you // @romeo chamberlain ※※※  En effet, un psychologue irlandais a écrit un livre psychologique "L'Amour N'est Qu'une Illusion". Il explique là-dedans que dans plusieurs de ses expérimentations avec des couples, le taux d'amour entre-eux est quasiment nul entre 0,1 et 0,5%. L'amour ne serait en fait qu'un instinct de reproduction comme pour les animaux... Et je commençais à croire qu'il avait raison. Parce que si ce n'était pas le cas, j'aurais épousé l'homme que j'aime. L'homme qui aujourd'hui, est "mort" entre guillemets. Ce soir, j'avais envie d'oublier. Caresses tranquilles, douceur enfantine, comme si j'étais un objet de porcelaine, quand tes doigts touchaient mon épiderme avec une tendresse dont je n'ai plus l'habitude. Le frisson qui me parcourait laisse un total libre arbitre à tes mains expertes. Je luttais, mais ne parvenais pas à jouer avec toi. Surtout quand tu me portais dans tes bras, tel une princesse pour me traîner jusqu'à ma chambre et me déposer sur mon lit. Tu t'assois à mes côtés et tu ouvres les hostilités en me demandant de te parler. De me confier. Ce n'était pas facile pour moi. De parler de ce qui me tracassais, parce que je n'avais pas le droit d'entrer dans les détails sans risquer de me faire prendre pour une folle. Un silence pesant règnait durant ces quelques petites secondes dans lequel je ne savais pas comment exprimer ce que je ressentais. « Rhaaa et puis merde. » je laissais mon dos heurter les draps, fixant le plafond. « J'imagine que je n'ai pas envie d'être un lot de consolation, un prénom dans une longue liste. Un jouet dans les mains de quelqu'un. Être utilisée ça fait quand même un peu mal. » voir beaucoup mal. Le dos de mes mains venaient à cacher mes yeux. « Je crois que j'ai envie d'être spécial aux yeux de quelqu'un. » confiais-je d'une voix à peine audible, mais parvenant à tes oreilles quand même. « C'est idiot n'est-ce pas ? » tellement, qu'un rire parvenait à s'échapper de mes lèvres. Je penchais un peu la tête vers l'arrière en me saisissant d'un coussin pour te l'envoyer en pleine face accompagnée d'un rire plus joyeux et non, morbide. J'aimerais juste oublier ce qui me tracassait. Ne plus penser à ces dernières semaines où les émotions, la frustration, la rage, la colère, la peine, mais aussi le désir et l'incompréhension totale, m'avaient envahi. Animé. Tu te crois capable de me faire oublier tout ça Romeo ? Toi aussi t'allais être consumé par ma rage, alors vaudrait mieux que tu restes loin de moi, vraiiiiiiiiiiment très loin.
(a) blue moon
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ça n’avait rien avoir avec Romeo et l’attention qui lui porter, c’était en règle générale et quand il y pense, Romeo se dit que c’est tout à faire normale. avoir un enfant, une nouvelle vie, une progéniture est un truc qu’on fait à deux et le père du gosse ne se donne même pas la peine de venir vivre chaque moment de la grossesse avec la mère de son enfant. ses épaules se détende et il lance un soupire. elle avait l’air tout aussi stresser que lui, et c’était normale dans le cas de la demoiselle. il la tirer doucement contre lui, passe ses mains sur ses épaules et commence alors à masser avec douceur ses muscles crispé. « je comprend ce que tu ressent et je suis désolé d’être incapable de te faire sentir comme ça. » spéciale. comme l’être le plus merveilleux qui soit. pourtant elle le mérite réellement, mais Romeo en était juste incapable. « C’est loin d’être idiot. Et tu es spéciale. Tu le sera pour ce petit haricot qui est entrain de grandir en toi. tu sera la grand et fabuleuse maman qui l’a porter toute seule pendant 9 mois. l’être de lumière qui va lui donner de l’amour et de l’attention. et le lien que vous aurez sera a jamais spéciale, car pour lui, tu seras la personne la plus importante de toute son existence. » et c’est vrai que ce n’est pas l’amour qu’elle cherche, mais c’est ce qui l’attend. un lien entre une mère et son enfant est quelques choses d’indestructible et de réel. aucun homme ne pourra jamais l’aimer autant que cet enfant et elle ne pourra jamais aimer une autre personne de l’amour aussi pur et fort que celui qu’elle a pour cet embryon. ses doigts continuer de masser doucement la peau tendu de sa partenaire, toute ses angoisses, ses peurs et ses craintes aller se mettre en pause ce soir. car pour une fois, c’est Romeo qui mène la danse. « détend toi, maintenant. laisse moi faire. » et ses mains se détaches pour se promener le long de son dos, le bout de son index qu’il promene sur sa chaire si tendre, alors qu’il vient déposer des baiser au creux de son cou, remontant doucement jusqu’à son oreille.
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is it desire or is it nothing i'm feeling for you // @romeo chamberlain ※※※ J'essayais de faire bonne figure, mais comme tout humain, souvent, il est difficile de contrôler ses émotions. Bien sûr, je n'éclatais pas en sanglots devant des personnes, je le faisais souvent seule. J'ai été ainsi depuis la mort de mes parents, il ne fallait pas montrer mes états d'âme. Il fallait me montrer forte. Quand on était jeune, ce n'était pas si difficile de le faire, ça semblait même à portée de main, adulte, c'était plus délicat. J'en avais assez de devoir porter un masque, un masque figé dans le marbre. J'en avais assez de devoir me montrer forte, de faire genre, rien ne m'atteint. Était-ce aussi la meilleure des solutions ? Devrais-je montrer à chaque occasion mon ressenti ? Pleurer un bon coup quand j'en éprouvais le besoin ? Je ne pensais pas. Je soupirais. Soupir long et plaintif. Le genre de soupir qui vous maintenait en vie et qui vous faisait comprendre que vous êtes en vie. Cette vie si précieuse qui ne tenait pourtant qu'à un fil. Il faudrait juste l'éraflure d'une paire de ciseaux pour le couper net. J'écoutais tes précieuses paroles et tu avais toujours su trouver les mots qu'il fallait, mais peut-être pas ce soir pour une fois. J'aurais voulu pourtant me contenter de tes belles paroles. D'être heureuse d'être un être spécial pour ce gosse que je portais, mais rien n'apaisait les douleurs qui m'animaient. Pas même tes mains qui venaient masser mes épaules. Pas même tes doigts qui me caressaient le dos. Pas même tes lèvres qui courraient de mon cou à mon oreille. « Je crois que je suis vide... » et pour la première fois, je baissais les armes, je laissais tout tomber, mes bras, mon poids... Plus aucune lueur dans les yeux, vident de sens eux aussi. « Je crois que je ne pourrais jamais être réparée. » et ce, même si mon bébé sera capable de le faire. Sauf que j'aurais beau être heureuse quand il viendra, il me manquera toujours un petit quelque chose. Cette petite flamme. Un cœur qui vibre. J'avais envie de vibrer encore en encore. Mais je te laissais quand même faire, espérant vraiment que tu me sortes de cet enfer. Les yeux fermés...
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il la comprenait mieux que personne, parce que lui aussi ce sentait ainsi il y a quelques semaines de cela. quand il a décidé de s’ouvrir les veines pour ne plus entendre les voix dans sa tête, quand ils ont arrêter de hurler pour venir hurler entre ses veines. il ne voulait pas mourir, il voulait juste arrêter de souffrir stupidement et à l’heure d’aujourd’hui, il remercie sa bonne étoile, pas toujours présente, de l’avoir sauver de cette situation débile. ses doigts cesses de faire des geste circulaire, quand sa langue fini par se délirer. malgré le discours encourageant et positif de Romeo, ça ne semblait pas marcher, et il l’a retourne doucement pour pouvoir lui faire face. découvrant un regard sombre et vide d’intérêt. « Tu devrais commencer par arrêter de jouer la comédie. » celle que tu prétend être, le masques que tu portes, la fille que tu caches derrière ces grands traits de caractère, cette délicatesse que tu as enfuit entre tes veines. tu devrais arrêter de la cacher, tu devrais juste : la laisser respirer. « Bien sur que tu peux, Lucky. t’as déjà été sauver par la vie tellement de fois, essaie de te trouver réellement. de faire la paix avec toi même. » ces doigts sont sur ses épaules et longe avec douceur ses bras avant de venir s’arrêter à ses mains. il vient avoir les tennis entre ses doigts pour mêler leurs deux mains ensemble. « Tu es une bonne personne. »
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is it desire or is it nothing i'm feeling for you // @romeo chamberlain ※※※ Tu t'arrêtais soudainement de caresser mon dos et d'embrasser mon cou pour me retourner face à toi. J'ouvre les yeux en te laissant découvrir le bleu profond de mes iris qui n'exprimaient rien de bon. Si mes yeux étaient aujourd'hui si vide, c'était parce que j'étais las de ne pas comprendre ma propre identité, las de me poser des questions existentielles à cause de cette épice si spéciale qui alimentait un peu trop ma vie. Tu me demandais d'arrêter de jouer la comédie et je baissais la tête, me pinçant les lèvres. « Qu'est-ce que tu veux que je fasse d'autre ? » je ne pouvais pas laisser sortir la fille blessée que je peinais à enfermer. Je ne pouvais pas laisser mes sentiments prendre le dessus. J'avais peur de ne plus pouvoir m'en sortir. J'avais peur de me laisser trop envahir par mes émotions, alors tout ce que je faisais, c'était me protéger. Protéger aussi mon gosse, car ce serait dangereux pour lui, si je me laissais aller à mes douleurs. « Je ne sais pas faire ça. Je ne sais pas comment m'y prendre. Je suis perdue Romeo. Perdue. » et je n'arrivais pas à m'accrocher à une bouée de sauvetage. Un soupir las caressait mes charnues alors que tes doigts glissaient le long de mes bras pour entrelacer les miennes. Je resserrais une étreinte autour d'eux et levant enfin les yeux pour les plonger dans les tiens, je soufflais. « Et si c'était ça le problème ? Être une bonne personne ? Peut-être que si je n'éprouvais plus de compassion, que je ne ressentais plus rien, je ne souffrirais pas de la sorte ? Parce que tu vois, on a tendance à prendre les bonnes personnes pour des poules. Elles sont plus faciles à atteindre et à manipuler... » la peau pâle, je respirais doucement, profondément, tout en faisant rouler mes épaules. Je sentais battre mon cœur, pour l’instant calme, et ma poitrine se lever à chaque nouvelle inspiration. Je me retenais du mieux que je pouvais, de craquer. Allez, encore une fois, prends sur toi Lucky.
(a) blue moon
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