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( Forgiveness is warm. Like a tear on a cheek. Think of that and of me when you stand in the rain. I loved you completely. And you loved me the same. That’s all. The rest is confetti. @Lara-Jean Kim )
Depuis combien de temps ça dure ? depuis combien de temps est-ce qu’elle est amoureuse de lui et qu’il ne s’est rendu compte de rien ? depuis combien de temps est-ce qu’il passe à coter d’elle, qui la respire, qu’épaule et lui parle sans savoir que sa poitrine brune à l’idée d’être sienne. il est si stupide, si naïf. il ne voit pas l’évidence. ou si, mais il ferme bêtement les yeux. il se rappel alors de la soirée déguiser, des mots murmurer dans l’escalier, d’une main glissant l’une contre l’autre, des mots qu’on ne se dit jamais. pourtant elle a essayer de le faire, mais c’est bêtement tomber dans l’oreille d’un sourd. il était ivre, et il avait la tête ailleurs. il se jouer de son corps comme si c’était une game boy, il se jouer de son coeur comme si elle en avait un autre. elle redresse sa main et vient déposer un baiser sur la paume de celle-ci, leurs regards restent coincé l’un dans l’autre, pendant une grande minute qui semble être une éternité. Et ses mots si doux, viennent se fondre dans les oreilles du français. il ne peut s’empêcher de sourire bêtement. à vrai dire, il ne pensait pas venir ici pour avoir des activités charnelle, il voulait juste manger et discuté de foot et d’actualité américaine avec le père de lara-jean. le seul homme de la famille kim avec qui il s’entend d’ailleurs, car c’est froid entre lui et les frères de la jeune demoiselle.
ses lèvres viennent alors se sceller une nouvelle fois à ceux de lara-jean. il repense à la banalité de ce geste, qui semble le rendre si heureux dans l’instant présent. il passe ses bras autour de sa taille qu’il tire vers lui pour la mettre allongé. sans brisé une seule fois le contacte de ses lèvres contre les siennes. sans rompre ce baiser qu’il n’avait pas assez savourer au par avant. ses lèvres dérivent sur la peau de son cou, doux et chaud, cet odeur si agréable qu’il avait oublié, ce toucher si doux qu’il avait garder en souvenir. « t’es si belle, lara-jean. » encore plus que sous le soleil bénis de l’Italie. il se redresse pour retire son haut qu’il vire au pied du lit, et soulève doucement le sien pour qu’ils soient tout les deux égaux. il la tire de nouveau contre lui, passant ses bras derrière son dos, sa peau qu’il caresse du bout de ses doigts, alors que sa bouche venait déposer des marque bleuté sans vraiment s’en rendre compte.
ses lèvres viennent alors se sceller une nouvelle fois à ceux de lara-jean. il repense à la banalité de ce geste, qui semble le rendre si heureux dans l’instant présent. il passe ses bras autour de sa taille qu’il tire vers lui pour la mettre allongé. sans brisé une seule fois le contacte de ses lèvres contre les siennes. sans rompre ce baiser qu’il n’avait pas assez savourer au par avant. ses lèvres dérivent sur la peau de son cou, doux et chaud, cet odeur si agréable qu’il avait oublié, ce toucher si doux qu’il avait garder en souvenir. « t’es si belle, lara-jean. » encore plus que sous le soleil bénis de l’Italie. il se redresse pour retire son haut qu’il vire au pied du lit, et soulève doucement le sien pour qu’ils soient tout les deux égaux. il la tire de nouveau contre lui, passant ses bras derrière son dos, sa peau qu’il caresse du bout de ses doigts, alors que sa bouche venait déposer des marque bleuté sans vraiment s’en rendre compte.
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