Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityso you think you can love me and leave me to die (lara-jean)
-45%
Le deal à ne pas rater :
Four encastrable Hisense BI64213EPB à 299,99€ ( ODR 50€)
299.99 € 549.99 €
Voir le deal


so you think you can love me and leave me to die (lara-jean)

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


( Forgiveness is warm. Like a tear on a cheek. Think of that and of me when you stand in the rain. I loved you completely. And you loved me the same. That’s all. The rest is confetti. @Lara-Jean Kim  )

la fatigue avait gagner romeo après ce repas si charger. il ne se souvient pas de la dernière fois ou il avait autant manger. lui qui n’était pas gourmand de nature, avait avaler le poulet et les pommes de terre avait tellement de vivacité, que sa propre mère aurait demander si avait manger quelques choses depuis ses quinze dernières jours. à vrai dire, c’était presque ça. depuis sa tentative de suicide, Romeo avait tout simplement perdu gout à la vie. tout avait un gout de terre et de boue, et tout était fade et grisâtre. il pensait le refaire si la tristesse était beaucoup trop grande, de manière plus radicale cette fois-ci, sans le dire à qui que ce soit. il se rappel s’être demander si son père serai triste, si Nohan serai triste, et puis, il a tout de suite cesser de se tourmenter et donner une chance à sa propre personne pour un peu de bonheur. et ce repas, c’était un bonheur. un vrai délice, des gouts en feu d’artifice dans sa bouche, et des étoiles pleins ses yeux. ça reprennait doucement de la couleur, le gris été chasser par les tonnes d’oranger, remplacer par des couleurs automnales, reposante et délicate.
il s’était jeter sur le lit de lara-jean sans se souvenir d’où est-ce qu’il était censé dormir. dans la première discussion, il devait dormir avec elle, mais maintenant qu’ils n’étaient plus ensemble, ils n’allaient surement pas partager le même lit, surtout sous le toit de ses parents. ils étaient d’ailleurs partit se balader dans le centre ville, laissant les deux jeunes étudiants tout seul. « j’ai trop manger. » dit-il en se tournant sur le dos, les mains sur son ventre, il se sentait gras et repoussant. il doit surement ressemblait à ça, avec ses cheveux brun foncé, beaucoup trop noir. « en fait… merci pour m’avoir laisser venir. » elle était beaucoup trop gentille, trop douce et attentionné. il se redresse un peu, collant son dos contre la tête de lit, jouant avec un coussin de LJ. « je peux rester un peu avec toi avant d’aller me coucher? » sans savoir ou il doit finir la nuit, le canapé ne le dérangera pas, après tout il était déjà invité, ici, il ne devait pas s’attendre a une chambre privé avec vu sur le lac.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


( Forgiveness is warm. Like a tear on a cheek. Think of that and of me when you stand in the rain. I loved you completely. And you loved me the same. That’s all. The rest is confetti. @Romeo Chamberlain  )

thanksgiving est une fête de famille et pourtant dieu sait pourquoi, ma mère avait insisté pour que romeo fasse quand même partit de l'évènement, qu'il puisse prendre des vacances avec une famille qui n'était pas la sienne et ne serait sûrement jamais la sienne. alors, j'avais accepté, même si ça me faisait un peu mal de passer quelques jours en sa compagnie, ne sachant pas trop comment agir ou surtout quoi dire. en fait, à part discuter par messages de ce qui s'était passé à jeju, la discussion n'avait pas tellement évolué. mais pourtant, le repas s'était extrêmement bien déroulé et bien au contraire, les éclats de rire avaient rentetit autour de la table, romeo ayant d'ailleurs dégommé à plusieurs reprises les assiettes qui passaient sous son nez. décidémment, il avait l'air de n'avoir pas beaucoup mangé ces derniers temps et il avait l'air de bien apprécier le dîner. quand tout cela fut finit, on avait aidés mes parents à débarasser et mettre le tout dans le lave-vaisselle puis finir par monter à l'étage.
une fois dans ma chambre, voilà qu'une question semblait soudainement nous traverser l'esprit sans pour autant qu'on ait à ouvrir la bouche. où romeo allait bien pouvoir dormir ? même moi je n'avais pas tellement d'idée et je n'allais tout de même pas le laisser s'endormir sur le canapé à défaut que quelqu'un le réveille plusieurs fois dans la nuit pour aller prendre un truc au frigo, boire un verre d'eau ou de lait ou même simplement vouloir allumer la télévision. alors je m'étais assise sur mon matelas, l'air pensif puis un rire franchit mes muqueuses à ses paroles. "tu sors d'une période de grève de faim ou quoi que t'as mangé comme un orgre ?" lui demandais-je avant de pincer mes lèvres puis prendre place un peu mieux sur le lit, attrapant le deuxième coussin pour le serrer contre mon ventre et tourner la tête vers le français. "bien sûr ! d'ailleurs..." je marquais une petite pause avant de soupirer. "tu veux dormir où ? j'peux te laisser mon lit si besoin. sinon j'ai le canapé là qui se déplit. j'irais chercher quelques couvertures dans la chambre de mes frères." je pointais alors le petit canapé en face de mon lit. et puis, ici c'était le plus grande chambre de l'étage (l'avantage d'être la seule fille de la famille) et la vue sur le lac était la plus agréable.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


( Forgiveness is warm. Like a tear on a cheek. Think of that and of me when you stand in the rain. I loved you completely. And you loved me the same. That’s all. The rest is confetti. @Lara-Jean Kim  )

ses bras viennent retrouver un coussin de LJ, il ne va pas mentir Romeo, sa vie avec Lara été d’un délice sans nom. ce semblant de famille qu’elle lui donner, ce semblant de normalité qu’il sentait quand il était avec elle. il ne peux pas mentir, il ne peux pas se mentir, il été affreusement bien dans les bras de lara-jean. Et pas seulement coller contre les coussins qui sente comme elle, aussi dans le cocon dans lequel ils s’immiscent tout les deux. enfermer dans cette romance qui a l’odeur de la mer de Capri, et du parmesan en masse qu’elle mettait sur ses pattes, le gout de l’eau de mer sur sa peau blanchâtre et de la glace au spéculons qui rester dans le coin de son bouche. sa voix le romane à la réalité, alors que Morphée commencer déjà doucement à le tiré vers le fond. « mh? » oui? comment tu sais ? tu as deviné ? non, ne dit rien, Romeo. « La cuisine de ta mère est un vrai délice, comment veux-tu que je passes à coter? »
il se sentait ballonner, il se disait qu’il fallait peut être lui dire la vérité, qu’elle pourrais peut être de nouveau utilisé son super pouvoir sur lui. l’aider à démêler doucement ses idées noirs jusqu’à en voir le bout, ne l’oublions pas, lara-jean est tellement doué pour faire ça, c’est jean d’x-men après tout. « Peut importe, je peut dormir n’importe où. mais si tu veux je peux rester ici, près de toi. » sauf si ça te dérange ? il ne sait pas Romeo, il ne sait pas si elle est aller visité d’autre bras après lui. si en réalité elle a trouver des baiser plus doux et des câlins plus tendre que dans les bras du français. « tu me diras ce qui ferai plaisir à tes parents pour noël, pour les remercier de m’avoir accueillit. » il se redresse, colle sa tête contre le coussin, avant de soupirer doucement. la fatigue le gagne, mais il ne pouvait pas dormir sans avoir fini de discuté avec son hôte.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


( Forgiveness is warm. Like a tear on a cheek. Think of that and of me when you stand in the rain. I loved you completely. And you loved me the same. That’s all. The rest is confetti. @Romeo Chamberlain  )

en rien je ne savais ce qui pouvait se tramer dans la tête du garçon et encore ce qui s'y était tramé pendant que soo-jin et moi-même profitions de quelques jours de repos à jeju pour s'amuser. c'était il y a déjà un mois que tout cela s'était passé et pourtant, j'avais l'impression que c'était hier, que toutes ses horreurs avaient frappés nos vies il n'y a que quelques heures et que tout ça n'était juste l'imagination de mon cerveau qui n'arrivait pas à oublier romeo qui me le mettait juste dans mon chemin pour me demander de rester en vie peut-être pour lui ? mais il n'y avait pas que romeo qui m'obsédait maintenant. mon cœur était en mode yoyo, à tenter de pencher le pour et le contre à la faveur de l'un plutôt que de l'autre. mais romeo, il avait clairement ce panneau stop devant la figure qui faisait que la balance ne penchait pas tellement en sa faveur à lui. tout en pensant à cela, je m'étais installé à ses cotés, attrapant moi aussi un coussin pour le coller contre ma poitrine, comme si j'avais un besoin soudain de serrer une peluche contre moi mais que je n'en avais pas sous la main. "c'est le seul truc que j'aurais jamais de ma mère... savoir faire à manger." lâchais-je après un petit rire. ma mère cuisinait divinement bien et avait tout apprit de ma grand-mère, celle qui était avec nous en ce weekend. je me laissais glisser un peu plus contre la tête de lit avant poursuivre. "j'risquerais de foutre le feu à la baraque si je touche à la plaque de cuisson." c'est d'ailleurs pour ça que je sortais souvent manger dehors et que j'acceptais les invitations de minho pour se péter le bide avec des factures à trois ou quatre chiffres.
et voilà qu'on venait à se demander où romeo pourrait pieuter cette nuit et j'avais gentiment proposer de lui laisser mon lit ou de lui déplier le canapé-lit mais sa réponse me surprit alors je venais à arquer un sourcil doucement et serrer les dents tout en haussant les épaules. est-ce que c'était judicieux de dormir avec son ex ? oui, parce que même si on avait feinté notre relation, au fond, il l'était tout de même. est-ce que j'étais sûre qu'on allait rester chacun dans notre coin de lit et pas se rapprocher stupidement pendant notre sommeil ? non, clairement pas. "je.... j'te prépare quand même le clic-clac au cas où, tu verras toi après." parce que si ça tenait qu'à moi-même, la réponse aurait été oui. je venais alors à me redresser, me lever du lit avant de rire une nouvelle fois et d'un geste dont j'allais sûrement regretter plus tard, je venais à caresser la joue du français avec la plus grande tendresse qui soit. "t'inquiètes pas. juste que tu sois là aujourd'hui ça leur fait déjà plaisir de ce que j'ai pu comprendre."
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


( Forgiveness is warm. Like a tear on a cheek. Think of that and of me when you stand in the rain. I loved you completely. And you loved me the same. That’s all. The rest is confetti. @Lara-Jean Kim  )

il riait bêtement à sa plaisanterie, c’est vrai et il n’allait pas mentir, lara-jean cuisiné comme un pied. elle était adepte de la mal bouffe et le serait surement toute sa vie. il se souvient encore des plateaux télé qu’ils se faisait à Capri, quand ils commençant presque toute la carte pour se foutre sous la couette et juste regarder la télé. Roméo n’est pas un grand mangeur, il lui arrive d’avoir des épisodes de jeune totale ou il se met à arrêter de manger sans réelle raison. il voulait être beau, et présentable et se soucier bien trop de son apparence pour se laisser aller dans de tel condition. pourtant quand il été avec lara, il pouvait manger autant de crème glacer et de panini qu’il veux, jusqu’à ce que son ventre se brise en deux.
« peut importe, je m’en fiche. » et Morphée l’appeler de plus en plus fort, ses bras étaient lourd et sa tête aussi. c’était à cause de son ventre gonfler qu’il avait l’impression que tout été lent. et dans un geste, lara-jean le ramener à la réalité. quand ses doigts viennent alors se coller contre sa joue. le temps c’est soudainement arrêter, comme dans un mauvais drama ou la caméra est venu à contre plonger sur leurs deux visages avant de faire des grands zoom sur leurs visages. son toucher été un délice, encore plus maintenant qu’avant. « je doit te dire un truc. » j’aime bien être avec toi. j’aime bien que tu m’achètes des muffins pour mon anniversaire, que tu penses à moi quand tu es toute seule. j’aime bien ton odeur, elle sent toujours aussi bon que cet été, j’aime la texture de tes cheveux, mais aussi la douceur de sa peau, mais surtout lara-jean. « j’ai fait une tentative de suicide, il y a moins de deux semaines. » il s’est redresser, capter son regard. pourquoi ? aucune idée, il avait pourtant pas envie de mourir, il voulait juste.. mettre sa vie en pause. « personne ne le sait à part Nohan et mes parents. je voulait rentrée en france, mais j’avais besoin de te … retrouver, avant. » toi. jean grey, qui lit dans les penser des gens, qui répare les sentiments, toi et personne d’autre.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


( Forgiveness is warm. Like a tear on a cheek. Think of that and of me when you stand in the rain. I loved you completely. And you loved me the same. That’s all. The rest is confetti. @Romeo Chamberlain  )

un geste de tendresse pur et dur dont j'avais plus tellement l'habitude. voilà ce que je venais d'offrir au garçon par réflexe, comme si les anciennes habitudes entre lui et moi faisaient soudainement surface une nouvelle fois. j'allais pour lâcher sa joue quand il ouvrit la bouche en me disant qu'il avait quelque chose à m'avouer. puis je suis devenue perplexe, inquiète aussi parce que je me demandais bien la nature de son aveu. alors, main toujours contre sa joue, je venais à arquer un sourcil, l'air interrogateur puis j'avais finit par la lui lâcher avant de me rasseoir sur le bord du lit, sait-on jamais si la nouvelle allait me chambouler ou non ? peut-être qu'il m'avouerait qu'il regrettait avoir tout stoppé avec moi et c'est moi qui finirait par regretter d'être allée voir ailleurs pour l'oublier ? alors, je passais ma langue contre mes dents avant de l'écouter, toujours ce sourcil haussé. mais l'information qu'il me donnait fût assez difficile à digérer, comme un truc qui passerait de travers. les tentatives de suicides... j'étais pas familière avec ce genre de pratique mais mon petit frère avait l'habitude de se scarifier parce que ça l'éclater alors j'imaginais bien que ça devait pas être facile à avouer à quelqu'un que d'avoir tenté à ses jours. je venais donc à saisir le bras du garçon qui était le plus proche de moi avant de tirer sa manche et retirer ce qui cachait sa peau hâlée avant de soupirer. "pourquoi t'as fais ça romeo ?" j'allais pa le plaindre, j'étais pas du genre à plaindre les autres, si ils avaient fait ça, c'était pour une bonne raison et la raison, je voulais la connaitre. en tout cas, j'espérais que ce ne soit pas à cause de moi. ou de soo-jin. ou de nous deux d'ailleurs. je venais à soupirer doucement en simplement laissant mon pouce venir passer contre les cicatrices encore récentes qu'il avait là, ne voulant même pas le regarder, me disant que si j'observais assez ses taillades, j'arriverais à les faire disparaitre d'un coup de baguette magique. "ne recommences plus jamais. s'il te plait. pour ton frère. nohan tiens énormément à toi..." étrange hein, je lui demandais d'arrêter pour sa famille, pas pour moi. moi, j'étais rien dans sa vie et il me l'avait bien fait comprendre.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


( Forgiveness is warm. Like a tear on a cheek. Think of that and of me when you stand in the rain. I loved you completely. And you loved me the same. That’s all. The rest is confetti. @Lara-Jean Kim  )

pourquoi il avait fait ça ? un tout. le rejet de soo-jin, la perte de lara, l’irrespect de ses parents, cette impression constante d’être inutile, la drogue en trop grande quantité, trop souvent, les penser négatif qui rouler dans son crâne, parlant sans cesse, tapant dans les recoins de sa personne. les regards des autres, ceux qu’il ne connais pas, qu’il ne connaitra jamais et pourtant à qui il porte beaucoup trop d’attention. l’incapacité à jouer au piano, a utiliser ce seul talent qui l’a porter toute ses années. tout ça et tant de chose encore, et pas de lara pour réparer sa tête, pas de lara pour faire taire tout ça avec sa voix mielleuse et ses mains dont la douceur est égale à du coton. d’ailleurs ses doigts saisi ses poignets, il a un reflex de cacher cette maudite main sous son pull over beaucoup trop grand mais elle le choppe quand elle. il essaie de retirer ses mains, mais elle le choppe quand même. et la honte est si grande qu’il n’ose même pas la regarder en face. « Je sais pas pourquoi je l’ai fait. mais je vais guérir. je veux guérir. » et vivre. et gouter de nouveau au plaisir que la vie que nous offrir, et avoir ce délicieux mélange de bonheur et de surprise entre les lèvres, encore une fois. si il avait le pouvoir de le faire, il aurait fait un obliviate sur sa tête, pour supprimer toute les souffrances qu’il a pu endurer et il le ferai sur lara-jean aussi, sur cette épisode ou il l’a laisser pleurer pendant des heures durant après l’avoir quitter. « Promis. » sa voix est douce, et il retire doucement les mains de lara de ses cicatrices pour les saisir dans les siens. ses mains qui avait le pouvoir de tout changer. « répare moi. » c’est un murmure qui s’évade de ses lèvres, quand il se rapproche soudainement pour qu’elle puisse entendre. seulement elle, même si ils ne sont que deux dans cette pièce. il caresse la paume de sa main avec ses mains et les soulèves pour y déposer un baiser dessus. ses doigts magiques, cette sorcellerie dont elle est la seule maitresse, soit ma sabrina et je serai ton harvey, éternellement dévouer à toi, si en échange tu sais recoller mon esprit fêler. il pose les mains de la jeune fille sur sa nuque, s’approche volontairement d’elle. « Répare moi Lara-Jean, t’es la seule qui puisse le sauver. »
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


( Forgiveness is warm. Like a tear on a cheek. Think of that and of me when you stand in the rain. I loved you completely. And you loved me the same. That’s all. The rest is confetti. @Romeo Chamberlain  )

j'écoutais les paroles du français, je les buvais sans vraiment les comprendre. il savait pas pourquoi il avait fait ça et dans un sens, même si il n'était pas à plaindre de part le fait qu'il était toujours là, bel et bien en face de moi, au fond de ma personne, j'avais envie de le plaindre, laisser toutes mes émotions par rapport à ça sortir mais, depuis notre rupture, c'est comme si j'avais créé une carapace autour de moi dès que le sujet tournais autour du magnifique romeo chamberlain. dès que son nom ou la moindre évocation de lui et je détournais le sujet, je faisais comme si il n'existait pas, comme si je n'avais plus le moindre sentiment pour lui, bien qu'intérieurement, ça me déchirait. ça me déchirait oui et rien que le fait de voir ces marques sur ses poignets et les sentir sous mes doigts ouvrait cette plaie béante que j'essayais tant bien que mal de refermer. une promesse, c'est tout ce que je lui demandais. si il n'avais pas réussit à tenir cette d'un pacte stupide pendant six mois, alors il devait bien me promettre une chose... rester en vie quoi qu'il en coûte. puis soudainement, il rompit ce contact qui semblait si chaud, si familier pour me demander aussi une faveur. le réparer. sauf que je n'étais pas magicienne, j'avais pas les pouvoirs de jean des x-men, j'étais pas non plus aussi courageuse que lara croft. j'étais juste lara-jean la pitoyable, celle qui tombe amoureuse des garçons qu'il faut pas. un soupir s'échappa par mes narines, comme un rire sarcastique. comment je pouvais faire ça ? comment je pouvais aider quelqu'un comme lui alors que je n'arrivais pas moi-même à me réparer et que j'avais besoin de minho pour cela. lui et ses bras chauds, lui auquel j'étais en train de m'attacher à défaut de ne pas avoir eut romeo et pourtant avec qui je me sentais tout aussi bien qu'avec lui ? il avait rapproché son visage de mon oreille, me faisant entendre ses paroles de supplication avec cette voix rauque que j'avais tellement apprécié entendre dès le réveil et, j'avais relevé la tête pour finir par lui faire face, à seulement quelques centimètres, plongeant mes prunelles dans les siennes tandis qu'il était en train de tenter un rapprochement. est-ce que je devais partir en courant ? est-ce que c'était le bon moment ? mais j'étais presque tétanisée, incapable de bouger alors je continuais à lui faire face, sentir son souffle chaud contre mon minois. puis mes doigts se sont réveillés pour venir titiller les mèches de cheveux qui lui tombaient dans la nuque, finissant par serrer une bonne poignée entre ces derniers. "comment ?" qu'est-ce que tu attends de moi romeo ? sois plus clair.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


( Forgiveness is warm. Like a tear on a cheek. Think of that and of me when you stand in the rain. I loved you completely. And you loved me the same. That’s all. The rest is confetti. @Lara-Jean Kim  )

Il l’avait briser et il en serait conscient, si il ne pensait pas que c’était mieux pour elle d’être loin de lui. à vrai dire, c’est mieux pour tout le monde d’être loin de lui, car il pensait intimement que sa présence été horrible et que personne ne peut le supporter. C’est ce genre de penser qui hanter sa tête alors qu’il ouvrait ses veines avec une lame de rassoir dans cette soirée de merde, son coeur battant à toute allure et l’envie d’en finir une bonne fois pour toute. Ces souvenirs ont un gout horrible dans sa bouche, claquant sa langue contre sa mâchoire comme pour supprimer cet odeur de rouille et de sang beaucoup trop présente. ses doigts viennent alors chercher ceux de lara-jean, son toucher, sa présence, sa chaleur humaine si forte qu’elle efface toute trace de haine et de peur dans les veines de Romeo. il porte ses doigts à sa nuque, sachant très bien qu’elle été fétichiste de sa queue de rat qu’il avait laisser repousser en brun derrière sa nuque. et lui, lui il jouer à s’approcher d’elle, son coeur battant la chamade comme deux amoureux qui venait de se retrouver. mais nous ne sommes plus rien l’un pour l’autre, pensait-il alors que ses doigts venait sur les cuisses de la demoiselle.pourtant, j’ai besoin de toi. c’était un fait, un fact qu’il ne pouvait pas supprimer. « Tu sais comment, Jean Grey. » disait-il dans un rire. la plus grande sorcière de tout les temps, tu ne t’es pas déguiser en Hermione pour rien, tu as son intelligence et sa beauté. et leurs visages à quelques centimètres l’un de l’autre, distance que Romeo chasse en posant un baiser sur les lèvres de la coréenne. sensation si agréable que des frissons roule sur sa chair délicieuse, le coeur tambourinant contre sa cage thoracique. ses mains viennent alors saisir ses hanches pour la tirer contre lui, baiser chaste qui devient ardent. il se souvient avoir promis à Nohan de ne plus jamais lui faire du mal, alors il rompe doucement le baiser pour lui demander. « si je te fais du mal dit le moi. j’arrêterai tout. mais j’ai besoin de toi, lara-jean. » j’ai besoin de ton amour. celui que tu me donnes sans hésité, celui que tu me sert sur un plateau d’argent, celui qui est si pur et si tendre que je n’avait pas conscience qu’on puisse m’aimer autant. je suis désolé de ne pas t’avoir aimer de la même manière. pourtant je le sait, j’en ai conscience, tu es l’unique personne chez qui j’aimerais reposer mes penser. « Offre moi ta peau ce soir. j’en ai besoin. » tes seins, tes reins, tes cheveux noirs et qu’on se noie dans les nuits fauve. en échange de tout ça, je t’offre tout ce dont je dispose : mon corps, mon âme, prend tout, tout de suite.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


( Forgiveness is warm. Like a tear on a cheek. Think of that and of me when you stand in the rain. I loved you completely. And you loved me the same. That’s all. The rest is confetti. @Romeo Chamberlain  )

est-ce que c'était judicieux ? et surtout, est-ce que ça en valait la peine ? si j'écoutais ma meilleure amie, il était clair que je devais m'éloigner de romeo, aller le plus loin possible de sa personne pour ne pas retomber sous ses charmes aussi bêtement que je l'avais fait la première fois. pourtant au fond de moi, il y avait quelque chose qui me disait que tout ça, ça me manquait. que sa présence me manquait, que son toucher, ses paroles, son côté romantique sans volontairement vouloir l'être, son regard qui se posait sur moi égal à celui d'un chaton en manque d'affection. toutes ses petites choses causaient ma perte. il était un peu comme ma kryptonite, si attirante et pourtant si dangereuse. sûrement la pierre la plus belle du cosmos, celle qui valait le plus d'argent et surtout la plus convoitée mais est-ce que l'avoir en ma possession ne me mettrait pas dans une position inconfortable ?
puis soudainement, il posa ses mains contre ma taille, venant provoquer un frisson en moi, une sensation presque oubliée avant u'il n'ose rapproche dangereusement son visage du mien et sceller finalement nos lèvres les unes contre les autres dans un baiser des plus tendre, comme une requête de sa part encore une fois. comme pour me supplier d'être sienne encore une fois, une nouvelle fois, peut-être une dernière fois ? j'avais évité de lui montrer la moindre réaction, pour lui faire comprendre qu'il avait pût me blesser par le passé mais l'envie de répondre à ce baiser était si grande qu'il m'était impossible de rester stoïque pendant une minute complète. alors, dans un mouvement délicat j'avais entrouvert ma bouche pour venir offrir un baiser au garçon. ça, juste avant qu'il ne se recule pour me qu'on pouvait s'arrêter là, qu'il ne voulait pas me faire de mal. il m'en faisait déjà, à chaque fois que je croisais son chemin, à chaque fois que j'osais porter un œil dans sa direction, à chaque fois que j'avais le malheur de tomber sur une photo à lui sur mon fil d'actualité instagram alors, qu'il continue. qu'il continue à planter le couteau si profond que je ne puisse pas l'enlever sans forcer si il tenait réellement à moi et qu'il ne pensait pas que ce n'était qu'un simple jeu entre nous. je venais à secouer timidement la tête de façon négative puis finit par serrer une nouvelle fois sa tignasse entre mes doigts. non romeo, t'arrêtes pas comme ça, prouves-moi qu'il peut éventuellement avoir quelque chose de bien entre nous si on fait tout les deux un effort et que mon cœur veuille redevenir entière dévoué à ta personne et non être scindé en deux comme présentement entre ta personne et celle de minho. je laissais une main glisser contre sa joue brûlante avant de passer mon pouce contre la lèvre inférieure et esquisser un sourire à sa demande. et sans un mot je venais à attraper une des mains du français pour d'abord l'embrasser doucement puis la poser contre ma poitrine. "prends-la." lui soufflais-je avant de revenir de moi-même poser mes muqueuses rouges de maquillage contre les siennes.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)