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LASZBE + constellations of the things you left unsaid

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J’crois que je n’ai pas pleuré depuis que mes parents se sont séparés. Ouais, je n’ai pas versé une seule larme depuis mon départ de la Nouvelle-Orléans. La plus grosse déchirure de ma vie, c’était de quitter ma meilleure amie de l’époque. C’était pas le divorce, au contraire. Ces larmes que tu vois couler, elles ont au moins une décennie. Un grand cru de la maison Rowan. « Ça ne marche pas comme ça Laszlo .. » Ce n’est pas en ayant envie que ça se produit. C’est censé être naturel. Ça nous tombe dessus comme ça, pouf. On est amoureux et on peut pas s’en défaire. C’est un sentiment insaisissable. De l'alchimie, un truc dans l'genre. « Enfin, je veux pas te forcer à m’aimer. Si ça ne prend pas, dis-le moi » J’veux pas te brusquer. J’comprends que tu ne puisses pas t’ouvrir autant que moi. Je comprends qu’il te faut plus de temps. Je vais patienter, lire quelques magazines, faire les mots croisés, et même la grille de sudoku. J’ai pas le choix. J’suis en train de tomber pour toi moi. Excepté quand tu cris et que tu fais trembler les murs.. Ouais, quand tu t'emportes, j’ai juste envie de détaler. Je prohibe toute forme de violence, j’suis pacifique. Mensonge, je le suis pas vraiment. J’suis un putain de volcan qui peut entrer en éruption n’importe quand. Bref, encore émue, tu viens décroiser mes bras pour te blottir entre eux et m’enlacer. Aucune opposition de ma part. Je te veux, contre moi. Je veux m'imprégner de ton parfum si je dois finir la nuit seule dans mon lit. « T’es chiant. Je suis oppressante sérieux ? C’est noté, tu vas voir. » Je peux t’ignorer des jours entiers s’il le faut, si ça te permet d’avoir le fameux déclic. Tu m’as carrément froissé. Je déteste être un pot de colle, c’est pas attirant du tout. Bordel, j’suis un boulet accroché à ta cheville c’est ça ? Comment je corrige et j’amenuise mes désirs ? Oh damn, t’es trop adorable. Tu me fais vivre les montagnes russes. C'est le moment confessions intimes. Mon petit coeur tambourine fort contre mon thorax. Je déplace quelques mèches de cheveux près de ton front, le regard beaucoup plus doux. Il est attendrissant le Griggs. « Arrête, j’veux pas te donner des devoirs Laszlo. Fais comme tu veux et je te gronderais un peu quand ça ne va pas .. » Attrapant ton visage, j’appuie mes grosses lèvres satinées dans le creux de ta joue. Je sens toute ton ossature qui roule sous ma bouche. Je te fais peut-être mal, mais c'est pour mieux te sentir, j'arrive pas à l'expliquer. « Tout ce que je veux, c’est me balader main dans la main avec toi. C’est pouvoir dire à n’importe qui que j’ai un homme. Je veux savoir ce qu’il aime, ce qu’il n’aime pas. Lui toucher les couilles en plein public pour voir ses joues rougir. C’est possible ça aussi ? » Et je réalise d’ailleurs la dernière action mentionnée. Je flanque ma main sur ton paquet et je l’empoigne fermement, jaugeant tes réactions. « Tu me paies un macdo ? Ou je serre plus fort et je brise tes noix » Ce qui reviendrait à m’en priver, je sais.
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Je sens bien que Phoebe elle se donne à deux cent pourcent dans cette relation, qu'elle veuille que ça marche. Moi, disons que je suis plus lent ouais, long à la détente. Peut-être qu'elle a déjà eu pas mal de relations sérieuses ou parce que je suis bizarre, mais moi, j'ai eu qu'une copine et ça remonte à mon adolescence donc bon, je suis pas contre recevoir un mode d'emploi. Quand elle me dit qu'elle tombe amoureuse, woaw, ça me fait comme un électrochoc. Je ne sais pas si c'est bien ou mal, mais là tout de suite, je me sens heureux comme un con. Putain, j'ai presque envie de chialer. C'est parce que ses yeux sont encore humides, c'pour ça. Alors je lui dis que j'ai envie aussi, de l'être, amoureux d'elle. Mais clairement, c'est trop tôt pour moi, et beeeaaucoup trop tôt pour que je lui ouvre mon coeur à ce point. Elle va me faire fuir, encore une déclaration pareille et je tombe dans les pommes comme une princesse. Princesse Laszlotte, ça sonne bien non ? Je souris tendrement. « laisse-moi du temps, le temps de t'aimer comme il faut. » comme une reine, comme une déesse. Je veux pas faire les choses trop vite mais ça, je pense qu'elle l'a déjà compris depuis belle lurette. Je décroise ses bras pour venir chercher le contact contre elle et je ne quitte pas une seconde son regard bleuté, son si beau regard. Je me demande si ses yeux en amande viennent de sa mère ou se son père. Je la taquine sur le fait qu'elle est oppressante et elle prend directement la mouche. Putain, je l'aime comme ça en fait. Je sais pertinemment quoi dire ou quoi faire pour la faire sursauter. Un petit moment de tendresse, elle chipote dans mes boucles mal coiffées et je me mords la joue. Elle presse tellement fort sa bouche sur ma joue que j'ai presque l'impression qu'elle cherche à me trouer la peau. Oh elle est en manque d'affection, je le vois bien. Un large sourire s'étire sous mon nez. « et moi je peux te toucher les seins en plein public ? » ah, si tu me touches mon paquet, je peux toucher tes boobs, deal. « j'entends tes requêtes et j'vais voir ce que je peux faire. » je joue, je viens chercher son visage pour l'embrasser mais subitement, elle me prend les bijoux de famille d'un geste rapide. « putain ! » aie aie mes couilles nondidoum ! Je grimace et je recule pour me séparer d'elle, sauf que c'est pas l'idée du siècle car elle sert encore plus sa poigne autour de ma marchandise. « hey, je sais pas si je l'ai mérité ça !» elle lâche pas, non elle ne lâchera pas tant que je lui donne pas ce qu'elle veut. « okay ok ! j'te paye un macdo, des frites un khebab, tout ce que tu veux mais ne martyrise plus mes petites chéries. » elle me relâche et je recule, je vais m'asseoir dans un fauteuil et je reprends ma respiration en plaquant mes mains dans mon froc pour vérifier que mes noix sont toujours entières. Bah quoi, je suis une petite nature, une petite fille sensible.
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Je n’aurais peut-être pas dû m’ouvrir aussi vite. Ouais, je m’en veux. Je me barre, je retourne dans ma coquille et je la referme. Cette histoire me fait complètement débloquer. J’suis pas sentimentale comme nana. Bordel, si je fous mes doigts au fond de la gorge, je vomis de l’amour, c’est quoi cette connerie ? « Ok, aime-moi comme il faut mon mon bel étalon » Vaut mieux rire que pleurer. Phoebe c’est le noyau du positivisme. Faut pas que je l’oublie. Faut pas que je perde toute mon énergie et ma bonne humeur pour un mec. Trop tard putain. Tu me rends stupide. Je bats des cils comme une petite biche fragile. Tu continues de t’enfoncer, tu le fais exprès ou quoi ? Moi je me braque vite, je déteste les sous-entendus foireux comme ça. J’crois que ça te plaît. Tu te joues de moi. Tu me fais bouillir pour jubiler. Pourquoi j’aime ça au fond ? Savoir que tu peux me rendre dingue en quelques mots seulement .. J’aime tellement cet effet pervers que j’embrasse ta joue super fort, limite au point de la transpercer. Tu délivres de sales pulsions en moi, de la violence, une passion violente j'dirais. « Ouais tu peux, tu peux tout faire » Je n’ai aucune honte, ça m’éclate de gêner les gens en public moi. Surtout les petits vieux au ralenti. « Tu te prends pour le président ou quoi ? » ‘’Mes requêtes’’, j’adore. Qu’est-ce que t’es con, mais je t’aime comme ça. Et j’ai soudainement un gros zoom de ta tronche, je pique tes lèvres, mais je profite aussi de cet instant de distraction pour mettre la main sur ton paquet. Prends ça, c’est pour ta crise, tu paies le prix de ma peur now. Je ris à fond sous tes mimiques. Tu te recules, mais je ne lâche rien, au contraire. Je resserre mes doigts sur cet amas difforme. Désolée. Je glousse et formule une autre ‘requête’. lol quoi. « Si si tu l’as mérité. Tu cries plus comme un con et tu fonces plus sur ta came pour si peu ok ? » Après, si jamais quelqu’un de proche crève, ok, tu peux t’enfariner la gueule, mais pas là, c’est stupide. Allez, je te relâche. Je voudrais pas décrocher tes bourses non plus. En petit animal blessé, tu fuis au bout de la pièce pour t’assoir sur un fauteuil. Tu te masses les robignoles oklm. Ça va ! J’ai pas pressé super fort, quelle mauviette. « Je peux conduire ta motooo ? Je déconne pas j’ai faim et je veux sortir avec toi. Je veux te foutre la honte en public, j’en ai marre de me planquer chez toi ou chez moi » Je passe au crible ton appartement, je laisse mes mains et mes prunelles traîner un peu partout à la recherche de tes clés. « Elles sont oùùùù ? Dans ton froc c’est ça ? » Je gueule, je m'en tape de réveiller le quartier moi, j'sais me battre si on est pas content. Je me plante ensuite devant toi et je te fous un coup de pied dans le mollet. « T’as vraiment mal à ton zizi imaginaire ? »
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C'est fou comme on peut passer du coq à l'âne, du chaud au froid, de parler de choses qui n'ont ni queue ni tête. Sauf quand il s'agit de ma queue évidemment. Elle est comme ça Phoebe, c'est dans sa nature, ça je l'ai bien compris. Elle a besoin d'être rassurée, constamment, comme si elle avait peur que je me lasse d'elle du jour au lendemain alors que... comment je peux me lasser d'elle ? Elle rend ma vie et mon existence beaucoup plus intéressantes. Je me sens bien, vraiment, sauf quand elle me gueule dessus mais entre nous, je gueule plus fort qu'elle donc bon. Bref, elle a pas raison de s'imaginer des trucs comme ça. J'ai des sentiments pour elle, forts, je les sens qu'ils se développent jour après jour. Je peux pas lui parler d'amour pour le moment, mais c'est tout comme. Evidemment que je sens une sorte d'amour, je ne ressens pas la même chose pour tout le monde, mais il faut que j'arrive à mettre des mots là-dessus. « been je suis quand même le vice-président des geeks so... » que je dis amusé en affichant un large sourire. Et puis après, dans ce moment de douceur, elle s'attaque à mes testicules qui n'ont rien demandées. Ok, alors elle peut être sauvage, ça ne me dérange pas, elle peut être spontanée et avoir des spasmes, ça peut passer, mais mes couilles ! No way, pas mes bijoux de famille ! Je me plains comme un petit gosse mais ça fait mal wesh, c'est douloureux, ça me remonte dans le ventre. « mmok, mais tu peux me le demander plus gentiment, tu crois pas ? » je sais pas, en mettant de l'émotion dans ses paroles, en continuant de pleurer, histoire de me sentir vraiment coupable. Là, ça fait pas trop l'effet qu'elle attendait je crois. M'interdire de force de faire un truc sans la discussion, c'est me pousser à le faire, ouaip. C'est psychologique ce truc, j'vous jure. Nouvelle requête de la belle casse-noisettes, elle veut qu'on aille manger au mcdo, mais avant tout, conduire ma moto. Mon bébé, mon saphir. « t'as déjà fait de la moto ? car je laisse personne monter dessus sans permis moto. » je fais le malin et je croise mes bras contre ma poitrine. Menteur, t'as déjà proposé à Barbie de monter dessus. Ouais mais ça, elle n'est pas obligée de le savoir. Je me lève de mon fauteuil et je me plante devant elle en l'attrapant par la taille. Un sourcil levé, encore avec sa remarque de trop. Je me retiens de pouffer de rire, j'ai envie de lui lâcher une de ses réparties mon gars, mais elle risque de mal le prendre. Quoi que, c'est Phoebe, elle est trop imprévisible. « yep, tu pourras plus le toucher, il est en repos maladie jusqu'à... jusqu'à ce que je l'aurais décidé. » mes lèvres frôlent à peine les siennes et je me recule, le sourire aux lèvres, je choppe ma veste, mes clés et je donne le casque de moto. J'en ai qu'un, je suis solo, je préfère que tu le portes et qu'il ne t'arrive rien. « t'es prête ? » mets ta veste, enfourche ma bécane et tiens-toi bien, direction le domac baby.
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Ah ouais. J’oublie souvent que tu as été élu demi-roi de la Kirkland House. Les gros gamins du campus. Les fruits pas mûres qui jouent à Pokémon. C’est mignon. Si mignon que ça me donne envie de pétrir tes couilles entre mes doigts. J’suis indomptable bébé. Imprévisible. Une castratrice. Tu couines dès que je relâche la pression. Tu fuis. Dans ton coin. Je rigole et me rapproche de toi pour déceler ta réelle douleur. « Si je pourrais, mais ça ne serait pas vraiment Phoebe Rowan si je faisais ça » Si tu cherches une nana douce et qui parle à peine, dis moi de dégager. J’changerais pas. Certes, j’peux parfois m’attendrir et chialer comme il y a deux minutes, mais ça ne tient pas. Ma vraie nature reprend toujours le dessus. J’refuse de me sentir coupable de tes prises de cocaïne. Je veux pas vivre dans un climat pareil, à réfléchir si telle ou telle parole t’a conduit à te droguer. Non non. Tu vois, ça va tellement me faire chier, que je finirais par fermer les yeux. Et un jour, on m’appellera et on me dira, « pouvez vous venir identifier le corps de monsieur griggs ? ». Je m’y attends déjà. J’fais dans le catastrophisme et alors ? Je me prépare à toutes les éventualités. Pour l’heure, mon estomac crie famine. Si si. Il geint. Il se tord. Il réclame du gras. « J’ai pas mon permis, mais tu me connais, j’ai déjà touché à tout » Je produis un petit clin d’oeil et je me recule d’un pas lorsque je te vois bouger pour relever ton petit cul musclé. Ma taille se fait capturer. Ma langue te charrie une énième fois, probablement pour obtenir un geste d’affection en retour, le truc pas logique du tout. Je tape pour qu’on m’embrasse moi. « À vos ordres, je ne toucherais plus vos parties intimes monsieur Griggs » Pour te le prouver, j’élève mes mains à hauteur de mon visage, prête à me faire menotter s’il le fallait. Mais pas de menottes pour cette fois, juste nos lèvres qui s’effleurent. Tu me laisses presque me casser la gueule vers l’avant, mon baiser restant à l’état de fantasme. Encore hypnotisée, je te regarde prendre de l’avance. J’enfile ma veste en retard et je récupère le seul casque en ta possession pour rejoindre ta bécane. « Prête » Deuxième fois que je vais chevaucher ta bête. Première fois que je vais surtout m’afficher avec toi, en tant que ‘petite-amie’ et non ‘sorcière’ à planquer. Installée sur la moto, j’enroule mes bras à ta taille et je me contente de la place de passagère. On ne crèvera pas ce soir, dommage. La vitesse emballe mon coeur. Je me cramponne toujours plus à toi, heurtant ton crâne de mon casque. Les sensations sont fortes, c’est ça que tu recherches en permanence ? Y a un tel décalage entre tes désirs et l’image que tu renvoies en société, j’comprends pas. Et puis en quelques minutes à peine, le grand M de Macdonald’s apparaît. Tu te gares et je sors de ton bolide pour retirer ma tête de sa coquille. « Ça va ? Pas trop honte d’aller bouffer un hamburger avec moi ? Je peux toujours garder le casque et me la jouer Daft Punk .. » Sauf que j’attirerais encore plus l’attention nan ? Et c’est pas vraiment pratique de bouffer avec une visière devant la bouche. « Je peux prendre ta main ? »  
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