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LASZBE + constellations of the things you left unsaid

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Je n’ai pas sommeil. La tisane n’a pas fonctionné. Je suis agitée. Je tourne en rond. J’agace mes deux chiens. Ils rouspètent, calés l’un contre l’autre dans leur panier. Moi aussi je veux ça, je veux être en boule contre celui pour qui j’ai érigé un mur tout autour de moi. Est-ce que lui le veut aussi ? Ah Laszlo, l’énigme du siècle. Un mystère australien. Un trésor bien fermé, une clé introuvable. J’y arrive pas. J’arrive pas à percer sa bulle et à me faufiler près de lui. Et aujourd’hui, Zoey m’a totalement déboussolée en revenant sur notre passé. Elle m’a aimé comme je l’ai aimé. Je n’en reviens pas. Si je lui avais transmis ma lettre, peut-être qu’on serait déjà marié. Ou alors c’était écrit ainsi, je ne devais pas la lui donner pour être ici, à cet endroit précis, sur le départ pour aller rejoindre cet homme. Ma destinée était peut-être auprès de lui, pour je ne sais combien temps. Ce qui me chagrine, c’est la perte de mon sourire, de mes grimaces, de mon énergie au quotidien. Je deviens de plus en plus pensive et inquiète. L’avenir me terrorise. Je chante plus à tue-tête dans mon tas de ferraille, je danse plus avec mon balai en pleine séance de ménage. J’suis éteinte, au point mort, pesant les pour et les contre pour que dalle. Je dois aller lui en parler, ça peut plus durer. J’dois me confier, lui expliquer d’où je viens, ce qui s’est passé aujourd’hui pour que j’en arrive à cet état qui ne me ressemble guère. Embrassant mes toutous, je chope mes clés pendues près de la porte et je disparais dans la nuit. Le moteur met une plombe à démarrer, mais me voilà sur la route. Musique en fond, un truc bien déprimant. J’allume une cigarette, la fenêtre grande ouverte. Le froid ne m’atteint même plus. J’suis ailleurs, dans mes pensées qui s’accrochent et se décrochent. Très vite, j’arrive en bas de chez toi. Je coupe tout, j’respire un bon coup et je sors de ma bagnole pour rejoindre ta porte. Je cogne trois fois, assez discrètement. Est-ce que ta coloc est ici ? J'sais pas, je m'en fous. J'ai besoin de tes bras, de ton odeur et de quelques mots. Sors moi quelques mots, sois pas radin encore. Putain. « Las’, je suis là, ouvre, la flemme de lancer un sort » Ouais, ouvre à ta petite-amie que t'oublies pour une autre. @Laszlo Griggs
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J'ai peur. Je le montre pas, je le garde pour moi, mais j'ai peur ouais. Je me sens... différent, pas dans mes baskets depuis tout ce changement dans ma vie. Je suis fort heureux d'avoir enfin trouvé une fille qui me correspond, mais fort malheureux d'avoir perdu la personne la plus importante de ma vie ; Zoey. J'sais pas comment j'en suis arrivé là en fait. Je suis partagé entre la tristesse, la culpabilité et le désir, la passion de vivre une histoire réelle avec quelqu'un de réel. J'ai saisi l'opportunité. Comment ne pas le faire ? Phoebe est tout ce que j'aime, sa folie, sa douceur, tout ce contraste à la fois. Je veux y croire, je veux vraiment. Mais peut-être qu'on va trop vite ? Qu'on a démarré maladroitement notre relation et qu'il faut remettre les pendules à l'heure. Et Zoey dans tout ça, j'ai envie qu'elle ait sa place aussi, son mot à dire, j'veux pas qu'elle s'efface juste pour mon soit-disant bonheur, car sans elle, je peux pas être un homme comblé. Bref, je suis tourmenté, et le fait que la blonde aux yeux noisettes me dise qu'elle est perdue aussi, ça me rassure. Ouaip, ça devrait me faire paniquer mais non. il faut qu'on discute. Un couple ça discute et promis, je vais essayer de répondre le plus sincèrement possible mais si je bloque, je bloque, je peux pas faire autrement. Phoebe enfin derrière la porte, je lui ouvre et je me décale pour la laisser passer. « hey. » que je lui dis. Je passe une main dans sa nuque en dégageant ses cheveux et je me penche pour déposer un chaste baiser sur ses lèvres. Puis je l'invite à poser sa tête contre mon épaule pour la serrer contre moi. « viens, il fait plus chaud dans ma chambre. » j'ai mis le chauffage à fond, il fait vraiment trop bon. Je reste debout, appuyé contre mon bureau et je l'observe, dans les moindres détails, y compris ses gestes. « tu es venue me dire que tu regrettes, que je suis pas à la hauteur c'est ça ? » merde, j'ai pensé tout haut. Trop haut même. Je sens un pincement, mon ventre qui se tord et je me mords la joue en baissant le regard. Au moins, être plus cash que ça, je peux pas. Je veux percer l'abcès, qu'on se dise les choses. Ouaip, c'est moi, Laszlo Griggs qui veut communiquer et je n'en ai foutre idée de comment faire.
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Nicotine à la con. Le stress n’est pas redescendu. Pourquoi je stress ? Je n’ai rien à me reprocher. Mon coeur battait trop vite pour Zoey, mais c’est de l’histoire ancienne. Ouais, je crois. C’est juste que sa confession m’a carrément déstabilisé cette après-midi. Une partie de mon passé s’est incrusté dans mon présent et ça ne va plus du tout. J’ai besoin d’en parler à l’homme que je convoite. À cet Australien cristallisé qui fait ressortir la dark Phoebe. Je veux être honnête avec lui, qui puisse lire en moi comme dans un livre ouvert. Le hic ? J’veux pas lui faire de mal. J’veux pas que l’onde de choc le renverse totalement. J’veux aussi qu’il me possède, qu’il marque son territoire sur moi, qu’il soit plus présent. Si on m’attache pas assez solidement, je perds patience et je m’envole. J’suis un électron libre de base, il faut me brider. Il faut qu’on m’entoure et qu’on me tienne fort. Bref, mes phalanges cognent enfin contre ta porte, l’heure est arrivée. La confrontation. Enfin non, je veux juste un câlin d’abord. Tu ouvres, j’entre et pour une fois, j’suis pas la plus démonstrative. C’est toi qui engages le rapprochement. Ta main masculine dans ma nuque, tes lèvres qui recouvrent les miennes. J’expire profondément et me cale tout contre toi pour prendre le chemin de ta chambre « Ok » Je te suis. Je n’ai ni chaud ni froid personnellement. J’suis peut-être morte, j’ressens plus rien. Je pénètre ensuite dans ta tanière et wow, ok, là c’est l’Amazonie. On se détache et je me réfugie à l’autre bout de la pièce, près de la fenêtre bien plus froide que le reste de la pièce. Et paf, explosion de l’abcès sans détour. Je passe ma main dans ma chevelure ébouriffée et mal peignée. « Ne raconte pas de conneries » Trop de distance entre nous. Je bouge mes fesses et je me plante devant toi, je jongle entre tes billes bleutées et je te smack. C’est furtif, pas suffisant. Je recommence, avec plus d’intensité, ton visage emprisonné entre mes mains. Je sépare ensuite nos lèvres tout lentement, mais je reste toute proche. « Tu comptes beaucoup pour moi tu sais. Je veux dire .. Je serais prête à beaucoup pour toi, mais j’ai l’impression qu’on est pas encore sur la même longueur d’onde » C’est con, mais j’ai encore en travers l’oubli de la nuit dernière. Est-ce que ça pourrait se reproduire ? J’suis pas assez intéressante pour que tu me zappes ? « Et il faut qu’on parle de ta meilleure amie »
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Je ne sais pas pourquoi mais je sens que ça pue. Ou alors, en fait, je sais exactement pourquoi ça pue. Mais je veux juste pas l'entendre. Merde, c'était si bien nous deux avant qu'on officialise tout, ou avant qu'on apprenne l'enroule avec Zoey. On était bien tous les deux, à se retrouver, et il a fallut qu'elle chamboule tout. Je pensais qu'on allait être heureux, vraiment, mais faut croire que je suis né pour tout faire foirer. Je suis comme ça, je suis un casse-tête chinois. Si j'étais trop facile à avoir, on me remarquerait même pas. Je mets moi-même une distance avec Phoebe dans la chambre pour parler mais elle se rapproche du bureau pour venir chercher quelques baisers. D'habitude ça me fait de l'effet. Là... je pense que ça me fait mal. Mais, le fameux "mais" qui sort de sa bouche et qui est fatidique. « c'est à dire ? » pas sur la même longueur d'ondes, wtf ? J'aime pas entendre ça, vraiment pas. Elle va me larguer, je suis sûr, je sens ces choses là et bordel, je ne sais pas comment je vais encaisser tout ça. J'ai perdu ma meilleure amie, c'est déjà un chagrin d'amitié douloureux, alors si je perds aussi la meuf pour qui je développe des sentiments, je vais sérieusement être au bout du rouleau. « mon ex-meilleure amie. » que je précise. Je lève les yeux au ciel, je la repousse un peu et je marche jusqu'à la fenêtre. J'ai sérieusement aucune envie de parler de Zoey, vraiment. « j'ai rien à dire sur elle. » je serre ma mâchoire. En vérité, j'ai tellement de choses. Mais balance Phoebe, parle de Zoey, ton ex plan cul ou je sais pas quoi, vu que tu tiens vraiment à ouvrir le sujet.
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C’est rare que je me sente aussi tourmentée, super rare. J’suis toujours la fille de bonne humeur. Celle qui ricane trop fort et qui fustige ceux qui la dévisagent. Ce soir, j’suis l’ombre de moi-même. En proie aux doutes. En quête de réconfort. J’ai besoin que tu tapes du poing sur la table. Que tu réagisses à ce qui va être dit. Plus de passivité Laszlo. Sois mon homme, écrase tout. Dis moi que j’ai tort, qu’on est exactement sur la même longueur d’onde. Non, tu ne piges pas. T’es un satellite, un satellite perché extrêmement loin de la planète Phoebe Rowan. Soupirant longuement, j’attrape tes mains entre nos corps et je laisse un peu de temps. C’est pas du suspens. Je veux pas te faire flipper bébé. Je cherche mes mots pour expliquer un ressenti, c’est chaud. « On dirait que nous, que notre histoire à nous te passe au-dessus de la tête, que c'est un .. hobby. » Je m’exprime mal, j’ai jamais fait ça moi. J’ai jamais été dans une relation à laquelle j’y croyais déjà avant qu’elle ne commence. Ouais, c’est fou et alors ? Tu m’as plu à l’instant où je t’ai vu. J’suis tombée folle amoureuse de ta chevelure ondulée de l’époque, celle qui frisait au bord du Mississippi. J’rêvais de ton sourire carnassier et de ton torse nu que tu exhibais après le sport. J’ai toujours eu un faible pour Laszlo Griggs, le gars pas doué que personne comprend. Comme j’ai toujours eu un faible pour Zoey Callahan, l'écorchée vive. Elle m’a montré Salem et elle m’a découvrir une partie de ma personnalité que j’ignorais. Donc .. Étant donné que vous êtes aussi liés, je crois qu’on doit en parler. Oh non, fuis pas encore. « Ne dis pas ça, rien n’a changé. Votre amitié est toujours là. » Je me retourne, suivant ta silhouette qui s'éloigne de la mienne. Un crève-coeur j’vous jure. « Si tu n’as rien à dire sur elle, moi oui. » Je passe ma main sur mon front fiévreux et je tire ta chaise de ton bureau pour m’y asseoir. J’ai plus de force dans les jambes, la tétanie. Tétanie des muscles et de l’esprit. Allons-y, plus vite j’aurais tout vomi, plus vite je me sentirais légère « On a été amoureuse toutes les deux, à Salem. Je croyais que j’étais la seule dans l’histoire, mais tout à l’heure, elle m’a confié qu’elle ressentait aussi des choses pour moi. Du coup, si aujourd’hui elle est aussi distante, j’pense que c’est à cause de tout ça.. De notre histoire. Je suis perdue moi. J’sais plus quoi faire pour vous rendre tous les deux heureux »
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L'atmosphère elle pue, c'est un parfait que je n'aime pas et ça me donne envie de me défoncer je vous jure. Mon rail de coke m'attend, je peux pas rester clean dans une situation pareille. Elle veut mes bras, mon corps... comment peut-elle me vouloir alors qu'elle me lâche clairement que je m'en bas les couilles de nous deux ? Sérieusement. Je suis... putain fucking choqué et je sens mon pouls s'accélérer dans ma chaire. « mais... qu'est-ce que je fais de mal putain ? » tu te rends compte que c'est hyper vexant ce que tu dis ? Non, tu t'en fiches, ça se voit, tu balances tes paroles déjà toutes préparées, et moi, je m'en prends plein la gueule. Alors je sépare la distance entre nous. Je regarde par la fenêtre, il pleut des cordes.Je tente de relativiser, de me dire que ce n'est pas dramatique, j'ai qu'à juste... changer, je sais pas ? Mais on peut pas changer quelqu'un. Je ne veux pas changer pour une fille après deux semaines de relation. Et là, Phoebe, elle me chie bien dessus. Je voulais pas entendre ça. Pourquoi est-ce qu'elle se sent obligée de me dire ça ? Zoey lui a déclaré sa flemme ? Quelle... putain, je la déteste. Elle a pas le droit, c'est pas son genre de bitcher comme ça dans mon dos alors que je suis enfin heureux avec une gonzesse. Je sais pas si c'est la jalousie ou j'en sais rien mais qu'elle reste bien à sa place. J'ai été gentil, vraiment gentil, c'est même elle qui a insisté un grand nombre de fois pour me pousser dans les bras de la sorcière. Et maintenant, elle me fout se couteau dans le dos ? Là, je rage. Et je rigole, ironiquement. « vraiment ? elle ressent des choses pour toi ? soudainement ? laisse-moi rire, elle est folle in love de son violeur à la con ! » je parle mal, je m'énerve, mais c'est la stricte vérité. Elle veut juste Phoebe car c'est la seule personne sur cette putain de terre qui lui fait croire qu'elle est désirable. Je pivote vers la blonde et je la regarde, totalement dégoûté. « qu'est-ce que tu attends en fait ? vas la rejoindre, j'ai compris. me prends pas pour un con plus longtemps phoebe, je déteste ça. » je veux de l'honnêteté, même si ça fait mal. « en fait, tu t'imagines que le problème c'est moi, t'aimes me torturer et me lâcher "on est pas pareil laszlo" alors qu'en réalité, tu veux juste trouver le moyen "qui passe crème" pour me larguer et pour aller brouter son minou ! » j'hurle, je claque violemment la porte de ma chambre. Je m'énerve, je suis blessé, ultra blessé. Je cherche dans le salon après ma coke, les mains tremblantes, les yeux rouges mais aucune larme ne sort.
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Est-ce que j’y suis allée trop fort ? Bordel Laszlo ! J’suis pas ici pour tout remettre en question. J’suis ici pour une mise-à-jour. Une toute petite. Pas besoin de redémarrer le système. C’est minime. T’en vas pas si loin. C’est moi. Juste moi. J’vais pas te mordre. « Laisse tomber, c’est moi qui ai tout fait de travers » Et ouais, c’est beau d’accuser le type qui en pince pour moi alors que c’est moi qui suis au coeur de la tourmente. Quelle connasse. T’as rien fait de mal. Rien du tout. J’suis juste paumée. Je suis dans une situation qui me dépasse. J’parle aux fleurs normalement, pas aux êtres humains. Au final, on est pas si différent que ça. Deux handicapés sociaux. Installée sur ton siège à roulettes, je te regarde de loin et je décide de cracher le morceau. Le con, il m’empêchait tellement de respirer, il me faisait suffoquer. Le voilà expulsé et tu .. Rigoles ? Le ton monte. J’agrippe plus fermement les accoudoirs du fauteuil, mon coeur palpitant à fond dans ma poitrine. Violeur ? J’ai raté un épisode ? « Quoi ? Euh .. C’est pas soudain, ça date bébé » Incompréhension totale. Tu fais ensuite volte-face et c’est plus le même masque que j’affronte désormais. Laszlo est passé du côté obscur de la force. Son regard est noir. Le bleu est parti. C’est plus mon amoureux tout fougueux, c’est un mec diabolique. « Non je .. » J’arrive pas à en placer une. Tu coupes, m’interceptes et m’parles avec une vulgarité qui m’écoeure. Décide pas à ma place. Ne me pousse pas dans ses bras, c’est quoi ton problème ? Tout devient violent là. Ta voix, tes gestes. Tu te casses de la chambre en claquant la porte. Ma tête entre alors dans mes épaules, simple réflexe. Une, deux, trois secondes. Je laisse mes oreilles s’acclimater au silence. J’observe la chambre, ta chambre. Je me relève et puis je souris. Je souris en regardant ton petit monde à toi, celui dans lequel je voudrais tant entrer. C’est quand que tu me donneras l’invitation ? Est-ce que c’est encore possible ? Seule manière de le savoir, te rejoindre. Je sors alors de cette pièce et je longe le couloir pour te retrouver en plein salon, complètement possédé et agité. « Hey ! Qu’est-ce que tu fous ? » Tu cherches un poignard pour me buter ? Tu cherches .. Ta cocaïne ? C’est elle ta meilleure amie ? Ta femme ? Ta chérie ? Furieuse, je me rapproche de toi et tire sur ton poignet pour te forcer à te retourner. J’encadre ton visage entre mes mains et je le serre. Je le serre fort, je plante mes yeux dans les tiens et l’émotion monte. Les larmes se bousculent et brouillent ma vision « C’est moi le problème Las’. Je suis désolée de te torturer. Je .. » Putain, c’est dur. Ma gorge se noue. Tous les muscles qui la composent se rétractent. Mes cordes vocales se bloquent les pétasses. « Je t’ai choisi. Je n’ai pas cédé. Je veux voir où notre histoire peut aller. Je veux pas que tu te drogues à cause de moi, je te jure, je veux pas » Les sanglots éclatent. Mes mains se retirent de tes joues et s'attachent à ta nuque. Je me blottis ensuite contre toi, mon nez humide se nichant dans ton cou « Fais pas ça, je t’en supplie. Je te veux et je .. je suis en train de tomber amoureuse de toi, encore » Ouais, c'est pas la première fois, je récidive.
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Elle me prend la tête et je déteste ça. C'était ce qu'on s'était dit 'pas de prise de tête' et regarde, y'a une dispute toutes les trente secondes depuis qu'on s'appartient tous les deux. Alors c'est quoi le soucis ? C'est Zoey ? C'est moi ? C'est toi ? Parce qu'un soucis, il y a en a bien un. J'essaye de décoder ce qu'elle me dit mais je suis totalement pris au dépourvu. J'me demande ce que j'ai fait de travers. Ok si c'est la fois où je suis pas venue chez elle sans prévenir, d'accord. Mais elle m'en voudrait à mort rien que pour ça ? Non, il doit y avoir autre chose. Et moi, je veux plus entendre ça. Je veux plus jamais entendre que Zoey a des sentiments pour elle et que ça torture ma Phoebe, la mienne. Je veux plus jamais entendre que je peux la perdre. Non, pas ça... je dis des choses qui dépasse ma pensée. En aucun cas je souhaite qu'elle s'en aille pour la rejoindre. Mais si elle aussi ressent des choses pour elle, alors je ne sais pas trop comment je peux la retenir. Je fuis. J'ai honte de m'être énervé comme ça et j'ai juste envie de m'enfiler tout mon paquet de coke qu'il me reste. Putain, je suis trop émotif comme type en fait. C'est contradictoire quand on sait que je cause pas beaucoup sur ce que je ressens. Phoebe débarque hors de ma chambre et m'attrape le bras, puis plaque ses deux mains sur mon visage. Ses griffes me font grimacer légèrement. Attends, elle... pleure ? Je fronce les sourcils, je veux pas me faire attendrir par ses larmes. Je suis toujours fâché wesh. C'est trop facile de m'avoir par les sentiments comme ça. Est-ce que j'ai touché un point sensible ? Je déglutis et les traits de mon visage se détendent un peu. Ses doigts s'attaquent ensuite à ma nuque et je la laisse se serrer contre moi, à chaudes larmes. Je suis moi-même ému. J'essaye de garder cette fierté surtout que je me sens honteux de m'être emporté comme ça, et être pris en flag à deux doigts de me droguer. Elle me veut, elle... tombe amoureuse de moi, encore. Je cligne plusieurs fois des yeux et je décale ma tête pour regarder la sienne. Son visage rouge par les larmes. Fuck, ça me fait mal, et ça me fait chaud partout qu'elle dise ça. « t'es... t'es sûre ? comment tu peux le savoir ? » si je rêve, surement. Je me pince les lèvres et je porte aussi mes mains au niveau de ses oreilles pour soutenir son crâne. « ne me dis plus ça phoebe, je veux plus jamais entendre que zoey a des sentiments pour toi... c'est... ça me rend fou. » comme tu le vois. « ne me fais plus non plus des frayeurs pareilles, moi après je me sens mal, je psychote et j'ai envie de péter les plombs. » je frotte mes pouces sous ses yeux pour essuyer le mascara qui coule sur ses joues. « et je t'en supplie, réfléchis bien car je veux pas être ton hésitation, je veux pas vivre dans l'angoisse de te perdre à tout moment car zoey aura réussi à t'éloigner de moi. » ouaip, rien que d'y penser, ça me rend ouf. Mais faut que je la pose cette question, il le faut. « est-ce que tu l'aimes ? » droit dans les yeux. Aucune trahison, aucun mensonge ne pourra m'échapper. Alors dis-moi, brise-moi le coeur s'il faut et surtout, ne me dis pas un truc du genre, c'est toi que j'aime le plus blabla. Non, sois sincère envers moi.
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J’suis pour la paix dans le monde moi. J’fuis les conflits comme la peste. Les voix qui s’élèvent, je les évite. Ça me ramène aux disputes de mes parents, dans un passé que je fuyais entre les tombes. Combien de temps j’ai erré dans les cimetières de la Nouvelle-Orléans pour esquiver ce type de comportement ? Aujourd’hui, j’y ai droit. J’suis à l’origine d'une guerre. La porte claque. Mon sang se glace. Mes poumons se vident de leur air. J’sais pas comment te rattraper, comment te faire entendre le malaise qui grappille de la place en moi. Je voudrais que tout soit plus simple, crois-moi. L’estomac noué, peu fière de moi, je sors de ta chambre pour te retrouver. Je crois que j’arrive à t’arrêter avant que tu foutes la main sur ta coke. Mon coeur va exploser. À chaque fois qu’on s’embrouillera, tu sauteras sur ta poudre ? C’est ça ton fonctionnement ? Frustration = drogue ? Et si la dispute part vraiment loin ? Et si tu en arrives à .. l’overdose ? Bordel. Tu peux pas. Tu peux plus t’emporter ainsi. J’suis là, pense au vide infini que tu créerais en moi en disparaissant. Je chuterais sans toucher de fond. J’aurais un vertige permanent à gérer. Tu t’en rends même pas compte. Je craque. J’implose. Les larmes suintent sur mon visage rosi. Je te dis tout ce qu’il se passe en moi. C’était trop lourd à porter jusque-là. « Parce que je pense à toi 24h/24, 7j/7. Tu m’obsèdes. Quand je .. je pense au pire, je me dis que je pourrais plus m’en remettre » T’attrapes mon visage et je déglutis péniblement en t’écoutant. Je hoche difficilement ma bouille entre tes mains. Je peux pas essuyer mes yeux embués, mais il semblerait que tu puisses lire dans mes pensées puisque tu le fais à ma place. Voilà pour que je le sais, pourquoi je sais que je suis en train de tomber pour toi. C’est dans ces petits moments si cons que je te sens réceptif à moi. Wow, tu débites beaucoup de choses, j’ai dû mal à enregistrer et stocker l’info. « Je l’ai aimé, te dire que je l’aime au présent, je peux pas. » Le temps efface les sentiments et les fait renaître. Si on avait continué de se fréquenter, peut-être que je ne tiendrais pas le même discours à ce jour. J’en sais rien. Ce qui compte c’est que je sois chez toi et pas chez elle non ? « Tu m’as fait peur. Tu m’as rappelé de mauvais souvenirs en disjonctant. » Je cille pas. Je ne cligne pas des yeux ouais. Je laisse mes paupières bien ouvertes, laissant les larmes couler sur mes joues. Regarde dans quel état tu me fous. « Tu crois que je n’ai pas aussi cette angoisse ? Cette angoisse que tu trouves une fille plus séduisante, moins chiante, moins tordue que moi ? Tu crois pas que je m’en fais quand je n’ai plus de nouvelles de toi ? Tes craintes sont partagées, sache-le » Décrochant ensuite tes doigts de mon visage, je me recule d’un pas minuscule en croisant mes bras sur ma poitrine « Je veux juste qu’on soit que tous les deux.. Que tu viennes squatter chez moi tous les jours pour bouffer mes cookies et que tu m’aides à déblayer le bordel au fond de mon jardin.. Je veux qu’on aille se balader dans la forêt, cueillir des champignons ou des trèfles, j’sais pas. J’veux passer tout mon temps avec toi. C’est ça que je veux. »  
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Elle dit tomber amoureuse de moi... omg, c'est quoi l'amour ? J'ai tellement la frousse. Je sais ce que c'est et j'en ai tellement souffert, ça fait seulement deux mois que je m'en suis remis de cette rupture qu'il date d'il y a deux ans. Est-ce que je suis prêt à revivre ça ? il semblerait oui. Phoebe fait battre mon coeur chaque jour un peu plus vite. Elle rend mes rêves plus paisibles et plus chauds aussi. Ma consommation sur des sites de boule a diminuée. Bah quoi ? Je vous parle des effets qu'elle a sur ma vie, ça en a, moi, le vieil obsédé du cul. Elle me donne plus confiance en moi, me valorise, me donne envie de croquer la vie à pleines dents. Donc oui, je pense que je suis prêt, et ça va commencer par faire des efforts pour me confier. Je veux pas qu'elle pleure. Je chasse ses larmes comme je peux et je déglutis en posant mon front contre le sien. Bonjour le torticolis. Je suis un diplodocus, c'est l'histoire de ma vie. « j'ai envie de tomber amoureux de toi aussi. » je souris tendrement. T'entends Phoebe ? EST-CE QUE TU M'ENTENDS EH OH. Okay, pardon. Non mais je viens de lui ouvrir mon coeur là, quasi. Alors qu'elle ne me dise pas qu'on est pas sur la même longueur d'ondes ou je fais un infar. « pardon. » je la regarde et je caresse son visage. Je voulais pas lui faire peur, ce n'était pas mon but, loin de l'être. Je suis le genre de mec très calme, trop zen parfois, mais dès qu'on le pique, dès qu'on le titille là où ça fait mal, j'explose comme hulk, et encore, le mot est gentil. Je fais une petite moue, c'est vrai, je réfléchis pas mais je peux aussi lui apporter des craintes... La blonde se détache de mon corps et me regarde assez sévèrement. Ou pas. Elle me donne toutes les réclamations, tout ce qu'elle aimerait et j'en prends bien note dans ma tête. « alors passons tout notre temps ensemble. » je me permets de prendre ses bras pour les décroiser et je les porte jusqu'à mes épaules, en me faufilant dans ses bras. « je demande que ça... j'avais envie de te voir très souvent mais j'avais peur que ça t'étouffe. » je pose mes propres mains dans le creux de ses reins. « si ça te permet d'être moins oppressante avec moi, j'accepte. » je la taquine bien sûr, bien que ce soit vrai. J'ai pas l'habitude qu'on me demande autant d'attention, autant de si, autant de ça, je pense que c'est important qu'elle le sache. « tu sais, ça fait longtemps que je n'ai plus quelqu'un alors je suis désolé si j'ai du mal encore avec toute cette attention que je dois te donner, je suis encore perdu, mais je vais y travailler. » sincèrement, promesse du petit doigt. Je ne veux plus jamais avoir une discussion pareille alors je vais faire en sorte que ça n'arrive plus.
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