we are dead stars (michelle)

il se sentait horrible de lui faire vivre ça. il se sentait affreux de l’obliger a le regarder mourir. ça allait la dérailler pour le restant de ses jours, et Romeo ne sera même pas pour s’excuser d’avoir été un crétin. il pense sincèrement mourir. ce soir. car il ne sent plus ses bras, ni ses jambes, que ses larmes coulent sans qu’il puisse sincèrement s’en rendre compte et que ses mots son si bas qu’il se demande si il parle vraiment, ou si c’est la voix intérieur de son crâne qui cogne avec ardeur. il n’en sait rien, il ne sait plus vraiment. et Numa hurler à s’en déployer la gorge, les bras tremblant et le pour rapide. il peut encore sentir son toucher. ses mains froide et fraiche qui vienne toucher sa peau brulante. il a l’impression qu’elle vient de coller un steack froid sur sa joue, parce que sa peau est brulante, ou parce qu’au contraire, elle été geler. cette sensation été horrible, et il ne voulait plus la ressentir. il ne voulait plus rien ressentir. quand elle se redresse avec difficulté, il aimerais lui dire de rester. rester avec lui. durant les dernières minutes qui le retenaient sur terre, il aimerais ne pas les passer seule. mais elle est persuadée de pouvoir le sauver, et c’est cette énergie immense, cette flamme ardente qui brule en elle. la flamme de la dernière volonté. merci, Numa. il l’a dit à voix haute ? non, il en pas capable. sa bouche devient sèche, et il entend encore le cris de douleur de la demoiselle dans sa tête. l’eau avait arrêter de couler, mes des gouttelettes débordants de la baignoire glisser avec fracas jusqu’au sol. surtout, ne t’endors pas. c’est si dur, si dur de ne pas lâcher prise. si il en a là c’est parce qu’il l’a choisi, parce qu’il n’est bon à rien, qu’il est bien pour personne. cette fois-ci, il sent les larmes tremper son visage, il sent son corps trembler à l’idée de quitter ce monde. t’es débile. oui, tu l’es. et un silence règne soudainement. comme si plus aucun bruit ne peux passer la porte de cette salle de bain. ses yeux se ferme et sa tête tombe lentement, il s’endort. il va partir. Numa t’es où, Numa sauve moi.
la porte claque et elle est de nouveau là, il ne la regarde pas mais sent son odeur et sa présence. « Je suis encore vivant. » il articule avec difficulté, mais il articule quand même. « Numa… Dit à mon avocat de te mettre dans mon testament. » t’es pas drôle, mais tu rigoles pas. Donner lui toute la richesse des Chamberlain, elle ne sera jamais équivalente à la richesse qu’elle puisse dans son coeur.

Et la douleur avait cesser de lui faire du mal. il pensait intimement que c’était fini, que c’était la fin du chemin. il été dégoutter et triste, mais l’envie de vivre été tellement forte que ça le maintenait en vie. ses mains étaient beaucoup trop lourde pour qu’il les maintiennes en évidence, sa tête aussi d’ailleurs. ses yeux avaient du mal a rester ouvert, pousser par cette envie soudaine de dormir, dormir pour toujours. mais il a forcer son âme à s’attacher à son corps, suppliant le grand barbue de lui redonner une deuxième chance, offrant son corps et son âme contre une nouvelle partie et promettant de ne plus jamais jouer avec le fil ridicule qu’était sa vie. il jure, il jure de ne plus jamais être aussi lâche, plus jamais être stupide, ne plus jamais penser que la mort est une solution à porter de main. et il y crois, il y crois aussi fort que les larmes saler et brulante qui couler le long de sa joue. tout été si chaud, de ses veines à sa poitrine, brulante comme les flammes de l’enfer qui été à deux doigt de l’emporter. mais la porte claque de nouveau, et Numa est là aussi. Sa voix criarde hurlant sur Romeo, lui donne l’impression d’être de nouveau primaire. quand la maitresse veux lui dire gentiment qu’il fait n’importe quoi mais que le ton hausse étrangement. ses doigts viennent presser avec férocité les poignets du jeune homme. il peut sentir sa présence, son soutient, son regard perçant qui arrive à se faufiler sous sa chair et sous ses muscles pour hurler à son âme qu’il est débile. ils sont tout les deux debout dans un décors blanc, propre et froid et elle lui murmure de rester, puis lui hurle de ne plus jamais partir.
cette fille qui lui a sauver la vie, qu’il connais à peine, à qui il doit son existence entière.