LASZBE + she wore the moonlight like lingerie

Ce qu'elle me fait, la façon de me toucher, de me mordre, de m'embrasser, c'est plutôt excitant, voir très excitant. Si quelqu'un nous surprend comme ça, Phoebe quasiment sous mon pull et moi en train de kiffer, ça peut être mal interpréter. Mon corps brûle, mon sang devient de la lave et ma peau crame comme un vampire en plein soleil. Ma poitrine bat fort, partout dans mon corps, de ma gorge à ma tête et aussi dan mon slip. Je respire fort quand elle pose ses lèvres au niveau de mon nombril et j'ai ce putain de déclic qui me revient à la réalité. Ouais, je pense que j'aurais bien aimé qu'elle continue dans sa lancée, mais on est quand même pas à l'abris et je suis pas sûr d'être à l'aise de faire ça ici. Je suis un petit saint nitouche moi, fin, si ce mot existe. Alors je l'embrasse à pleine bouche, ce genre de baiser que je donne quand je suis super excité, comme si j'étais en elle là tout de suite sauf que non, des tissus séparent nos bassins. Damn. Lorsqu'on reprend notre souffle, Phoebe me dit qu'elle va rentrer, mais elle me donne la cachette secrète de la clé. Je passe une mèche de ses cheveux derrière son oreille puis je décolle mon front du sien. « je serai là, promis. rentre bien. » je m'éloigne en la visant de mon index l'air de dire 'je te surveille fais attention à toi'. Et je retourne à la soirée, des papillons pleins le ventre, des envies pleins la tête et un sourire heureux qui veut pas s'effacer de ma tronche. (...) 1h du matin, j'ai pris beaucoup de temps à ranger, à papoter avec les autres, à recevoir des remerciements. Je suis une loque. Mais j'attends ce moment depuis que Phoebe est partie dans sa voiture. Je suis tellement pressé de la voir. Un truc de fou. J'arrive chez elle, je trouve la clé et je me retrouve dans ce manoir sombre et effrayant. J'hésite à crier son prénom pour lui faire remarquer ma présence. Mais si elle dort... oui parce que ça fait bien 4h qu'on s'est quitté, elle s'est surement dit que j'allais pas venir, comme un gros bâtard. Pourtant, je l'ai promis. Je fais le tour des pièces à mon aise, je croise même ses chiens puis après 10 minutes à me perdre dans ce labyrinthe, je trouve sa chambre. Enfin je crois. Je vois quelqu'un étendu dans un grand lit, en plein sommeil, ou alors elle fait semblant. Je me pince les lèvres, j'hésite à m'en aller. Non Laszlo, t'es là, tu restes. Alors j'enlève mes chaussures et je viens me glisser dans le lit près d'elle. Je me sens... bien.

Je te veux, genre vraiment. J’pourrais l’faire ici, j’pourrais m’envoyer en l’air sur mon capot, un coup de bite et ça repart, mais non. Je ne veux pas avoir ma première fois avec Griggs sur ma coccinelle au milieu de nulle part, le cul gelé. Alors tu fais bien de freiner et de me tempérer. Certes, ton baiser m’évoque l’envie de continuer, mais je sens ma conscience qui tire la sonnette d’alarme. J’bats en retraite. J’vais rentrer sagement. J’vais patienter sous mes draps. J’vais fantasmer le moment où tu rentreras chez moi et où tu me surprendras. Wouh, j’ai chaud. Et ça fait mal quand tu t’éloignes putain. « À toute à l’heure ouais, ne bois pas trop » Tu me fais sourire comme une potiche. Je tortille mes cheveux autour de mes doigts, te regardant disparaître vers ta petite fête. Damn, décolle tes rétines Rowan, file, il va capter que tu es en chien, enfin, en chienne. En manque quoi, j’suis frustrée comme pas possible. (…) Voiture garée, j’rentre enfin chez moi. J’me prends une bière, j’câline mes toutous et j’grimpe à l’étage. J’glisse sous la douche, des images de Laszlo plein la tête. M’toucher ou pas ? Non. J’vais patienter, on sait jamais. Lavée -mais pas de mes péchés-, j’enfile une petite robe de nuit et j’me faufile sous ma couette. Mon regard se braque ensuite sur mon réveil. Les minutes s’égrènent et ton odeur n’est toujours pas là. Mes paupières s’alourdissent. La journée était longue pour moi, la soirée longue pour toi. J’comprends, t’as dû oublier ou rentrer, mort de fatigue. Alors j’sombre dans un semi-coma. Je somnole, m’inventant de multiples scénarios auprès de toi. Et finalement, après je ne sais combien de temps à rêvasser, j’sors brusquement de ma léthargie. J’sais pas, c’est mon corps, il a capté une intrusion. Et ouais, j’me suis pas trompée. Rouvrant tout doucement mes yeux, j’distingue ton visage tout près du mien. J’souris, silencieusement. T’es venu. Ou j’rêve ? « Lasz’.. Bébé.. » BÉBÉ ? Et c’est quoi cette voix enrouée ? J’ai bouffé un chat ou quoi. Mes doigts sortent lentement de mes draps et se posent tendrement sur ta joue « Je faisais l’amour à Morphée.. » T'étais où ? Il est quelle heure là ? J'suis perdue, désorientée, j'ai Alzheimer maybe.

L'ambiance est totalement différente dans cette chambre avec elle, loin de tous ces bruits parasites de la fête, sans ce froid, sans la fumée de cigarette, juste, elle et moi dans son lit. J'en pouvais plus, m'étendre et poser ma tête sur un oreiller me procurait tellement de bien. Et Phoebe, juste à côté de moi, qui émerge et qui pose ses doigts fins sur mon visage. Je ferme un instant les yeux, ça me fait tellement du bien. D'être 'attendu', d'être important ? Ouais, un mélange de tout ça. « ah tu m'appelles déjà bébé ? » que je souffle en souriant. Appelle-moi comme tu veux tant que je suis le seul qui compte à tes yeux... c'est le cas ? ou pas ? Après tout, elle aussi ne se livre pas tellement. Je pense que... si elle voit quelqu'un d'autre sans me le dire, je vais être totalement déçu, et ça va me pincer le coeur. Je suis quelqu'un qui s'attache très vite aux gens même si de base, je ne suis pas très sociable. C'est ça en fait, je m'interdis de laisser les gens m'approcher par peur de m'attacher et perdre le tout par la suite. Est-ce que je vais te perdre moi Phoebe ? L'idée me fait froid dans le dos. Je glisse mes mains dans le creux de ses reins pour la coller contre moi et j'étire un petit sourire. désolé, je suis gelé. Mes doigts jouent avec ce tissu si soyeux qu'elle porte. « ça a l'air vachement sexy ce que tu portes. » je ne le vois pas, la couverture cache son corps, mais je peux deviner la dentelle. Mes doigts remontent le bout de sa robe jusqu'à son ventre et j'ose descendre ensuite jusqu'à son fessier. « désolé, j'ai froid les mains, je cherche un peu de chaleur. » mes lèvres se plantent dans son cou pour goûter une énième fois son parfum hypnotique et mes doigts pressent ses fesses, ses belles formes. « tu aimes ? » je reprends sa propre réplique de tout à l'heure. Maintenant c'est moi qui la chauffe. Je peux lui montrer que je ne suis pas si chiant que ça.

phoebe elle n’est jamais rejoint en pleine nuit par qui que ce soit, à part par ses chiens effrayés. phoebe elle vire tous ses coups d’un soir aussi vite qu’elle a jouit. t’es un privilégié, tu ne peux pas t’imaginer. je me réveille avec ta face collée à la mienne. j’épouse ton visage de mes doigts, un surnom affectif fuyant de mon inconscient. « j’croyais que t’étais un autre, excuse » je te tire la langue et je me rapproche de ton corps tout habillé sous mes draps. tes doigts gelés parcourent mon dos et se rapprochent dangereusement de mes fesses. et oui, ça glisse bien, l’avantage de la soie. c’est toi qui es sexy ! c’est quoi cette voix, cette aisance pour me tripoter et m’attiser là ? « où tu vas comme ça.. » je parle de tes mains, de tes mains qui soulèvent ma robe et qui trouvent bien trop facilement le chemin jusqu’à mon postérieur rebondi. t’es congelé, j’frissonne. j’ai la chair de poule. mes tétons qui pointent. « dis plutôt que mon cul est un radiateur » oh god, finis les conneries, tes lèvres plongent dans mon cou. je déplie mes jambes sous la couette. je pivote un peu de profil et j’dépose une de mes cuisses sur ton bassin, tes mains pétrissant toujours plus fermement mes demies-lunes. est-ce que j’aime ? c’est toi que.. j’ai.. what ? « j’aime beaucoup monsieur griggs » tu veux pas devenir mon christian grey par hasard ? ok, on a du chemin à faire. c’pas gentil phoebe. laszlo il est débutant et il fait ça bien. dans sa tête, j’sais qu’il est souvent un gamin de huit ans, mais son corps, son corps c’est bien celui d’un mec de vingt trois piges. t’as tout ce qu’il faut. j’suis peut-être déjà accro sans le savoir. je colle alors mon nez sur ton torse et j’inspire bruyamment ton odeur. « laisse moi me shooter, tais-toi » mes mains se resserrent sur ton col et je frotte mon entrejambe sur ton jean si rêche. ouais, j’entre en transe, je m’éveille. ma somnolence est bien loin. je me redresse tout contre toi. je remonte mes lèvres à ton menton recherchant désespérément à t'embrasser. rah, baisse ta frimousse steplait, donne moi ta bouche « t’es venu pour me vendre du rêve c’est ça ? » ou tu vas uniquement me chauffer et jouer au marchand de sable ensuite.. non, j'veux pas que tu verses du sable sur mes yeux pour m'endormir.. « mes fesses sont apparement à la bonne taille, tu veux essayer mes seins ? »

Laissez-moi redécouvrir attentivement le corps d'une femme, ton corps... surtout le tiens qui est très alléchant, appétissant, généreux. Ah des belles filles je n'en ai pas eues dans mon lit. Saphir, elle avait limite le corps d'une enfant et Barbie, elle n'a jamais été dans mon pieu, elle voulait du rapide, alors je l'ai prise sur la table de la cuisine. Mais Phoebe, dans son lit bien chaud, avec cette nue si légère, ça me fait totalement craquer. Vu qu'elle a tripoté mon torse et mon ventre plus tôt dans la soirée, moi je me permets de toucher son fessier oui. Lisse, doux, un cul de bébé. Et je me plais à toucher ses formes tandis que j'embrasse son cou, qu'elle bouge son bassin et qu'elle encercle ma hanche de sa jambe. Je souris quand elle renifle mon t-shirt et ça me fait des frissons. Fuck, pourquoi je suis chatouilleux comme ça ? Je m'amuse à lui tendre mon cou ou mon menton quand elle essaye de m'embrasser. Elle se retrouve quasiment sur moi et j'aime cette vue. J'aime la voir assise sur mon bassin, la voir se grandir, tandis que je me sens tout petit étendu sur le dos. « je vois pas de quoi tu parles, je suis venu chez toi, c'est tout. » que je dis amusé. Elle m'invite carrément à toucher ses seins et mon coeur en loupe un battement. Sérieux je peux ? Je. vais. tomber. dans. les. pommes. « ouais, je veux. » je me redresse en position assise, Phoebe sur mes genoux, et je viens timidement retirer chaque bretelle de sa robe de nuit pour y découvrir un sein à la fois. Okay, là je louche, des seins, des vrais boobs, juste devant mon pif. J'ai envie de plonger dedans. « t'es belle. » soufflai-je d'un air rêveur alors que mes doigts viennent jouer avec ses tétons déjà durs. Oh puré comme ça m'excite tout à coup. Je me sens beaucoup trop à l'étroit dans mon pantalon, ça chauffe. Pourquoi je suis habillée au juste ? J'aurais dû me faufiler nu ! Enfin non, là je pense qu'elle aurait réellement pris peur. Je lève mon regard pour fixer ses yeux bleus. « vraiment belle. » allez une déclaration en plus que pour toi beauté divine. Je plaque mes mains dans son dos, dessinant sa colonne vertébrale et je dépose mes lèvres sur sa cage thoracique, à l'intersection de ses seins. Puis je me permets de faire glisser mes lèvres et le bout de ma langue sur son téton, jouant avec, gentiment. Ma main poigne dans son autre boob, je mets plus d'énergie pour embrasser sa peau, je m'étonne moi-même de ce que je fais mais ça lui plait et moi aussi. J'attrape sa nuque et je viens trouver ses lèvres, ses délicieuses lèvres que j'adore embrasser et je me perds dans toute cette fougue, je me mets même à bouger mes hanches contre ses cuisses.

Je veux croquer ta pomme d’Adam. Je veux te croquer tout court. J’suis aimantée. Je me retrouve carrément sur toi, t’écrasant sous mon corps. J’suis sûrement trop lourde, j’suis pas une brindille qu’on voit sur les podiums moi. « Tu es venu chez moi réchauffer tes mains sur mes fesses, c’est trop mignon » Et t’en fais pas, j’embarque dans ce rêve avec grand plaisir. Je suis trop généreuse comme fille, alors je te propose ensuite de pomper la chaleur de mes seins, mais sur le ton de la plaisanterie, sauf que toi, t’es premier degré. Tu te redresses alors sur ma tête de lit et je te chevauche plus fièrement, ne quittant pas tes prunelles qui brillent dans l’obscurité. T’es si sérieux, que je le deviens à mon tour. J’ai l’impression d’être un objet rare que tu découvres pour la toute première fois. J’ai l’habitude de me foutre à poil, mais là, c’est carrément différent. J’me sens intimidée quand mes seins font leur apparition. « Ne fais pas ça.. » Ne touche pas mes seins. Tu me fais quoi ? Je peux me laisser aller ? Je soupire. Tes doigts qui s’aventurent sur mes pointes gonflées. Ma nuque se plie et ma tête bascule en arrière sous la vague brûlante qui m’irradie. « C’est pas vrai » répondis-je en re-connectant nos pupilles. J’suis pas belle, j’suis basique. Pourtant, dans tes yeux, j’vois que de l’admiration, un peu de convoitise et beaucoup de désir. Tes gestes se poursuivent. Tes mains circulent dans mon dos. Mon bassin danse sur le tien, trouvant rapidement ta bosse qui s’amplifie. Tu m’as menti. T’as pas eu deux petites expériences sexuelles, c’est pas possible, t’es bien trop à l’aise avec mon corps. J’sais plus quoi faire. Où je mets mes bras ? J’suis une grosse victime. Je me laisse faire, dévorer, titiller. Mes seins sont pris d’assaut. Je remonte mes mains sur mes cuisses, froissant ma petite robe de nuit autour de ma taille. « Mytho » murmurais-je avant que tu ne retrouves mes lèvres, t’échauffant un peu plus sous moi. C’est affolant. Toutes ces sensations, la puissance de leur déferlement. Je retire ma nuisette inutile et je la jette sur le sol. J’tire sur tes bras, décollant ton dos de ma tête de lit et je me débarrasse de ton pull. Ces muscles, bouche bée. Je les reluque avec gourmandise, croquant dans ma lèvre inférieure, éblouie par tant de beauté. Mes ongles descendent et remontent plusieurs fois sur ton torse. J’ralentis l’excitation, je la canalise, la fait perdurer un peu plus. « Tu t’es cru en mission commando ou quoi ? T’aurais pu te déshabiller avant d’entrer dans mon lit » J’ricane doucement et je me plaque enfin contre toi. Ma poitrine s’aplatit sur la tienne. Ma bouche soyeuse effleure ton cou et remonte à ton oreille. Avec sensualité, je soulève ton lobe du bout de ma langue et je le pince entre mes lèvres, sans mes dents qui restent en retrait. Je comprime à peine et j’embrasse ta tempe, je descends sur ta joue, sur ta bouche. J’me perds. J’veux tout tester, en même temps, mais j’peux pas. J’suis déjà frustrée. Finalement, je me redresse, j’faufile mes doigts à l’arrière de ton crâne et j’emporte ta tête entre mes seins. Ton souffle chaud s’étale sur le flanc de mes boobs. Je nous attire encore plus l’un contre l’autre, nos colonnes parallèles, nos intimités criant l’une contre l’autre « Je te veux en moi, à prendre ou à laisser » Ouais, Phoebe c'est un jeu-télévisé limite.

Quoi ? Elle m'a invité à toucher ses seins, second degré ou pas, moi je blague pas là-dessus, je viens généreusement les frôler, les découvrir. Avec mes doigts, avec ma bouche. Et Phoebe, même si elle me dit de ne pas le faire, je le fais. J'aurais été un homme frustré de m'arrêter face à tant de délice. Laisse-moi toucher les seins d'une fille pour de vrai stp, j'oublie à quel point c'est bandant. D'ailleurs, je sens mon érection gonfler peu à peu alors qu'elle se dandine contre moi, qu'elle balaie ses cheveux en arrière, qu'elle me déshabille, m'embrasse, me mord le lobe de l'oreille, et j'en passe... j'ai la tête dans les étoiles, et l'instant d'après, la tête dans ses seins. Wowow, je m'échappe, ça devient plutôt chaud là. Je tremble, je vibre, mon coeur n'a jamais battu aussi vite. « je voulais que tu le fasses. » que je murmure contre ses lèvres avant de sourire. Ouais, déshabille-moi Phoebe, découvre mon corps toi aussi. Je l'attrape par la taille et je dévore ses lèvres, je laisse ma langue découvrir la sienne et god putain ce qu'elle embrasse bien. Si elle a une langue comme ça, j'ose pas imaginer ce qu'elle peut faire avec ! Puis tout à coup, quand la température tremble un peu plus, elle me donne le feu vert que j'attendais pas spécialement. Ou disons si, mais le feu vert redoutable qui me faisait froid dans le dos. Je relève le regard de sa poitrine gonflée et je la fixe, la respiration haletante. Elle me veut en moi, genre mon pénis en elle. Elle veut ce que tous les hommes font fièrement. Le job d'un homme envers une femme limite. Et moi, moi qui suis un looser... elle va se moquer encore et je vais encore me faire passer pour un puceau de service. J'aimais bien qu'on se caresse, qu'on se touche comme ça, pourquoi est-ce qu'elle en veut plus ? Je cligne des yeux, hésitant, et j'accepte, car si je refuse, c'est inconsciemment la repousser de moi, alors qu'elle me veut, qu'elle me désire, je devrais plutôt être content. Je prends une inspiration et je bouge la tête positivement. « si tu le veux vraiment alors oui. » je la repousse sur le côté pour que je puisse me déshabiller. Je retire tout même mon boxer histoire d'être complètement nu, et ne pas rester coincé avec son slip qui ne sert à rien.

est-ce que c’est vraiment en train d’arriver ? nous deux ? pour de vrai ? pincez-moi, j’rêve. la prophétie se réalise. laszbe devient réel. je veux que ce soit mémorable. je veux que tu effaces tous les mecs qui me sont passé dessus, parce que c’était toi qui devais être mon tout premier. et si tu devenais le .. dernier ? wow. je vais me calmer. de toute manière j’ai ta langue dans ma bouche et bordel, je te roule cette pelle avec une passion que je n’ai jamais encore éprouvé. j’harponne nos bouches, les sépare et les harponne plusieurs fois. ça chauffe, encore et encore plus. c’est mercure ici. une seule main serrant tes joues, je te fauche un dernier baiser et tiens, je te donne l’autorisation pour y aller, parce que j’crois que c’est ça que tu veux non ? je me trompe ? tu paniques là ? j’veux que tu te sentes bien moi, pas de pression, tu fais comme tu sens, j’suis phoebe rowan, je t’abandonnerais jamais, remember. « comme tu veux toi, je suis prête et j’ai envie de toi » chuchotais-je avant que tu ne me jettes sur le côté. hey, j’suis pas une poupée gonflable wesh. t’as de la chance, ça me fait rire. j’suis décomplexée moi.

(Invité)