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ROXUM ► des cocottes en papier, des éclats de rire

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"La petiote est au lit." je murmure en revenant dans le salon avant de m'allonger sur le divan, la tête reposant mollement sur ma main, mes pieds se glissant sous ce qui tenait lieu de couverture à Callum, un vieux plaid crevé. Deux semaines qu'il est ici ? Un peu moins ? Un peu plus ? Et déjà tout dans la maison s'était imprégnée de sa présence. Il flottait ce petit parfum d'insouciance, ce parfum insolent qui gommait mes cernes, estompait la fatigue, me faisait rajeunir. Tout dans cet appart avait senti Callum entrer dans nos vies. A commencer par ce vieux plaid crevé qui trônait sur le divan. Et puis l'oreiller dont s'échappait les plumes d'oies. "Promis, ce weekend on passe t'acheter une couverture décente." je lui dis en riant. Une meilleure amie un brin envahissante, une tension sexuelle au sein de la colloc, une envie d'indépendance. J'ai jamais vraiment saisi pourquoi Callum avait déposé ses baggages chez moi. J'avais pas vraiment besoin de comprendre, pour moi c'était tout vu : la maison lui était grande ouverte. Jane était sur un petit nuage, venant toujours le réveiller la première, au petit matin alors qu'il ronflait encore sur le canapé dans un gazouillis heureux. Et puis, de mon côté, évidemment que j'étais ravie. Je jette un coup d'oeil vers la pendule, accrochée devant la cuisine. Il est déjà vingt-deux heures. Jane avait été couchée tard. D'ordinaire, nous discutions un peu dans la soirée, après dîner, puis nous faisions notre petite toilette chacun de notre côté et venait le moment du coucher. Ce moment toujours davantage repoussé, par lui ou par moi. "Je... Tu veux récupérer ton lit ?" Je lui demande un brin inquiète de monopoliser le sofa. Après tout, il veut peut-être se coucher, la vie ici n'est pas de tout repos.

@Callum Fraser face -j'espère que ça te va, je savais pas trop comment le commencer, j'ai réécrit plusieurs fois mais ça convenait jamais ROXUM ► des cocottes en papier, des éclats de rire 1881463262-
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Assis sur le tapis du salon, adossé contre le canapé sur lequel tu dormais depuis une bonne grosse semaine, tu termines un combat sur ton jeu Harry Potter lorsque Roxanne revient sans un bruit. Jane est couchée, la soirée est à vous. Promis, ce weekend on passe t'acheter une couverture décente. Tu tournes la tête pour sourire à Roxanne avant d’hausser les épaules. J’l’aime bien ce vieux chiffon. réponds-tu avant de revenir à ton téléphone et continuer à jouer. A la fin de ton combat, tu quittes l’application et verrouilles ton téléphone qui plonge le salon dans un paisible silence. Il n’y avait que Roxanne, allongée dans ce canapé, et toi, assis par terre à fixer la télé inlassablement éteinte. Je... Tu veux récupérer ton lit ? Un instant avant que ta réponse ne résonne dans le salon. Non, mais j’veux un verre de vin. dis-tu en te levant pour aller récupérer une bouteille de rouge que t’avais acheté avant de rentrer. Tu la montre fièrement à Roxanne, tout souriant. J’attendais que Jane soit couchée pour la sortir. Tu vas à la cuisine pour prendre deux jolis verres à pieds. J’ai aussi pris du saucisson, j’en avais envie ! Et comme je sais que t’en manges pas, ça m’a donné encore plus envie d’en prendre pour en avoir plus ! dis-tu tout fier de toi, dans l’encadrement de la porte pour voir Roxanne. Et tu retournes dans la cuisine, attrapes tout le nécessaire et revient au salon. Mais je t’ai pris du fromage. Oui, elle pouvait le dire que c’était toi le meilleur ! Tu poses tout sur la table, débouchonnes la bouteille et rempli les deux verres du breuvage rouge. Tu en donnes un à Roxanne et t’installes sur le bout du sofa, faisant attention de ne pas écraser les petits petons de la Dunster avec ton derrière. Santé. dis-tu en tendant ton verre vers la jolie blonde, un sourire à tomber sur les lèvres.
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"Non, mais j’veux un verre de vin." Un verre de vin ? Callum se lève, fouille dans un sac de courses posé près de l'entrée puis revient, triomphant, une bouteille en main. "J’attendais que Jane soit couchée pour la sortir." Le sourire penaud que j'affiche pour faire bonne figure s'estompe alors qu'il va chercher des verres à la cuisine. Un mois que je suis sobre. Mais je suis coincée : je peux décidément pas lui refuser ce verre, il a l'air tellement heureux et puis l'attention est délicieuse. Et lui avouer mes petits soucis avec l'alcool me semble encore pire. Oh après tout, si ce n'est qu'un verre, ça ne compte pas : j'arrive à me contrôler maintenant. J'arbore un sourire plus authentique alors qu'il glisse sa tête dans l'encadrement de la porte. Il rayonne, tout fier de son coup : "J’ai aussi pris du saucisson, j’en avais envie ! Et comme je sais que t’en manges pas, ça m’a donné encore plus envie d’en prendre pour en avoir plus !" Oh et puis si je m'autorisais un verre, je m'autoriserais bien une lamelle de saucisson ? Rien qu'une seule. Il revient enfin au salon, les mains prises par un plateau où trônent deux verres à pied, le saucisson, du fromage et la fameuse bouteille. Il faut dire que ça fait envie. "Du fromage, du saucisson, du vin ? Où sont les cuisses de grenouilles ?" J'avais jamais mis les pieds à Paris, ni en France d'ailleurs. Je voyais ça probablement comme toutes les nanas du monde qui n'ont jamais mis le pied à Paris, comme la ville de l'amour, seule ville où le camembert est sexy et les bérets mignons. Callum me sert du vin, tout sourire. Je scrute le fond de mon verre, est-ce que j'y trouverais le courage de lui apprendre mes petits soucis avec la bouteille ? Sûrement pas, je ravale mes doutes et lui adresse un grand sourire, faisant tinter mon verre contre le sien. "Santé." Je prends une gorgée bien timide, descends mon verre près de mes jambes, repliées sur elles-même, cachées sous le plaid. Et mes lèvres s'étirent de nouveau pour dévoiler toutes mes dents. "Alors dis moi, qu'est-ce qu'on fête ?" je glisse, les yeux pétillants.

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Du fromage, du saucisson, du vin ? Où sont les cuisses de grenouilles ? Tu lui souris en t’installant sur le coin du canapé, t’attachant à remplir et découper tout ce bon petit plateau. Sur les grenouilles, dans l’étang ! réponds-tu en une légère grimace. T’avais jamais vraiment apprécié ce met si français et pourtant, t’en avais vu passer dans ton assiette de ces petits machins là. Mais rien à faire, ça ne t’attirait définitivement pas. Pas autant qu’un bon pot de nutella, en tout cas ! Bide à sucre que t’es. Vos verres tintent l’un contre l’autre et tes lèvres viennent gouter ce vin qu’on t’a vendu comme un vin délicieux. Alors dis moi, qu'est-ce qu'on fête ? Tu fais tournoyer le liquide dans ton verre ballon en le montrant à Roxanne. Absolument rien. réponds-tu avec le même sourire qu’elle. Et c’est ça qui était agréable : rien à fêter, juste le plaisir d’ouvrir une bonne bouteille de vin en charmante compagnie. De temps en temps, ça ne faisait pas de mal, non ?

La soirée suit son cours. L’assiette de saucisson et de fromage est vide. La bouteille de vin, tout autant. Vous riez, discutez de tout et de rien. Tu veux que cette soirée ne s’arrête jamais et pourtant le bâillement de Roxanne, contagieux, sonne comme un signal. Vous êtes fatigués, il est tard. Mademoiselle Bates, je pense qu’il est l’heure de rejoindre votre lit ! Tu pouffes de rire, t’en as un petit coup dans le nez. Roxanne se lève, tu t’étales sur le sofa et la regarde. Tu ne l’as pas quitté des yeux de la soirée, Roxanne. Tu faisais tout pour l’entendre rire, Roxanne. Laisse ! Je rangerais ça demain. dis-tu alors qu’elle commence à débarrasser les restes de votre petite soirée improvisée. Bonne nuit, Roxanne. murmures-tu finalement, comme un regret, en t’installant plus confortablement dans le sofa.

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J'ai bu. Ma tête se fait lourde, j'ai l'oeil qui brille, le rire facile. Et puis surtout, l'alcool semble avoir inhibé toute retenue. J'ai l'impression de dévorer Callum du regard, son moindre sourire, son moindre geste. Je dois avoir l'air d'une psychopathe, un truc terrifiant. Enfin, jusqu'à ce que mes paupières s'alourdissent. Je baille et peut-être que je n'aurais pas dû, c'est le signal qui précipite la fin de cette petite soirée à deux. "Mademoiselle Bates, je pense qu’il est l’heure de rejoindre votre lit !" Je secoue la tête comme une petite fille, refusant d'abord de décoller mes fesses du sofa alors qu'il pouffe de rire. Je souris, à le voir s'étendre sur le sofa, les yeux brillants. Je m'étrangle moi-même avec un petit rire ridicule, le genre de rire bourré. Ouais, il a raison, il se fait tard. Je me lève lentement du canapé. J'ai l'impression qu'il me hurle de rester ce pépère. J'entreprends de ranger un peu, histoire que Jane tombe pas sur la bouteille vide mais Callum m'en dissuade. Je hoche de la tête : "Oui, t'as sûrement raison, demain." Faut dire que j'aurais bien du mal à ranger tout ça, je titube un brin, j'ai le regard flou. Puis mon esprit est tout embrûmé, il n'y a qu'une chose qu'il distingue très clairement : le portrait d'un rouquin, un sourire qui dévoile toutes ces dents, un oeil qui crache des étoiles. Je glisse hors de la pièce, et dans l'embrasure je l'entends qui murmure : "Bonne nuit, Roxanne." Mon coeur fait un bond, mes joues se colorent d'un rose tendre, mais il n'en sait rien, j'ai disparu dans le couloir qui mène à ma chambre. Un couloir qui semble diablement long pour ce tout petit appart. Un couloir qui m'emmène loin de lui et de son plaid crevé. Je retire mollement mon pantalon, enlève mon soutien-gorge sous mon tee-shirt et me glisse sous les draps, faisant glisser mes jambes nues sous la couette. J'ai froid. Diablement froid. J'aimerais l'appeler, depuis le salon, et lui dire de venir se glisser tout près, sous la couette, juste pour me tenir chaud. "Viens, viens." Mon murmure s'étouffe dans le creux de mon oreiller. Viens Callum, viens. Et mon esprit embrûmé refuse de s'endormir. Viens, viens. Ces mots qui rebondissent dans mon crâne, comme un écho. Viens, s'il-te-plaît, lâche ton plaid crevé et viens me tenir chaud.

@Callum Fraser
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Et là voilà qui s’éclipse à l’autre bout du couloir. Dans le silence du salon, tu entends la porte de sa chambre se rabattre pour finalement se fermer. Comme tous les soirs depuis deux semaines. Tu te redresses pour t’assoir sur le canapé et passes tes mains sur ton visage dans un long soupir. Fatigue ? Regret ? Ennuie ? Tu te mordilles la lèvre avant d’aller dans la cuisine pour boire un grand verre d’eau. Il fallait que tu te remettes les idées en place avant que tu fasses n’importe quoi et gâche tout. T’en mourrais d’envie, pourtant. Tu crevais d’envie d’ouvrir cette porte, te jeter sur elle et lui montrer combien elle était devenue importante pour toi. Mais comme un con qui n’avait pas envie d’être rejeté et de perdre plus qu’il n’avait à en gagner, tu retournes dans le canapé après t’être débarrassé de tes vêtements et tentes de trouver le sommeil en écoutant le tic tac de la vielle pendule suspendue contre le mur.  

Les minutes passent, les heures aussi. Tu peines à trouver le sommeil, l’alcool aurait pourtant dû aider. Mais tu réfléchis trop, ton esprit est ailleurs. Dans le lit de Roxanne, en fait. Roxanne qui doit dormir à point fermé à n’en point douter. Et puis tu craques. Tu te lèves et marches à petits pas de loup dans le couloir pour t’arrêter devant la porte de la chambre de Roxanne. Une seconde, deux et puis trois. Il s’en passe quatorze au total avant que tu n’ouvres la porte, le cœur battant à tout rompre, en faisant le moins de bruit possible. Tu la refermes derrière toi et ne bouge plus. Comme tu l’avais imaginé, Roxanne était endormie, sa longue et calme respiration en témoignant. Le vieux parquet grince sous tes pas lorsque tu t’approches du lit dans lequel tu te glisses doucement pour ne pas réveiller la Dunster. Et pourtant, la réveiller, c’est tout ce que tu souhaites ! Tu te colles contre elle, sur le côté. Ta tête contre sa nuque, ta main sur le tissu recouvrant sa taille et tout ton corps qui se détend tout d’un coup. Là, t’es bien putain.

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Callum ne vient pas. Je tente d'échapper à la fatigue pour vivre encore l'ivresse de la soirée, enroulée dans ma couette, mais mes paupières se font lourdes et l'alcool, narcotique, me traîne malgré moi jusqu'au sommeil. Un sommeil vide : chaque rêve éclate dans ma tête comme une bulle de champagne, pas de cauchemars non plus. C'est peut-être ça que j'ai recherché à une époque, le sommeil vide. Je dors donc, mais toujours sur le qui-vive. Un truc que j'ai chopé avec la maternité. Au moindre bruit, mes sens sont à l'affût, redoutant que Jane soit réveillée, qu'elle ait besoin de quelque chose ou qu'il lui soit arrivé malheur. Et pourtant, alors que je dors, je ne l'entends pas qui se glisse jusque dans ma chambre, je n'entends pas la porte grincer, ni les planches du parquet qui craquent alors qu'il s'approche du lit. Dans mon sommeil engourdi par l'alcool, je ne perçois que ma respiration, calme et profonde. Et puis d'un coup, la chaleur se glisse sous mes draps froids. Son corps se pose contre mon dos et je sens son souffle chaud dans ma nuque. On est tellement proches. Je n'ose plus bouger, je me fige. Combien de temps ? Dix minutes ou bien une heure ? Et puis doucement, je fais remonter ma main le long de la couette et la pose sur la sienne. Elle est toute froide sa main. Je l'agrippe. Une sacrée poigne alors que je suis à moitié-endormie. Et puis doucement, je l'emporte avec moi, sa main toute froide, je viens la glisser sous la couette et puis je la fais remonter sur mon torse, sur mon tee-shirt en coton. Mon ventre se tord, mes seins frémissent alors que j'amène sa main près de mon coeur. Est-ce qu'il peut le sentir battre à tout rompre ? Moi, je n'entends plus que lui, bondissant dans ma poitrine, près à en surgir et à engloutir cette main posée contre mon buste. Et puis là encore, je me fige alors que son bras m'entoure à présent. Je sens mon corps de mes orteils qui vont se lover sous son pieds à ma nuque qui frissonne au contact de son souffle brûlant. La nuit semble s'étendre, une heure peut-être passe dans ce silence chaud et serein ? Puis je le sens bouger, peut-être qu'il ne bouge même pas, que ce n'est qu'un effet de mon imagination. Mais à sentir ce mouvement imperceptible dans mon dos, mon coeur s'emballe, je me sens blêmir. Non, non, bouge pas, je veux pas que tu t'en ailles. "Pars pas." je glisse dans un murmure, rompant ce silence intime. Et puis j'agrippe sa main et tourne légèrement ma tête sur l'oreiller. Son souffle chaud sur ma nuque remonte sur mes joues alors qu'elle pivote vers lui. Mes yeux ont du mal à se faire à l'obscurité, je ne distingue presque rien de son visage. Je lui fais face maintenant, je tends mes jambes pour qu'elles se glissent contre les siennes. Et dans la pénombre, je souris.
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Réveille-toi. Retourne-toi. Réveille-toi. Retourne-toi. Ces mots qui se répètent inlassablement dans ta tête tandis que ses cheveux chatouillent ton visage. Mais elle ne bouge pas, profondément endormie. Tes yeux se ferment malgré toute la volonté que tu mets pour les garder ouverts. Tu sens le sommeil avoir raison de toi et t’entrainer vers Morphée. Et puis, tu ne saurais pas dire combien de temps il s’est écoulé, sa main attrape la sienne pour la porter là, tout près de son cœur. Au creux de sa poitrine. Ses petits pieds qui s’entremêlent aux tiens. Et là, lovés l’un contre l’autre, la nuit reprend son cours. Est-ce que son cœur qui bat, là, tout contre ta main, c’est le signal ? Tu réfléchis, encore. Quand apprendras-tu à agir et arrêter de réfléchir ? Les minutes s’égrainent à une vitesse phénoménale. Tu te redresses légèrement pour voir la lueur rouge du réveil posé sur la petite table de chevet. Il est trois heures du matin passé. Pars pas. entends-tu dans un murmure alors que tu te rallongeais contre elle. Elle pivote lentement vers toi et toi, tu resserres ton étreinte. Jamais tu ne partiras, jamais. T’étais bien trop épris de la demoiselle, si seulement elle savait. D’accord. réponds-tu en distinguant ses deux jolis yeux endormis, son petit nez en trompette et son sourire à renverser un cœur même à trois heures du matin ! Son visage est si prêt que tu sens sa respiration tout contre ta peau. Tu n’aurais qu’à pencher un peu la tête pour… Rox’. Et tes lèvres qui viennent capturer les siennes dans une douceur qu’on ne te connaissais pas. Un baiser volé, un baiser que t’attendait depuis des jours et des jours. Ton front qui se heurte au sien, et un soupir de satisfaction qui s’échappe d’entre tes lèvres.
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Je sens son bras qui ressert son étreinte. "D'accord." Mes iris sont distendues, fouillant la nuit pour accrocher son regard. Ses yeux qui sont si près, je sens presque ses cils caresser mon front. "Rox'" Avec une tendresse infinie, les lèvres de Callum se posent sur les miennes. Un baiser nuage. Et puis un petit souffle s'échappe de ses lèvres et vient chatouiller mes narines. Je laisse échapper un petit rire, un rire de plaisir, de bonheur, un rire tout émoustillé comme une fillette qui vit son premier baiser. Je glisse ma main hors de la couette et viens caresser tout doucement son visage, chatouillant sa joue. "Tu peux m'embrasser encore ?" C'est un drôle de truc à dire, ça. Dans les films, le mec et la nana, trop plein d'un amour qui déborde on même pas le temps de se demander un bisou. Ils écrasent leurs lèvres l'une contre l'autre, sans respirer, sans se regarder. Moi je veux te regarder, même dans la pénombre où j'ai du mal à distinguer les traits de ton visage. Et je veux que tu m'embrasses encore, décolle pas tes lèvres trop vite surtout.
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Elle rit. Elle rit ! Mais elle se moque de toi ou quoi ? Tu souris, incapable de faire autre chose lorsque tu l’entends rire, mais si doucement au milieu de la nuit. Et puis, son rire s’arrête et sa main se pose sur ta joue. Tu devines un million d’étoiles briller dans ses yeux lorsqu’elle te demande Tu peux m'embrasser encore ? Un sourire amusé s’étire sur tes lèvres alors que ton nez vient frôler le sien. Vos désirs sont des ordres, mademoiselle Bates. réponds-tu en posant à nouveau tes lèvres contre les siennes, les picorant de milles et un baisers tout doux. Et puis un long baiser, celui dont on rêve qu’il ne s’arrête jamais. Celui qui vous tient en haleine jusqu’à ce que le souffle manque. Ta main glisse le long de sa hanche, pressant son corps contre le tient. Ta respiration s’accélère, sait-elle l’effet qu’elle te fait ? Là. Le sent-elle ? Toute trace de sommeil s’est envolée, tu serais bien incapable de dormir maintenant. Oh, Roxanne.
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