(owen) It's incredible, it's you ?

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{ "it's incredible, it's you ?" }
crédit/tumblr ✰ w/ @owen murray

Situation de merde, on ne peut pas revenir en arrière… genre ? Maintenant. J’ai envie de revenir en arrière, ne pas le croiser, ne pas respirer le même air que lui, ne plus me souvenir. J’ai fait un choix, complètement idiot si on regarde d’un point de vu extérieur, mais j’ai fait ce choix. Alors merde. Je veux pas en reparler, je passer à autre chose, je veux partir là. Il est parti, loin devant, me laissant en plan et ça je l’accepte. C’est normal, c’est la réalité de ce monde, c’est pas ça… Ce n’est pas revenir en arrière. Mais il est là et il me dit clairement qu’il m’en veut. Discussion 2.0 et clairement ce ne sera pas du tout à mon avantage. ça ne l’a jamais été de toute manière. Je tente de garder la tête hors de l’eau… Je n’y arrive pas, je me noie doucement, et lorsqu’il me parle, je me sens vraiment mal… Je peux disparaitre, pouf ? Nous nous connaissions à peine, une relation basée sur une attirance n’aurait pas été aussi importante, je n’étais pas… Tu idéalises ce que j’étais pour toi, je n’ai pas été ta muse, tu… Il… Et d’un seul coup j’étais en colère, pourquoi ? Pourquoi ne m’avait-il pas dit tout cela par le passé ? Pourquoi l’avoir gardé pour toi ? Je fronçais les yeux en disant cela… Je n’étais en colère, j’aurai aimé être au courant, j’aurai aimé savoir tout cela, un peu plus tôt que maintenant après tout ce temps. je me souvenais encore de ses mains sur ma peau, de cette sensation enivrante. vivifiante. Je le regardais alors, c’est terminé… terminé oui, non bien sur… Je grognais légèrement, d’exaspération, cette histoire l’était, encore plus cette discussion. Que voulait-il entendre ? Que je ne l’aimais pas, que j’étais une salope sans coeur, profitant de lui pour apaiser la peine de coeur qu’Edward avait provoqué. J’aurai pu lui dire cela, mais ce serait mentir. Et je ne voulais pas lui mentir. Il a été le premier. ça n’explique pas tout, mais en revenant s’excuser j’ai pensé… que notre amour, l’amour avec un grand A que je me représentais était toujours là. Tu… Je relevais la tête vers lui, croisant son regard. Il avait été ma bouffée d’oxygène, il m’avait fait vivre, lorsque je m’étais perdue, j’avais vécu plus en si peu de temps… Nous étions trop fougueux, ça n’allait pas durer, il allait trouvé une autre femme, bien mieux que je ne l’étais. J’ai pensé que tu trouverais la bonne personne, celle qui te convenait, tu méritais mieux que la pauvre fille brisée que j’étais. tu as réparé mon coeur, Je ne voulais pas regretter de ne pas lui avoir donné une seconde chance. Mes excuses ne convenaient pas, c’était idiot, mais franchement, je n’avais pas d’autres arguments surtout quand je le voyais, si proche et si loin en même temps…

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It's incredible it's you

Owen & @Andréa Abberline

Il est bon de se fier quelquefois à la destinée ; il lui arrive dans ses bons jours de nous aider sans que nous lui aidions nous-mêmes.

Je ne comprends plus. Ses propos sont… ils ne veulent rien dire, ils sont faux, complétement faux. Elle se cherche des excuses. Je l’idéalisais ? Notre relation était seulement basée sur l’attirance ? Je l’avais gardé pour moi ? Mon dieu mais que des conneries. Je fronçais les sourcils, l’écoutant parler et s’expliquer clairement sur ce qu’elle pensait de tout ce qu’on avait vécu et ça m’étonnait beaucoup. Je ne pensais pas qu’elle avait vu tout cela de cet œil-là. Mais soit. J’avais dû être le seul à trouver notre relation plus qu’une simple amourette. Cette « amourette » m’avait fait décoller du sol, elle m’avait transporté, inspiré. Ca avait été un sentiment nouveau pour moi et c’est peut être ce qui me différenciait d’Andréa. Elle, elle l’avait connu ce sentiment. Peut être que l’intensité de mon amour n’était pas à la hauteur de celle qu’Andréa avait éprouvé à mon égard. « Alors pour toi notre relation était seulement basée sur quelque chose de purement charnel ? Parce que ce n’est pas comme ça que je le voyais. » Je m’approchais d’elle, les yeux noirs, les sourcils froncés. « Je n’ai jamais gardé pour moi que je t’aimais comme un fou. Ce serait mentir. Mais peut être que pour toi ce n’était que des paroles en l’air. Mais je te le faisais clairement comprendre. » Je respire un bon coup tandis que je la vois s’énerver. « Même si je ne te connaissais pas depuis longtemps, pour moi, c’est comme si je t’avais comprise dès le premier regard. » Mais j’avais dû être seul à ressentir cela. Je ferme les yeux car je trouve que l’on va trop loin face à ce que je m’attendais initialement. Nous voilà déjà en train de nous prendre la tête alors que cela faisait seulement une petite demi-heure que nous nous étions revus. Elle se sous estimais et cela me rendait fou. Je n'acceptais pas qu'elle prenne les choses ainsi. « Tu serais heureuse et soulagée si je rencontrais cette femme, Andy ? » Je voulais savoir. Il était peut être temps de tourner la page. Elle, elle l'avait fait en tout cas et même si j'avais du mal à l'admettre, ça me brisait en milles morceaux.

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