A. NOLHAN CALLOWAY ► eddie redmayne

C'est le 23 décembre 1986 à londres, que les membres de la famille calloway m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) alexander, mais alex pour les intimes. Je suis libre et à ta disposition et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuel et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale moyenne. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de histoire et géographie depuis sept années ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Winthrop House ou les Dunster House.

lorsqu'il boit du café, il est tout excité. Méconnaissable, c'est une vraie pile électrique. La caféine n'est donc pas bon pour lui, car il est de nature calme, posée et tranquille. ▲ c'est un grand passionné d'histoire, en particulier de la période médiéval. C'est aussi un pianiste d'exception. Il a eu pour professeur, le meilleur, c'est-à-dire son père.▲ alex est un homme convoité, car c'est un homme bien élevé, charmant, à l'écoute, sauf qu'il n'est pas très doué avec la gente féminine. Ou plutôt, qu'il préfère avoir la tête dans les bouquins que d'aller draguer. Car jouer de ses charmes, il sait y faire en bon british qu'il est. Il n'en a juste pas envie. Sans doute lassé de l'évolution de certaines demoiselles dans la débauche et l'exhibition. ▲ depuis peu, il fume. Il a toujours été un garçon sage, brillant, poli; Pas de soirées alcoolisées, de drogues, (...). Mais avec l'âge, on évolue. Et l'envie d'essayer la cigarette lui vint soudainement. Il n'est pas pour autant accro à la nicotine. Tout comme sa façon de s'exprimer. Il a toujours ce petit accent et un langage assez soutenu en présence de personnes importantes ou de jolies filles, mais avec ses potes, il se la joue relax et se laisse aller à un langage plutôt familier, voir vulgaire.▲ c'est un jeune homme sociable et apprécié, mais il aime par moment s'isoler dans ses bouquins. C'est une façon de s'évader. ▲ malgré son intelligence et sa rigueur au travail, Alex a hérité du sens de l'humour façon british. C'est-à-dire, de merde. Il aime rire, déconner et faire des blagues absolument pas drôles. Souvent s'en suit des blancs ou des silences gênants, mais au final par sa maladresse, il réussit à faire rire. ▲ il utilise sa culture et ce qu'il a dans sa tête pour draguer. Un petit poème ou quelques citations bien placées. Mais pour attirer son attention, il faut en valoir la peine. Le genre mini jupe, décolleté et à sauter sur tout ce qui bouge, ce n'est pas son genre. Il préfère les filles intéressantes et qui savent aligner deux mots.▲ malgré qu'il fasse propre sur lui et bien sur tous rapport, alex est fan du rock anglais. Il lui arrive donc de se lâcher en privé sur du bon son et de faire péter la baraque. Il a l'âme d'un rockeur en lui. ▲ il a grandi dans un milieu simple, cadré, sauf qu'il a toujours voulu avoir une moto. Il voulait être comme les légendes du rock qu'il admirait en cachette. Du coup il a profité de sa majorité pour s'offrir une belle bécane. Certains trouvent que cela ne lui ressemble pas, mais ceux qui le connaissent bien, savent que c'est tout à faire son genre. Il roule donc en moto, mais évite de se la péter avec, ce n'est pas son genre la frime.

▲Un soir alors que je pensais danser avec une charmante demoiselle, j'ai senti une bosse se former dans son entre-jambe. VDM

Les Mathers organisent une soirée arrosée, t'y vas, t'hésites ?

J'hésite. J'aime de temps en temps sortir pour me vider la tête des cours, mais je ne suis pas un gros fêtard. Je ne suis jamais très à l'aise lorsqu'il y a un tas de monde beuglant des grossièretés avec une bière à la main et les fesses d'une minette dans l'autre. Dans ce cas, je préfère rester au calme à regarder une bonne série, telle que merlin et cela avec une petite bière.

Les Quincy ont planifié un voyage humanitaire, participeras-tu ? Ou qu'en penses-tu ?

C'est une excellente idée. Je ne peux m'empêcher d'aider mon prochain, donc si je peux me rendre utile dans un tel projet, je saute sur l'occasion pour y participer.

Les Lowells ont annoncé un talent show, auditionneras-tu ? Si oui, pour quoi faire ?

Peut-être, je suis bon pianiste. Mais je suis aussi quelqu'un de modeste, donc ce genre de décision demande de la réflexion.

Une Cabot t'approche, elle est belle et très gentille... Parfaite, quoi ! (Pour les garçons) Comment tu la trouves ? (Pour les filles) Voudrais-tu lui ressembler ou tu t'associes déjà à elle ?

Elle a beau être belle et gentille, si elle n'a rien dans le ciboulot, qu'elle passe son chemin

Les Winthrops font une enchère tous les ans. (Pour les garçons) Aimerais-tu un jour y participer ? (Pour les filles) Serais-tu du genre à acheter un homme afin qu'il soit à ton service ?

Si c'est pour la bonne cause, why not ?

Tu vois un Eliot arriver en Ferrari, lunettes de soleil et fringues de marque, tu en penses quoi ?

Je m'en fous. Je débarque bien en moto et blouson de cuir (...)

Une série de conférences de 3h sur la littérature anglaise à l'époque Victorienne est organisée à Harvard par les étudiants de la Dunster House tous les soirs pendant une semaine. Serais-tu du genre à y aller ?

Absolument. Je suis une sorte d'accro aux cours et une occasion de renflouer mes connaissances, c'est l'idéal pour moi.

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle julie et j'ai dix-neuf y.o. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à bazzart. Forum magnifique alors j'ai décidé de m'inscrire. Question intégration, j'aurais besoin d'aide. J'utilise eddie redmayne comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par tumblr. Je fais environ une demi-page word (quand j'ai la flemme) par RP et mon personnage est un scénario.

Mot de la fin ? ▲ Ajout libre.

L'amitié est une âme en deux corps.

Tu l'observes du bord de ta fenêtre et tu es intrigué, voir attristé, par son air abattu. Elle semble vidé de toutes émotions, énergie. Tu sais qui elle est, tu la connais depuis que tu es môme et tu sais ce qu'il se passe chez elle. Sauf que tu ne peux rien faire pour l'aider. Pourtant ce n'est pas l'envie qui manque. Tu aimerais intervenir tel son héros et se mettre entre elle et les coups de son père. Alcoolique, voilà des années qu'il maltraite sans relâche son unique enfant. Pourtant accablé d'un tel comportement, du haut de tes dix-sept ans, tu ne peux rien y faire. Tu te contentes alors de la réconforter, de l'accueillir chez toi lorsque tu sens que les choses vont déraper, tu fais de ton mieux pour lui rendre la vie moins difficile. Mais tu n'en fais pas assez. Les coups continuent de pleuvoir et cela te rend fou de ne rien pouvoir faire. Encore une après-midi où le beau temps n'était pas au rendez-vous. Accoudé à la fenêtre, tu regardes la pluie déferler et créer des courants d'eau dans la rue principale. Puis tu la vois. Le regard dans le vide, elle ne t'a pas vu. Tu restes l'observer jusqu'à ce qu'elle disparaisse derrière les rideaux. Tu comprends la situation lorsque tu vois la voiture de son vieux se garer dans l'allée. Il est encore éméché et ne marche pas droit. La grand-mère n'est évidemment pas là. Tu sais donc ce qu'il va arriver. Tu voudrais empêcher cela, mais ta mère te regarde. Elle te fait ainsi comprendre que tu ne feras pas le poids face à lui. Que tu ne feras qu'aggraver les choses. Tu essaies pourtant de la convaincre. « Mais mère ... ». Mais elle ne te laisse pas le temps d 'argumenter, qu'elle te fait taire. Tu baisses la tête, accablé. Tu te sens minable, lâche, impuissant face à un tel monstre. Si seulement tu possédais la force nécessaire pour le stopper. Sauf que ce n'est pas le cas. Agacé, tu montes dans ta chambre tout en claquant la porte de celle-ci. La rage t'anime, mis tu dois te contenir. Les minutes défilent,et tu te sens de plus en plus mal. C'est limite si tu ressens sa douleur de l'autre côté de la rue. Crispé et roulé en boule sur ton lit, tu finis finalement par retourner à la fenêtre et voir le déroulement de la situation. Aux aguets, tu te lèves soudainement lorsque tu la vois sortir de chez elle, les larmes aux yeux. Tu t'en fous de te retrouver mouiller, tu te dois au minimum d'être là pour elle. Vous vous retrouvez au milieu de la rue et naturellement, tu la prends dans tes bras. « C'est terminé, ça va aller. Je vais prendre soin de toi, tu vas voir. Jamais je te laisserais tomber, je te le promet ... ». Tu lui déposes un tendre baiser sur le front avant de lui empoigner la main et l'emmener chez toi. Elle y sera en sécurité. Car tu te sens obligé de la protéger, de l'aider. Après tout, c'est ton amie.



Le secret est l’écrin du bonheur. .

Tu la fixes du coin de l'oeil, mais tu ne dis rien. Tu te fais invisible et discret. Elle est tout ce que tu détestes chez une femme. Elle boit (énormément), fume (autre que de la cigarette) et n'a aucune gêne (se balader un poil sur le campus suite à un défi ? Aucun problème). Elle est certes adulée, on l'aime pour ce qu'elle est, ce qu'elle dégage, la liberté qu'elle a et qu'elle nous balance en pleine gueule tout en dérogeant les règles, mais tu ne la comprends pas. Elle n'a pas de limite. Tu ne sais pas pourquoi elle fait tout ça. Féministe, elle n'hésite pas à prendre la tête de différents mouvements et d'y mettre les moyens nécessaires pour qu'on en entende parler. Faire parler d'elle ? C'est sa spécialité. Extravertie, elle fait ce qu'elle veut, quand elle veut. Ce n'est pas une salope, mais elle saute sur tout ce qui bouge et dévore les hommes comme on dévore un hamburger. C'est-à-dire tout cru. Du coup tu préfères l'éviter, de ne pas discuter avec elle. Mais les choses seraient trop simples si c'était le cas. Tu marches entre les étagères de la bibliothèque à la recherche d'un bouquin lorsqu'elle te prend par surprise. Elle te plaque contre l'une d'entre elle et approche dangereusement son visage du tien. Tu n'as pas le temps de réagir, qu'elle colle ses lèvres contre les tiennes et qu'elle commence à ôter tes vêtements. Dans le genre direct, elle est très forte. Pour la suite des choses, tu te laisses littéralement abandonner. Ce n'est habituellement pas ton genre, mais tu es comme envoûter. Tous les propos tenus à son égard, sur ses tenues indécentes, s'envolent en même temps que tes fringues. Pas la peine de dire ce qu'il s'est passé ensuite. Elle est repartie aussi vite qu'elle venue, en te lançant avant de disparaître, un clin d'oeil plus que provocateur. Tu es soudainement perdu et à moitié nu. Tu te rhabilles en toute vitesse et sors de la bibliothèque. Tu n'en reviens pas. Tu es sur le cul et tu ne sais ni où te rendre, ni quoi faire. Tu es tout bonnement déboussolé. Qui est-elle ? Comment fait-elle ? Une chose est sûre, cette fille-là, tu vas la revoir.