Athénaelle ☆ Ravi de te revoir

Tu reviens du Liechtenstein et enterré la princesse était particulièrement éprouvant pour toi ou pour Hades, tu étais resté juste derrière lui tout le long de la cérémonie au cas où il tombait. Tu avais vu Abélard à l’intérieur comme toujours avec Phoenix non loin de lui et tu avais vu Cassie proche de ton meilleur ami. Autant dire que tu étais derrière mais tu surveillais tout ça. Ainsi une fois à la maison, tu avais décidé de souffler, prendre le temps de souffler réellement à la solution de briser les chaines et de détruire tout sur ton chemin. Ariana avait été une de tes ex conquêtes, tu avais couché avec elle plusieurs fois quand tu étais de retour à Rome en Italie et par moment de faiblesse, vous avez péché. Ton verre de whisky en main, le froid rentrait à l’intérieur de ton corps alors que tu étais déposé au niveau contre la rambarde de ton appartement au toit de l’immeuble, un air triste qui résonnait à l’intérieur de ton open space fabuleux et Alberto qui était au rez-de-chaussé parce que tu ne voulais voir ou entendre personne, sauf tes amis. Mais peu de personnes possédaient ce titre ou avait le droit de rentrer chez toi sans permission. Tu finis par le boire cul sec, avançant à l’intérieur de l’appartement pour regarder une photo posé sur ce meuble. Toute ta famille, la team bastard et tu finis par soupirer pour lever les yeux vers Athénaelle face à toi Moi qui pensait que les rêves ne deviendraient jamais réalité dis-tu avant de déposer ton verre sur le meuble bas et tu t’approches d’elle pour lui embrasser les joues une fois Ravi de voir que l’on rentre toujours à la maison Petit sourire en coin avant de marcher vers le bar Je t’offre à boire peut-être ? Alcool, sans alcool, comme tu souhaites dis-tu sans prise de tête et honnêtement pourquoi en avoir ? Athénaelle avait ta confiance aveugle non ?

@ATHÉNAËLLE M. WILDINGHAM

Athénaëlle était chez elle, chouchoutant son fils, mais elle n’avait pas le cœur léger comme devrait l’avoir une jeune maman, non elle avait le cœur lourd et remplis de doute, elle ne savait pas comment aller ses amis, un décès avait profondément marqué Noah, Hadès et Abélard, et elle n’avait pas eu de leur nouvelle hormis la demande de service du bel italien. Désormais certaine de leur retour sur Boston, elle avait pris la décision d’aller au moins voir Noah. Doriane, la nurse de son fils avait donc pris ses fonctions dans la maison pendant que la jeune Wildingham se préparer pour aller voir Noah. Bien que tout juste fiancée à Filip, elle ne se priverait pas de sortir et d’aller chez son ami, et au diable les rumeurs et les potins ! Prête, la demoiselle monta dans la limousine, indiquant à son chauffeur l’adresse de Noah. Une fois devant le bâtiment, elle ne ce fit pas prier pour entrer, et puis elle était toujours bien reçue chez Noah. Ce dernier vient à sa rencontre. La demoiselle répondait à l’affection de son ami en déposant un bisou tendre et affectueux sur sa joue. « Oui, peut importe le temps que sa prend, on rentre toujours chez soi, je me sens bien mieux ici qu’à New-York. » disait-elle sur un ton doux et rassurant. Alors que le bel italien lui propose un verre, une vague de souvenir traverse la jeune Athénaëlle qui souris. Pendant longtemps elle ne s’était autorisé aucune goutte d’alcool, mais désormais elle pouvait à nouveau boire. « Oui avec plaisir, un whisky s’il te plait. » La demoiselle savait que le bel italien avait de très bonnes bouteilles, alors elle ne serait pas déçue. Après un léger soupire, elle plongea son regard dans celui de son ami. « Comment tu vas ? » demandait-elle juste pour la forme, car à force elle le connaissait, et elle savait très bien qu’il n’était pas au mieux de sa forme.

En silence après avoir posé ton verre, tu t'approches lentement de la nouvelle venue qui était entré dans ton appartement sans y être inviter. Sinon Alberto l’aurait fait, sinon Alberto t’avait prévenu bien avant. Et finalement, tu déposes tes lèvres sur sa joue avant de sourire. Alors quoi ? La maison c’est Boston c’est ainsi, tu ajoutes J’espère que tu ne partiras plus alors.. Le temps était long sans toi ajoutes-tu avant de tourner les yeux vers elle, tu avances jusqu’au bar et elle propose de boire un Whisky, c’est parfait alors Je te sers ça alors Tu sers deux verres de whisky deux doigts qui allaient parfaitement avec les deux glaçons que tu ajoutes pour t’avancer jusqu’au salon privé que tu possédais sur la terrasse. Et finalement tu déposes son verre sur la table basse et tu t’assois sur le sofa. Le silence résonne ensuite après sa question, parce cette question fache aujourd’hui mais pour tout le monde en fait. Bien et toi ? Quoi ? Mentir était un très bon ami à toi, encore plus que manipulateur ou diable. C’était honnête et réel et puis sérieusement, tu n’avais aucune envie de parler d’Ariana ou même de l’enterrement ou même de toutes ses conneries. Elle est et restera une princesse, celle avec qui tu as couché y’a quelques années et que tu connais bien mais c’est tout. Le peuple a perdu sa princesse, toi tu as perdu une amie. Tu finis par prendre ton verre pour le boire simplement et tu t’enfonces légèrement sur le sofa, tes bras sur les dossiers en soufflant Et toi ? Pourquoi t’es rentré ? C’était une question bête, mais une question quand même non ?

Le temps était long sans toi. Ces mots raisonnent encore dans la tête de la jeune demoiselle, s’il est vrai qu’elle a aimé Noah à un moment cruciale de sa vie, le tournant qu’elle avait pris en prenant la fuite était tout aussi cruciale, et pourtant, elle n’arrive pas à savoir si elle aussi elle avait trouvé le temps long sans ses amis, ou si au contraire elle avait parfaitement réussi à ce détaché de tous d’un battement de cil, sans aucun adieu. Un sourire sur les lèvres et un regard tendre qu’elle échange avec son ami, voilà la seule réponse qu’elle lui fournira à ces mots qui la touche. Les verres sont servis et déposé sur la table basse de la terrasse, la jeune Wildingham emboite le pas, sans dire un mot et à son tour elle se pose sur un fauteuil extérieur. Après une question tout aussi stupide qu’inutile, il lui renvois en pleine poire. « Je vais bien. » depuis notre plus tendre enfance nous somme formater à mentir, nos parents nous l’apprenne à leur dépend, et plus tard lorsqu’on grandi, nous n’avons plus besoin qu’ils nous tiennent la main pour ça, non, on y arrive très bien seul. Si ce soir entre Athénaëlle et Noah l’heure était au mensonge, il était aussi et surtout aux retrouvailles. Athénaëlle porta le verre à ses lèvres et bus une gorgée tout en jetant un regard vers le ciel. Pourquoi était-elle rentrée ? Le regard perdu dans le néant, elle pense, réfléchi, pourquoi finalement même elle ne le savait pas réellement. « Disons que ma famille me manquait. » Voilà le doute, l’incertitude d’une réponse incomplète, sa famille … qui désignait-elle ainsi ? Sa famille biologique ? Les quelques Eliot qu’elle considère comme sa famille ? Qui donc lui manquait ? Était-ce une réponse vague et dite au hasard pour ne pas avoir à parler des autres sujets ? De ce mariage arrangé, de son fils, de ses sentiments si entremêlés et toujours aussi mal gérer. La jeune Wildingham n’avait pas le cœur à se confier, pas même à Noah en qui elle avait pourtant une grande confiance. C’était triste de voir que leur relation du passé avait elle aussi morflé de tous les événements qui se sont découlé depuis peu. La jeune femme bus une seconde gorgée.

Qui aurait cru que tu te sentes aussi mal finalement. Parce que le pire dans tout ça, c’est que tu n’aimes pas ça. Tu n’aimes pas voir tes amis loin de toi et encore plus quand ils comptent comme Athénaelle. Mais c’est bien différent, tellement différent. Tu finis par sourire en prenant son verre pour lui reposer cette question. Elle va bien, c’est une bonne chose non ? Une très bonne chose en soit mais ce n’est qu’un détail parmi tant d’autres en soit. Tu finis par t’installer et tu viens même t’asseoir pour la regarder. Elle avait bu une première gorgée mais quand tu t’apprêtais à le faire, tu le bus cul sec avant de reposer ton verre pour baisser les yeux une seconde avant de la regarder une nouvelle fois Sauf que la famille, on ne l’abandonne Elle parlait de la Eliot House, elle parlait de votre relation mais de toutes celles qu’elle avait laissé en quittant cette ville. Donc ouais t’étais vexé en fait, aucunement cacher à l’idée de le dire ou de le faire comprendre en soit. Tu finis même par bouger ton regard d’elle veut la beauté nocturne que tu avais côté d’elle et tu te lèves pour t’adosser à la rambarde T’es partit enceinte et malheureuse, et tu reviens comme si de rien était dans un monde qui est en proie à la destruction, t’as peut-être des explications à me fournir ? T’as une tonne de question oui, et pas que celle là non, elle risque d’avoir un interrogatoire salé mais t’es quand même calme et ça se voit, surtout quand tu te tournes vers elle, bras croisés sur ton torse, tu aurais peut-être du commencer par les questions et non par le verre en fait, mais bon, ce n’est qu’un détail n’est ce pas ?

Il avait bus son verre cul sec, la demoiselle pouvait ainsi comprendre qu’il n’était pas si bien qu’il le disait, mais à quoi bon essayer de lui faire avouer, lui comme elle, étaient deux jeunes gens très bornés quand il le décide. Leurs regards se fuyaient mutuellement pour la beauté envoutante du ciel nocturne. Il y avait dans le cœur d’Athénaëlle un vide immense, un froid qu’elle avait laissé entrée en elle. Si d’ordinaire elle était une fille pleine de malice, aujourd’hui on peut très clairement voir qu’elle est froide et distante avec beaucoup de personne. Des explications ? C’est un mot qu’elle redoutait, elle ne voulait pas en fournir des explications, non elle voulait être libre de pouvoir se taire, libre de pouvoir s’en allait sans ne rien dévoiler, mais pas à Noah, non à lui elle ne lui ferrait jamais le coup du silence, il avait toujours été présent, et il l’avait toujours accepté, il avait tout accepté d’elle, donc à lui et uniquement à lui, elle ne pouvait rien lui cacher, rien lui refuser. La jeune femme bus son verre cul sec, et pris une grande inspiration avant de finalement venir à son tour vers la rambarde sur la quelle elle s’appuyé face à la lueur de la nuit. Elle était à côté de lui, prête à tout lui déballer ou presque. « Oui, oui je suis partie enceinte et malheureuse. Je suis allé vivre auprès de mon père pour surmonter tout ça. Et si je suis revenu c’est avant tout à cause de mon père. Je suis fiancé Noah, il à convenu d’un mariage arrangé avec le père de Filip d’Orange-Nassau. Je suis revenu aussi pour finir mes études. Et avant tout, je suis revenu pour mes amis. Toi, Abélard, et tous les autres. » Elle soupira, réfléchissant à deux fois avant de finalement prendre une décision sur la dernière information à dévoiler. « Et puis je suis revenu pour que mon fils puisse connaître son père. » Voilà elle lui avait dit, elle lui avait avoué à demi-mot, son regard se plongeât dans celui de son ami. « Tu sais partout ou on va le monde est en proie à la destruction, on à juste plus ou moins des facilités à y vivre paisiblement c’est tout. »

Tu pouvais prétendre ce que tu voulais, tu n’étais pas bien, tout était merdique dans ta vie et tu avais cette envie nauséeuse de tout détruire. Tu finis même par vouloir respirer à la rambarde pour lui poser une tonne de question. Parce que tu avais senti qu’elle t’avait abandonné, détruit à la fois et même oublié. Ce que tu as horreur en fait, fortement même mais jamais tu ne le diras non, parce que t’es trop fier de ça. Tu la vois se lever et enfin elle s’approche de toi, enfin elle répondit, enfin oui. Tu pinces tes lèvres une seconde avant de froncer les sourcils doucement. T’es fiancé à Filip d’Orange-Nassau ? Ce plouc ? T’es pas sérieuse ? Quoi ? Elle méritait beaucoup mieux, faut être honnête, pas ce bouffon de première en fait Tu dis ça comme si j’étais le père de ton fils sauf que toi tu sais parfaitement que tu n’es pas son père et tu ne le seras jamais, aucun enfant ne sera de toi, triste vie mais vie réelle en soit. Mais son regard se plante dans le sien alors qu’elle te parle de cette façon. Je suis le connard destructeur qui écrase tout ce qu’il touche, je sais ce que c’est le monde en destruction Et tu t’éloignes d’elle parce que finalement tu sais que t’es capable de faire une connerie si tu restes trop proche d’elle. Tu regardes ton verre avant de le prendre Un autre verre ? Quoi ? Tu viens de perdre Ariana, t’as le droit de souffler un coup et de boire non ? Sérieusement, tout le monde gère son deuil différemment, toi tu bois.

Elle lâchait un soupire, oui elle était fiancée, et elle avait accepté ça avec beaucoup de dignité, elle c’était résigné à aimé Filip pour qui elle avait eu des sentiments inavoués dans le passé. Athénaëlle est une jeune femme intelligente, bien que souvent elle joue les imbéciles et les petites filles pourrie gâtée pour ne pas dévoiler sa force. Elle lança un petit rire et plongea son regard dans celui de son ami. « Oui je suis fiancée à lui, je suis très sérieuse, pourquoi tu aurais préféré que ce soit toi ? » Au plus profond d’elle-même, elle le pensait, elle aurait bien plus aimé être en mariage arrangé avec Noah qu’avec n’importe qui d’autre. Elle se mordilla la lèvre rapidement avant de finalement détourner son regard de son ami. « Non Noah tu n’est pas le père, tu le sais bien. C’est un Rothschild. » Tous les mâles de cette famille sont des Mather si elle se souvient bien. Mais ça elle se garderais bien de le dire. Athénaëlle écouté Noah, et ce qu’il disait, elle n’était pas d’accord avec ça. Elle le laissa s’éloigner et laissa son regard se perdre une nouvelle fois sur le ciel nocturne. « Tu sais bien que nous le sommes tous Noah, nous sommes tous des destructeurs. On est comme ça, c’est nous. » Oui que se soit elle, Noah, Abélard, Hadès, tous, ils avaient tous cette tendance à tout détruire à leur façon. Athénaëlle fit de nouveau face à son ami qui lui proposé un nouveau verre. « Avec plaisir. » Tout le monde à sa façon de gérer ses sentiments, ses peines, son stress, sa colère, tout le monde le gère à sa manière. La pression de ses fiançailles, elle le gérera dans l’alcool se soir. Athénaëlle se mordillais à nouveau les lèvres. D’aussi loin qu’elle se souvienne il y avait toujours eu cette attirance physique pour Noah qui l’enchainée à lui, elle n’arrivais pas à s’en défaire, et pourtant elle allait devoir résister à l’envie charnelle qui se ferait certainement plus forte avec les verres qui s’enchainerais certainement.

T’es à côté d’elle et franchement, t’en sais rien, t’es pas trop connecté à tous les étages ce soir et tu serais capable de te laisser tomber du haut du vide juste pour ressentir quelque chose. Non t’es dans ta période destruction et autant dire que ça va faire mal. Tu passes ta main dans tes cheveux avant de lever les yeux au ciel C’est pas ce que j’ai dis ! Tu as le prince de la couronne d’Italie qui était très bien, pourtant ton père y a pas pensé ! Ouais il est obligé de savoir le mec le plus plouc et con du monde, un branleur sans charisme. Please. Mais bon, ce ne sont pas tes affaires quoi. Même si tu aurais peut-être apprécié une chose impossible. Tu finis par déposer cette remarque avant de froncer les sourcils Non je le sais pas, j’en savais rien même puisque je me protège jamais, mais partir en courant m’a peut-être fait réfléchir finalement sur l'éventualité Parce que ça peut arriver, ça peut être vrai oui. Et tu finis par froncer les sourcils Un Rothschild ? Et c’était quand ? Parce que tu sortais avec Andrew et ensuite t’as couché avec moi et tu es tombé enceinte trop de questions, tue les questions sauf que là, tu as besoin de savoir quand même. Surtout en ce moment en fait. Tu finis par lui proposer un autre verre et tu avances simplement vers la porte vitrée et ensuite vers le bar. Tu déposes tes mains sur le meuble en soufflant. Ouais t’as besoin d’évacuer tout ça, vu l’état dans lequel tu es est horrible. Tu passes ta main dans ton visage avant de servir deux verres et en silence, tu en bois un cul sec. Tu vas devoir te calmer quand même mais t’en sais rien, t’es bien avec de l’alcool dans le sang aujourd’hui.

Les questions de son ami étaient nombreuses, et pourtant Athénaëlle ne prenait pas à fuite, elle lui devait bien des explications, donc il était à ses yeux hors de questions qu’elle se défile maintenant. Elle prit une profonde inspiration et décida de le rejoindre prêt du bar ou elle prit le verre et le bus elle aussi cul sec. « Pour tout te dire, c’est compliqué. » Elle regardait le fond de son verre comme on regarde le néant, trouverait-elle l’envie ou la force de lui dire de tout lui dire, peut-être bien. Mais avant tout cela, elle prit le temps de soupirer et de plonger son regard dans le sien. « L’année dernière j’ai déraillé Noah, j’en pouvais plus, et je suis partis à une ou deux soirée, Mather … Et j’ai coucher avec ce Rothschild deux jour avant de me mettre en couple avec Andrew. Et puis oui on à coucher ensemble, mais … Si on calcul bien sa fais moins de dix mois et demie. Donc non ce n’est pas ton fils. Ni celui d’Andrew … » Elle posa le verre sur e bar. « Ecoute je sais que je n’ai pas toujours fais les meilleurs choix dans ma vie, mais s’il te plait, ne me juge pas pour ça. Après tout, j’ai fait au moins un bon choix. Toi. » Oui lui, elle l’avait comme ami, comme allié, et c’était le meilleur choix qu’elle ait pu faire dans sa vie, même si leur relation est ambiguë, elle ne pourrait se passer de Noah dans sa vie. « Et pour ce qui est de mon père, il ne pense pas à mon bonheur, il pense avant tout à ses affaires, voilà pourquoi il à choisi Filip. Car sa l’arrange pour signer de très gros contrats. » Elle était là à quelque centimètre de lui, et voyant es deux verre vide, elle prit la bouteille et prit la peine de remplir les deux verres avant de reposer la bouteille. « Et puis au pire, tu n’as cas me le présenter ce jeune homme toi. » elle lui fit un clin d’œil avant de laisser un petit rire lui échapper.