Fauve L.-R. Asburry ► Bar Refaeli

C'est le 15 aout, en pleine chaleur estivale à Sidney, que les membres de la famille Ashburry (famille d'accueil toutefois; je n'ai certes guère connu mes parents biologiques. Ils m'ont simplement adoptée et tiré d'un orphelinat en Sicile.) m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Fauve (Luhànn Revolka) (puisque ce fut une famille dont la généalogie se divisait entre la culture australienne et italienne). Je suis libertine et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle seulement. Certaines de mes frasques l'an passée, m'ont rendue bisexuelle aux yeux de la population harvardienne mais rien de bien sérieux, néanmoins. . Je viens d'une classe sociale aisée . Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de psychologie depuis un certain temps ce qui me pousse à dire que je connais bien les fondations du métier que je pense vouloir faire. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Eliot House ou les Cabot House.

Je suis italienne d'origine, non pas parce que ma mère l'est, mais parce que je suis une enfant qui fut adoptée à l'âge de 3 ans dans un orphelinat en Sicile. ▲ Grande fortune familiale que je dilapide dès que j'ai l'occasion de sortir. ▲J'ai toujours vécu à Sidney, jusqu'à ce que je partis pour Harvard, laissant donc toute mon ancienne vie là-bas.▲ Je jure en italien, la plupart du temps. J'ai également la gestuelle typique italienne lorsque je m'élance dans de grands récits ou lorsque je parle avec colère. ▲ Il est régulier de voir traîner davantage avec des hommes plutôt qu'avec des femmes. Rien à voir avec mon penchant prononcé de la compagnie masculine, je les trouve décidément plus intéressants que les personnes du même sexe que moi. A quelques exceptions près, il en va de soit. ▲ Lors de ma dernière année à Harvard, j'ai décidé de changer de confrérie pour rejoindre les Eliot. ▲ Médiocre conductrice; j'en suis à ma troisième voiture et j'en suis pas fière.▲ Ma réputation sur le campus n'est plus à faire, mais à exploiter. ▲ Étant une sportive qui se vaut, je suis grande férue de sport de combat. ▲ Idolâtre les animaux; elle retrouve toute son humanité et la douceur qui lui est possible d'avoir en leur présence.

▲ La plus grosse VDM de ma vie, c'est que je n'en ai pas justement. Quelle vie de merde (c'est bien le cas de le dire).

Les Mathers organisent une soirée arrosée, t'y vas, t'hésites ?

J'y vais sans hésitatons. Comme tous je pense. On sait d'ailleurs tous sur le campus, que les mathers organisent des fêtes mémorables et impossible à reproduire, que cela plaise à entendre aux Eliots ou pas. Ils déjantés et loufoques et c'est d'ailleurs ce que j'apprécie le plus chez eux. C'est pourquoi, je ne peux rater une soirée organisée par les verts.

Les Quincy ont planifié un voyage humanitaire, participeras-tu ? Ou qu'en penses-tu ?

Pourquoi pas. Pour dire vrai, j'ai toujours aimé défendre, protéger et aider les personnes qui sont dans le besoin. Je crois même que cela fait partie de mon essence humaine et qu'en cela, je suis destinée à être au service des malchanceux. Je pense que tout le monde devrait être capable de pouvoir consacrer, une once de leur temps, à ne serait-ce que penser pour ceux qui n'ont pas ce dont nous avons.
COUPÉ. C'était parfait Fauve. J'aurais aimé que tu insistes davantage sur la pitié avec une voix plus douce et compatissante, ça touche beaucoup plus de gens. Mais c'est parfait.
On est d'accord, vous n'y avait pas cru. Venant de moi, j'avoue que c'est mission impossible. J'honore ceux qui consacre leur temps à cette cause mais personnellement, je ne pense pas être "apte" encore à en faire partie. Je pense que j'ai moi même assez souffert et galéré toute seule étant plus jeune pour être volontaire dans ses genres d'organismes. N'y voyait là aucun égoïsme, surtout.

Les Lowells ont annoncé un talent show, auditionneras-tu ? Si oui, pour quoi faire ?

Je pense que oui, après hésitations. Je pense que j'aurais même tenter ma chance pour la danse. Sans dire que j'ai le "X FACTOR", je pense avoir des compétences relativement adéquats pour oser affronter d'autres candidats ou me montrer tout simplement à une foule. D'autant plus qu'être sous les feux des projecteurs est un de mes passe-temps favoris. Après, dire jusqu'où je serais capable d'aller, je ne saurais dire. Le plus important est de faire du mieux que l'on peut. Après, qui vivra verra !

Une Cabot t'approche, elle est belle et très gentille... Parfaite, quoi ! Voudrais-tu lui ressembler ou tu t'associes déjà à elle ?

Les Cabot sont merveilleuses, c'est un fait indéniable. Néanmoins, dire jusque là que j'aimerais m'associer à cette demoiselle ou lui ressembler, je ne crois pas. Leur perfection se base justement sur une identité propre à chacune et aux qualités qu'elles possèdent. Les roses ne sont pas toutes des copies les unes des autres, mais des demoiselles qui savent utiliser leurs atouts à leurs façons. Ne soyez pas jalouses les filles, les Cabots sont les Cabots, et vous, vous êtes....ce que malheureusement vous êtes.

Les Winthrops font une enchère tous les ans. Serais-tu du genre à acheter un homme afin qu'il soit à ton service ?

Si je suis du genre ? Vous connaissez la réponse : un évident oui. Je serais davantage du genre à dire aussi que je n'ai guère besoin d'une telle occasion pour mettre un homme à mon service, mais votre esprit envieux me dirait certainement que cela est bien subjectif..

Tu vois un Eliot arriver en Ferrari, lunettes de soleil et fringues de marque, tu en penses quoi ?

Je grimpe dans sa voiture et je lui demande s'il veut pas qu'on aille faire un tour ? Je lui raille sa voiture en guise de jalousie car la prétention m'insupporte ? Je l'encastre avec ma voiture parce qu'étant une conductrice spéciale, je ne l'ai pas vu arriver ? Ou alors, je l'ai bien vu mais je fais mine de ne pas le voir ? Je lui pique sa place de parking au moment où il semblait faire ses manœuvres justement pour se garer ? Je l'aperçois et souris avec amusement, la scène n'étant pas spécialement exclusive ? Je l'ignore ? Je m'en vais l'aguicher une fois qu'il s'est garer car j'aime les hommes riches et classieux ? Vous l'aurez compris, toute une panoplie de réponses et de potentielles réactions. Tout dépend de l'humeur et de la situation dans laquelle je me trouve. Les Eliots sont les Eliots, fidèles à eux même. Et ils ont de quoi, j'ai envie de vous dire.

Une série de conférences de 3h sur la littérature anglaise à l'époque Victorienne est organisée à Harvard par les étudiants de la Dunster House tous les soirs pendant une semaine. Serais-tu du genre à y aller ?

Non, absolument pas. Je dois bien avouer que je ne comprends pas ceux y trouvant un potentiel intérêt. La simple mention du thème des conférences m'ennuie terriblement. Et savoir que cela dure bien une semaine, me tue littéralement.

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Shannon et j'ai 18 ans. Je suis française (réunion) et j'ai connu le forum grâce à BAZZART, il y a de cela, plus d'un ans. ILH est ILH, et ILH est un putain de forum alors j'ai décidé de revenir m'inscrire parce que vous manquiez trop. Question intégration, je m'en sors bien. J'utilise Bar Refaeli comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par crédits. Je fais environ 500 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé sortant de imagination burlesque.

Mot de la fin ? ▲ I'm back. Again. Again. :sifle:

[FLASHBACK]
« Notre quartier est réputé pour être tranquille et jusqu’à votre arrivée, il l’était. Mais tout ce remue-ménage cette nuit.. » s’exclame t-elle à ton adresse dédaigneusement. Toi, tu ne sourcilles pas mais ton regard se balade mollement sur tout ce qui t’entoure, prouvant que ton interlocuteur parlait à une personne peu enclin à la conversation. Une simple bourgeoise de quartier. Ta voisine qui t’as toujours semblé hostile à ton égard depuis ton arrivée dans le quartier. Etrange quand tu remarques le ton horriblement mielleux qu’elle emploie avec ton voisin de gauche, un homme assez charmant ou la mignonne et sincère courtoisie avec ta voisine de droite, une mère exemplaire au foyer. D’un ton las et très peu convaincant, tu lui réponds mollement. « Oui, et j’en suis d’ailleurs profondément navrée. Je vous promets, ceci faisant, de ne plus causer de quelconques tapages nocturnes, aussi discrets soient-ils. » Comme si tu récitais des paroles écrites par un autre, tu attends que l’on te lâche la grappe pour vaquer à tes autres occupations habituelles. « Mademoiselle Corleone ! Je suis on ne peu plus sérieuse. Vous salissez une réputation de quartier que tous ici, essayons de maintenir au mieux. Depuis votre arrivée, vous n’apportez que problèmes et agacements. Vous devez vous rendre compte que la situation embarrasse plus que vous ne pouvez imaginer. Nous sommes voisins qui plus est et nous sommes donc contraints à cohabiter dans la meilleure des mésententes possibles. Nous... » lassée de se sentir ainsi réprimandée comme une petite fille de 4 ans ; lassée d’entendre de tels paroles sonnées à tes oreilles, tu te sens maintenant plus enclin à converser mais cette fois-ci, dans l’unique but de mettre un terme à cette discussion. Tu fixes alors impitoyablement ton interlocutrice de manière si soudaine et avec une telle expression féroce sur le visage qu’elle en reste soudainement muette. « Cessez de me réprimander de la sorte, c’est indécent ma chère. Vous n’êtes pas assez sotte pour penser que votre discours me fasse un quelconque effet, je me trompe ? D'ailleurs, c’est à peine si mes oreilles veuillent bien supporter ce supplice que d’entendre un tel ramassis de stupidités. » « Mais nous.. » D’un revers de la main désinvolte, tu lui coupes la parole. « Il n’y a justement pas de « nous » très chère voisine. Il n’y a que vous et moi. Saisissez-vous l’éternel fossé qui nous sépare et qui nous séparera toujours ? . » Outrée par le ton employé, les paroles émises et ce manque flagrant de tact, la voisine en question réplique sur un ton se voulant sévère. « Comment osez-vous dire de pareilles choses ?! Votre insolence et votre hautaineté finira par vous jouer un mauvais tour.» Tu ne peux réprimer un sourire ironique mêlé à une pointe de sadisme, avant de répondre. « Eh bien, soit, j'attend de voir. ». La tension montait entre vous deux mais tu ne cherchais pas à la faire redescendre. Et comme pour enfoncer le clou toujours plus profondément, tu demandes à ta voisine, qui fulminait toujours par autant de désinvolture, de ta voix la plus innocente. « Puis-je m'en aller à présent ? Je me dois me rendre en ville, l’on m’attend. ». Après quelques secondes de silence, la voisine te fusillant du regard te répond d'un ton menaçant « Nous n'en resterons pas là, soyez-en sûre mademoiselle Ashburry. » « Certainement, certainement. » conclus-tu d'un ton toujours aussi désinvolte. Sur ce, tu te retournes mais pour une énième fois, tu entends jacasser ta voisine, te criant que dès ton retour, tu auras affaire à une autorité supérieure. Par autorité supérieure, elle parlait bien évidemment de tes parents d'adoptions, notamment ton père : riche homme d'affaires, son entreprise a fait la fortune familiale. Quant à ta mère, c'était une bourgeoise italienne qui avait épousé cette homme, autrefois jeune et entrant à peine dans la vie active lorsqu'il fut de passage à Corleone, sa ville natale. Autant dire que ce fut le coup de foudre; il était arrivé bredouille et repartit avec une femme, à dot importante. Plusieurs années après, le couple marié revient sur les terres natales d'Elena pour adopter un enfant : ce fut la chance de ta vie car ils te prirent dans leurs bagages. Et de là, s'ensuit l'histoire de ta vie; celle d'une demoiselle chanceuse, qui connut à ses débuts les méandres de la pauvreté et qui a finalement vécu dans la complaisance et la richesse.
Puis soudain, tu te retournes et tentant de garder élégance et calme, tu lui offres un sourire crispé et lui lances un élégant. « Va fa Napoli. (traduction : va te faire foutre.) ». Ne sachant point la signification de cette réplique, ta voisine se contente de rester muette, perturbée et ravalant sa colère, pensant que ce fut là, des paroles courtoises pour dire au-revoir. En te retournant, tu quittes ce visage faussement détendu pour laisser place à des traits tirés, signe évident de ta colère palpable. Sans prendre plus d'attention, te voilà déjà filant vers de nouveaux horizons, de ta démarche toujours aussi fière.
Cette voisine fêta ton départ de Sidney quelques mois après, lors de ta première rentrée à Harvard.