ne gerbes pas dans ma bagnole - pv jackie

- Sans déconner t'as abusé stevenson. tu te prends en photo à oilp sur mon lit. tu me l'envoi pour que je vienne te chercher. évidemment que je vais venir. j'ai ton boule en fond d'écran. ça me donne envie de le toucher. de le palper. de me faire les griffes dessus. il est tard. tu me déranges en pleine partie de call of. je blague. j'ai arrêté de jouer à la seconde même où t'as envoyé la photo. je n'arrive plus à me concentrer. mon esprit s'est bloqué sur ton nez. je ne comprends pas. j'ai pas regardé le reste de la photo. only ton nez. j'ai rien vu d'autre. je n'ai pas capté ton string dans le reflet du miroir. rien de tout ça. j'ai pas non plus zoomé pour mieux voir. nan c'est pas mon genre sa mère. tu m'as demandé de venir. j'ai essayé d'obtenir un maximum d'information. tu es dure en affaire. j'en ai chier mais j'ai eu ce que je voulais. je t'ai manqué. c'est bon à entendre. tu m'as manqué aussi tsé. j'ai dormi sur un bout de canap. j'ai pensé à toi en fermant les yeux. je m'imaginais à côté de toi dans le lit. ce soir tu me le demandes encore. tu veux dormir avec moi. je ne peux pas te dire non. c'est mort. j'en ai envie aussi. alors je monte dans ma caisse et je prends la route. la distance se réduit. il fait noir. il pleut presque. c'est des gouttes sur le pare-brise ? j’enclenche les essuie glaces. je rejoins le centre ville. je te textote en même temps. c'est dangereux. inconscient de ma part. un oeil sur le portable, un oeil sur la route. je gère. pour l'instant. faut pas qu'un bourré traverse la rue. je ne le verrais pas. j'arrive. je descend de la voiture. t'es là. tu tiens encore debout stevenson ? fait chier. je ne vais pas pouvoir te violer. tu as l'air d'avoir encore des réflexes. je m'approche. tu me reconnais ? je ne suis pas certain. j'ai envie de me saouler moi aussi. ça fait trop longtemps que je n'ai pas bu. combien ? deux jours. trois max. c'est beaucoup trop. je te balance mon pull en pleine gueule. mets ça. faut que tu sois en forme pour dans deux semaines. t'es presque cul nu. c'est de la provocation ce décolleté ? pourquoi je regarde là moi. j'ai pas envie que tu choppes froid. t'as intérêt à assurer dans 2 semaines. - (@Jackie-Elie Stevenson)

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crédit/ tumblr ✰ w/theo hennebert.

verre après verre, joint après joint. j'avais besoin de prendre l'air. La soirée était terminée pour moi, un rapide et furtif au revoir. je marchais difficilement, mes pas semblaient plus lourd. Les regards s'attardaient sur moi. Laissez moi tranquille. Je m'installai sur le rebord d'une fenêtre attendant mon colocataire. Les mains de chaque coté, je fermais les yeux. Theodore, parlons de lui. Il me manquait, putain je devenais accroc. Ma respiration se mit à s'accélérer. J'étais en train de paniqué ! quoi ? qui a-t-il de mal à ressentir ce manque ? Je relevais mon visage. rien n'était anodin mais je me refusais à croire que j'étais vraiment attachée à lui. Mon simple réflexe avait été de lui envoyer ces photos. Putain je lui avais envoyer les photos ! Celle que je comptais garder pour moi. j'étais pitoyable. Coincé entre la réalité et l'euphorie de ce putain de joint. Je n'arrivais pas à rejoindre les deux bouts. Je devais être blanche comme un cul. Mon regard croisa le tient. Tu semblais autant torché que moi et tu ne ressemblais en rien à Theo. Mes yeux se plissèrent. M'approche pas. j'avais une nouvelle fois abuser de tout sa. j'avais limite envie de pleurer putain. tu tiens encore debout stevenson ? cette voix je la connaissais. Il était là, mon visage se releva. Je plissais légèrement les yeux. J'avais besoin de mes lunettes, je crois. " Il faut croire hennebert ! " Je me lève maladroitement. Tu me balances ton pull que je rattrape malgré tout. mets ça. faut que tu sois en forme pour dans deux semaines. je me mis à sourire. Il ne perdait pas le nord. " Tu m'aides ? " dis-je en lui retendant le pull. Nous étions encore dehors. L'autre connard continuait à me regarder. Qu'est-ce qu'il avait ?! Avec l'aide de theo, il s'approcha et m'aida à enfiler ce pull. Ah... ma peau semblait apprécier. Je n'avais plus froid, j'avais froid ? profitant de la proximité. " theo " ma main agrippa son cou. Je pris une grande respiration et lui dis en chuchotant doucement : " je t'ai vraiment envoyer ces photos ? " dit moi que non ? son regard en disait long ! bordel je l'avais fait. Je me mis à soupirer. " j'ai envie de partir hennebert " dis-je en affichant un léger sourire. Ou était donc passer cette fille sans attache ? elle me manquait presque. Je sentais que quelques choses n'allait pas et sa me déplaisait. J'avançais vers ta voiture, ne faisant plus attention à l'abruti qui se trouvait juste à côté. Tu me suivais enfin je crois. Je m'apprêtais à monté dans la voiture quand une main baladeuse se fraya un chemin sur mes fesses. Mon visage se retourna, theo était de l'autre côté. Sa ne pouvait pas être lui. " Hey ! ta mère ta jamais appris à te retenir ?! " dis-je sans retenu m'approchant de ce connard de pervers. Okay... je voyais plus rien. Je voyais juste rouge.

- A priori t'as pas l'air complètement torché. t'as encore des réflexes. tu attrapes le pull que je te balance. tu me regardes. tu me reconnais. t'es lucide. ou pas. tu me demandes de l'aide pour enfiler mon sweat. tu es redevenue une enfant. une gamine. c'est l'un des effets de l'alcool. t'as régressé stevenson. t'es mignonne. tu n'en as pas perdu ton magnifique sourire. c'est déjà ça. arrête de bouger. j'essaie de te mettre ton pull. tu ne tiens pas en place. je parviens à te l'enfiler. tu retrouves des couleurs. tu étais blanche sans déconner. c'est nul de s'occuper d'une bourré. je suis trop sobre. c'est pas intéressant. tu poses ta main dans mon cou. minute. là c'est intéressant. je te fixe. qu'est ce que tu vas faire jackie ? l'alcool pousse parfois à faire n'importe quoi ou à se dépasser. quoi que tu t'apprêtes à faire. fais le et ne regrette rien. on se regarde. theo, c'est moi. je ferme ma gueule. je veux voir jusqu'où tu vas aller. tu te rapproches. j'aime bien. les photos ? un peu que tu me les as envoyé ouai. j'en ai déjà fait des copies pour m'occuper les deux prochaines semaines. je te souris. je les ai déjà effacés tes photos. on voyait que ton nez pointu. elles sont ratés faudra en faire d'autres. bonne idée. je peux même devenir photographe pour un soir. je suis prêt à me sacrifier tsé. si c'est pour la bonne cause. tu veux te barrer. viens on rentre à la casa. j'ai envie de me poser aussi. trois jours de call of. j'ai les yeux bousiller. j'ai encore mes lunettes. ok. on rentre. je te suis. tu ne vas pas aller bien loin, c'est moi qui conduit. je ne pense pas à t'ouvrir la portière. je pense qu'à ma gueule et me dirige derrière la voiture. j'entends du bruit. tu parles à qui comme ça ? pas à moi j'espère. bah nan. c'est qui ce mec. de où il sort ? il t'a touché le cul ? sans déconner. on touche pas le cul de ma copine. t'es pas ma copine. pas encore. ça m'énerve. il n'a pas à te toucher. moi je peux le faire. pas lui. il a l'air aussi bourré que toi. il spasse quoi, t'es qui toi ? attention je sors les crocs. un point pour hennebert, je suis plus grand que lui. le mec me voit. il s'approche de moi. je vais crever c'est sur. je fonce sur lui et l'assomme de coups. nan je déc. je ne bouge pas. j'aime pas me battre. moi je flingue des gens sur la console. pas des gueules irl. dégage, t'as rien à faire là. j'ai l'air aussi menaçant qu'un panda de la wwf. - (@Jackie-Elie Stevenson)

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La solitude autrefois tant apprécier m'avait rendu folle. Theo était parti et moi j'étais restée à l'appartement. Persuadée d'avoir besoin de me retrouver avec moi même. Connerie. Ces deux jours de solitude m'avait permis d'y voir plus clair, il me manquait. Il avait prit de l'importance. Il fallait que je sorte, que j'évacue. J'avais besoin de me voiler la face. Je n'étais pas encore prête à me prendre ces aveux en pleine figure. L'alcool et la drogue avaient été mon échappatoire ce soir. Pourtant, on en revenait au même scénario. Il était devant moi. Un petit sourire angélique sur ces lèvres. Il était canon. je les ai déjà effacés tes photos. on voyait que ton nez pointu. elles sont ratés faudra en faire d'autres. la naïveté d'une personne bourrée. s'était moi. je le croyais. ces photos étaient donc le moindre de mes soucis. Il les avait supprimé, soulager, je lâchai un petit soupir. " tu as laissé passé ta chance hennebert " l'avait-il vraiment laisser passé ? sa restait à méditer. Mon corps semblait vouloir prouver le contraire. Constamment en alerte, il ne dérogeait jamais à un petit écartement. J'en avais constamment envie. Mes hormones me criaient de me jeter sur lui. Ma raison adoucissait cela. Il fallait que je marche, change toi les esprits stevenson. L'alcool avait le don de brouiller mes pensées. Cette main, par contre, je l'avais senti. Face à l'inconnu, mes nerfs montaient. Tu t'arrêtas pour venir vers nous. il spasse quoi, t'es qui toi ? c'est vrai sa tes qui connard ? un mec que j'ai baisé ? certainement pas. Mon regard le scrutait. Je le connaissais pas, j'en étais presque persuadée. Je croisais les bras, fière de t'avoir derrière moi. Un sourire espiègle sur les lèvres : " C'est vrai sa connard ? t'es qui ? " je titillais l'inconnu. Bravo Jackie fait la maligne ! Mes yeux se plissaient. Il était resté silencieux. Parle et je t'arrache la langue. T'était à côté de moi, calme comme jamais. Comment pouvais-tu l'être d'ailleurs ? il m'avait toucher les fesses ? sa ne te dérangeait pas ? Trop de question s'était épris de mon esprit. dégage, t'as rien à faire là. allez rhabille toi, connard. L'inconnu s'avança un peu plus, ne prêtant absolument pas attention à Theo. il prit la parole " j'ai entendu dire que t'était à vendre ! " l'enculer. Ma main me démangeait. J'avais envie de commettre l'impensable. Theo était derrière moi de toute façon ? qu'est-ce que je craignais ? hein. Mes yeux se plissaient. D'accord, j'allais le faire. Putain ce joint me donnait des ails. Je me retournai vers Theo, croissant son regard. J'enlevais mes chaussures à talon pour les lui donner. " allume la voiture, j'arrive tout de suite " en clair, allume la voiture et attends que j'arrive. Fait moi confiance hennebert, il semblait perplexe. La voiture s'alluma quelques secondes après, c'est bon t'était dedans. Parfaiit ! Je m'avançai vers l'inconnu. Il semblait avoir fière allure. Si tu savais connard. " le silence est d'or ! " dis-je avant de prendre son verre et de lui balancer dans la figure. " t'apprendra que c'est pas comme sa que tu videras tes couilles. " et sans contrôler le moindre de mes gestes ma main en forme de poing s'écrasa lourdement contre sa joue. Tient bouffon ! Instinctivement et comme pousser par l'adrénaline, je me mis à courir pour regagner le côté passager. La porte fermé, je fis : " Si tu cales on est mort ! Sa change pas, c'est comme un jeux vidéo maintenant sort nous de la ! " dis-je en mettant ma ceinture tandis que l'autre était en train de tambouriner à la vitre. T’accéléra i aussi vite que tu pouvais, laissant derrière toi l'autre abruti, tes mains étaient fermement attaché au volant. Mon poignet me lançait mais l'alcool ralentissait toute douleur. Il était rouge. Demain, j'allais souffrir. S'était certain. En vrai, je souriais bêtement comme surprise de ce que je venais de faire. Sa ne me ressemblait pas ! pourtant j'étais là. Theo en train d'accélérer. Mon regard se concentra sur le reflet du rétroviseur. Il nous suivait. " Qu'elle connard ! il nous suit ! il a pas du avoir assez mal... Tourne " dis-je en lui indiquant la sortie de doite. Direction... le complexe sportif de l'école. Pourquoi ? je sais pas. A si j'ai les clés ! Une cachette parfaite. Le temps que les choses rentrent dans l'ordre. y a même une piscine !

- Le bordel c'est pas mon truc. j'aime le calme et les jeux vidéos moi. un geek ça ne se bat pas. c'est dans la constitution geekaine. je dépasse le mec en hauteur mais en largueur il fait 4 fois mon gabarie. il est taillé le connard. je vais me prendre une droite bien comme il faut. fais chier mes lunettes sont quasiment neuves. le dégage il est pour moi en vrai. t'en rajoute une couche toi. tu ne peux pas rentrer dans la voiture et attendre que ça se passe. comme toutes les meufs normalement constitué. tu ne te laisses pas faire. tu ne me laisses pas faire. j'ai un semblant de virilité. lâche moi. il parle. tiens il sait parler ? je te regarde. t'es à vendre toi ? tu fais le trottoir maintenant. t'es tombée bien bas stevenson. y'a déjà un acheteur, allez circule. je ne suis pas virulent. je suis au max de mon degré d'agressivité. je ne peux pas faire mieux. tu me regardes. tu t'avances. sans déconner. t'es pas sérieuse ? tu veux que j'attende dans la voiture. c'est quoi le malaise, tu vas te taper le mec et tu reviens ? nan. c'est mort. tu me files tes chaussures. j'en veux pas elles pues. dégage toi aussi. t'as l'air sur de toi. ok je monte dans la bagnole et je me barre. c'est mon plan à moi. tu veux te taper le gars. ciao. comme convenu avec moi même, je monte dans ma caisse et je la démarre. je regarde quand même ce qu'il se passe. j'ai une conscience bien caché à l'intérieure de moi. tu parles avec le gars. tu lui balances un verre. qu'est ce que tu fou ? putin tu lui fou une droite et tu cours vers la voiture. t'es pas une fille en vrai c'est pas possible. t'es un mec avec plus de couilles que moi. t'as l'air encore plus taré que d'habitude. tu fais limite peur tsé. t'as pété un cable stevenson ! je ne démarre pas, tu te démerdes. le mec tape au carreau. ok je démarre. j'appui comme un malade sur l'accélérateur. la bagnole s'avance. il nous course le salop. je panique. je m’emmêle les pédales. sa mère la pute. j'ai calé. je redémarre comme je peux. il est toujours derrière. c'est un mutant ce type. je me sens bizarre. c'est l'adrénaline ? je ne sais pas la reconnaître. je ne la ressens pas souvent. ouai on dirait. je roule comme un malade. plus que d'habitude en tout cas. j'ai pas vraiment de reflexe. et toi je ne te regarde pas. tourner là ? t'es tellement bourré que tu ne vois pas que c'est un cul de sac. je ne tournerai pas. trop tard j'ai tourné. c'est le gymnase, bien joué stevenson. je me gare parce que j'ai pas le choix. il arrive derrière. on a plus qu'à descendre de la caisse. on va se cacher ? à chaud, je pense que c'est la meilleur décision possible. allez dépêche d'enlever ta ceinture. on sort. et on se met à courir. dégueule pas en route jackie sinon on est mort. - (@Jackie-Elie Stevenson)

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t'as pété un cable stevenson ! je ne démarre pas, tu te démerdes. bordel je l'avais frappé. S'était bien la première fois que j'avais recours à la violence. s'était étrange, je me sentais presque excité. Mes mains tremblaient. Un sourire s'étira sur mes joues avant que je ne tourne le regard vers toi. Tu ne bougeais pas. T'es con ou tu le fais exprès ? allez bouge hennebert ! L'inconnu frappait contre le carreau. Bouge, il va le casser. T'accélère trop. T'avance un peu et la boum tu cales. " ALLEZ HENNEBERT ! il va finir par casser le carreau ! " j'espère que tu ne tiens pas à ta voiture ? il semblerait que ton retro est prit un coup de trop. Il n'est pas cassé mais abîmé. Je te payerai ces petites modalités. Tu sembles complètement stressé, ce genre de situation t'échappait littéralement. Ma respiration avait du mal à se contrôler, celle de theo semblait être dans le même état. J'espère que tu as ta ventoline hennebert. Oui, je savais que tu étais asthmatique. Je ne t'avais jamais vu en crise mais il m'arrivait de t'entendre parfois. Tes réflexes te poussaient à m’obéir. T'avais tourner, on était sauver. c'est le gymnase, bien joué stevenson. si tu savais hennebert. Toujours muni de mes doubles de clés, j'arrivais à venir et aller dans harvard. Personne n'était au courant, du moins jusqu'à maintenant. Tu t'arrêtas lourdement, putain j'ai envie de vomir. T'étais déjà sorti de la voiture, putain, j'enlevais ma ceinture difficilement. L'autre connard, nous suivait de prêt. Le double de clés en main. Nous courrions vers la porte du gymnase. Putain que s'était bon. Mes pensées étaient enfin canaliser sur une chose. Notre survis. Il n'y avait rien d'autre qui comptait. Arrivé devant la porte, je m’affolais. " dit moi si il arrive hennebert ! " bordel aller rentre. Tes mains sur mon épaule me précipitait. S'était l'alerte, ce connard n'était pas si loin de nous. Sa y ai. " c'est boooon ! " la porte s'ouvrit et se referma aussitôt derrière nous. Je pris ta main instinctivement, ne restons pas là. persuadé d'avoir toujours l'inconnu dans les pattes. J'avançais jusqu'à la piscine de l'école. " sa sert de faire des doubles. " tu peux me dire merci Hennebert, quoi que j'étais la source de tout ce merdier. Je me retournais, tu semblais presque suffoquer. Je m'arrêtai de marcher. " ça va hennebert ? " mes yeux se froncèrent et sans vraiment réfléchir une main se posa sur une de ces joues. Ma tête se pencha, t'était en crise ou du moins je pouvais facilement le deviner. " Tu as ta vantoline ? " dis moi que tu l'as hennebert.

- On est sensé échapper à un mec bourré. pas lui proposer d'aller faire du soccer. y a pleins de rues dans boston. pourquoi t'as choisi la seule impasse de la ville sans déconner ? et moi pourquoi je t'ai écouté ? on est à chier stevenson. on est bon séparément. mais quand on est ensemble on est deux couilles molles. toi tu tiens presque plus debout. et moi j'ai du mal à respirer. tu te jettes sur la serrure. tu essaye d'ouvrir la porte. la porte est fermée stevenson. le coup de la barrette dans les cheveux ça marche que dans les films. t'es nulle. je te regarde faire. t'as un double des clés ? j'entends le mec arriver. je mets ma main sur ton épaule pour pas faire de bruit. peut être qu'il ne nous a pas encore vu. magne. t'arrives à ouvrir. c'est un miracle. tu me tires à l'intérieur. à travers le couloir aussi. il fait sombre. je reconnais les lieux, c'est là que je viens m'entraîner pour le soccer. tu m'expliques avoir fait un double. c'est malin. tu es plus maline que tu en as l'air jackie. j'essaie de te répondre mais mon souffle est court. mon coeur bat vite. ma respiration est difficile. tu t'arrêtes. tant mieux. je fais de même. je me penche vers l'avant en prenant appui sur mes cuisses. sa mère je vais crever. quand une crise se déclenche c'est à l'hosto que je termine. c'est mal barré. ouai. bien sûr que j'ai ma ventoline. dans ... la voiture. forcément. tu fais chier ste ... venson. je t'arrache la clé des mains et fais demi tour. mes poumons sifflent. j'arrive à tenir une partie entière de soccer. ce soir y a l'adrénaline qui s'y est ajouté. je m'arrête devant la porte. c'est risqué. j'ai envie de t'étriquer jackie. reste là. t'as fait assez de connerie comme ça pour aujourd'hui. je sors furtivement du gymnase. il n'y a personne. j'arrive à la voiture. je prends ma ventoline, la secoue et inspire à pleins poumons. sa mère ça fait du bien. - (@Jackie-Elie Stevenson)

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okay, j'avais abusé. T'était face à moi, ta respiration était vraiment pas terrible. Je ne souriais plus, en vrai, je m'en voulais. Les effets de la drogue se dispersait. J'avais envie de fumer... ouaiiiii pour oublier que nous étions suivis. dans ... la voiture génial, il fallait y retourner. tu fais chier ste ... venson. mon silence voulait tout dire. Il avait raison et je détestai sa. Je savais pas quoi faire. En règle général, je prenais la fuite. Ces situations me dépassaient et savoir que je n'avais rien contrôler me dépassait. " arrête de parler hennebert. " ouai le seul truc logique qui sortait de ma bouche. Arrête de parler et concentre toi sur ta respiration. " reste là. t'as fait assez de connerie comme ça pour aujourd'hui. " rester là ? non. Je n'en avais pas envie mais pour une fois n'était-il pas préférable de le laisser faire ? je me mis à soupirer. Okay hennebert, je n'allais pas luter. T'ouvris la porte et sortis pour rejoindre la voiture. Je m'étais mise à la fenêtre, pour pouvoir voir si rien ne t'arrivait. Mon regard scrutait les environs. La voiture semblait s'être évaporer. je l'espérais. Les secondes passaient et ils ne revenaient pas. Tant pis... je devais sortir. J'ouvris la porte puis m'approcha de la voiture. T'était assis côté passager, la porte fermé. Tu semblais reprendre le dessus. ouf... on venait de froler la catastrophe. J'ouvris légèrement la porte, tu semblais une nouvelle fois étonner et énervé de me voir ici. Ma main s'écrasa sur tes lèvres. " Chut... c'est bon, je sais j'ai déconner... excuse moi. " dis-je en restant à l'extérieur. Il n'y avait plus personne, nous étions en sécurité. " je peux me faire pardonner ? promis aucun truc farfelu, aucun... " dis-je en regardant ma main. Elle était rouge, j'avais taper fort, demain j'allais avoir mal. S'était une certitude. " y a plus personne, ils sont partis et je crois qu'il faut que je me rattrape. " dis-je en souriant légèrement. " fait moi confiance hennebert. " dis-je en lui tendant la main. Allez une dernière petite virée à deux cette fois ci.

- J'inspire comme un taré dans ma bombe. je bloque ma respiration. et je souffle un bon coup. j'en ai marre d'être asthmatique sa mère. je ne peux rien faire comme tout le monde. il faut forcément que je sois gêné. j'ai couru 10 mètres et j'ai stressé. il ne m'en faut pas plus pour alerter mes poumons. sans déconner. on dirait un vieux en phase terminale. je suis agressif avec toi stevenson. tu m'as soulé sérieux. t'as été inconsciente. je ne peux même pas t'en vouloir. t'es bourrée. reste là et attends moi sans faire de connerie. ça va être dur mais fais un effort. je reprends mon souffle. j'y arrive pas. j'ai besoin de calme. je grimpe dans la bagnole. je ferme la porte pour ne plus te voir. t'as trop une sale tête, ça me déconcentre. je ferme les yeux et me concentre sur ma respiration. c'est bon. ça va mieux. je ne vais plus dégueuler mes poumons c'est déjà ça. j'entends la portière s'ouvrir. je rouvre les yeux. tu ne tiens pas en place putin. je t'ai demandé deux minutes. tu fais chier. tu t'excuse quand même. c'est bon c'est pas grave. te pardonner ? tout dépend de ce que tu veux faire. mais ça me semble être une idée. tu me dois au moins ça. au moindre truc bizarre jme casse stevenson. t'es prévenue. le moindre truc chelou et je me barre retrouver ma console. j'étais bien avec mes potes à améliorer mes stats déjà parfaites. qu'est ce que je fou là sans déconner. il n'y a que toi pour te retrouver dans une situation aussi merdique. tu m'y as emmené. j'ai plongé tête baissé. je ne suis plus à ça près. j'ai pas trop le choix de te faire confiance. ça fait des souvenirs. tsé les souvenirs que tu prends mal sur le coup mais après tu en rigoles. j'ai envie de rigoler de cette soirée donc stevenson vas-y. j'accepte les bisous et les câlins mais pas le reste. je me détends. ma respiration va mieux. c'est bon, je suis reparti pour un tour. - (@Jackie-Elie Stevenson)

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crédit/ tumblr ✰ w/theo hennebert.

cette soirée allait être graver dans les annales. J'avais frappé un mec et theo avait manqué de mourir par ma faute. j'affichais une mine d'enfant battu. J'avais fauté et je le reconnaissais. c'est bon c'est pas grave. un fin  sourire s'afficha sur mes lèvres. Il n'était pas difficile à convaincre. Avais-je vraiment besoin de me faire pardonner ? ne l'avait-il pas déjà fait ? on s'en fou. J'avais mes idées.  au moindre truc bizarre jme casse stevenson. t'es prévenue. je me mis à lever les yeux au ciel et lui fis : " Okay, je suis prévenue hennebert ! " En moi même, il était impossible qu'il n'apprécie pas ce que je m'apprêtais à lui offrir. J'affichai un grand sourire, contente qu'il accepte de me suivre. j'accepte les bisous et les câlins mais pas le reste. je me mis à rire tandis qu'il sortait de la voiture. Tout était redevenu calme. Mes yeux le fixait et je lui dis : " Hop hop hop, je n'aimerai pas que tu bousilles ton pari pour une simple petite réconciliation. " je le titillais en soit. L'embrasser ne me dérangeait pas. Bien au contraire, mes lèvres ne demandaient que sa depuis qu'elle les avait goûter. Je lui fis signe de me suivre. " Je vais te montrer ce que sa fait de profiter d'un lieu interdit ". S'était exaltant. Quoi de mieux que de profiter de la piscine de l'école ? Nous étions arrivé. La piscine était immense. Sans grande gêne, je me mis en face de theo marchant en marche arrière. " Un bain de minuit sa te dit ? " dis-je en me pinçant les lèvres avant de finalement m'arrêter pour retirer délicatement mon pantalon. " Bon si tu veux, on peu garder quelques tissu si tu as trop peur de perdre le contrôle ? " je le défiai du regard. Alors Hennebert nu ou habillé le plongeons.