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(magique) i see sparks fly whenever you smile

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Le souffle haletant, la manifestation de mon orgasme qui coule encore entre tes cuisses, je me laisse retomber à côté de toi, sur le dos. Je fixe le plafond pour me remettre de mes émotions, même si ça ne prend pas longtemps avant que mes yeux ne se reposent sur toi. Comment tu peux être aussi parfaite? Je passe mon bras autour de ton cou pour t'attirer contre moi, pour que tu te blottisses dans mes bras. Un doux baiser sur ton front pour entamer ce moment de tendresse post-coït. On est absolument dégueulasses mais... j'm'en fous. Comme ça ou toute pimpante dans ta petite robe de soirée à Cancun, c'est pareil pour moi. Puis, ça montre aussi une certaine aise entre nous. C'est pas lors du premier date qu'on s'adonne à une baise de ce genre. Et j'suis content de voir que, même si on est officiellement ensemble, ça, ça n'a pas changé entre nous.

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Après s'être totalement abandonnés au plaisir charnel, un dernier orgasme s'échappait de nos lèvres. Le résultat de son orgasme coulait entre mes cuisses et il se retirait pour se laisser retomber à côté de moi, sur le matelas. Je passais ma main sur mon front afin d'essuyer la sueur, alors que j'essayais de retrouver un rythme de respiration normal. C'était bon putain, comme toujours. On arrivait à prendre notre pied à chaque fois, le fait qu'on était maintenant en couple ça ne changeait absolument rien. Le bras d'Elliot se glissait autour de mon cou pour m'attirer contre lui et je venais me blotisser dans ses bras. Nos corps étaient en sueur, on était tout collant et on avait chaud, pourtant c'était le dernier de nos soucis. Il posait ses lèvres sur mon front pour m'offrir un doux baiser. De mon côté je relevais légèrement la tête pour venir embrasser sa mâchoire. J'savais qu'il détestait les bisous dans le cou, du coup j'lui en faisais pas. Et je venais enfouir mon visage dans son cou afin d'en humer le parfum encore présent. J'aimais quand il mettait ce parfum, c'tait mon préféré. Mes doigts venaient caresser la peau de son torse en faisant des petits ronds, en descendant parfois un peu plus bas. C'tait pas pour le chauffer, c'était uniquement.. ma façon de lui montrer que j'étais bien là maintenant. Mes caresses remontaient au niveau de ses abdos et du bout des doigts, je caressais cette cicatrice. Cette marque m'avait toujours fasciné et.. j'avais jamais vraiment osé lui demander pourquoi il avait ça. « Est-ce que ça te fait quelque chose si je passe mon index.. ici? » j'avais pas envie de l'embarrasser ou quoi.   
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Je te prenais contre moi après avoir atteint l'orgasme. Tu le savais peut-être pas encore mais j'étais un gars sensible moi, j'avais besoin d'affection. Mon bras autour de ton cou, tu te blottissais contre moi et je déposais un petit baiser sur ton front. J'arrivais pas à croire que tout se passait aussi bien entre nous en fait. On s'engueulait pas, on se complétait parfaitement, on avait les mêmes attentes, les mêmes délires. C'était... inespéré? De trouver quelqu'un qui nous correspondait autant. J'étais tellement content que tu sois venue me trouver à cette soirée Winthrop sur la plage. Et à l'époque, j'étais en couple, mais... ouais, cette rencontre nous avait menés jusque là et j'regrettais rien. Sûrement même que sans mes peines de coeur, on se serait pas autant rapprochés. T'étais là quand ça s'était terminé avec Vega, t'étais là pour m'écouter pleurer sur Meghan et l'insulter quand j'en avais besoin après qu'elle m'ait lâché. T'étais toujours là, d'où ma promesse de l'être aussi en retour. Tes lèvres se posait sur ma mâchoire et je souriais doucement, fermant les yeux, mon torse se bombant et se relâchant au rythme de ma respiration. Tu respirais dans mon cou, tes doigts se baladant sur mon torse pour me faire des papouilles. J'aimais trop, c'était trop agréable. Jusqu'à ce que tu passes ton doigt sur ma cicatrice au niveau de mes abdos. Là, mes muscles se contractaient et je serrais les dents, les yeux à nouveau ouverts. Ma main libre venait prendre la tienne pour la décaler sur le côté, à un autre endroit de mon torse. J'crois que la réponse à ta question était évidente. "C'est... hm, désagréable." J'allais pas dire que ça faisait mal parce que ça serait quand même un peu exagérer la chose mais... ouais, ça me plaisait pas. Ça me rappelait la lame qui transperçait ma peau, cette sensation d’être frappé par un éclair à la fois brûlant et glacé. Mais maintenant qu’on était ensemble... j’comprenais que tu poses la question. Peut-être qu’avant, mine de rien, on n’osait pas réellement aborder de sujets personnels. Trop personnels. On se devait rien, avant. Mais maintenant, c’était différent.
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Corps collés, on profitait de ce moment pour souffler un peu après ce moment charnel. Fermant mes yeux, j'enfouissais mon visage dans son cou en entamant des papouilles sur son torse. Le bout de mon doigt venait faire des ronds sur sa peau, j'le savais que ça le chatouillait un peu et pourtant, je continuais. Même dans le noir, je connaissais son corps par coeur. Il allait probablement s'endormir sous mes caresses, c'tait prévisible depuis le temps qu'on dormait ensemble. Mes doigts passaient sur cette cicatrice qu'il avait au niveau des abdos. J'avais jamais osé passer directement sur cette zone, j'savais pas pourquoi là je le faisais. Par curiosité? Envie? Témérité? I don't know. Je lui demandais si ça lui faisait quelque chose et sans prévenir, il prenait ma main pour la décaler à un autre endroit. Il me confirmait que c'tait désagréable comme sensation. « Il s'est passé quoi? » c'était ptêtre pas la meilleure façon d'aborder un sujet délicat pour lui. Mais.. j'pouvais pas m'empêcher de vouloir en savoir un peu plus sur lui. Parce que même en couple on continuait de se découvrir, d'apprendre des trucs sur l'autre. « Tu m'le dis si j'ai plombé l'ambiance. » j'préférerais entendre ça plutôt que de ressentir un grooos malaise. J'voulais pas avoir l'impression de l'obliger à me dire un truc s'il en ressentait pas l'envie, ni le désir de me le partager. Sauf que.. j'aurais pas la conscience tranquille, parce que j'étais cette meuf qui se créait des scénarios dramatiques dans sa tête lolilol. Dis quelque chose Elliot, steplais. 
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Tu me faisais des papouilles et j'sentais déjà la fatigue me gagner. J'avais passé la soirée au bar avec Wade, il devait être quatre heures du matin là, j'avais eu cours la journée donc mes paupières se faisaient lourdes. J'm'en foutais d'être dégueulasses, on prendrait une douche demain matin au réveil et voilà. Mais tu passais tes doigts sur ma cicatrice maudite et je me crispais, muscles tendues, mâchoire serrée, ma main qui vient déplacer la tienne autre part. Oui, ça me fait quelque chose. C'est pas agréable, c'est comme si j'avais encore mal d'une plaie à vif. Totalement irrationnel, je sais, mais c'est comme ça, j'y peux rien. Mes autres cicatrices ne me font pas cette sensation là, y'avait que celle-ci qui était capricieuse. Tu me demandais de but en blanc ce qu'il s'était passé à cet endroit. J'inspirais doucement, longuement, gardant le silence. Tu reprenais la parole et je secouais la tête. "Non, t'as pas plombé l'ambiance..." Je soupirais doucement, posant ma main par dessus la tienne. "Coups de couteau." que je lâchais finalement dans un souffle, comme si, même rien qu'en parler, me faisait mal. "J'avais mon meilleur pote, Hae-Seong, il a déménagé maintenant avec sa fiancée... Mais un soir, il s'est fait agressé en sortant d'un bar par plusieurs gars. Il est revenu sacrément amoché, et tu me connais, ma loyauté sans faille blabla... Bah j'ai décidé de le venger. Donc j'me suis pointé au bar, j'ai attendu qu'ils arrivent, j'avais monté un genre de plan avec le proprio genre s'il me voyait pas revenir au bout de X temps, fallait qu'il appelle les flics. J'suis allé me battre avec eux, ils étaient cinq. Donc j'ai balancé des bons coups, mais... seul face à eux, j'ai plus pris cher qu'eux. J'me suis bien défoulé mais y'en avait un qui avait un couteau et il me l'a planté deux fois. Les flics sont arrivés, ils les ont coffrés et j'me suis planqué parce que moi et les flics, on est pas trop amis. Et j'ai pas voulu aller à l'hôpital, j'voulais pas qu'on pose de question sur mon état. Alors j'suis allé chez une pote et c'est elle qui m'a recousu. J'ai perdu connaissance, j'crois que j'ai vraiment failli crever cette nuit là. Et donc voilà, c'est ce qui s'est passé." Et j'explique pas la sensation étrange que ça me procure quand on touche cette cicatrice. P'têtre que c'est parce qu'elle a mal été soignée que ma sensibilité est décuplée. P'têtre c'est que dans ma tête. Mais j'aime pas.

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J'ignorais si c'était correct ce que j'étais en train de faire, quoique je me rendais pas vraiment compte de ce que je faisais. Il me disait que c'était désagréable comme sensation et pour la première fois depuis des mois, je me lançais. Je lui demandais ce qu'il s'était passé, la question était directe mais claire. Probablement que j'allais lui raviver des mauvais souvenirs et ça, c'tait pas du tout mon intention. J'avais juste envie d'en savoir plus sur les cicatrices qui marquaient son corps. Lesquelles resteraient là à tout jamais. Il inspirait doucement et j'comprenais que j'avais heurté un sujet sensible. Du coup, je lui faisais savoir que si j'avais plombé l'ambiance il avait qu'à me le dire et on changerait de sujet. Je me mordais la lèvre comme pour me dire '' tg Agathe. '' Elliot me rassurait que c'était pas le cas, avant de soupirer en posant sa main par-dessus la mienne. Quand il m'avouait que c'était du à des coups de couteau, je me figeais. Littéralement. Il poursuivait en m'expliquant toute l'histoire, qu'il avait voulu venger son meilleur pote qui s'était fait agresser par des mecs. En effet, je savais comment il était. Il pouvait faire tout et n'importe quoi pour ses proches, parce qu'il était comme ça et il avait cru que se battre avec eux c'était l'idée du siècle. Sauf que ça avait engendré des dégâts collatéraux.  « T'es un gros con, tu le sais ça? » il savait très bien que je l'insultais pas, c'était juste une remarque pour lui dire qu'il réfléchissait jamais aux conséquences de ses actes. « T'aurais du aller te faire soigner, contourner les questions en mentant. Ta pote elle a merdé en recousant elle-même, ta plaie n'a jamais été soignée correctement. » ça se voyait à l'oeil et quand je l'avais touché tout à l'heure, j'avais senti qu'elle avait jamais bien cicatrisé. « Tu m'interdis de toucher ta cicatrice, maintenant que je sais? »  chaque fois que je le verrai torse nu je serai toujours portée à regarder cet endroit, voir cette marque autrement. 
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J’aimais pas que tu touches cette partie là de mon corps. Déjà, ça me faisait revivre des souvenirs douloureux. Et puis, c’était désagréable au toucher. La sensation était désagréable. Comme si tu triturais une plaie ouverte, les doigts dedans. J’aimais pas. Et j’t’expliquais l’histoire, ce qu’il s’était passé pour que j’en arrive à avoir cette marque. Tu ne manquais pas de témoigner de ton mécontentement d’ailleurs. “Je sais.” J’aurais du aller me faire soigner, ma plaie n’a pas été traitée correctement, blabla. J’le savais tout ça. “Et pourtant tu sais très bien que je referai exactement la même chose si la situation se présentait à nouveau. Je ferai la même chose si ça te concernait.” Sache le. J’dis pas ca pour te faire peur, juste que si quelqu’un te touche, si quelqu’un te fait du mal, il m’aura salement sur le dos et j’me ferai un plaisir de le fracasser. No questions asked. Je secoue la tête à ta dernière question. “Non... J’vais pas t’interdire de me toucher... Peut-être qu’à force, je serai plus à l’aise avec la chose...” Mais m’en veux pas si je me crispe, si je serre les dents. C’est pas contre toi, et c’est sûrement un passage obligé vers la guérison et l’acceptation. Je viens déplacer à nouveau ta main pour la poser à plat par dessus ma cicatrice. Un mal pour un bien. Et par la même occasion, j’te resserrais un peu plus contre moi de mon bras autour de toi, comme si fallait compenser le côté douloureux d’un peu de tendresse.  “Toi aussi t’as quelques vilaines cicatrices hm...” J’crois reconnaître des cicatrices de scarification parmi elles, mais j’me dis que c’est peut être pas non plus un sujet facile. Alors j’ouvre la discussion, sans vraiment y entrer. Tu veux passer la porte, tu peux. Tu veux la laisser fermée, tu peux aussi. Tu choisis. 
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J’étais mécontente de la situation dans laquelle il s’était embarqué. Parce que y’aurait pu mourir ce soir-là, y’aurait pu.. mourir. On dirait que j’avais du mal à assimiler cette information, il avait voulu jouer au superhéros et à cause de ça, il s’était fait poignardé. J’avais un haut le coeur rien qu’à y penser. Elliot me disait qu’il referait exactement la même chose si ça devait à nouveau arriver.  Qu’il jouerait encore au con si ça me concernait. « Tu crois que si ça m’arrivait, j’te le dirais? » j’avais déjà été agressée deux fois par le passé et j’en avais parlé à personne.. après tout j’étais ce genre de meuf qui gardait tout pour elle dooonc, mouais. Surtout que connaissant Elliot, j’savais qu’il était sérieux quand il disait qu’il serait cap de recommencer, quitte à se faire poignarder ou même de mourir. J’lui demandais s’il refusait le moindre contact sur sa cicatrice et sa réponse étair négative. Pour appuyer ses dires, il déplaçait ma main sur cette partie de son corps qu’il maudissait. « J’vais faire en sorte que.. tu sois plus à l’aise.  » Comment? J’en savais rien, j’crois que le temps y serait pour quelque chose. Il resserrait son emprise pour me serrer un peu plus fort contre lui et je me replaçais pour relever ma tête vers lui, en le regardant en silence. Il me signalait que moi aussi j’avais des cicatrices. Je détournais le regard en regardant à ma droite. « Des cicatrices de guerre. Parle-moi de tes autres cicatrices, on avait pas fini avec toi.  » J’essayais pas de changer de sujet, j’voulais juste savoir le background des autres.  
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Tu me prends vraiment pour un idiot? Tu crois vraiment que je le saurais pas si tu te faisais agresser? “J’le verrai. On se voit quasiment tous les jours, on dort pratiquement tout le temps ensemble et si t’as pas remarqué, on a pas souvent nos fringues sur le dos. Si t’es abîmée, j’le verrai.” Et j’irai cogner ce ou ces fils de pute. Y’avait pas à discuter là-dessus. “Et si jamais tu te fais agresser mais que ça se voit pas physiquement...” Genre, le viol. “Dis-le moi. C’est pas simplement la satisfaction d’aller buter du connard, c’est aussi être là pour toi, savoir que tu peux compter sur moi, que tu peux me faire confiance et me parler de ce qui va pas.” J’blague pas Agathe. Encore moins sur un truc aussi grave. Je souligne d’ailleurs que t’as toi aussi des cicatrices qui mériteraient une discussion. Mais tu restes floue, tu reviens sur le sujet de mes propres blessures. Je roule discrètement des yeux. Crois pas, t’y passeras aussi. Je me redresse un peu dans le lit, allumant la lampe de chevet pour qu’on puisse se voir - et que tu puisses voir ce que je te montre. Je replie ma jambe droite et te montre mon mollet balafré d’une cicatrice caractéristique - quand on vit en Australie du moins. “Morsure de requin. J’devais avoir... 15 ans? Peut-être 16. J’étais en vacances chez moi, en Australie, et j’sais pas si tu sais mais j’suis passionné de surf - vive le cliché - mais genre, au point où j’aurais pu monter en pro si j’étais resté là bas. Et bref, ma passion du surf et mon goût pour le danger, j’ai fait comme si j’avais pas vu le panneau “baignade interdite pour raisons sécuritaires”. Du coup j’suis allé surfer et j’me suis fait croquer. Plus de peur que de mal. Mais du coup, j’ai une faiblesse à la jambe droite.” C’est moins impressionnant que ça en a l’air en réalité. Donc je hausse les épaules. Je regarde mes membres, pointant les plus grosses cicatrices qui parsèment ma peau. “Toutes celles-ci...” Sur mes bras, mes jambes, mon torse. Et mon dos aussi. Je me tourne d’ailleurs pour que tu fasses face à mon dos pour voir les marques. “Toutes celles-ci, elles viennent du crash. Quand l’appareil s’est crashé il a éclaté en morceaux et j’ai reçu pas mal de débris.” Voilà, tu sais à peu près tout de mes cicatrices. J’en ai quelques autres encore mais elles sont minimes, des chutes que j’ai fait quand j’étais gamin, de la vaisselle cassée, bref, pas grand chose d’interessant comparé au reste.
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Pas faux, difficile de cacher des marques physiques sauf que c'tait facile de donner comme explication que je m'étais battue. « Et la première chose que tu feras, c'est de partir au quart de tour. Si c'est pour que tu te reprennes un coup de couteau, alors non Elliot, j'te dirai rien. J'te dirai pas la vérité. » il voulait me protéger, j'voulais le protéger et là-dessus on était tous les deux butés. Je restais silencieuse à la suite de ses mots, j'comprenais très bien ce qu'il essayait de me dire en me lançant des sous-entendus. Le viol. J'avais vécu une expérience des plus traumatisantes l'année dernière, sauf que le mec avait à peine réussi à déboutonner le bouton de mon pantalon que Wade avait débarqué. Il lui avait sauté dessus comme un enragé, alors qu'on formait même pu un couple. J'gardais un léger traumatisme, chose qui ne paraissait pas. « Toi tu veux buter du connard, moi des mères, c'est bien. »  J'avais une mauvaise influence sur lui. En vrai, je fuyais ce sujet des plus délicats. « Ce genre de traumatisme ça se dit pas comme ça. Crois-moi. » Je savais qu'il serait toujours là pour moi, que je pouvais compter sur lui et que je pouvais tout lui dire. Sauf que parfois, valait mieux garder certaines choses pour soi. Il changeait de sujet en parlant de mes cicatrices. Sauf que moi, je revenais à les siennes. Parce qu'on avait pas fini cette discussion. Elliot allumait la lampe de chevet, la lumière m'aveuglait pendant quelques secondes. Il repliait sa jambe droite afin de me montrer son mollet marqué d'une cicatrice. « Tu comprends jamais rien aux consignes toi, putain. Les non tu les comprends comme des oui. Pourquoi tu joues toujours avec le feu? Y'a une différence entre faire le thug et le thug. » Sérieux, j'comprenais pas. Et là, il me montrait ses autres cicatrices qui se trouvaient sur ses bras, son torse, ses jambes et son dos. Il se tournait pour me montrer son dos, m'expliquant qu'elles venaient du crash. Sans dire quoi que ce soit, je m'approchais pour venir embrasser la cicatrice dans son dos et il se retournait vers moi pour me regarder. « J'ai perdu assez d'gens comme ça autour moi, j'te jure qu'à ta prochaine connerie Elliot Maxwell je te tue. » Je le poussais légèrement avec mon pied. 
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