Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityfast & furious (liaison) - Page 2
Le Deal du moment :
LEGO Icons 10331 – Le martin-pêcheur
Voir le deal
35 €


fast & furious (liaison)

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
oui je tremble, oui j’ai le coeur qui bat à mille à l’heure, oui j’ai envie de faire pipi dans ma culotte, mais non, j’ai pas envie de mettre un genou à terre devant toi. je préfère plutôt m’étaler sur le goudron qui sent la chaussette mouillée. je préfère me salir, prendre le risque de me faire écrabouiller pour que ce soit plutôt toi qui traînes ta carcasse jusqu’à moi. yes, tu mords à l’hameçon. tu m’étonnes tellement. j’aurais cru que tu allais me traîner par le bras pour me foutre sur le bas-côté et bien non. tu t’écroules auprès de moi et je sens dès lors mon estomac me chatouiller affreusement. j’sais ce que c’est cette sensation, c’est l’amour multiplié par le désir. oui, je crève d’envie là. t’es chiant et c’est ce que j’aime le plus en fait. j’ai beau critiquer cette facette de toi, c’est elle qui me rend le plus folle. sentant ensuite ton regard sur moi, je tourne à mon tour ma tête vers toi pour te scruter en détail. c'est si rare de t'avoir aussi près.. trop rare alors que je suis censée être ta petite-amie, ta meilleure amie, ta fem... « ouais, mais moi j’aime plus ta gueule que toi tu n’aimes la mienne » du pur charabia, mais j’veux gagner bordel. t’es toujours le meilleur.. timidement, je laisse mes doigts peindre ton visage de haut en bas avant d’empoigner ta mâchoire pour apporter ta bouche près de la mienne « j’ai tellement hâte qu’on se transforme en chair à saucisse » chuchotais-je sensuellement avant d’éclater de rire. c’est craignos ce qu’on fait. si une voiture déboule de nulle part, on a vraiment peu de temps pour se relever et dégager de l’asphalte. bref, mon rire s’atténue et je switch progressivement d’expression. mes traits se font plus durs, plus concernés et graves. j’ai pas oublié ce qui s’est passé plus tôt moi. « hey.. tu pensais vraiment ce que tu m'as dit tout à l'heure ? » oui, tu te souviens non ? tu sais, juste avant que tu nous sauves la vie, j'ai dit qu'on devrait peut-être faire marche arrière et tu as approuvé..

@Liam Gremlins
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
«  Impossible je t’aime autant qu’un assoiffé dans le désert du Sahara aime une goutte d’eau. » Combien je t’aime. C’était le nom d’un livre que son père lui lisait étant enfant. C’était l’histoire de deux lapin, le père et le fils qui se disputait pour aimer l’autre un peu plus. Je t’aime grand comme ça. Je t’aime haut comme ça. Louison et Liam faisaient la même chose. Des gosses ! Ils étaient pires que des gosses ! Pas étonnant qu’ils se retrouvent allongé sur la chaussé comme deux inconscient. Ils n’avaient pas fermé la bagnole. N’importe qui pouvait la voler ! Pourtant ils n’avaient pas l’air inquiet, encore moins à l’idée de se faire écraser.  Tellement que Louison balança une blague vaseuse qui fit rire Liam. Ils étaient si proche l’un de l’autre, dans tous les sens du terme. «  Moi j’me demande lequel des deux succombera en premier » répondit-il en la regardant dans les yeux alors que le rire de la Française s’atténuait, faisant place à une question, celle qui devait tourner en boucle dans sa tête. Liam était calme désormais. «  Pas une seconde. » dit-il en poussant un soupir. «  Et toi ? Tu regrette ? Tu veux qu’on redevienne meilleurs amis ? » Elle serait libre de retourner vers son « étoile » et eux ils pourraient peut-être rester quelque chose l’un pour l’autre. Il s’en voulait déjà de poser la question parce qu’il prenait le risque qu’elle réponde oui. Il était égoïste, alors il s’étonnait à penser que le plus important c’était qu’elle soit heureuse, non ? Il parait. A choisir, il aimait autant qu’elle soit heureuse avec lui et pas avec un autre, mais ce choix ne lui appartenait pas…

@Louison Chamberlain
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
t’es bien poétique ce soir, c’est dingue, la mort te rend toujours si irrésistible. la dernière fois que j’ai failli m’faire écraser, j’ai quasiment ressenti la même vague de frissons. et l’apothéose, c’était malheureusement au décès de ton père. oui, la mort te réussit, même si c’est carrément abominable à dire. allongés sur la chaussée, la voiture à l’abandon, le coeur léger malgré la dangerosité de notre position, je glisse une plaisanterie qui te fait aussitôt réagir. mon regard plongé dans le tien, sous le ciel obscur et la lumière des lampadaires, mon coeur se pince. « moi. je voudrais succomber la première, sans aucune hésitation. te voir me quitter pour l'éternité est impossible.. » les yeux humides, submergée par les émotions, j’empoigne ton visage pour revenir sur notre altercation avant notre sortie de route. liam, t’es terrible. tes yeux, ils disent tout et rien à la fois. mais ouf, le soulagement. tu reviens sur tes propos. je relâche alors ta tête et je fixe à nouveau la voûte céleste au-dessus de nous « tu es toujours mon meilleur ami » un meilleur ami qui ne correspond pas aux critères de base, mais tu le restes malgré tout. « je ne t’ai pas encore remplacé moi.. » j’ai pas eu la force de chercher, ni l’envie. t’es mon couteau-suisse, enfin anglais. t’es multi-tâche à présent. pour le reste, j'arrive pas à répondre. j'regrette pas non, seul l'avenir nous le dira. en réalité, j'ai plutôt peur que ce soit toi qui sois déçu. j'ai si peur de faire une bourde, peur de tout foutre en l'air comme j'en ai l'habitude, alors j'esquive maladroitement. j'opte pour les gestes plutôt que les mots. ainsi, je me redresse, je t’encercle de mes jambes, de mes mains et je m’abaisse vers toi pour t’embrasser sans modération. je respire fort. j’suis au bord de la suffocation avec mes lèvres aplaties contre les tiennes quand soudain, le bruit d’un moteur lancé à plein régime m’interrompt. roulant sur le côté, la lumière des phares m’aveuglant, je me relève en une fraction de seconde pour faire ralentir ce fou furieux. le gars pile, klaxonne et ouvre sa fenêtre pour nous gueuler dessus. blah blah blah. finalement, il nous contourne et je ris en te tendant ma main pour t’aider à te relever « ramène-nous à la mather s’il te plait.. comme ça tu pourras la monter comme tu le souhaitais.. »

@Liam Gremlins
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Une situation peu banale pour deux étudiants tout sauf ordinaire, dans une relation peu commune.  Voilà qui résumer à merveille Louison et Liam et le fait qu’ils soient allongé côté à côté sur la chaussé, alors qu’ils auraient put se faire écraser. Deux inconscientes. Deux imprudents. Deux fou. Impossible lequel des deux l’étaient le plus alors qu’ils parlaient de la possibilité de mourir faucher par une voiture. Les paroles de Louison réchauffèrent le cœur de Liam, se cœur qu’il affirmait souvent inexistant ou froid. Elle le faisait vivre, elle le faisait battre, elle savait le réanimer. Ses yeux était plongeait dans les siens et Liam n’avait pas besoin de plus que ça. Comme toujours Louison voulu appuyer là où ça faisait mal et elle revint sur les paroles échangeaient dans la voiture. Si Liam affirmait sans hésiter continuer de sortir avec elle, la réponse de Louison était un peu plus mystérieuse. Elle se contenta de répondre en partie. «  Arizona n’aura jamais aucun de tes avantages. Elle arrive des années trop tard. » Dit-il avec un petit sourire alors qu’elle faisait preuve d’une certaine jalousie. Elle avait raison. Il serait toujours son meilleur ami, qu’ils finissent marié avec des enfants ou qu’elle le largue pour un autre. Elle aurait beau brisé son cœur en morceau, Liam ne pourrait jamais se résoudre à tiré un trait sur son amitié avec Louison, aussi bizarre soit-elle. Louison finit par grimpé sur lui pour l’enlacer et l’embrassé avec fougue. Liam tira légèrement sur ses cheveux, prenant plaisir à l’embrasser, mais ce fût bien trop bref. Un véhicule arrivait. Si Louison n’avait pas quitté ses lèvres, Liam serait sans doute resté à l’embrassé, capturé par ses lèvres. Il se mit à rire en entendant la Française juré au chauffeur mécontent. Dommage, pas de doigt d’honneur cette fois. Amusé, Liam saisit la main que Louison lui tendait et s’écarta de la route avec elle. «  J’espère que tu ne parle pas seulement de la voiture. » dit-il avant de passer autour de sa taille et de la ramener à lui. Il planta son regard dans le sien alors que leurs visages étaient qu’à quelque centimètre. Sourire plein de charme, il entendit juste deux seconde que l’envie ne monte avant de l’embrassé avec passion, visiblement accro à ses lèvres. Il finit par venir les loger au creux de ses lèvres. «  Ça fait trop longtemps que vous ne m’avait pas soumis, maitresse. » chuchota-t-il pour attiser le désir en elle, l’envie de jouer avec lui... Après tout pas besoin d’une chambre à la Mather house, la jolie camero pouvait faire l’affaire non ? Cette magnifique bagnole n’avait pas encore était baptisé…  

@Louison Chamberlain
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
« si, je parlais uniquement de la voiture moi, j’suis chaste et pure maintenant » tu me ramènes ensuite contre moi et cette idée se volatilise. je succombe à ton charme et je savoure tes lèvres jusqu’à ce que tu nous sépares pour quelques mots qui me font sourire. étrangement, ce scénario n’est pas vraiment celui que je voudrais dans l’immédiat, non, bien au contraire. toute cette adrénaline récemment libérée me met plutôt au défi de te satisfaire. « je veux être à toi ce soir, me soumettre à toi, te faire l’amour » la frappadingue est de retour. piquant ta bouche satinée, je t’attire à l’arrière de la bagnole pour que l’on s’y enferme. je ne reste pas longtemps à ma place. je me place à califourchon sur tes cuisses et je glisse mes mains sous ton tee-shirt pour suivre les courbes de tes muscles. ok, j’ai quand même un mec sacrément bien foutu. je m’excite toute seule à te toucher et je crois que je viens déjà de renverser les rôles. ouais, j’suis sur toi, à contrôler la situation dès qu'on m’en laisse l’occasion. mon corps ondule et se presse contre le tien pour que je puisse capturer tes lèvres et t’embrasser langoureusement, sans retenue, juste avec toute l’envie que j’ai pour toi. ma bouche dérape ensuite sur ta mâchoire et se niche près de ton oreille « dis moi ce que tu veux chéri » chuchotais-je avant de me reculer légèrement pour retirer ton haut. j’pouvais pas faire autrement, j’sais que ton torse voulait que je lui fasse des bisous partout. oh oui, je descends de ton cou vers tes pectoraux et je me faufile progressivement entre tes jambes pour embrasser le bas de ton ventre. en fait c'est beaucoup plus excitant de titiller l'autre, plus je te sens te contracter, plus ça s'agite dans ma petite culotte. j’arrive ensuite près de ta virilité et je laisse mes lèvres suspendues au dessus d’elle en plantant mon regard dans le tien « tu veux d’abord que je m’occupe de lui ? » je pourrais être plus crue, mais j’sais pas si c’est cette ambiance que je désire réellement. à la base, j’voulais finir dans ma chambre pour une soirée plutôt romantique, mais j’sens que mes vieux démons vont resurgir plus tôt que prévu. tout dépend de toi..

@Liam Gremlins
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
« Tu parle, tu es aussi chaste et pure que moi » dit-il avec un sourire amusé, avant de la ramené à lui. Juste quelque mot pour lui rappeler qu’il aimait quand elle faisait sa dominatrice parce que justement il était toujours en position de force. Il savait que Louison adorait avoir les rennes et surtout venant d’un garçon comme lui. Enfin c’est ce qu’il pensait car elle affirma avec force vouloir se soumettre à lui. Il aurait dût s’en douté. Louison aimait se qu’elle ne pouvait pas avoir. Donner lui du chocolat, elle demandera de la vanille ! Mais il aimait ça et l’idée de la posséder, de la soumettre à sa force et sa virilité était excitante. Contradictoire, ce fût pourtant elle qui grimpa sur lui. Il se mit à rire, charmer par son initiative. « J’te veux toi. Par devant, par derrière. Plusieurs fois. » répondit-il quand elle lui demanda ce qu’il voulait. Les mains sur ses fesses, il les caressa avec envie, son regard plein de charme plantait dans le sien. Il se mordilla la lèvre inférieur avec envie parce que Louison promenait ses lèvres partout et que lui il frémissait sous ses caresses. Elle finit par descendre là c’est intéressant et l’interrogea. Ce fût le moment que choisit Liam pour la faire basculer et se retrouva sur elle. Il attrapa son tee-shirt et le lit. Il descendit et colla son corps contre le sien dans une étreinte des plus sensuels. Il n’était pas violent et brute comme il pouvait l’être. Non il était doux et prévenant.

@Louison Chamberlain
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
On dit souvent, faites l’amour pas la guerre. Dans notre cas, nous avons vraisemblablement toujours besoin de se déchirer pour finir par se montrer à quel point on s’aime. Ce soir n’échappe pas à la règle. Après une énième dispute et être passés près de la mort, nous nous retrouvons à l’arrière de ma caisse, les mains baladeuses et l’envie atteignant des sommets. À califourchon sur tes cuisses, je trimballe ma bouche un peu partout sur ton torse désormais nu. « Tout ce que tu veux papillon, j’suis à toi » Je sens tes mains viriles accaparer mon derrière et rien que ça, ça rajoute quelques degrés à mon corps tout fiévreux. Ça me donne en tout cas envie de te faire du bien et d’être ton esclave pour la première partie. Je descends alors plus bas, toujours plus bas pour aller rencontrer le cuir de ta ceinture. Tout à coup, tu me rattrapes et tu relèves mon corps pour l’étendre sur la banquette et prendre l’ascendant. Je me retrouve à égalité, sans mon tee-shirt. Tu te colles à moi et je souris. Je souris parce que je pense à tout ce temps qu’on a perdu tous les deux, quand tu te forçais à me voir comme une simple amie. Je n’étais pas ta « came ». Mon oeil. Je sais que t’es dingue de moi. Toutes les autres meufs que tu rencontreras n’auront jamais le pouvoir que je peux avoir sur toi et inversement. T’es le seul qui peut me faire craquer en une seconde. Bizarrement, ce soir, t’es particulièrement délicat et tendre, une facette que je n’aperçois quasiment jamais. Qu'est-ce qu'il t'arrive ? Nos visages à un centimètre à peine, je te regarde avec admiration tout en laissant mes doigts envelopper tes joues « Je t’aime Liam Gremlins, depuis toujours » Ça me fait du bien de le dire à voix haute, enfin de l’entendre pour de vrai et non dans ma tête. Ça me permet d’affronter mes sentiments de plein fouet et surtout de te les transmettre. Faut que tu le saches quoi, je t’aime et je t’aimerai toujours. C’est bon, fini de se regarder droit dans les yeux, j’te veux. J’enroule alors mes mains à ta nuque et je te force à venir me rencontrer plus charnellement. Je m’enivre. Je caresse doucement ta bouche de la mienne et j’entrouvre mes lèvres pour effleurer ta langue. Jamais j’aurais cru qu’un truc pareil pourrait se produire. Je couche avec mon meilleur ami, la prunelle de mes yeux, le plus gros queutard de Boston et de ses alentours. « J’suis toujours la femme de ta vie ? » te demandai-je en rompant notre baiser, mes doigts suivant le creux de ta colonne vertébrale pour aller chercher tes fesses..

@Liam Gremlins
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
La meilleure façon de se rendre compte à quel point on tient à un truc c’est de le perdre… Un dicton que Liam et Louison semblaient bien connaitre car il s étaient comme deux aimants. C’était sans doute bateau et du déjà vu mais suit moi je te fuis, fuis moi je te suis, c’était eux ! C’était résumé à merveille leur relation. Ils suffisaient qu’ils se frittent pour revenir encore plus passionnant l’un vers l’autre, pour se rappelait l’amour qu’ils se portaient mutuellement et cela depuis des années, sous n’importe quelle forme, que ce soit sous l’amitié ou sous forme amoureuse. Ils étaient là prêt de l’autre et Liam la désirait ardemment, il voulait la possédé, même s’il n’avait pas la folie de pensé qu’elle était à lui. On ne pouvait pas réellement enchaîner la Chamberlain, elle était comme un oiseau, c’est dans le ciel à voler qu’elle était la plus belle et non en cage…   Liam savait intérieurement qu’à un moment donné il ferait un faux pas, que des deux il serait celui qui merderait. Tout le monde le savait, mais ce n’était pas le moment de cogité. Il était excité par les formes de Louison, par son corps et balader ses mains sur elle, désireux de sentir chaque centimètre carré de sa peau sous ses doigts. Sourire aux lèvres, il avait ce petit côté charmeur, doubler d’un redoutable prédateur. Ce sourire se fit moins plus doux quand il entendit le je t’aime de Louison. «  Je sais » lui répondit-il avec une insolence qui ne ferait sans doute qu’amplifier l’appétit sexuelle de la demoiselle qui hésitait souvent entre les baiser et l’étranglement. C’était trop facile de simplement lui répondre «  moi aussi » ou «  je t’aime » et tellement pas lui. S’il plaisait à Louison c’est parce qu’il n’avait rien de semblable avec aucun garçon. C’est parce qu’il était surprenant, autant qu’agaçant. Elle alla capturer ses lèvres et sa fougue lui tira un rire. «  Okays okays. Moi aussi je t’aime. Cette fois tu gagne. » Lui dit-il en plantant son regard dans le sien, plus amoureux que jamais. «  Hum… J’hésite » répondit-il encore une fois pour pousser le vise avant de répondre sans hésitation. « Toujours »

@Louison Chamberlain
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)