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Sous haute tension (Novella)

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Nouvelle soirée dans un bar… Fallait croire que ma nouvelle condition allait me rendre alcoolique. Quoique non… Avec juste de quoi me payer deux trois bières bas de gamme coupées à l'eau, je ne risquais pas la cirrhose. Mais fallait quand même souligner que le fait de vivre chez "mes parents" me poussaient à passer mes soirées dehors de la maison. Vivement que j'ai un "chez moi", entre guillemets hein, puisque je le savais je n'aurais que les moyens d'avoir une chambre dans la confrérie de mon choix, choix que je lambinais à faire. J'aurais pu aller squatter chez Sully, mais entre rouquinette qui n'avait pas l'air de me porter dans son coeur, et mini Sully et mini rouquinette qui devaient brailler H24, j'étais peut être mieux chez popa moman en fait. Et donc me voilà au bar, une nouvelle fois. Devant une bière fadasse que mon estomac refusait d'ingurgiter. Une jolie blonde entra dans l'établissement. Courbes parfaites, sourire ravageur, tout pour plaire. Une distraction parfaite pour la soirée, et qui sait, peut être une chance de dormir ailleurs que dans mon lit banlieusard cette nuit. C'est donc avec un oeil intéressé que je la suivis du regard, la détaillant alors qu'elle s'avançait au comptoir. Mais lorsqu'elle ouvrit la bouche, le charme se fana. Une vodka. Elle commandait une vodka. Légère grimace déjà. Je ne comprenais pas forcément ce goût populaire pour cette boisson ruskov. Elle buvait russe. Soit. Il lui fallait bien un défaut. Sauf que lorsque son téléphone portable sonna et qu'elle commença à parler dans l'appareil dans une langue étrangère aux consonances de l'est, je compris qu'il n'y avait pas que ses goûts qui étaient russes. "Qu'est-ce que tu fiches ici ? Rentre dans ton pays." l'interpellai-je sur un ton sec une fois qu'elle avait terminé sa communication et lâché son tél.

@Novella Francescov  
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L'enfer... Une chaleur infernale... Comment un lieu de cette chaleur pouvait-il exister en ce monde ? Et encore, cette chaleur étouffante qui m'asséchait la gorge aujourd'hui, n'était rien comparé à l'enfer qu'on allait vivre à l'au-delà. Je n'avais qu'une seule envie, boire. Boire des litres et des litres du premier liquide que je trouverai. Ajoutant aux effluves d'épices et à la chaleur une atmosphère quelque peu bizarre dans ces ruelles, je choisis d'entrer dans un bar portant un nom assez peu commun. Il y avait là des badauds habitués et quelques personnes qui tentaient de se faire discrets. L'endroit était bruyant. Je choisis alors d'aller m’asseoir à la dernière place la plus à droite du comptoir et je commande un verre de vodka. J'eusse le temps de boire une gorgée pour me rafraîchir la gorge que mon tel sonne. Je regarde le nom qui s'y affiche et je peste toute seule en répondant à mon père. Un soupir s'échappe de mes lèvres et se meurt dans l'air quand de nouveau, il me parle de mon mariage avec Vadim, et je ne sais combien de fois je dois lui répéter que je ne suis pas du tout prête à me marier. Ça va là, mes parents commencent sérieusement à devenir lourds, je ne sais pas combien de temps j'vais pouvoir encore tenir avant d'exploser de colère. Et comme si les absurdités de mes parents ne sont pas déjà stressantes, il a fallu que ta voix vienne s'interposer entre mes lèvres et mon verre que je m'apprêtais à boire. J'dépose le contenu sur le comptoir dans un petit bruit sourd et je tourne la tête vers toi, le regard quelque peu sanglant. « Et la politesse ? Ça ne s'apprend pas dans le tien ? » non mais de quoi je me mêle d'abord ? D'où sors-tu mec ? « Si tu t'ennuies, je te conseille d'aller te trouver une autre proie à emmerder ce soir ! » Je ne suis plus d'humeur là et surtout que la chaleur n'arrangeait en rien ma situation. J'sais pas pourquoi j'ai autant chaud et le pire, c'est que t'es encore là à me fusiller du regard comme si je t'avais fait quelque chose de mal alors que je ne te connais ni d'Adam, ni d'Eve. « Govnyuk ! » esquisse-je mesquine. Je sais que tu ne vas rien comprendre et c'est fait exprès. Maintenant, si tu pouvais me fiche la paix, ça m'aurait légèrement plus détendu.
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Une magnifique demoiselle qui entrait et ravissait mes rétines me fit un instant oublier la bière dégueulasse qui trônait devant moi. Oui quelques secondes de contemplation ravie avant de tomber de haut : déjà elle avait des goûts médiocres vu qu'elle commandait de la vodka et ensuite… Grosse douche froide. Voilà qu'elle parlait russe au téléphone. J'en zappais ma bière et mes bonnes manières et c'est sans pincette que je l'interpellais en lui assénant aussitôt l'ordre de rentrer dans son pays. Son regard assassin percuta le mien, et forcément c'est sur mon manque de politesse qu'elle m'attaqua. "Je sais être courtois, avec les gens qui en valent la peine." répliquai-je sur ce même ton agressif. Anti russe, pas raciste. Elle aurait été française, italienne, ou de n'importe quel autre pays que ça ne m'aurait pas dérangé. J'avais juste une grosse dent contre les ruskovs, et la blonde allait vite le comprendre. "J'irai nul part." assurai-je alors qu'elle me conseillait d'aller emmerder quelqu'un d'autre. " J'étais dans ce bar avant toi alors c'est toi qui vas dégager d'ici très vite." lançai-je. Sauf que plutôt que de bouger, elle me servit un je ne sais quoi dans sa langue natale et mon regard s'obscurcit un peu plus. "Je comprends pas ton dialecte de barbare. Mais visiblement, toi, tu ne comprends pas bien la langue de ce pays alors je vais être plus clair." Je m'approchai d'elle, mes prunelles se plantant dans les siennes, menaçantes : "Barre toi tout de suite. Et emmène ta vodka avec toi." Et pour faire passer le message, quand bien même elle ne maitriserait pas parfaitement l'anglais, je saisis son verre qu'elle n'avait pas terminé et le renversai intégralement sur elle…
@Novella Francescov  
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Je ferme les yeux, un vide cérébral rythmé par quelques lourds battements de cœur et un mal de crâne qui se profile à t'entendre me gueuler dessus alors qu'on s'connait même pas. Si je viens de me taper cinq minutes de calvaire au téléphone avec mon père, ce n'est pas pour que tu te rajoutes toi aussi. « À ce que je sache, ce bar ne t'appartient pas, j'suis donc libre de faire ce que je veux ! » et je voulais quand même rajouter quelque chose. « On s'connait pas, alors tu ferais mieux d'me foutre la paix avant que je ne devienne violente ! » Le regard que j'ai levé sur toi était noir. Je me fais emmerder par un malade mental ou comment ça se passe ? Ok t'es bien foutu, j'ai eu le temps de remarquer la couleur de tes yeux, mais viens pas me chercher, car tu n'aimeras sans doute pas, mes réponses. Tout comme l'insulte que je viens de te balancer dans ma langue natale. Et alors quand j'pense que tu me laisseras tranquille, te voilà qui te lèves de ta chaise pour te rapprocher de moi et planter tes yeux dans les miens. Je fais de même en restant stoïque, car si ton but à cet instant est de m'intimider, et bien cela ne marche pas. À défaut, tu prends mon verre d'alcool et tu le renverses sur moi. SALOPERIE ! Que j'ai eu envie de crier, mais je suis tellement choquée, qu'aucun mot ne sort de ma bouche. La mâchoire pendante, le regard en ébullition, je regarde le liquide qui coule à petit flot à l'intérieur de mon décolleté et ça m'donne des frissons avec la climatisation. Là, mon gars, t'es cuit ! Je te repousse violemment contre le tabouret derrière toi, exprès pour que t'en perds l'équilibre et que tu retrouves au sol. Une fois à terre, j'pique la bouteille d'alcool de la table juste à côté -pardonnez messieurs- et avant que tu ne te relèves, j'écrase mon talon contre ton torse pour te maintenir au sol sous le regard de toutes les personnes présentes dans ce bar. Et je renverse tout le liquide sur ton visage. « J'sais pas qui t'es, mais c'est évident que tu dois être un gros malade mental ! J'suis pas le genre de femme à se laisser marcher sur les pieds comme ça ! Tache de t'en souvenir crétin ! » le mot exact aurait été "Salopard" mais je reste toutefois polie devant la clientèle. Je retire mon pied de ton torse et j'dépose la bouteille sur le comptoir. J'attrape mon sac et un mouchoir pour sortir du bar et me nettoyer. Mais pour qui monsieur grande gueule se prend-il ? Nameho !

@Daniel Wright
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J'imposais à la jeune femme de s'en aller, d'une voix ferme, mais avec des arguments enfantins, en mode gosse de deux ans : j'étais là avant, casse toi. Toujours aussi courtois, ça me valut un refus de la blonde et son agacement qui augmentait. La voilà qui parlait de violences. "Vous les russes, vous êtes tous pareils, directement les menaces." répliquai-je. Sauf que ce fut moi qui lançait la première attaque. Pas de coup, non. Impoli et sans aucune bonnes manières, certes, mais pas fou au point de frapper une femme, pas encore. Non, c'est l'option gamine que je choisis là encore pour la faire déguerpir, un verre à la figure. "T'avais l'air d'avoir chaud, allez retourne dans ton pays il fait plus frais là bas." lui lançai-je en me marrant, profitant quand même de la scène pour laisser mes prunelles se perdre sur le tissu mouillé de son haut qui moulait avantageusement ses formes. Bien dommage qu'elle soit ruskov, parce qu'elle était tout à fait mon genre sinon… Sauf qu'occupé que j'étais à la mater, je ne vis pas la riposte arriver. Je me retrouvais soudain repoussé en arrière, butant contre un tabouret, finissant par terre dans la manoeuvre. "Hey… " ronchonnai-je en tentant de me relever. Quand je vous disais que les russes étaient des barbares violents… Sauf que mon geste pour me remettre sur pied fut arrêté par son talon contre mon torse. "Désolé Petrouchka, mais les délires SM c'est pas franchement mon truc." me moquai-je un instant, quelques secondes encore à faire le malin, parce qu'ensuite c'est une douche froide que je recevais en pleine tête. Relevant les yeux vers la demoiselle, je lui lançais un regard assassin alors qu'elle versait les dernières goûtes d'alcool sur moi. "T'es pas bien, tu vas voir…" Je voulus saisir sa jambe, mais trop rapide, elle avait déjà filé. La grosse voix du barman résonna alors "PAS DE SCENE DE MENAGE ICI LES AMOUREUX." La blonde tournait déjà les talons et je me permis donc de corriger : "On est pas du tout ensemble. Ca ne va pas la tête." Sauf que voilà maintenant j'étais trempé, je n'avais plus qu'à rentrer chez moi. Soirée gâchée par cette garce. Et le barman me donna alors la note pour la bouteille de vodka vidée intégralement sur mon pauvre T shift. "Attendez… quoi ? Vous la vendez ce prix là c'est du vol… Puis c'est leur bouteille à eux. Moi j'y suis pour rien si l'autre folle leur a volé." essayai-je de marchander, désignant les clients sur la table de qui mademoiselle Ruskov s'était servie. Regards noirs du groupe de molosses là bas, pas la peine de chercher à ce qu'ils règlent, j'allais finir arrosé de coups et non pas de vodka sinon. Je retirai alors mon T shirt, tentai de l'essorer dans la bouteille vide… Peine perdue, et la scène n'amusa par le serveur qui commençait à se douter que je n'avais pas la thune pour régler. Je reculai doucement, vers la sortie, en baragouinant : "En fait, t'as raison, c'était bien ma femme. C'est elle qui a ma carte bleue je vais la chercher…" J'ouvris la porte. "Chérie, attends moi…" Un pas. Deux pas sur le trottoir, et je me mis à courir en voyant que plusieurs employés de l'établissement commençaient à me courser. Fais chier bordel, j'avais pas fini ma bière. Et en passant près de la russe qui avait déjà avancé un peu dans la ruelle, je lui soufflai : "Traine pas trop Petrouchka, on va avoir des ennuis."

@Novella Francescov  
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« J'sais pas ce que t'as à pester contre les Russes, mais ne viens pas te défouler sur moi... » c'est quoi ton problème mec ? Ils n'ont pas dû te rater les ruskovs ein ? Pour que tu aies une aussi balaise dent contre eux. J'suis peut-être russe et fière de l'être en passant, mais viens pas me chercher des noix quand je n'ai absolument rien fait contre toi. Mec t'es qui même ? Ton visage ne me dit absolument rien, alors ne viens pas me mêler à tes histoires à la con bordel ! J'suis tranquille dans mon coin moi ! Tranquille, c'est vite dit. Tu m'as cherché et tu m'as trouvé. Si tu penses que je suis le genre de femme qui baisse la tête et qui s'enfuit lorsqu'on lui marche sur la tête et bien tu t'es carrément mise le doigt dans l'œil. D'ailleurs, je riposte à ma manière, profitant que tes yeux soient en train de scanner mon décolleté pour te pousser et te faire tomber. Non seulement ça m'insulte, mais ensuite ça mate wtf ? Au passage et pour finir en beauté, j'ai versé une bouteille d'alcool sur toi et je me suis tirée avant que tu ne viennes m'emmerder de nouveau. Je n'ai pas entendu ce qu'a dit le barman, car sinon, monsieur aurait avalé les dix centimètres de mes talons. Moi ? En couple avec ce malade mental ? Never... Dehors, je passe le mouchoir entre mes seins pour nettoyer l'eau qui avait coulé tout en prenant la direction de ma ruelle. Ruelle que j'aurais espéré voir plus proche parce que te voilà qui reviens à la charge. Tu me souffles des mots qui me font ronchonner et grincer des dents. « Novella, NOVELLA CONNARD ! » que je crie pour me faire entendre. Je suis soudainement retenue par les deux personnels de la boite alors que je m'apprêtais à courir. Pas de bol pour moi, mais par réflexe, j'offre un coup de pied dans les couilles de l'un et je retire mes talons pour envoyer à l'autre, un coup de talon sur la tête. De quoi les ralentir un peu. Je me mets rapidement à courir pour arriver à ton niveau. « Qu'est-ce que t'as foutu là-bas ! » M'exclame-je en repérant un buisson à l'entrée d'un parc. Ni une ni deux, je te pousse à travers, m'emportant avec toi dans la volée et me servant de toi comme piste d'atterrissage. Nous sommes donc derrière le buisson, toi allongé sur le dos et moi allongée sur toi. Je plaque toutefois mon index contre mes charnues et je murmure tout doucement, yeux dans les tiens. « Chut... » J'entends ces deux imbéciles approcher. Je regarde leurs pas à travers les feuilles, me mordant la lèvre et priant pour qu'ils passent leur chemin sans nous chopper.

@Daniel Wright
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Ne jamais énerver les russes. Fallait croire que j'avais pas retenu ma leçon parce qu'en essayant de chasser la blondinette du bar, j'avais réveillé une tornade. Et je m'étais également mis les boss de ce troquet à dos. Les voilà qui me coursaient, non contents que je me sois enfuis sans régler la bouteille qui avait servi de douche froide. Je passais devant blondie en courant, lui servant le petit sobriquet de Petrouchka, qu'elle n'apprécia pas. Je ne ralentis pas, même lorsqu'elle m'insulta, je savais que les molosses nous poursuivaient, je lui avais conseillé de pas trainer mais trop tard pour Novella de son vrai prénom, la voilà entre les griffes des employés enragés. Un coup d'oeil en arrière rapide, et je vis le sort qu'elle leur réserva. Eux aussi, ils auraient du retenir la leçon de ne jamais énerver les russes. Elle détala ensuite, me rattrapant en moins de deux et pas le temps de répondre à sa question, cette folle me poussait sans ménagement et je me retrouvais par terre, derrière une buisson. "Hey, mais t'es pas bi…" Coupé dans mes protestations par la demoiselle qui avait elle aussi fini sa course au dessus de moi, se servant de ma personne comme matelas d'atterrissage, elle m'intima le silence d'un chut et au bruit de pas des deux guignols, je compris que l'attaque de la blonde n'en était finalement pas une, et au qu'au contraire, elle venait de sauver nos miches en nous trouvant une planque. Sauf que là, avec la jeune femme allongée sur moi, buisson ou pas, barmans à nos trousses ou pas, russe ou pas, y'avait mon corps qui ne pouvait s'empêcher de réagir, mes idées qui ne pouvaient pas s'empêcher de divaguer. Sa poitrine collée à mon torse me faisait un autre effet que son talon qui s'y était trouvé un peu plus tôt. Son T shirt était toujours bien trempé, la moulant, une piège pour mes prunelles et mes mains voyageaient quant à elle le long de son corps, venant s'ancrer sur ses fesses malgré moi. Et réaction masculine oblige, je sentis que ça se raidissait sous ma ceinture. Alors espérant sauver la face, je la repoussais rapidos en ronchonnant : "T'es trop lourde, pousse toi de là…" Espérant que l'effet qu'elle avait eu sur moi serait passé inaperçu.


@Novella Francescov  
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T'es en train de me faire baver avec tes bêtises. Est-ce que tu vas enfin me dire c'est quoi ton nom ? T'inquiète, je ne compte pas t'assassiner dans ton sommeil, juste savoir le prénom de celui qui m'donne une puissante migraine à cet instant. T'es bizarre. Très bizarre. Encore plus lorsque je sens l'une de tes mains glisser le long de mes courbes dorsales. J'arrête de respirer un instant, mon regard fixe un point quelconque sur le buisson, bien que mes pensées soient portées sur ta main qui longe mon dos et se plaque sur mes fesses. C'est quoi ça ? Le tissu trempé de mon décolleté se frottant à ma poitrine n'était absolument pas agréable. Mais ça encore ça passait. C'était surtout mon crâne que je sentais... Ça pulsait là-dedans et je ne contrôlais plus les pensées autour de moi qui me parvenaient, suite à ton geste. Et pourquoi je frissonne à ton geste ? Je reste quand même une femme avec des envies à combler, mais tout de même ? Allez, mettons ça sur le compte d'une brise de vent qui vient casser un peu l'ambiance. Néanmoins, le temps que je puisse ouvrir la bouche pour annoncer que les deux barmans sont partis, que tu me pousses sur le côté. Ok, tu aurais pu y aller doucement aussi non ? « J'ai une putain de discothèque gothique hardcore dans ma tête c'est horrible ! » Ça fait "Boom-Boom ! Woooor !" Et je suis sûr qu'ils sont en train de faire du pogo là-dedans. Je vais attendre que ça se tasse pour me lever. Repoussant ma chevelure en arrière, je tourne mon visage vers toi, le regard brûlant d'une lueur taquine. « Il doit se sentir à l'étroit ton machin ! » Tu crois que je n'avais pas senti que tu commençais à bander ? Bordel, je crois que je t'ai fait de l'effet et ton entre-jambe peut le prouver. Puis soudain, j'éclate de rire. L'adrénaline qui retombe, car mine de rien, j'me suis quand même un peu amusée à semer ces deux cons. Et cette situation est plutôt drôle. Non ? T'es encore fâché là ?

@Daniel Wright
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Il faisait drôlement chaud d'un coup derrière ce buisson, j'en aurais presque oublié qu'elle était russe, la blondinette qui me surplombait. Mes mains baladeuses et mon regard qui l'était tout autant semblaient également l'avoir oublié. Finalement, je me repris, la poussant sur le côté en sentant que mon entrejambe réagissait un peu trop à cette proximité entre nous. Je ronchonnai un truc sur son poids, et elle, elle répliqua en me faisant part de son mal de crâne. "C'est ce qui arrive quand on boit de la vodka ça Petrouchka. Tu devrais te mettre au sky." Répondis je sans me relever encore, en essayant de retrouver ma contenance, scrutant le buisson. Je pensais que c'était gagné. Que ma trique était passée à l'as. Sauf que c'était trop tard. A sa réplique je compris qu'elle avait très bien capté l'effet qu'elle m'avait fait. Je lâchai la végétation des yeux et mon regard télescopa le sien, brillant, joueur,  alors que qu'elle parlait de l'étroitesse dans laquelle je devais me sentir. "Viens donc vérifier par toi même..." lui lançai-je alors avec défiance, une lueur amusée dans la voix. Sauf qu'elle se mettait à rire et là  je me remis à grogner : "Bordel ils vont nous entendre... Chut..." Et ma main venait se plaquer sur sa bouche pour étouffer le son de son rire. Craignant que les deux lascars ne rappliquent à nouveau. "Tu sais que c'est ta faute qu'ils me coursaient ?" Lui chuchotai je alors, me disant que ça lui ferait peut-être passer toute hilarité. "Puis tu me dois une chemise.T'as bousillé la mienne..."


@Novella Francescov  
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La situation est devenue un peu bizarre. S'il y a deux minutes, tu m'en voulais pour je ne sais quelle raison, maintenant, ce sont tes mains qui partent à la découverte de mes courbes. Pas que j'trouve ça déplaisant, mais je ne saisis pas trop la situation-là. T'es bizarre, encore plus quand ton entre-jambe réagit à notre proximité. Preuve que je te fais de l'effet, mine de rien. T'as beau pester contre moi, tu ne peux pas lutter contre ça. « Et toi, si tu commençais déjà par m'appeler par mon prénom ? Novella. C'est beaucoup plus joli à entendre ! » Je ne sais pas comment tu t’y es pris pour m'faire oublier mon mal de crâne, mais je dois admettre que ce petit désagrément m’a fait drôlement plaisir. J’ai un peu ricané à tes remarques. Surtout lorsque tu m'invites à venir tâter la marchandise pour vérifier que ton machin est bien à l'étroit. Tu ne me connais pas, tu ne sais donc pas, que je suis capable de le faire, juste pour te mettre mal à l'aise. J'en rigole, parce que vraiment, tu ne sais pas à qui tu as affaire. J'suis pas une femme comme les autres et tu t'en rendras bien vite compte. Fin, pour le moment, tu plaques une main contre ma bouche pour étouffer mon rire et descendant mon regard sur tes doigts, une idée me traverse l'esprit. Je mords doucement ta paume, sans pour autant te faire mal. Je veux voir ta réaction et je veux surtout pouvoir reprendre mon souffle. « J'te dois rien du tout. Fallait rester dans ton coin aussi, rien de tout ça ne serait arrivé ! Et en quoi c'est ma faute si tu t'es fait poursuivre ? » C'est de ta faute je te dis, t'avais qu'a pas venir pester contre moi. Tu t'es attiré tout seul, mes foudres. Je redresse pour m'asseoir et je me penche doucement vers toi. Lentement surtout. Mon regard alternant entre tes yeux, les soutenant le plus sérieusement du monde. « Maintenant, vérifions si j'ai raison... » Je fixe ton entre-jambe afin que tu saches où je veux en venir. Bah quoi ? C'est toi qui m'a donné le feu vert non ? Allez, en plus, tu me défis et j'y réponds. Mes doigts se posent délicatement sur la ceinture de ton jean, qu'ils caressent brièvement, puis descendant sensuellement au centre, là où ton machin stationne et durci rapidement à mon contact. Un nouveau sourire empli de malice s'étire sur mes charnues, mon regard ne quitte pas le tien. Je stoppe tout soudainement et je retire ma main pour glisser une mèche blonde derrière mon oreille. « Il est minuit passé, cendrillon doit rentrer. C'était un plaisir... » ou pas. « J'crois pas qu'ils reviendront... » ces deux barmans. J'pense qu'on les a semé non ?

@Daniel Wright
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