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GRACE E. JOHNSON ► Kathryn Prescott

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Grace Elisabeth Johnson
fiche; en cours - terminée

C'est le 1er janvier 1991 à Détroit, que la famille Johnson m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Grace. Grace Elisabeth, mais tout le monde m'appelle Gracie. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale aisée. J'ai décidé(e) de poursuive des études à Harvard en Langues, je suis maintenant en senior. Et pour terminer, je fais partie des Eliot House.

Études

D'où me vient mon amour des langues ? Pour être tout à fait honnête, je n'en ai aucune idée. Disons que cela fait partie de moi et que je ne peux me l'expliquer. D'ailleurs et aussi loin que je m'en souvienne j'ai toujours été passionnée par les langues et cultures étrangères. C'est même très jeune que j'ai commencé à apprendre ma première langue étrangère : le français. Si j'aime ce domaine au point d'exercer un métier qui s'y rapporte? A n'en pas douter! Ce que j'aimerais c'est occuper un poste important qui me permette d'échanger avec, voir même de voyager dans le monde entier. Je me vois bien dans le commerce internationale, ça me plairait assez. Pourtant le commerce, ce n'est pas facile et je sais de quoi je parle, je l'ai choisi en second domaine d'étude. Alors oui c'est un peu compliqué, mais je m'accroche parce que je suis une battante et que je suis persuadée que je vais finir par y arriver. Puis comme on le dit si bien : faut se donner les moyens d'y arriver. Enfin - au pire des cas, si ce projet venait à ne pas se concrétiser, je me dis que je pourrais toujours enseigner et ça me console. Le chinois ou le français, peu m'importe réellement. J'affectionne de manière égale ces deux langues alors, vous pensez bien que je prendrais ce qui voudra bien se présenter.


Caractère

Vous parler de moi? Sérieusement ? Oh je vous en pris ça suffit, épargnez-moi ça, ne faites pas comme si ma personnalité vous intéressait. Et puis vous vous prenez pour qui d’abord, avec toutes vos questions ? Mon psychologue ? Ou bien mon conseillez d’orientation?! Que ce soit l’un ou l’autre, sachez que… D’accord, okay c’est bon, je rend les armes, j’abdique, je vous dirais tout. Mais ne comptez pas sur moi pour vous enjoliver la situation. Il faudra me prendre comme je suis ou passez votre chemin, c’est compris ? Bien! Alors, le moins que l’on puisse dire c’est que je ne suis pas simple comme fille. Voir même pas du tout. J’aime me compliquer la vie et, chambouler celle des autres. Le calme, la simplicité, l’obéissance? Je ne connais pas. Pourtant, mes parents ont essayé de me façonner. Ils ont bien essayé, mais ils ont lamentablement échoué. Car la vérité est que j’ai toujours été une affreuse tête-brûlée. Une petite fille adorable et bien élevée certes, mais qui faisait toujours ses coups en douce et parvenait à se décharger de toute responsabilité. Alors oui, je pense que l’on peut dire que je suis futée, probablement un peu fourbe et manipulatrice dans la foulée, mais qui pourrait m’en blâmer ? Certaines font bien pire de nos jours, faut pas se leurrer! En plus d’être têtue et caractérielle, il m’arrive aussi d’être un peu trop froide et directe, mais ça c’est simplement quand la personne me tape sur le système. Parce qu’en temps normal, la plupart du temps même, je suis plutôt joviale, amusante et sociable. Un peu trop fêtarde, c’est vrai. Mais il paraît que c’est de mon âge. Sinon ? J’adore aller vers les gens et, faire de nouvelles connaissances, il paraît même que je suis plutôt attachante. Dire que j’ai le contact facile ? Ça me semble approprié, oui. A ma connaissance, j’ai peu ou pas d’ennemis. S’il m’arrive de mentir? Est-ce vraiment nécessaire de poser la question ? Je ne suis qu’une humaine voyons, puis ce n’est pas un crime. Il n’empêche que quand j’ai le choix, je dis plutôt la vérité, d’ailleurs beaucoup ont du mal avec mon franc parler, mon besoin d’honnêteté. Si j’ai quelque chose à dire, je le dis, sans me poser de questions, sans m’y préparer. Ça sort comme ça vient et parfois, j’en conviens, ça peut blesser. De fait, dire que je manque de tact, c’est un peu léger. Que pourrais-je ajouter, que pourrais-je ajouter? J’ai fait le tour je crois. Oh, non. La question que tout le monde se pose, celle qui vous brûle les lèvres au point de vous faire hurler! Et avec les hommes? Comment je suis ? Qu'est-ce que je fais ? Au risque d'en décevoir certains, je ne suis pas si exceptionnelle que ça. Ça dépend des mecs, mais en général je suis plutôt frivole, voir même carrément désinvolte. Garce sur les bords ? A l'occasion seulement et quand ils l'ont bien cherché. De toute manière et tant que personne ne me prendra dans ses filets, je continuerai de simplement: m'amuser. Alors oui, j'en prends, j'en jette, je trie sur le volet, mais franchement pour avoir été amoureuse par le passé, je peux vous dire que je ne suis pas prête de me laisser piéger. L'amour ça craint et, à moins que le type ne soit exceptionnellement incroyable, à la limite de la perfection je dirai, faut pas qu'il espère passer le cap des trois semaines/un mois, sans jouer l'effrontée. Non pas que je n'ai pas de cœur ou que je sois incapable d'aimer, mais j'ai trop souffert, j'en ai suffisamment bavé. A la gente masculine - désormais, de payer les pots cassés!


Everyone Has Their Own Story

EPISODE ONE : WHEN I WAS A YOUNG GIRL.
Maman est morte par un beau matin du mois de mai. C'était un lundi, je crois. En l'an 1999. Je me souviens avoir beaucoup pleuré ce jour-là, que dis-je, je me suis littéralement effondrée sur place. Contre l'avis des pédopsychiatres qui me suivaient à l'époque, mon père m'a quand bien même emmener voir ma mère sur son lit de mort. Nous l'avons veillé jusqu'au petit matin. L'un comme l'autre nous tombions de sommeil, mais nous avions tenus bon parce qu'on nous avait averti que c'était bientôt la fin. Et le plus drôle dans tout ça, le plus tragique ? C'est qu'elle a attendu qu'on ferme les paupières pour s'éteindre. Même dans sa dernière heure, ma génitrice s'était efforcée d'être forte et humble. Une très belle personne que ma mère, une femme extraordinaire même. Quand j'y repense, je me demande bien pourquoi cela a fait si mal. Pourquoi j'ai eu l'impression que son décès était trop soudain, brutal. Parce que l'on savait qu'elle allait bien finir par s'en aller. Ce n'est pas comme si l'on n'y était pas préparés ? Enfin théoriquement j'entends, parce que je crois que, quelle que soit la situation, il est toujours difficile de laisser un proche s'en aller. Maman avait un cancer du sang, une foutue leucémie! Vous connaissez ? Moi, de mon côté, du haut de mes huit années, j'ai vu son état évoluer, empirer, jusqu'à complètement se détériorer. C'est à peine si elle pouvait me baiser le front à la fin, tant elle était épuisée. Papa de son côté a commencé à sombrer. La vie à la maison était tout aussi terne, si ce n'est plus terne encore que les quatre murs entre lesquels maman reposait. Papa a commencé à boire. Au départ c'était simplement quelquefois, histoire de se donner une contenance, de remonter la pente. Puis il s'est laissé piéger. L'alcoolisme a toujours fait des ravages, ce n'est pas une nouveauté. Au départ j'étais trop inquiète pour maman pour m'en préoccuper, mais j'ai bien vite compris que les choses allaient déraper et, c'est le jour où l'on nous a annoncé qu'il n'y avait plus aucun espoir de la sauver qu'il a lâché prise et, tout abandonné. Moi, y compris. Depuis ce jour-là, je crois que je ne l'ai plus jamais vu de la même façon, ni même autant admiré et aimé. Les années ont passé et peu à peu, mon paternel est devenu cette loque inintéressante et alcoolisée dont j'ai appris à me désintéresser. En 2001, deux ans après le décès de maman, les services sociaux sont venus me chercher. Ils m'ont expliqué que papa n'était plus en état de s'occuper de moi, qu'il avait besoin d'être épauler, de se soigner. Si j'ai été en famille d'accueil ? Non, on me l'a épargné. J'ai été vivre chez mes grands-parents paternels. J'ai été heureuse là-bas, c'est vrai. Granny et Grand-Pa étaient adorables avec moi, attentionnés et, pour la première fois depuis longtemps je me suis sentis véritablement aimée. Épanouie, heureuse et en sécurité. Jusqu'à ce que cette vieille sorcière ne vienne tout chambouler, jusqu'à ce qu'elle ne me prenne pour sa Cendrillon et essaie de me briser.
GRACE E. JOHNSON ► Kathryn Prescott 393093anigif
EPISODE TWO : I HATE YOU.
« Je te déteste Katie ! » hurlais-je, en claquant la porte de ma chambre. « MAMAN ! Je t’ai déjà dit de m’appeler MAMAN! » s'égosillait-elle depuis le rez-de-chaussée. Bon sang ! Cette affreuse mégère allait finir par me tuer. Je n'en pouvais plus de vivre à ses côtés. Quand je pense que papa avait eu la bêtise de l'épouser, j'en restais bouche-bée. D'autant plus que cette femme n'avait rien pour elle, hormis ses seins siliconés. Elle n'avait aucun semblant de jugeote, quand au degré d'intelligence dont on l'avait doté? Je vous laisse imaginer. Au fond, je crois que ce qui me mettait le plus en colère n'était pas tellement le fait qu'il se soit remarié, ni même qu'il ait choisi une femme aussi exécrable non! Le pire c'est qu'il m'avait brutalement arraché à une vie douce et joyeuse, que j'avais appris à apprécier. Je me sentais bien chez mes grands-parents. J'étais heureuse et, je ne me souciais de personne. Mes résultats scolaires s'étaient même sacrément améliorés. Qui plus est, je m'étais fait pas mal d'amis dans mon nouveau quartier et, dans l'école qui le touchait. Alors pourquoi ? Pourquoi avait-il subitement décidé de tout m'enlever ? Pour elle ? Croyait-il réellement qu'une bimbo décolorée, imbue d'elle-même, allait pouvoir LA remplacer?! Avait-il la sottise de croire que nous formerions un jour une grande et belle famille? Il déraillait. Il n'avait rien compris. Et je lui en voulais tellement d'être sans arrêt parti et de me laisser seule avec elle, ici. Je lui en voulais tellement que j'ai fini par le détester. Purement, simplement. J'ai cessé de l'aimer. Alors pour faire simple, disons que j'ai grandi et évolué dans un foyer assez compliqué où je me suis sentie à de maintes reprises plus bas que terre, repoussée et totalement inintéressante et in-intéressée. Je n'ai jamais pardonné à mon père de m'avoir délaissé comme il l'a fait. Je lui en ai bien fait baver d'ailleurs, je me suis vengée. Mais je ne regrette rien, il l'a bien mérité. Au fond, je pense que c'est lui qui a fait de moi la femme têtue et déterminée que je suis aujourd'hui. Et pour être tout à fait honnête je ne sais pas si je dois l'en remercier ou le blâmer?! Matériellement parlant, je n'ai jamais manqué de rien. Les Johnson ont toujours eu énormément d'argent. Ils possèdent une multinationale, de nombreux hôtels et tout ce qui va avec je crois. Mais honnêtement? Si c'était à refaire, si j'avais pu choisir ma destinée, ma vie, mes parents; j'aurais choisi de vivre différemment. Peut-être aurais-je eu moins d'argent, moins de belles choses et de jolis vêtements, mais à contrario j'aurais eu une mère, de l'affection et une petite chance d'évoluer convenablement.
EPISODE THREE : GIRL, YOU'LL BE A WOMAN SOON.
Un rayon de soleil, un petit coin de ciel bleu, une lueur d'espoir. Voilà tout ce qu'Adam représentait pour moi. Je l'ai rencontré le jour de mes 17 ans et, immédiatement j'ai su que quelque chose allait se passer, qu'il était différent. Avec du recul, je me demande comment j'ai pu ainsi me tromper à son sujet. Beau, grand, musclé et attentionné, il avait tout du petit-ami parfait. Je me suis bêtement laissée charmer. Enfin, j'en parle comme s'il m'avait trompé au bout de la première semaine et que nous nous étions presque instantanément séparés, mais ce n'est pas vrai. La vérité est que nous sommes restés ensemble durant plusieurs années. Deux ans, pour être plus précise. Deux années parsemées d'amour, de douleur, de plaisir, de tristesse, de tendresse, de haine. Je crois qu'il m'a déchiré le cœur. C'est bête de dire ça, je me sens bête, mais que voulez-vous que je vous dise ? Je l'aimais. Simplement je l'aimais. Plus que quiconque, mais peut-être pas assez. J'essayais d'être douce et attentionnée, mais peut-être que je n'y suis pas arrivé. J'ai surtout été stupide, ouais. Stupide de croire qu'il partageait mes sentiments. Ridicule de penser qu'il me soutiendrait. Parce qu'aussi cliché cela puisse paraître, j'ai attendu son bébé. Un accident, une petite pilule, rien qu'une, oubliée. Et le drame qui en a découlé. Au début j'ai pensé qu'il m'aimait assez pour rester, que nous allions élever cet enfant ensemble et demeurer tous les trois pour l'éternité. J'ai eu tort. Parce qu'Adam n'a pas été enjoué par cette grossesse, bien au contraire. Il m'a hurlé dessus, menacé de me quitter si je refusais de me faire avorter. Mais, j'avais beau l'aimer, je ne pouvais me faire à l'idée d'enlever une vie, de le tuer. C'était notre bébé. Mon bébé. Et je l'aimais déjà bien plus que je n'aurais pu l'imaginer. Alors j'ai refusé et, Adam m'a abandonné. J'ai eu beaucoup de mal à m'en remettre et, cette grossesse a été compliquée. D'abord parce que mon père a eu du mal à se faire à cette idée et que ma belle-mère n'avait de cesse de hurler que je faisais honte à notre famille, que je ne valais rien, que je n'étais qu'une traînée et j'en passe. Ensuite, parce qu'elle m'a longtemps immobilisée. J'ai été très malade, j'ai mal vécu cette courte maternité. Je dis courte, parce que j'ai finalement perdu le bébé. A huit mois de grossesse. Je sais c'est bête, mais j'ai voulu attraper ce livre rangé en haut de cette étagère, alors je suis grimpée sur un escabeau, mon pied a dérapé, j'ai chuté, la suite: vous la connaissez. Cette perte m'a anéantie, je suis restée de longues semaines enfermée à pleurer. C'était tout ce qui me restait d'Adam, ma raison de vivre, vous comprenez ? Mais mon insouciance a tout gâché... Alors à mon tour, j’ai sombré. J’ai touché à la drogue, bu jusqu’à la déraison, j’ai déconné. Puis un beau jour j’en ai eu assez. Je suis sortie et j’ai décidé qu’il était temps de faire table rase du passé et, d’avancer.
EPISODE FOUR : TODAY..
Aujourd'hui ? Je crois pouvoir dire en toute franchise que je m'en suis remise. Que j'ai oublié. Il m'arrive d'y penser c'est vrai, mais je n'étais pas prête à materner. Maintenant, je le sais. Et puis j'ai la vie devant moi, j'aurais d'autres occasions. J'aime ce que je fais, j'ai des projets professionnels en bataille et, par-dessus tout je ne peux m'empêcher de faire la fête ! J'adore ça. Me déhancher, boire jusqu'à la déraison, être posée et en oublier tous les soucis, mon passé. Je ne me lamente pas sur mon sort. Je ne suis pas à plaindre. Papa est riche. Belle-maman est une femme influente. J'ai tout ce dont j'ai toujours rêvé. Pourtant, je ne peux m'empêcher de me dire qu'il me manque quelque chose, que... je ne suis pas celle que j'avais imaginé. J'en suis même loin, à y repenser. C'est comme cette maison, cette « fraternité » dans laquelle on m'a poussé. Jamais, jamais je n'avais envisagé y entrer. Pas le moins du monde! Je voulais faire dans la simplicité. Mais Papa et Katie m'y ont forcés. C'était ça ou ils me coupaient les vivres. Avec pleins de projets en tête et l'envie de pouvoir un jour m'émanciper, je n'ai eu d'autre choix que de me plier à leur exigences. Parce que sans leur argent, il n'y aurait pas eu de faculté. Sans faculté, je ne pourrais jamais concrétiser mes projets. Et si je ne les concrétise pas, alors je ne serai rien de plus qu'une pauvre fille paumée et désillusionnée. Je ne veux pas être cette fille. Je ne veux pas lui ressembler. Katie, un contre exemple parfait. Enfin, présentement ma vie n'est pas si mal il faut bien l'avouer. Je n'ai pas de quoi me plaindre. Ce que j'étudie me plaît. J'ai un bon cercle de connaissances et pas mal de beaux garçons avec lesquels m'amuser. Je fais la fête sans arrêt, je multiplie les rencontres. Que demandez de plus ? L'amour? Être aimée? Je n’y crois plus vraiment, à dire vrai. Mais s’il venait à me tomber dessus, disons que je résisterai un peu, avant de me résoudre à l'accepter. Parce qu'après tout l'amour c'est vache, l’amour ça craint, mais, que ferions nous, sans amour ?

the face behind
↬ PSEUDO/PRÉNOM - apple_juice.
↬ ÂGE - 19 ans.
↬ PAYS/RÉGIONS - France.
↬ OÙ AS-TU CONNU LE FORUM - Top 50 RPG (obsession).
↬ TES IMPRESSIONS - Très joli forum avec un contexte qui me plaît et actif qui plus est.
↬ CRÉDIT(S) - Nyneeh and tumblr.
↬ AVATAR - Kathryn Prescott.
↬ SCÉNARIO OU PI? - PI.
↬ LE MOT DE LA FIN - :luv2: .

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bienvenue parmi nous!
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    Merci :bow2: (Candice :love2: )
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ELIOT HOUSE hanwii Le meilleur choix que tu aurais pu faire, bravo :loukas:
GRACE E. JOHNSON ► Kathryn Prescott 2157042859

Bienvenue ! GRACE E. JOHNSON ► Kathryn Prescott 3850463188
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Kathryn hanwii

Bienvenue et bon courage pour ta fiche GRACE E. JOHNSON ► Kathryn Prescott 2109348208
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:excited: :P Chou andy dis-moi ouii... Andy ! wowowo ! Pardon pulsion ! Enfin je prends en note ce que tu m'as dis ! Puis, si tous les mâles de cette maison sont aussi choux GRACE E. JOHNSON ► Kathryn Prescott 749226586 Amanda GRACE E. JOHNSON ► Kathryn Prescott 3400909363 (j'adore cette fille !). Merci à vous deux pour l'accueil en tout cas !
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Ah nan, pas les Rita Mitsouko sinon je deviens violent o.o ... XD
Ooh héhé t'inquiète on est sexy chez les Eliot 8D...


De rien GRACE E. JOHNSON ► Kathryn Prescott 2511619667 Au plaisir d'avoir un futur lien obligatoire avec toi face XD
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    Bienvenue sur ILH :luv2:
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D'accord, d'accord, je me tais GRACE E. JOHNSON ► Kathryn Prescott 3619069448
J'ai hâte de voir le reste de l'équipe, et de nous trouver un lien hanwii :devilish:
hanwii hanwii hanwii hanwii hanwii GRACE E. JOHNSON ► Kathryn Prescott 73120010 GRACE E. JOHNSON ► Kathryn Prescott 73120010 GRACE E. JOHNSON ► Kathryn Prescott 73120010 GRACE E. JOHNSON ► Kathryn Prescott 73120010 GRACE E. JOHNSON ► Kathryn Prescott 1001568715 GRACE E. JOHNSON ► Kathryn Prescott 1001568715 GRACE E. JOHNSON ► Kathryn Prescott 1001568715 :dance: :dance: :dance: :excited: :excited: :excited: :love2: :love2: :love2: GRACE E. JOHNSON ► Kathryn Prescott 3338944726 GRACE E. JOHNSON ► Kathryn Prescott 3338944726 GRACE E. JOHNSON ► Kathryn Prescott 3338944726 ROBERT SHEEHAN ou l'amour de ma vie ! Merci pour l'accueil (en espérant grapiller un petit lien quand je serais validée GRACE E. JOHNSON ► Kathryn Prescott 3087562708 )
PS : GRACE E. JOHNSON ► Kathryn Prescott 2488611924 le gif dans ton profil
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    Sorry Mais Elitot....eurk ! xD

    Pourquoi pas si j'arrive te faire changer d'avis et te ramener ches les Mather :loukas:
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