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Calvin & Anastasiya ✝What Goes Around...Comes Around

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What Goes Around...Comes Around .


La discussion commençait tout simplement à l’agacer. Calvin avait toujours su voir juste et poser les mots adéquates pour qualifier le genre de situation qu’elle vivait . Elle ferma les yeux et fit tomber son verre de vin qui ce dernier ce brisa en plusieurs morceaux. Je ne suis pas jalouse ! Pas jalouse de lui ! C’est juste que je peux pas Calvin … j’y arrive pas , je veux pas de cette situation, je veux vivre ma vie dit-elle en sentant les larmes couler sur ses joues. Ses doigts se refermèrent autour de l’un des morceaux de verres qu’elle tenait ce qui provoqua une coulée de sang de sa main à son bras pour en laisser des traces au sol -heureusementquec’estpasKlauslevampire :Arrow: - Se laissant choir contre l’un des meubles de la cuisine, elle se laissa aller pour la première fois qu’elle était ici, pour la première fois depuis qu’on lui avait annoncé qu’elle allait devoir se marier. Relevant son regard plein de larme vers lui, elle secoua la tête avant de la baisser à nouveau Non … non tu le sais très bien que je pense pas ça … c’est juste que j’ai eu besoin de toi moi aussi … et j’en ai parlé à personne de ce que je ressentais vraiment … parce que je suis pas faible …. dit-elle en essuyant ses joues qui se remplissaient aussi vite. Je veux pas pleurer … c’est une marque de faiblesse et je le suis pas ! Son père lui avait toujours dit que pleurer était une marque de faiblesse, alors elle s’interdisait bien souvent de le faire, accumulant ainsi , encore et encore le poids de ses peines sur ses épaules. T’étais ou bordel Calvin quand j’avais le plus besoin de toi , tu peux me le dire ?! voilà que la colère reprenait surface. Elle ne voulait pas être faible, alors elle réprima encore ce qu’elle ressentait , elle devait être forte c’était ce qu’on attendait d’elle. Mais Calvin tu es mon ami, mon cousin …je vois pas pourquoi d’autre personne pourrais avoir l’esprit mal tourné puis depuis quand tu écoutes ce qu’on dit sur toi … tu sais très bien que dans notre monde, le moindre de nos mouvements sont sujet & critiquer alors un peu plus un peu moins … C’est pas comme si le fait de ce voir était mal placé ou quelque chose de mal … dit-elle en se relevant. J’ai juste besoin qu’on me rappelle qui je suis parce que j’ai l’impression de perdre pied depuis que je suis ici , je met à ressentir des choses que je ne devrais pas et ça me blesse , parce que je peux pas !!
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Le verre à vin percutait le sol de plein fouet, éparpillant des bouts à travers la cuisine impeccable des Eliots. Quelque chose de rouge attirait mon regard, sa main était en sang et elle ne semblait pas s’en rendre compte. Des larmes cristallines coulaient le long de ses joues et cette vision me laissait sans voix. Je n’avais pas vu à quel point elle souffrait. J’écoutais ses mots avec attention. Je voulais l’aider à panser sa blessure, mais ce n’était pas encore le moment. Non, elle n’était pas faible. Au contraire, elle était forte de supporter tout ça. Le devoir était dur, dur à supporter, dur à appliquer sans éprouver des sentiments opposés. Je m’avançais prudemment vers elle. « Non, tu n’es pas faible. Pleurer ne veut pas dire être faiblarde. Au contraire, chaque être humain en a besoin pour évacuer. Je sais que chez les aristocrates on nous apprend à ne pas agir en tant que tel, mais plutôt comme des machines. » Je me taisais, le cœur lourd de la voir ainsi. Bon dieu, je m’en voulais de l’avoir laissé. J’aurais aimé réparer cette erreur, mais c’était impossible. Le mal était déjà fait. Oui, j’aurais dû être là.

Des personnes auraient put se faire des films, parce que l’aristocratie c’était ça ! Même si certains savaient que c’était faux ils continuaient à alimenter leurs fausses rumeurs pour vous enfoncer, pour s’élever et se rendre intéressant. « Tu sais comment ils sont. La cours est remplit de personnes hypocrite, un tas d’immondice. Je me méfie particulièrement de certaine personne et je ne voulais pas que mon grand père croit ça .. je ne voulais prendre aucun risque surtout maintenant.. » Oui, parce que maintenant j’étais fiancée et que cela changeait considérablement mes plans.

Je prenais une serviette dans un placard et m’approchait d’elle. J’ouvrais sa main avec délicatesse, enlevait le verre et entourait sa blessure du tissus. Vu comme ils étaient propres elle ne risquait pas de s’infecter. Je relevais la tête et plongeais mes yeux dans les siens. « Je sais qui tu es.Tu es Anya, la fille qui aime s’amuser et avec qui ont peu parler pendant des heures. La fille intelligente qui fait face aux critiques des autres. A mes yeux tu es simplement cette fille et pas seulement la duchesse. Puis, comme tout le monde tu évolue et peut être que cela te fait peur. Une autre réaction aurait été inquiétante. C’est normal, la vie est ainsi faite. » Je passais mon bras autours de sa taille pour l’attirer vers moi. Je la prenais dans mes bras, mais je savais que cela ne suffirait pas pour la calmer. Je m’éloignais et laissais échapper un faible sourire. « Maintenant, tu veux bien me laisser te soigner avant que cela s’infecte ? » Derrière ce sourire, une vague de nostalgie s’emparait de moi. Je repensais à quelques années plus tôt, alors que tout nous paraissait plus simple, moins compliqué pour chacun.



HJ : Mouhahaha non je ne vais pas me transformer en vampire (a)
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La coupe était pleine, elle n’en pouvait plus. Cela faisait bien longtemps qu’elle ne s’était pas laissé aller de la sorte, qu’elle n’avait pas pleurer, mais sa vie semblait lui échapper. Elle avait l’impression d’être une machine ou bien un pion qu’on déplace, mais en aucun cas elle avait l’impression de savoir qui elle était, de vivre sa vie. Tout devenait compliqué et elle ne voulait pas affronter la réalité, elle ne voulait pas vivre la vie d’une autre. Elle voulait faire ses propres choix quoi qu’il advienne. Etait-ce trop demander ? Doucement, la duchesse releva son regard vers Calvin, un regard triste mais un regard tout à la fois fort et destructeur. Elle n’allait pas continuer à se lamenter sur son sort non. Si Calvin, c’est ce que sa veut dire pour moi et surtout pour mon père … Je lui aurais surement fait honte en agissant comme ça et je bénie le ciel qu’il ne m’est pas vu. dit-elle en se redressant. Oui elle devait être forte, c’est comme ça qu’elle avait été éduqué. Elle était cette femme aux allures de glaces, qui ne se souciait que de très peu de monde et qui surtout avait un self control hors du commun, elle devait se prendre. Faire partie des faibles ? Très peu pour elle ! Elle était tout en haut de la chaîne alimentaire, qu’elle le veuille ou non et elle devait respecter cela . Peut être bien, oui je te l’accorde je suis une machine et tu sais quoi ça me convient comme ça. dit-elle en regardant sa main emplit de sang. Tout compte fait la seule chose qui motivait Anastasiya dans tout ça c’était tout simplement la reconnaissance de son père. Il avait toujours voulu avoir un héritier pas de chance, c’était une héritière. Bien qu’elle ait été traité comme une princesse depuis sa plus tendre enfance, elle avait l’impression de le décevoir …
Je comprend c’est bon … t’en fais pas ! J’aurais pas aimé qu’on pense des choses aussi, mais tu vois par moment j’ai envie de partir loin de tout ça ou bien même d’avoir une autre vie … Je veux dire regarde , je cherche désespérément la reconnaissance et la fierté de mon père et regarde ou ça me mène dit-elle en lui montrant la cuisine d’un geste de main vindicatif. Dans une cuisine à boire un verre de vin, à pleurer comme une petite fille et à me blesser … C’est pitoyable ! dit-elle en fermant les yeux un instant. Oui, agir comme une machine c’est ce qu’elle avait toujours su faire, mais aujourd’hui ici, elle apprenait peu à peu ce qu’était la vraie vie, loin de tous le confort du palais. Elle avait toujours vécu dans uen cage doré et aujourd’hui on lui permettait de prendre son envol et c’était assez dure parce qu’au final elle était encore fragile bien qu’elle n’avait de cesse de prouver le contraire. … ma mère m’a dit pour ton mariage arrangé aussi … dit-elle en le regarda un instant dans les yeux comprenant parfaitement ce qu’il était en train de vivre. ça te rend heureux toi ?

La duchesse se laissa finalement faire, laissant sa main à la merci de Calvin. Les mots qu’il prononça par la suite eurent le don de lui arracher un mince sourire, cependant ses yeux parlaient pour elle. Elle avait beau donner une autre facette d’elle à la terre entière, lui la connaissait parfaitement. De son autre main, elle serra son poignet pour le remercier. Merci Cal … Oui vas’y j’ai pas envie de me faire amputer dit-elle en riant légèrement avant de fermer les yeux et de finalement laisser aller sa tête contre le mur.

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« Bordel non tu n’es pas une machine ! Tu es humaine ! Je sais ce que sait de devoir porter tout ça sur les épaules ! Je n’ai pas un peuple certes, mais j’ai aussi une famille à honorer. Je sais comment ils peuvent êtres dur et tu n’es pas pitoyable. » J’avais hurler. Oui, parce que j’en avais marre de la voir souffrir autant, parce qu’elle voulait être à la hauteur de tout ! Marre de ne pouvoir rien faire et que tôt ou tard cette colère se transforme en une bombe à retardement. Elle se calma peu à peu, mais je pouvais continuer à lire cette souffrance sur son visage. Chose qu’elle se donnait tant mal à cacher. Le visage qu’on portait à la cours était froid, hautain, fermée. Je savais ce que c’était. Si Anya et Alekseï ne serait pas né j’aurais été un candidat potentiel au trône et je m’en voulais de voir qu’au final c’était elle qui avait hérité de cette souffrance. Heureusement, que je n’avais pas hérité de ce fardeau, mais pourquoi elle ? Puis vint une question qui me laissait sans voix. Alors comme ça tout le monde était au courant ? Qui d’autre encore ?! « Comment ta mère est-elle au courant ? Laisse moi deviner.. Mon grand père. Je parie qu’il a prévenu tout le monde alors que moi-même je viens de l’apprendre. » Il avait tout manigancé et je le soupçonnais d’avoir ça en tête depuis un ou deux ans. Quand il m’avait présenté Anthéa à un ballet. « Je suis confronté à quelque chose que je ne désirais pas, mais que veux-tu. Le devoir familial passe avant tout le reste… ». La voir rire même très légèrement me fit sourire. Moi qui tentais de lui remonter le morale. Je prenais une trousse de secours caché dans l’un des placards. A croire que c’était souvent qu’une personne se blesse dans cette cuisine. Je rinçais sa blessure à l’eau froide. « Ça risque de piquer un peu. » Je mettais de la bétadine sur une compresse et pansait sa plaie avec puis je lui faisais un pansement. Admirant mon chef d’œuvre je me retenais de rire. « Bon ok c’est pas très jolie, mais le principale c’est que ça cicatrise. »


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Waouh, pourquoi hurlait-il comme ça. Le ton qu’il prenait la laissa un peu pantoise pour le coup. Elle ne savait pas quoi lui répondre. Alors certes, le fait qu’il lui dise qu’elle n’était pas une machine et qu’elle avait le droit, elle aussi de ressentir quelque chose la fit sourire. Oui, elle en avait le droit mais le faire c’était autre chose. Elle ne voulait pas que sa famille est honte à cause de ses sautes d’humeurs, parce qu’en effet, si elle se laissait aller les tabloïds parleraient souvent d’elle. Bien qu’elle fasse des siennes ici avec les autres étudiants, elle se surprenait à chaque fois qu’aucune information ne remonte aux oreilles de ses parents, cependant, elle n’allait pas s’en plaindre. Calvin .. Je sais tout ça, mais tu connais mon père et il est loin d’être aussi tolérant que le tiens, surtout depuis nos fiançailles avec Alexs, alors oui, je sais qu’il m’aime, qu’il veut le meilleur pour moi blablabla mais regardes le pouvoir change les hommes, tu y aurais cru toi qu’un jour les Kataïeva et les Ivanovitch se réuniraient ? dit-elle en arquant un sourcil. En effet quand on connaissait les deux familles, cette union était inimaginable en vue de leur histoire mutuelle quelque peu commune.
Tu sais très bien que tout ce sait en Russie … dit-elle en levant les yeux au ciel. Je suis pas d’accord, regarde ce qu’il nous arrive, c’est pas juste, on a pas demandé ça Calvin , j’ai pas envie de me marier à ce mec, ose me dire que c’est ce que tu désires … Tu vois par moment j’ai tellement envie de tout envoyer balader Calvin confirma ses dires en lui disant que non , ce n’était pas ce qu’il désirait. En plus je l’aime pas ta fiancée, elle n’a aucune personnalité, je suis la seule reine des glaces ici dit-elle en croisant les bras sur sa poitrine, boudeuse avant d’éclater de rire.
Par la suite, Anastasiya se blessa avec une verre à pied, ce dernier ayant éclater dans sa main . Elle laissa Calvin s’occuper des soins et en voyant le résultat, elle fit une drôle de tête. Pas très jolie ? Calvin je suis sure que si je veux jouer au ping pong j’ai même pas besoin d’une raquette dit-elle en éclatant de rire.


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Elle n’avait pas tord sur un point. Mon père était plus tolérant que le sien, plus tolérant que mon grand père. En faite, le père d’Anya me faisait penser à mon grand père. Tout les deux étaient exigeants, du moins c’est ce que j’avais put constater. Bien sûr que je connaissais son père, mais je ne lui avais parlé que rarement et nos conversations restaient superficielles. Le pouvoir changeait les hommes. C’était bien dit. Bon dieu que cela devenait ennuyant. Même loin de cette fichue cours, j’éprouvais la désagréable impression qu’elle m’avait suivit. « C’est vrai. Sans annonce officielle, j’aurais eu du mal à y croire. » Tout envoyer en l’air, c’est ce que j’aurais aimé faire, mais je ne pouvais pas. J’avais des responsabilités et je ne pouvais pas annuler tout les projets de ma famille par pur égoïsme. Après tout, j’étais l’héritier des Mikhailovitch. Je devais leur faire honneur. « Non, ce n’est pas juste, mais la vie n’est pas juste. La pauvre, elle devra être cocue toute sa vie. » Je plaisantais, mais dans un sens c’était la vérité. Je ne l’aimerais sans doute jamais. Vous me direz qu’à force de passer du temps ensemble on tomberait amoureux blablabla, mais vous vous mettez le doigt dans l’œil. Le fait de ne pas avoir choisit mon épouse me restera à jamais coincé dans la gorge ! Je riais à sa seconde remarque. Mon dieu la reine des glaces de Harvard avait une concurrente. Quel drame ! « Une garce de plus ! Je plaisante. Ecoute t’en fais pas, je ne pense pas qu’elle t’arrive à la cheville. Tout le campus ne parle que de la poupée Russe. Voit la plutôt comme la reine des yetis ! » Je parlais pour ne dire que des conneries. « Je dis ça parce que la première fois que je l’ai vu elle est entrée par effraction dans mon appartement comme une bourrue. » Dire du mal d’elle devait me soulager non ? Ce que je disais n’était pas drôle et pourtant j’avais la désagréable impression que c’était une façon de ma rassurer, de me protéger. « Non en effet, c’est pas très jolie, mais ça cicatrisera vite. Toi joué au ping pong sans une raquette ? Je veux voir ça ! » Je la taquinais pour détendre l’atmosphère.

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