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Calvin & Anastasiya ✝What Goes Around...Comes Around

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What Goes Around...Comes Around .

Certes, la jeune femme n’habitait plus dans la résidence des Eliots, mais elle aimait s’y retrouver loin de son nouveau quotidien. C’était en quelque sorte son petit refuge, tout simplement parce qu’elle savait que son fiancé n’y mettrait pas un pied. Poussant cette grande porte massive aux douces ornures, elle regarda le salon qui était vide pour une fois. Aucun Eliot en vue ou du moins plus. En effet la cheminée crépité encore et les flammes étaient encore vives. Fermant la porte, elle souffla un instant, se sentant totalement libéré. La jeune femme ne perdit pas un instant pour aller dans la cuisine se servir un bon rosé et s’installer devant la cheminé, un bon bouquin à la main. Du moins, un bon bouquin… les examens arrivaient à grand pas et elle avait cette terrible impression de ne pas être prête. La jeune Russe ne pouvait pas se permettre d’avoir des C ou encore des B. Non elle devait viser les A à longueur de temps, tout simplement parce qu’elle voulait garder le dessus sur Alekseï, elle voulait prouver qu’elle était la mieux placer pour endosser le rôle de tsarine, mais autant dire que c’était terriblement chiant. Lançant le bouquin un peu plus loin, elle allongea ses longues jambes et attrapa le dernier vogue qui était dans son sac. La mode et la princesse, une véritable histoire d’amour. Bien entendu, elle ne pu s’empêcher d’éclater de rire quand elle se vit en photo au bras de son fiancé à la page 34. Quelle mascarade. Buvant une longue gorgée, elle entendit la porte s’ouvrir et aussitôt elle fit semblant de s’être endormi, magazine sur le visage. Elle ne fuyait pas en aucun cas car en effet elle ne savait pas qu'elle était la personne, mais elle avait besoin d'être au calme, d'être seule et de profiter de ce moment pour s'occuper d'elle. Les pas se firent de plus en plus entendre et dans un petit coup d'oeil discret, elle remarqua que c'était son professeur référent. Un petit sourire se forma sur ses lèvres, l'éthique pouvait enfin tomber puisque personne n'était autour. Cependant, tout avait changé depuis leur rencontre, depuis qu'elle avait appris qu'il était le cousin de son promis, qu'il était professeur référent , une certaine distance s'était immiscé entre les deux protagonistes c'est pourquoi elle ferma à nouveau ses paupières continuant de faire semblant de dormir.
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Should've known better when you came around


Calvin & Anastasiya ✝What Goes Around...Comes Around  S9nhC

La journée avait été rude et mon cerveau était encore en ébullition. Je pouvais encore entendre les questions de mes élèves. J'avais ressenti le besoin de faire une pause, c'est pourquoi j'avais décidé de faire un tour à la maison des Eliot. J'étais leur professeur référent et au niveau de l'âge nous n'avions pas beaucoup d'écart. Poussant la lourde porte je trouvais la maison vide, du moins c'est ce que je pensais. Tournant la tête vers le salon, je trouvais une jeune femme allongée, un magazine de mode sur le visage. Dormait-elle vraiment ? Elle avait des cheveux d'un blond impériale et une silhouette élancée que je reconnaîtrais entre mille. Lorsque je rencontrais une personne je m'efforçais de retenir ses mimiques pour pouvoir la reconnaitre dans n'importe quelle situation. En l'occurrence, je me retrouvais en présence de la future tsarine de Russie autrement dit ma cousine éloignée. Depuis notre rencontre un lien fort c'était installé entre nous. Je l'appréciais pour ce qu'elle était vraiment et je faisais tout pour pouvoir la rassurer et la protéger lorsqu'elle n'avait pas le moral ou que quelqu'un lui voulait des ennuis. Anastasiya était belle et je ne pouvais pas m'empêcher d'être attiré par son charme. Depuis mon arriver ici, j'avais pris une certaine distance avec elle. Elle était fiancée à Alekseï futur tsar de Russie et avant tout son fiancé. De plus, lui aussi était mon cousin et je venais tout juste de commencer à me rapprocher de lui.Je savais que ce n'était qu'un mariage arrangée sinon cela aurait déclenché des désaccords politiques. Tout ce que la Russie voulait éviter en ces temps difficiles. Les Russes voulaient le retour d'une autocratie et il ne fallait pas montrer son désaccord sinon les requins risqueraient de se faufiler dans la brèche.

Un verre de vin était posé sur la table et je décidais de me servir aussi. Je reconnaissais bien là, la trace d'une éducation aristocratique. L'alcool apaisait toute notre pression bien mieux que la cigarette. Je buvais une gorgée tout en observant la jeune femme. Après quelques minutes je la vis ouvrir un oeil, sans doute pour voir ce que je faisais. Je profitais de cet instant pour lui montrer que je la savais réveillée.

« Debout la belle au bois dormant. Je sais que tu ne dors pas et si tu veux mon avis tu joues très mal ce rôle. »

J'ironisais bien sûr. C'était étrange de lui parler après toute cette distance, même en cet instant j'avais du mal à trouver les mots juste. Quelque chose avait changé.


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La journée de la Russe avait été éreintante, après de longues heures de cours sur la politique française, autant dire que les français aimaient se compliqués la vie elle avait soudainement éprouvé le besoin de se retrouver au calme. Elle savait pertinemment qu’en rentrant directement chez elle, elle retrouverai Alekseï et que surement une dispute allait éclater. Autant dire que c’était leur passe temps favoris. Même si par moment ils leur arrivaient de passer des bons moment ils finissaient toujours pas trouver la petite bête et se disputer. C’était un peu comme un rituelle néanmoins ce soir elle n’en avait pas envie. C’est pourquoi de suite après ses cours, elle s’était rendu à l’Eliot House. Secrétement, elle désirait n’y trouver personne, ne pas être obliger de sourire continuellement pour faire croire que sa vie était un conte de fée, elle ne l’était pas c’était certain. Poussant la porte, elle remarqua que la résidence, du moins le salon était vide et cela la fit sourire. Se prenant un petit verre de vin, elle s’allongea près du feu de cheminé histoire de se réchauffer, c’est que le froid semblait s’être définitivement installé sur le campus, bien que cela ne la gêne guerre, surement l’habitude de la Russie. Cependant, quelqu’un semblait avoir l’audace de troubler son silence, son moment de solitude tant désiré. Faisant semblant de dormir sur le canapé des Eliot, elle ne pu s’empêcher de rester d’un œil qui était cette personne et un petit sourire se forma sur ses lèvres quand elle reconnu Calvin. Calvin était son cousin éloigné, un cousin avec qui l’alchimie passait bien, vraiment bien. Tournant le visage rapidement, elle se fit cependant griller. Il était fort très fort et semblait la connaître plus qu’elle ne le croyait. Au son de sa voix, elle se releva et posa son magazine sur la petite table en verre. Je suis très bonne comédienne et il me semble que tu es bien placé pour le savoir… moi qui voulait avoir une carrière en tant qu’actrice à Holywood tu viens de détruire mon rêve .. dit-elle en faisant semblant d’être miné par cette nouvelle. C’était de l’ironie, rien de plus mais elle ne savait plus comment se comporter en sa présence et autant dire que cette distance qu’il avait mit entre eux l’avait quelque peu chagriner. Et ça va tu n’as pas peur qu’Alekseï nous trouve ici, en train de parler tous les deux non parce que je ne voudrait pas que tu es de problème à cause de moi Calvin dit-elle dans un petit sourire arrogant. En effet elle n’avait pas apprécié. Se levant, elle prit son verre en main et alla dans la cuisine pour se servir à nouveau, autant décompresser à fond même si elle savait pertinemment qu’elle allait être pompette bien assez vite, n’ayant pas tellement l’habitude à bientôt 20 ans de boire énormément.
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Désoler effacer par erreur quand j'ai voulut prendre mes codes u.u

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En effet, Anastasiya n’avait pas apprécier l’éloignement soudain de Calvin surtout au profit d’Alekseï. Est-ce du favoritisme ? Pourquoi s’être éloigné d’elle ? Bien entendu, elle ne se gêna pas de lui faire comprendre en lui lançant un petit pique sur cette situation assez distante qu’ils entretenaient aujourd’hui. La vie qu’elle menait été déjà bien assez dure, devant partager son appartement, sa vie , sa réputation mais aussi son trône avec le duc de Russie et voilà que maintenant il lui « volait » Calvin. Pas qu’elle considère le jeune homme comme un objet mais elle pensait juste que leur relation était plus profonde que ça, plus importante à ses yeux et pourtant tout porté à croire que non. Décidant de changer de pièce pour peut être ne pas s’énerver d’autant plus, elle entra dans la cuisine commune des Eliots pour se prendre à nouveau un verre de vin après avoir fini le sien, rapidement. Ses mains étaient appuyé contre le marbres du plan de travail , lorsqu’elle senti une présence derrière elle. Ses mots lui firent froncer les sourcils mais en même temps sourire. Si tu ne le crains pas pourquoi as-tu préférais me laisser seule pour te joindre à lui je comprend pas … dit-elle en se retournant rapidement face à lui Et pourquoi pas après tout, c’est bien connu , les princesse ont tout ce qu’elle veule non ? dit-elle en levant ses yeux vers lui. En effet, elle voulait retrouver leur complicité d’autant et ainsi diminuer cette distance qui semblait s’être installé entre eux. De toute manière j’ai pas besoin de toi, si tu préfères passer tout ton temps avec un personnage sans grand intérêt tu fais ce que tu veux après tout

Attrapant son verre, une fois l’avoir remplit, elle s’installa sur, assise, sur le plan de travail tout en faisant tourner le vin dans le verre en boule qu’elle avait choisi. Comme tu le dis se ne sont que des souvenirs entre temps j’ai eu le temps de m’endurci vois-tu mais ça tu ne peux pas le savoir En effet cela pouvait être agaçant, elle lui en voulait et elle lui faisait comprendre , mais au fond d’elle cela l’avait touché et les moments qu’elle pouvait passer avec lui en Russie lui manquait. Il était l’épaule sur laquelle elle savait qu’elle pouvait se reposer qu'importe les circonstances, il avait toujours été là pour veiller sur elle et aujourd’hui elle se sentait comme abandonnée. Puis il ne me semble pas que deux verres de vin puisse faire de moi une alcoolique il parait que c’est pour bon la santé.
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Then I came to comfort you.


Calvin & Anastasiya ✝What Goes Around...Comes Around  S9nhC

Si seulement je pouvais lui expliquer pourquoi j'avais décidé de prendre mes distances avec elle. Je pouvais lui dire que c'était pas respect au couple qu'elle allait former avec Alekseï. Pourquoi du respect ? Après tout, c'était une jeune femme que j'appréciais et que j'essayais de protéger du mieux que je le pouvais. Alors, pourquoi me sentais-je obliger de mettre des distances avec elle ? Moi-même je ne saurais répondre à la question, peut-être parce que je ne voulais pas paraitre trop imposant. Buvant une gorgée de vin, Anastasiya me répondait avec ce tempérament qui était propre aux princesses. Je ne pus m'empêcher de sourire, amusé par cette fougue qui l'habitait.

Son fiancé n'était pas une personne sans intérêt, mais ça elle s'en rendrait compte plus tard. Je ne le connaissais pas aussi bien qu'elle, mais de ce que j'avais vu cela m'avait rassuré. Il était évident qu'il n'était pas aussi prêt qu'elle pour endosser un tel devoir. Il devait murir plus et comprendre certaines choses. Soit Anastasiya lui ouvrirait les yeux soient il allait le faire tout seul. Dans cette entreprise je ne pouvais pas l'aider, juste le soutenir. J'avais parlé avec lui et sur certains points nous n'étions pas si différents. Même si je n'étais pas l'héritier du trône j'avais moi aussi beaucoup de responsabilité à assumer. Pour l'instant, je n'avais pas eu à épouser quelqu'un, mais tôt ou tard ma famille allait me présenter quelqu'un avec l'espoir que je tombe dans leur panier. Mon père n'avait pas vraiment d'avis la-dessus, mais je sais qu'il se plierait aux exigences de l'aristocratie. En tant que descendant d'un des anciens tsars, mais aussi un descendant des Romanov j'avais des conditions à respecter. Il ne faut pas oublier qu'une bonne partie des nobles descends des Romanov même si cela est très éloigné. Si Anya et Alekseï n'avait pas existé, surement qu'ils auraient été remplacés par d'autre héritier un peu moins proche. Ce que je voulais dire, c'était que tôt ou tard je serais amené à épouser une noble, car oui en tant qu'aristocrate je me devais d'épouser une femme au sang royal ou noble, d'origine russe de préférence.

« Il serait sage de ta part de voir au-delà des apparences. Il n'est pas aussi dénué d'intérêt que tu le penses, mais ça tu le comprendras sans doute plus tard. Après tout, tu es sa fiancée. Tôt ou tard tu l'accepteras pour ce qu'il est. Ce que j'espère de tout coeur. Je ne voudrais pas te savoir malheureuse. » je marquais une pause tout en plongeant mon regard dans les siens.« Je ne t'ai pas abandonné, j'ai été occupé ces derniers temps. Pour ta gouverne, sache qu'à force d'abuser de tes privilèges tu risques d'en perdre le contrôle. Le peuple a besoin d'une tsarine qui ne soit pas égoïste, mais au contraire compréhensible et qui compati à leur malheur en essayant d'arranger leur situation. Tu devras leur insuffler de l'espoir. Tu vois même les princesses ne peuvent pas avoir tout ce qu'elle désire. »

C'était là son rôle. Elle avait tous les atouts en main, à elle de savoir s'en servir. Je reculais et m'appuyais dos au plan de travail droit de la cuisine tout en me resservant un verre de vin. Il est vrai qu'elle avait eu le temps de s'endurcir, cela pouvait se voir sur ses traits, mais quelque part en elle il restait cette petite princesse vulnérable. Je me rappelais de ses moments passé dans la salle de bal du palais de Saint-Pétersbourg. La salle était vide et nous en profitions pour faire les fous. Une fois, alors que ses parents n'étaient pas présents je lui avais dit de crier suffisamment fort tout ce qu'elle avait sur le coeur pour se libérer. Ses mots c'étaient alors, répercutés en échos sur les murs de la magnifique salle de bal. La suite, on l'avait passé allonger sur le sol tout en fixant l'immensité du plafond. Des souvenirs simples, mais qui semblaient être privilégiés.

« Ne jamais abuser des bonnes choses, car ils risquent de se retourner contre soit. » je buvais une seconde gorgée tout en la regardant. « Tu te souviens de la fois où je t'avais fait crier tout ce qui t'empêchais d'être heureuse dans la grande salle de bal ? »


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Le fait que Calvin prenne la défense d’Alekseï l’agaça réellement. Cette impression de ne plus exister à ses yeux commençait à l’envahir peu à peu. Premièrement, il prenait ses distances avec elle privilégiant la compagnie du duc de Russie et voilà maintenant qu’il lui disait qu’elle devait voir au-delà des apparences. Cependant, comment faire quand les apparences n’était pas trompeuse, quand une personne vous envoie une image négative généralement c’est la bonne impression, de plus la princesse c’était toujours fiait à sa première impression, même si quelque fois il arrivait qu’elle se trompait, notamment avec Apple par exemple. Calvin, tu ne le connais pas comme je le connais moi. Peut être qu’il te montre sa facette de gentil petit garçon prêt à faire face à toute les situations, à toutes ses responsabilités mais crois moi il n’est pas comme ça. Tu le connais toi le Alekseï colérique, qui se tape la moitié d’Harvard sans même prendre en compte l’éthique et surtout l’image que l’on doit donner. Tu vois je m’en fou il fait ce qu’il veut tant que ça ne me met pas dans une position délicate et tu crois que le fait qu’il se tape chaque soir une fille différente sans s’en cacher et bon pour mon image à moi ? Je passe pour la fiancé trompé à longueur de temps et qui pourtant reste à ses côté. Certes, il a d’autre bon côtés mais pour l’instant c’est pas celle-ci qui me montre tous les jours dit-elle en croisant ses bras sur sa poitrine. Malheureuse je le serai forcément c’est pas moi qui est choisi ce mariage et crois moi que c’est pas ce que j’avais prévu pour ma futur vie. La princesse aurait tellement voulu que son ascension au trône ne soit pas si controversé. Pourquoi fallait-il que les Ivanovitch revendique leur ancienne position sur le trône , ça faisait des siècles et depuis c’était sa famille qui y était, le Tsar Nicolaï Romanov était de sa famille merde. Et tes occupations s’appelait Alekseï j’ai compris tu sais …. En ce qui concerne mais futur devoirs il me semble que je ne suis pas en Russie ici et je sais quoi faire mon père me le répète à longueur de temps tu sais … juste que j’ai besoin de penser un peu à moi de temps en temps Voilà qu’elle était vexé et une princesse vexé - surtout elle - c’était assez dure à convaincre.


Face à Calvin, elle le regarda son verre en main tout en buvant une gorgée peut être est-ce pour lui montrait que oui elle faisait ce qu’elle voulait quoi qu’on lui dise, elle n’avait pas obtenue sa réputation de reine des glaces en faisant ce qu’on lui demandait justement. Ne t’inquiète pas pour moi, je sais où son mes limites Calvin Cependant, les souvenirs qu’il était en train de lui imposait la firent sourire un instant. C’est vrai que c’était le bon vieux temps en Russie, loin de toute cette comédie mais surtout au près des siens. Même si elle ne le montrait pas, sa Russie, sa famille, ses amis lui manquait et ce n’était pas facile tous les jours, même si elle s’était trouvait une nouvelle famille chez les Eliots et bien entendu heureusement qu’elle avait Andy, Keanu, Stan , Janna & Téo ici, sans tout ça , surement qu’elle aurait déjà craquée. Oui je m’en souviens mais si tu compte sur moi pour refaire ce genre de chose Cal… c’est pas la peine, on est pas en Russie ici … Elle le regarda un instant avant de secouer la tête et versa le vin dans l’évier. T’as vraiment tout gâcher en me laissant tomber comme ça .. Qui me dit qu‘au final maintenant que tu es proches de du Russe c‘est pas pour son compte que tu viens de moi , parce que figure toi que j‘ai l‘habitude de ses coups tordus.
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Il est vrai que je ne le connaissais pas aussi bien qu’elle. Peut-être même qu’il ne me montrait qu’une facette de sa personnalité, mais à force de le voir, j’avais crus y déceler quelque chose. Un mince espoir qu’il n’était pas aussi négatif qu’il voulait nous faire croire. Non, elle n’était pas heureuse et bien sûr j’aurais aimé lui maitre une bonne claque pour le réveiller, mais cela ne changerait rien. Anastasiya était plus calme que lui, elle avait pris conscience de ses responsabilités. Je l’avais véxé, pourtant ce n’était pas dans mes intentions. Je réfléchissais à ce que j’allais lui dire sans touché sa fierté.

« Tu te trompes. Je sais qu’Alexseï n’est pas aussi prêt que toi pour endosser ce rôle et d’une part je le comprends. On lui en demande trop, alors que lui ne pense qu’à s’amuser. Tu es plus sage que lui et tu as été formé pour ça. Comme moi et comme la plupart des membres de la haute cours, tu as été attristé du destin tragique des membres de notre famille. Que l’on porte différent nom ou que l’on soit plus éloigné cela ne change rien. Nous faisons partie de la même famille. » je buvais une gorgée, un goût amère envahit ma bouche. Je détournais le regard, me remémorant les témoignages du massacre des membres d’une partie de ma famille. J’encaissais en silence. Même si je ne l’ai avait pas connu, j’avais été chagriné de leur sort. Un de mes arrière arrière arrière .. grand oncle avait été assassiné lâchement : Serge Mikhaïlovitch.« « Les femmes ont toujours été le point faible des hommes. Surtout les jolies femmes, alors utilise ce que la nature ta offert et retourne cette situation à ton avantage. »

Ce qu’elle me disait me touchait. Non, nous n’étions pas en Russie ici. Mon pays natal me manquait et nos moments à deux me manquait, mais les choses avaient changés . Comment continué à être proche d’elle alors qu’elle allait bientôt se fiancé. Je n’étais pas insensible à son charme et j’avais peur qu’en continuant à nourrir un tel lien, notre relation allait évoluer et j’avais peur de nous voir souffrir. Après tout, elle était comme ma petite sœur non ?

« « Lui ni personne d’autre ne me mettra à sa merci !Je ne suis pas le genre de personne qui se laisse corrompre ! »Elle m’avait vexé sur ce coup là. « Les choses changent, on ne peut pas défier notre destin en restant les mêmes.» Je restais un instant sans mot. Non, je ne l’avais pas totalement abandonné.


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A vrai dire la duchesse n’aimait pas parler d’Alekseï surtout avec Calvin, pour la simple et bonne raison qu’elle avait cette fâcheuse impression qu’il le préféré subitement à elle, comme si elle avait perdu son statut de petite princesse à ses yeux. C’était certes un caprice comme un autre mais aussi une preuve d’égoïsme. Fille unique, elle n’avait jamais eu pour habitude à partager quoi que se soit et aujourd’hui là voilà obligé de partager tellement de chose qu’elle en devenait irritable. Prendre la défense du russe était devenu surement une habitude pour ne pas dire une passion pour Calvin.

Arrêtes de lui vanter des mérites à longueur de temps, c’est pas juste ce que tu dis, parce que tu crois que moi j’ai pas envie de m’amuser, tu crois que c’est juste pour moi ce qu’on me demande, qu’on ne m’en demande pas trop ? Je sais peut être que je te parais tout à coup nombriliste mais j’en ai marre d’entendre «  Oh pauvre Alekseï c’est dure ce qu’on lui demande » J’existe aussi ! Vexé à nouveau, elle lui tourna le dos, à vrai dire depuis l’arrivé du Russe, elle avait cette drôle d’impression d’avoir perdu de l’intérêt , tout le monde s’agglutiner autour de la nouvelle tête et la voilà obligé de partager l’affiche Je ne suis pas faite pour partager l’affiche, j’avance mieux toute seule qu’avec un boulet derrière moi. dit-elle en croisant ses bras sur sa poitrine, fermé à cette discussion, elle avait son avis sur Alekseï et elle ne le changerai pas de si tôt. J’ai quand même assez d’estime pour moi-même pour ne pas entrer dans ce jeux là et jamais je ne ferais ce genre de chose avec lui. Je ne suis pas ce genre de fille qu’on ramasse près des trottoir Calvin et tu le sais bien Ce qu’elle venait de dire n’avait en partie pas de sens, tout bonnement parce que lorsqu’il fallait jouer de ces charmes Anastasiya était la première à le faire. Elle aimait avoir ce qu’elle voulait et autant dire qu’elle y mettait les formes. Cependant, elle n’allait jamais très loin dans la chose, elle avait cette subtilité que d’autre n’avait pas et oublions toute forme de vulgarité ce n’était pas son genre.

Peut être était-elle allé faire dans ses mots, peut être qu’il ne méritait pas ça au final et pourtant elle n’avait aucune once de regret. C’était comme ça qu’elle le vivait, qu’elle ressentait la chose. Pour elle, il l’avait tout bonnement abandonné du jour au lendemain. C’est pour dire, il n’était même pas venue la voir le jour de son arrivé à Harvard préférant ainsi Alekseï. Assise dans le canapé, elle ramena ses longues jambes contre elle pour les entourés de ses bras et au final y poser sa tête. Voilà qui était la vraie Anya, une jeune femme qui ne savait plus sur qui comptait, une jeune femme a qui beaucoup de repère lui manquait mais surtout une jeune femme en mal de son pays. Elle avait tellement envie de retrouver sa famille, ses amis même si ici elle avait retrouvé tout ça ce n’était pas la même chose. Puis elle en avait tellement assez de cette situation cependant jamais elle ne lâcherait la couronne, c’était son du, c’était son héritage pas le sien. Alors elle endosser chaque matin cette armure de glace qui lui était propre, ne laissant presque personne l’approchait de trop prêt pour ne pas montrer quel était ses faiblesses. Pourtant ça en a tout l’air … dit-elle en regardant face à elle sans même lui adresser un regard. Cependant ce qu’il disait par la suite lui fit subitement tourner le visage. Et dis moi qu’est-ce qui a changé pour toi ? Pourquoi tu changes toi aussi ? Pourquoi tu me laisses comme ça sans m’expliquer pourquoi tu t’éloignes. Regardes ou tu es et ou je suis , y’a une distance que je ne comprend pas. J’ai l’impression que tu m’évites de toute manière et arrête de me sortir des excuses bidons tel que Alekseï qui a plus besoin de toi parce que le pauvre petit est perdu. Crois moi il sait très bien ou il va … Puis a quoi sa sert que je te demande je sais très bien que tu ne me répondra pas, pour me préserver c’est ça ? A croire que tous le monde veut me préserver
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Je ne lui vantais pas ses mérites, j’étais juste réaliste. Il avait ses défauts, mais avant tout il fallait lui reconnaître certaines qualités. Je voulais rendre la situation plus vivable pour elle, mais je savais que cela était impossible. Une vraie princesse ! Capricieuse avec la mauvaise manie de vouloir être le centre de l’attention. Cela était compréhensible, Anya avait toujours été adoré de tous parce qu’elle était polie, douce, intelligente, mais surtout parce qu’avant l’apparition d’Alekseï elle était la seule héritière du trône. Une évidence, elle ne supportait pas d’être noyée par la récente popularité de mon cousin. Anya n’avait pas besoin d’être effrayé, pour l’instant il était le nouveau joujou de la cour, mais tôt ou tard la vie reprendrait son court et à ce moment là, le peuple posera des questions.

« Allons Anya tu sais que tôt ou tard cette situation changera. Soit, tu n’es pas faite pour partager ta popularité. Je peux le concevoir, mais ne te laisse pas submerger par les émotions. A t’entendre on pourrait penser que tu es jalouse, ce qui n’est pas vraiment le cas. Je me trompe ? » je marquais une pause, m’approchant d’elle. « Pour l’instant il est leur nouvelle attraction, mais tu sais aussi bien que moi qu’après toute cette agitation, le peuple se posera des questions. Vous mettre en compétition aurait été trop fatiguant et cela aurait impliqué bien plus que la politique. » Je m’asseyais sur le fauteuil en face d’elle. Comment calmer une tempête ? «Oui c’est vrai en ce moment je n’étais pas très présent, alors tu pense que moi aussi je me suis rapprocher de mon cousin seulement parce qu’il est en tête d’affiche ? Voyons, si tu pense une telle chose tu me vexe. »

La vérité c’était qu’elle n’était pas seulement une héritière, mais surtout une femme qui était promit à un homme. Je ne voulais pas que ce dernier ce fasse des idées en nous voyant aussi proche. Cela aurait put aboutir à des querelles entre nos familles. Il était hors de question qu’il me voit comme un obstacle. Anya et moi avions toujours été proches. En écoutant ses remarques je décidais de lui dire la vérité, d’être honnête.

« Ecoute, nous ne sommes pas seulement cousin, nous sommes amis, de très bon amis et par respect à ton futur époux j’ai préféré prendre mes distances. Certaines personnes auraient put se faire des idées comme ça été le cas à une certaine époque. Vu les tensions actuelle, je ne veux pas que cela crées des querelles en plus de celle qui opposent certains membres de la cour. Bien sûr que tu me manque et que cela m’attriste de te voir dans cette état, mais que puis-je faire pour te soulager ? Pour t’aider à faire face à tout ça ? »


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