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Devil Side + April

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Tu t’allonges sur ton lit encore plus épuisé que la veille. Te battre avec elle c’est pire que tout. Ça draine ton énergie vital, ça te plombe le moral. Ce qu’il y a, c’est que tu ne peux pas vivre ta douleur au grand jour, tu dois tout garder à l’intérieur, jouer au mec qui s’en fou. T’es l’mec invincible c’est vrai, mais tu as un talon d’achille et c’est elle, cette petite blonde qui vient s’installer contre toi. Tu passes ton bras autour de ses épaules, la ramenant jalousement contre toi pour qu’elle entende clairement les battement de ton coeur battre sous son oreille. Tes doigts pianotent sur sa peau, partant de son avant-bras jusqu’à son épaule et tu répètes le processus quelques minutes avant de laisser ta main remonter le long de son cou pour finalement venir se perdre dans sa chevelure soyeuse et douce. T’as réussi à te calmer, ou plutôt c’est cette proximité qui a fait opérer la magie. Tes yeux sont clos, tu es bien. Mais les quelques mots qu’elle pousse ont tôt fait de te faire perdre les pédale. Ton myocarde s’affole, la rage pulse dans tes veines. Tes muscles se contractent légèrement sous l’effet de la rage, mais surtout de la peur. Tu ne permettra jamais qu’on te l’enlève, qu’elle quitte ce monde avant toi. Tu mets dieu au défi et si jamais il ose te la prendre, tu iras jusqu’en enfer pactiser avec le diable pour qu’elle te soit rendu. Un grognement sourd chatouille ta gorge avant que tu prennes parole. ‘’ Ton coeur ne flanchera pas April, j’te le promet. ‘’ Ouais parce que tu te prends pour le bon dieu, mais le fait d’avoir les recommandations de ton médecin, tu seras en mesure de veiller sur elle de façon étroite et stricte. Qu’elle te prenne pour son père, t’en a rien à foutre, tout ce que tu veux, c’est qu’elle vive plus longtemps que toi. Tes doigts s’emmêlent dans ses cheveux lorsque sa petite voix se fait entendre à nouveau. T’a le coeur gros, tu la sens son inquiétude et plus jamais tu veux qu’elle vive ce genre de chose. Tu la veux pleine de vie et enjouée, casse-couille et énervée… tout mais pas ça, non… t’as juste envie de tout péter de la savoir comme ça. ‘’ Hey… ‘’ Dis-tu en relevant son menton à l’aide de ta main libre. Tu veux qu’elle fixe ton regard, qu’elle prenne conscience de ton sérieux, parce que t’a franchement pas envie de plaisanter avec ça. ‘’ Je serai la pour toute les autres fois ok ? J’te laisserai jamais seule April, si tu vois que je suis en retard, prend le phone et appelle-moi, j’viendrai aussi vite que possible. ‘’ C’est une promesse, une nouvelle cicatrice sur ton coeur à défaut d’être tatoué sur ta peau couleur café au lait. C’est un contrat à vie pour toi… même quand vos chemins se sépareront, cette promesse tiendra toujours. Un fin rictus vient étirer le coin de tes lèvres et tu te fais du mal afin d’pas céder à l’envie de ses lèvres qui t’appellent encore une fois. Tu la fixe longuement, damn que t’es raide dingue de cette fille. Ton pouce appui doucement sur sa pulpeuse inférieur et tu soupir… à bout… Ton regard trouve le plafond, tu dois te calmer… ‘’ Il t’a dit quoi l’autre connard ? T’a besoin de prendre des médocs ? Tu dois éviter de faire certain trucs j’imagine ? ‘’ Demandes-tu sans déloger tes billes de ton plafond, tes doigts de nouveau actifs dans ses cheveux.
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Il te promet que ton cœur n’flanchera pas et tu veux y croire. En fait, t’as peur de voir son docteur, qu’il t’annonce que c’est pire que c’que tu croyais au départ. T’as la trouille, c’est dégueulasse comme tu as peur. Il te force à l’regarder, il est beau à faire damner un saint. Il te transperce du bleuté d’ses yeux, un choque parcourt ton échine. Tu n’sais pas pourquoi vous arrivez à être comme ça et puis HOP! C’est disparu et vous devenez tom&jerry, cette foutue bande dessiner à la con. « T’as intérêt à répondre à mes appels… » ta voix se veux menaçante, mais tu n’veux pas briser le calme que vous avez en c’moment. Pas qu’ce soit rare, mais vous vous disputez plus souvent qu’autre chose, faut être honnête. Il fixe le plafond et tu reposes ta tête sur son torse, une oreille sur le battement régulier de son cœur barricadé. Tu inspires et te résout à lui avouer « Oui, j’ai 3 sortes de médocs à prendre. Une pour la haute pression, une pour faciliter l’ouverture des valves de mon cœur pour qu’le sang circule plus librement et une autre pour le sang tout simplement…» Tu n’veux pas lui dire tous c’que tu n’peux plus faire, t’as peur qu’ça devienne une nouvelle source de conflit, mais t’n’as pas le choix, son docteur dira la même chose de toute façon « J’peux plus faire trop d’effort physique longtemps, j’dois prendre plus de pause que quelqu’un de normal. J’peux plus boire de caféine, café, boisson énergisante…j’peux pas fumer, même de temps à autres…boire de l’alcool est fortement déconseiller…» T’as envie d’pleurer ma pauvre, tu sais bien qu’tu ne respecteras rien d’tout ça -pour la plupart- « En fait…j’ai plus l’droit d’vivre…» Ta gorge est nouée de tristesse, mais de peur. Tu n’pourras plus jamais vraiment t’amuser, à moins que son docteur change le pronostique tu es condamnée à vivre une vie de merde. D’ailleurs ce cœur de merde se met à tambouriner violemment dans ta cage thoracique, normal c’est pour cette raison que t’es allée consulter à la base. Tu te positionnes sur le dos et prend la main d’Hakeem. Tu la pose entre tes seins, où ton cœur est situé -bande de pervers- « C’est pour ça que j’suis allée consultée…c’est comme ça depuis quelques temps. Pas toujours, mais souvent.» Tes yeux ancrés dans les siens. En général, tu lui dis tout, mais ça…la peur t’en avais empêchée.
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Tu étouffes un rire lorsque sa voix menaçante se fait entendre. ‘’ Mais oui et si je ne répond pas, tu sais ou me trouver. ‘’ Dis-tu simplement sans quitter le plafond une seule seconde. Tu profites du calme, de sa présence, son corps contre le tien. Cette envie de l’embrasser qui s’estompe graduellement pour faire place à la rage. Tu écoutes attentivement ce qu’elle te raconte à propos du ‘’ traitement. ‘’ Fronçant un peu plus les sourcils à chaque mot qui sort de sa bouche parfaitement bien dessinée. C’est de l’abus sérieux, rien de plus. ‘’ C’est stupide, j’suis certain qui a autre chose à faire que prendre ce tas de médoc… ‘’ Ronchonnes-tu tout en menaçant ton médecin par la force de la pensée. S’il tient à la vie, il est mieux d’émettre un diagnostic moins drastique et offrir une qualité de vie décente à celle qui fait battre ton coeur depuis tant d’année. La liste s’allonge et toi tu lèves les yeux au ciel, soudainement frustré contre elle. ‘’ Et t’as eu la brillante idée d’aller te faire un café… J’vais te coller une putain d’infirmière au cul si t’es pas capable d’être responsable. ‘’ Ta voix est autoritaire, non négociable. Tu veux qu’elle prenne soin d’elle et s’il faut que tu prennes les choses en main, tu le feras, quitte à ce qu’elle te déteste encore plus. C’est chiant toutes ces restrictions, toi-même tu n’en respecterait pas une seule… mais il y a une sacrée différence entre elle et toi… Elle, elle doit vivre tandis que toi… Tu sais qu’elle est triste et ça te fait royalement chier. Ça te retourne les tripes et t’a juste envie de cogner ce putain de médecin qui lui a fourni le triste résultat des examens… mais tu ne peux pas le faire. Du coup, tu essaie de prendre de grandes respirations, de penser à autre chose, mais toutes ces tentatives fondent comme neige au soleil lorsqu’elle quitte le confort de tes bras pour s’allonger sur le dos. Tu relèves la tête, curieux… mais surtout frustré par cette sensation de vide qu’elle a créé le long de ton flan. Tu l’observes longuement, t’attendant à tout sauf à ce qu’elle s’apprête à faire. Sans te prévenir, elle prend une de tes mains pour la déposer entre ses seins, à l’endroit ou se trouve son coeur. Est-ce qu’elle a au moins conscience de ce qu’elle est en train de faire ? De l’état dans lequel elle te met? Tu sens son muscle cardiaque taper contre ta paume… mais y’a pas que ça qui retient ton attention. Tu luttes contre tes pulsions primitives. Cette passion refoulée depuis toujours que tu tentes de faire taire. Tu serres les dents… bon dieu de merde… pourquoi t’es ce que tu es ? Un être putride jusqu’à la moelle. April ne sera jamais une chose pour toi, tu n’oserais jamais la baiser, ça non … avec elle, ça serait différent… une façon de faire qui t’échappe, mais plus douce et vrai que n’importe quoi d’autre. Tu t’allonges sur le côté, ton regard toujours ancré dans le sien. ‘’ J’sens pas très bien… ‘’ Marmonnes-tu en laissant ta main glisser jusqu’à ses cuisses ou se trouve l’ouverture de ton t-shirt. Tu pinces tes lèvres entres-elle tandis que tu remontes le tissus jusqu’à son bas ventre… et finalement au-dessus de ses seins. T’es en train de rêver mon gars. Tout ce que tu as toujours souhaité et désiré ardemment se trouve juste sous tes yeux… Tu as beau essayer de te retenir, mais tu ne peux pas… c’est juste impossible. À ton tour, tu viens entourer son sein d’une de tes main. pressant doucement sa chair ferme sous la paume de ta main et tu jures intérieurement… C’est trop… même ton corps semble s’éveiller à ce petit contact insignifiant. ‘’ Fallait pas faire ça… ‘’ Grognes-tu finalement en te penchant au-dessus d’elle pour venir déposer tes lèvres contre les siennes sans pour autant arrêter tes caresses sur sa poitrine durcie.
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Sa main se dirige vers tes cuisses et remonte ton -son- t-shirt jusqu’au-dessus de tes seins. Tu l’regardes, tu n’sais pas très bien c’qu’il est entrain d’faire. Il palpe ton sein puis ses paroles te propulse dans un tourbillon d’émotion, alors qu’il vient sceller tes lèvres des siennes. Ces charnus tant désirés, pour la deuxième fois aujourd’hui, il t’embrasse. Mais pourquoi? Pourquoi Diable, fait-il ça. Ton cœur s’affole, ton ventre se remplit d’papillon à la con, ta main vient se poser sur sa joue alors que, bien malgré toi, tu lui retourne son baiser. T’as mal, ce baiser t’fais souffrir carrément. Tu l’éloignes juste un peu, doucement et t’appuis ton front sur le sien « Hak’ t’oublie qu’j’suis moche et qu’j’ai pas d’forme… » qu’tu chuchotes, caressant d’tes doigts d’poupée, sa peau foncé. Tes yeux sont fermés, tu n’es pas capable d’lui en vouloir en c’moment, tu n’es pas capable d’essayer d’faire semblant d’le haïr. Tu avales péniblement et passe ta main libre dans sa chevelure presque noire. Tu donnerais chère pour juste être bien en c’moment. Tu retires complètement son t-shirt et tu tentes faiblement de retrouver ses lippes à lesquelles tu t’accroches un peu, comme pour survivre. C’est littéralement surréaliste, mais tu en profites le temps qu’ça passe. Avant que l’orage éclate, avant que la vie t’frappe de plein fouet sur la gueule. Avant qu’ça s’arrête, avant qu’il te dise que t’es dégoutante, laide, affreuse. Avant qu’il ne réalise c’qu’il fait, avant qu’ton cœur soit blesser encore. Tu en profites, tu es possédée et bordel que c’est bon! Tu l’repousses pour t’assoir sur lui à califourchon, faudrait pas t’demander qu’elle mouche ta piquée, tu n’en sais rien. Tu laisses ton corps et ton cœur au passage, te dicter quoi faire, tu continues sur ta lancer et ton souffle s’entrecoupe entre les baisers chargés de tension entre vous. Tu revois les corps ça et là d’tout à l’heure, son visage quand il t’a parlé de Claudia, sa réaction quand tu l’as repoussé sous la douche. T’as envie d’crier, d’hurler, d’pleurer, mais tu n’fais que l’embrasser, mouvant ton bassin sur le sien. Sentant bien que malgré son air, ton corps semble lui plaire. Tu vas vraiment l’laisser t’avoir comme ça? Un trophée d’plus? Qu’il puisse dire qu’tes mauvaise au lit? T’vas le laisser t’posséder aussi facilement et puis rentrer l’cœur péter? T’es plus toute là, t’es prise entre l’envie d’le laisser faire et entre celui d’te barrer en courant. T’es paumé ma vieille, complétement dépourvue. T’sais pas quoi faire, t’as peur en fait t’as la chienne. Mais tes lèvres ne veulent pas coopérer et laisser les siennes, ta peau sur la sienne ne veut pas qu’tu partes et ta tête te hurle de dégagé de là avant d’te casser l’cœur. Miraculeusement tu t’arrêtes et l’regarde, tu l’regardes comme tu l’as fait si souvent sans qu’il le sache. Sauf que là il te voit l’regarder comme ça, tendrement. Tu passes ton index sur sa lippe inférieur et tu fermes les yeux. T’es complétement et irrévocablement amoureuse d’ce mec.
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Qu’est-ce que tu as fait de mal pour que le bon dieu t’envoie un tel châtiment ? Tout aurait été tellement plus simple si elle t’avait giflé, si elle avait prit ses jambes à son cou en te laissant derrière. Tu t’en serais vite remis, car tu as l’habitude, ce scénario t’a l’impression de le vivre chaque fois que tu passes du temps avec elle, entre vous, ça finit toujours mal. Tu es au-dessus d’elle, du moins, la moitié de ton corps que tu retiens d’une main en appui près de son visage. Tu la caresse tendrement, amoureusement. Tu prends le temps de découvrir ses formes, les emmagasiner dans ton esprit, car t’es pas certain que l’occasion se présente à toi de nouveau. Tu es guidé par une douceur insoupçonné, propulsé par un désir nouveau, celui d’être tendre, de lui faire l’amour… rien à voir avec ce que t’a l’habitude de faire, soit te vider les couilles. ‘’ Shht … tais toi… ‘’ souffles-tu avant de déposer un chaste baiser sur ses pulpeuses. Elle te caresse de ses doigts effilés et toi tu la laisse faire, t’abandonnant complètement à son bon vouloir. Tu veux qu’elle fasse les choses à son rythme, qu’elle expérimente ce qu’elle veut… et si elle souhaite mettre un terme à cet échange, tu te promets de ne pas lui en vouloir. Tu l’aides à retirer ton t-shirt, tu as la chaire de poule. T’es littéralement en train de perdre les pédales, pire qu’un adolescent pré-pubère qui fait du cul pour la première fois. Et elle t’embrasse. Dieu du ciel. Un grognement sourd t’échappe tandis que tu accentues l’échange, laissant ta langue traverser la barrière de ses lèvres pour gagner sa jumelle, mais elle t’interrompt le temps de te pousser sur le lit et de te chevaucher. Tu dois tirer une de ses tête, parce que tu comprends absolument rien à ce qui se passe en ce moment. T’es tiraillé entre l’envie de la renverser sur le matelas et prendre les reines et celle de juste la laisser te dominer… à sa façon. Tes mains trouvent ses hanches que tu caresses de la pulpe de tes doigts, remontant jusque sous ses seins avant de redescendre sur son ventre, tes lèvres occupées à savourer les siennes. C’est exquis, aphrodisiaque… son bassin qui frotte contre le tien à tôt fait de réduire à presque rien ta bonne volonté et ta retenue. T’es franchement à l’étroit dans ton pantalon. Tu pourras dire c’que tu veux… cette fille est parfaite et ça tu le pense depuis que t’es en mesure de savoir c’que ça représente une femme pour un homme. À bout de souffle, elle fini par se redresser et toi tu l’observe  avec cette petite lueur dans les yeux. Tu te trahis toi-même en ce moment, mais t’en a rien à foutre. Lorsque son pouce caresses ta lèvre…. tu abdiques. Sans plus attendre, tu inverses les rôles, prenant soin de la déposer délicatement sur le lit après quoi tu lui retire son haut. Tu la regarde avec admiration… elle est aussi belle qu’un ange avec ses cheveux blonds posés en auréole autour de sa tête. Tu lui souris sincèrement, tout en caressant sa joue de ton pouce et tu inclines le haut de ton corps près de sien histoire de laisser ta bouche trouver la douceur de son cou. Tu y dépose une traîné de baisers, suivi de quelques morsures au niveau de sa clavicule et tu poursuis ta descente jusqu’à sa poitrine parfaite. Tu te redresses tout de même pour t’assurer qu’elle va bien ‘’ Tu me le dit si tu veux que je m’arrête…. ‘’ souffles-tu avant que ta tête retombe contre sa poitrine.
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Qu’est-ce que t’es en train de faire Hakeem? T’es littéralement en train de foutre en l’air ce que tu t’évertues de briser depuis toujours. Tu ne peux tout simplement pas faire ça. Tu la respecte beaucoup trop pour coucher avec elle maintenant… après cette nuit de folie avec un tas d’putes sans importance.  Tu ne la mérite pas, tout comme tu ne peux pas prendre le risque que cette petite incartade parvienne aux oreilles de son père… mais d’un autre côté, tu attends ce moment depuis tellement longtemps et tu ne penses pas qu’au sexe… tu fais surtout allusion à cette parfaite symbiose et harmonie qui règne entre vous en ce moment. Tu fais de ton mieux pour ralentir la cadence - si c’est possible de le faire -, tu te veux doux tout en étant entreprenant. Ton coeur et ta tête se livre bataille à savoir qui des deux remportera la palme, mais pour l’instant, c’est ton coeur qui l’emporte, surtout lorsque tu sens ses ongles s'enfoncer dans ta peau… et ses petites plaintes sensuelle réchauffer l’air de la pièce. Ça te rend complètement dingue… ‘’ Bon sang April … ‘’ Grognes-tu contre ses lippes, à deux doigts de céder et de tout foutre en l’air. Tu lapes sensuellement ses lèvres de ta langue, tes doigts affairées à lui retirer sa petite culotte quand on cogne à ta porte. C’est exactement ce qu’il te fallait pour couper court à cet échange charnel. Tu te redresses en vitesse avant de glisser hors du lit. ‘’ Pas foutu d’avoir la paix… ‘’ Tu lèves les yeux au ciel en sautillant sur place pour faire descendre ton érection bien trop présente. D’ordinaire t’en aurait eu rien à foutre qu’on te surprenne à baiser, mais avec April c’est non… et comme tu ne voulais pas la repousser…et qu’elle s’imagine des choses, ce petit entract tombe juste à point. ‘’ Couvre-toi, j’veux pas qu’un autre te vois comme ça t’a compris? ‘’ Le timbre autoritaire de ta voix fait son retour, au même titre que ton petit air de mec fendant et arrogant. Tu la jauge du regard, attendant qu’elle se soit couverte avant d’aller ouvrir.  Il s’agit d’un de tes principaux trafiquants, un mec avec qui tu deal ta dope. Tu le laisse entrer, l’invitant à prendre place dans le salon tandis que tu t’approches de ta chambre pour venir fermer la porte. April n’est au courant de rien… elle ne sait pas ce qui se passe réellement dans ton club, la merde que tu brasses, le réseau de drogue et de pute bien en place. Tu prends place en face de l’homme qui te livre un gros paquet d’argent. Des billets à profusion tout droit sorti d’une banque en Suisse. Aucun numéro de série qui se suivent, de la belle argent sale. Tu échanges quelques mots avec lui. Tu parles en code pour être certain qu’elle ne comprenne rien. Puis il s’éternise le con. Tu lui fait part des prochaines livraisons, les dates, les heures, point de rencontre, chargement… puis tu le raccompagne finalement hors de ton loft. Il te faut un moment pour faire disparaître l’argent, mais tu te dois de le faire avant de venir la rejoindre dans le lit, t’allongeant à ses côté en poussant un long soupir. ‘’ Toujours le boulot… ‘’ Dis-tu l’air de rien tandis que tes paupières se ferment.
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T’es complétement en transe, tu n’sais même pas comment ça c’fait que vous en êtes à vous touchez ainsi. Tout s’arrête, quelqu’un toque à la porte et Hakeem disparaît en t’ordonnant d’t’habiller. Tu déglutis et obtempère rapidement en remettant son t-shirt qui avait trouvé maison, sur le sol. Il revient fermer la porte et tu entends de faibles sons provenant du salon. T’es curieuse April, trop curieuse alors tu te lèves pour rouvrir légèrement la porte de la chambre. T’entends des bribes étouffées, des mots pas d’sens mais le mot « argent » et pas que ça, tu vois la palette dans les mains d’Hak, tandis qu’il reconduit l’inconnu vers la sortie. Tu retournes dans le lit et il vient t’y rejoindre. Tu savais que c’était payant les labels, mais putain…qui vient droper autant d’argent avec des codes, parlant d’heure, d’endroit, d’échange? « Le boulot, en fin d’après-midi? Étrange… » Tu t’lèves, définitivement paumé et t’diriges vers le sèche-linge pour récupéré tes vêtements. T’es un peu en colère, mais rassurée qui n’ce soit rien passée. T’as quand même le cœur qui tambourine dans ta poitrine, tu fais valser son t-shirt sur le sol, récupère tes sous-vêtements et t’habille en quatrième vitesse. « J’pas idiote tu sais, c’quoi tu deals maintenant? Fuck, t’en n’auras jamais assez d’argent toi han? » La douceur d’il y a quelques minutes n’existe plus. Ta froideur est revenue au galop, en même temps qu’la chaleur d’son corps à disparut du tien. Tu sais bien qu’il n’est pas le plus straight, l’plus conventionnel, mais avec c’qu’il vient d’se passer, toutes les raisons sont bonnes pour que tu t’barres. Tu sais plus d’quoi t’as envie, t’es juste découragée. Tu t’assois au bout d’son lit pour remettre tes talons, tu passes une main dans ta chevelure dorée et soupire.
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Tu sens le matelas remuer à peine installé. C’est le retour à la case départ, à tout ce que vous avez toujours connu. Le climat de douceur laisse place à l’animosité et tu peux enfin respirer. La voilà ta zone de confort avec elle. Les emmerdes. ‘’ Y’a pas d’heure pour ça, mon boulot ne se résume pas qu’à une scène April. ‘’ Dis-tu simplement en étouffant un rire. ‘’ Et toi qu’est-ce que tu fou d’ta vie ? À part vivre sur le bras de ton père tu fais pas grand chose de ton cul alors avant d’ouvrir ta gueule et de parler de chose que tu ne connais pas, tu t’assures d’avoir un peu d’expérience pour argumenter.’’ Tu serres les dents, te levant à ton tour du lit. Elle a le don de te faire chier celle-là. Tout ce que tu voulais, c’était te poser près d’elle et discuter calmement, mais ça c’est quelque chose de mythique voir impossible pour vous. Elle balance ton t-shirt au sol, tu le ramasse pour lui balancer en plein visage sans grande douceur. ‘’ T’a pas d’respect pour le travail de ma femme de ménage en prime? Ramasse ton bordel ! ‘’ Dis-tu avant que le sang pulse à nouveau dans tes veines provoquer par une vague de haine lorsqu’elle te parle du deal. Whut? Elle est venu écouter aux portes cette tête de noeud? Tu vois noir, t’es hors de toi. Tu perds les pédales, mais rien à voir avec ce qui de passait dans le lit précédemment. Tu t’approches d’elle pour la pousser violemment contre le matelas. Une de tes mains serre fermement ses poignets au-dessus de sa tête et tu la fixes de ton regard désapprobateur, visage défait par la rage. ‘’ J’ai la tête d’un mec qui deal? Et c’est quoi ton putain de problème de te mêler d’la vie des autres? ‘’ Craches-tu avant de la relâcher. Tu deal pas non, y’a des gens qui conçoivent de la drogue pour toi, cocain, héroïne, ghb, ecstasy, fentanyl et t’en passe. Tu n’es pas un de ces petits merdeux qui se casse le cul à vendre tout dans dans les rues, non toi tu récoltes le fric et c’est tout ! ‘’ Born into the money but would die for glory, That’s it baby.’’ C’est tout ce qui compte pour toi en ce bas monde. L’argent, le pouvoir, la gloire et le prestige. Rien ne pourra jamais t’enlever ça. Tu envoies ton poing dans le mur juste avant de sortir de la pièce pour rejoindre la cuisine. Tu met la machine à expresso en marche en faisant tout claquer sous tes mains. Tu as envie de tout détruire. Pourquoi elle ne peut pas se contenter d’être une fille stupide comme toutes les autres et se mêler de sa putain d’life de merde? ‘’ Tu parles de ça à quelqu’un blondasse et j’te fais sauter la cervelle. ‘’ Dis-tu en haussant la voix assez fort pour qu’elle puisse t’entendre. L’empire de la Henson Family repose entièrement sur ce genre de magouille et c’est justement dans le but de protéger l’honneur de ta famille que t’a accepter de la protéger au risque de voir tout le travail de ta famille anéanti par les allégations du maire.
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« Ouais pôpa paye pour moi, bouhou c’que c’est triste connard. » Il se met à crier, il te plaque contre le lit et serre tes poings au-dessus de ta tête. Tu n’bronches pas, tu n’as pas peur de lui. Il se lève et quitte la pièce, tu roules les yeux et soupire. La scène d’il y a quelques minutes n’existe plus, envolé à jamais. Plus de douceur entre vous, plus de regard doux, juste de la haine dans vos yeux posés sur l’autre. T’en crois pas tes oreilles, tu t’diriges vers la cuisine en faisant bien claquer tes talons sur le parquet « Pardon? Tu m’menaces maintenant? Espèce de débile, fais là moi sauté la cervelle si tu crois que j’pourrais parler! » Tu t’rapporche de lui, il fait au moins une tête de plus que toi, même avec des talons et tu l’défi du regard. « Qu’est-ce que t’attend han? Vas-y si tu crois qu’j’suis une putain d’balance! » Tu le toises, t’es en colère qu’il puisse pensé qu’tu sois si basse dans la vie « Au nombre de fois où j’t’ai donner un putain d’alibi pour pas qu’tu salisses ton putain d’nom, tu m’prends pour une de tes catins peut-être? » T’en a marre d’te disputer avec lui, c’est toujours comme ça. Explosif, dangereux même et tu plantes tes doigts sur son menton fortement. T’as envie d’le gifler sur place « Si t’as autant peur pour ton cul, c’parce que j’suis pas si conne qu’tu penses! T’peux pas jouer avec moi comme avec tes putains d’salopes de classes économique » dis-tu les dents serrés entre eux. Tu l’relâche sans douceur et continue d’le toiser. Tu t’souviens d’votre première vrai chicane, tu n’l’oublieras jamais. C’n’est qu’il y a quelques années, trois tout au. Et depuis, c’est instantané qu’vous vous disputez. Pour tout et pour rien, c’est devenu une habitude déplaisante. Tu claques de la langue, encore insultée d’c’qu’il a dit quelques minutes auparavant.
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