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Parce que je ne peux plus te regarder dans les yeux. -- Rioly

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Je ne sais pas qui tu es, en réalité. J'ai découvert le Rio trop gentil, trop attentionné à Ushuaïa, celui qui m'a donné envie de me donner entièrement à lui. Il est sensible, attachant, et c'est tout mon problème. Habituellement, je préfère m'approcher d'hommes détestables, ceux dont je n'aurais aucun problème à me séparer, à oublier. Mais lui, en plus d'être lié avec moi d'une certaine façon par cette histoire sordide, il est là, à me faire craquer avec ses beaux yeux dans ce local d'entretien. Alors oui, je suis perdue. Je ne vois pas ce qu'il veut me faire comprendre, je ne sais pas ce qu'il pense vraiment. Et il ne m'aide pas, parce que jamais il ne me dira clairement les choses. « Que m'as tu déjà dit ? » Ma question n'attend pas de réponse finalement. Il était chaud avant que l'on passe cette nuit ensemble, mais après, ce fut le froid polaire. Je ne suis pourtant pas la meilleure pour critiquer, parce que c'est le genre de chose que j'aurais pu faire face à lui. Jouer la fille bouillante, puis l'ignorer totalement. Et je me rends compte, que je déteste quand on agit de cette façon avec moi. La fille capricieuse, la fille froide, tout le pire de ce que je peux montrer. Le silence nous entoure, et je sens que je vais me prendre un vent par le jeune homme. Il est poli, répond calmement pour me mettre un mur. La main se serre sur le thermos. « Tu ne réponds donc jamais aux questions... » Dépitée. Je me sens faible, toujours avec lui. C'est affreux. J'ai envie de fuir, qu'il ne me voit plus jamais. Ne plus le voir, c'est une façon de me protéger d'une certaine manière, de ne plus ressentir cette honte face à lui, moi la fille forte devant tout le monde. Je ne pensais pas devenir comme ça devant un homme. Il attrape mon bras, m'invite à m'approcher de lui. Je le laisse m'attirer vers lui d'un coup de main, et colle mon corps contre le sien. « Pourquoi me fais tu ça ? » Encore une question sans réponse. Je ne peux plus l'obséder maintenant, je pense qu'il n'a qu'une seule envie, c'est de me fuir une nouvelle fois. Sa main se pose pourtant sur ma joue. Je ferme les yeux à son contact, soupire en glissant ma joue contre sa main d'un mouvement de tête. J'ai chaud, et je déteste mon corps de me faire ressentir cela pour lui. Son corps contre le mien me rappelle des souvenirs trop doux pour que je me permette d'y penser ici. Nous sommes tout de même dans l'université, cachés comme des adolescents pour que personne ne nous dérange. Je me répète que je ne veux plus le voir et pourtant... « A quoi joue t-on Rio ? » Parce que je ne suis pas saoule avec les quelques gorgées que j'ai bu, parce que tu dois bien sentir mon corps réagir à ton contact. Une main au creux de son dos, l'autre à la base de ses cheveux que je caresse tendrement. Le front se colle au sien, évitant de soupirer proche de son visage pour lui éviter l'haleine alcoolique.

@Rio Vaz
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Je ne sais pas qui je suis moi-même. Je ne sais pas ce qui me prend d’être comme ça avec la jeune femme et même après ce qu’elle m’a dit, après ce qu’elle a vécu, je n’ai pas envie de la laisser tomber. Je ne sais plus qui je suis, je ne sais plus ce que je dois faire. Tout ce que j’ai fondé, toutes les barrières que j’ai toujours mises devant moi pour que personne ne pénètre dans mon monde sont tout simplement en train de s’effondrer. Et pourquoi ? Je ne le sais même pas moi-même. Je n’ai aucune réponse, je ne sais pas quoi dire, je ne sais que faire. Elle m’a pris au dépourvu et c’est tellement compliqué dans ma tête que je ne sais quoi lui répondre quand elle me demande ce que je lui ai déjà dit. Elle le sait pourtant. Elle sait ce que j’ai pu lui dire. Qu’avec elle, c’est différent, qu’elle est toujours dans mes pensées. Nos sms, cette découverte sur la plage, ce n’était pas anodin. Pas du tout et c’est certainement çà qui a joué un rôle dans ce que je peux ressentir envers la jeune femme. Je n’ai pas envie de la laisser partir, je n’ai pas envie de la laisser tomber, surtout pas dans les moments difficiles qu’elle peut vivre. Je n’ai pas pitié d’elle, je ne veux pas qu’elle pense çà, mais je veux être là. Est-ce si difficile à comprendre ? Ou alors, je ne sais pas du tout comment m’exprimer. C’est çà aussi le problème je le sais. Ne m’oblige pas à me répéter je n’ajoute pas de s’il te plait, peut-être que je devrais pourtant le faire. Je sais que çà l’insupporte de ne pas avoir de réponses mais elle sait que je ne peux pas. Qu’attend-t-elle de moi exactement ? Peut-être que si j’ai la réponse, j’arriverai à lui parler d’avantage. A m’ouvrir d’avantage, même si je l’ai déjà bien fait. dis-moi ce que tu attends de moi et je trouverai peut-être la force de te dire ce que j’ai en tête moi aussi. Il fut un temps ou je n’étais pas du tout la même personne. J’étais toujours un peu solitaire mais j’avais une vie amoureuse. Je me donnais corps et âme à ma petite amie, je sortais avec tout le monde en soirée, je n’étais pas froid, je ne m’emportais pas autant. Parfois, même ma sœur se demande pourquoi je suis devenu comme çà même si au fond elle connait la réponse et que je la connais aussi. Une partie de moi ne veut plus avoir à souffrir. C’est tout de même légitime non ? Et pourtant, j’ai l’impression qu’en compagnie d’Aliénor je suis de nouveau faible. Je ne sais pas ce qui se passe entre nous, je ne sais même pas ce que nous essayons de faire, mais elle m’attire, et même si j’essaie tant bien que mal de combattre cette attirance, c’est compliqué. tu sais que je ne réponds jamais aux questions… ce n’est pas la première fois que je ne réponds pas elle semble blasée, voire même triste que je ne lui donne pas les réponses qu’elle aimerait entendre de ma bouche. Je veux qu’elle soit contre moi, que nous soyons en contact tous les deux. Alors je la tire vers moi, lui demande même de venir, ce qui n’est pas anodin chez moi. Ce contact me fait du bien et j’espère que çà lui fais aussi du bien. C’est aussi pour qu’elle ne soit pas tentée par l’alcool qu’il y a dans son sac. Si je pouvais panser ses blessures, je le ferais. Je la sens mal, et je n’aime pas ça. L’empathie est quelque chose que je n’avais pourtant pas. Mais elle… Je me déteste tellement d’être comme ça pour une femme que je ne connais pas vraiment finalement. Mais cette attraction est indiscutable. qu’est-ce que je fais exactement cette fois ci, c’est moi qui lui pose la question. Elle n’y répondra certainement pas mais on ne sait jamais. C’est tout de même plutôt ironique que nous soyons là, dans ce débarras, cachés à l’université. Qui l’aurait pensé ? Pas moi. Je sens son corps réagir à mon contact, je sais qu’elle n’est pas indifférente à mes gestes. Son front contre le mien, je soupire je n’en sais rien Aliénor… je n’ai juste pas envie de te laisser… c’est la première fois que je dis quelque chose que je ne devrais pas lui dire.


@A. Olympe Rothschild

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Rien, je ne pense plus à rien. Son corps contre le mien m'enhardit. J'ai encore envie d'aller plus loin avec lui. Briser les règles, le suivre jusqu'au bout du monde. Il m'apaise. Et pourtant, j'ai dit quelques minutes plus tôt que je ne voulais plus le voir. Jamais. C'est fou cet effet qu'il me fait, ce lien créé en si peu de temps. Personne ne pourrait comprendre, que je me suis livrée à lui en si peu de temps, qu'il a caressé mon corps, laissant l'emprunte de ses lèvres et de ses mains, et qu'il connaît mon secret le plus gênant. Cette honte, jamais je ne pourrais la ressentir une nouvelle fois. C'est trop difficile, c'est vraiment la chose la plus gênante que j'ai pu vivre jusque là. Pire encore que les humiliations par les hommes qui m'ont enlevées au Soudan, pire que les pierres que je me suis reçue en plein visage lors de mon dernier voyage. Là, tout vient de moi, et c'est terriblement dérangeant. Si Rio, tu pourrais tout répéter, tous les mots que tu as pu m'écrire, tout ce que tu pouvais ressentir. J'aimerai que tu sois transparent, que je te modèle comme je l'aimerai. Mais ce n'est pas le cas, et c'est sûrement pour cela que je m'accroche à lui de cette façon. J'aime quand il me résiste comme ça. Et pourtant, il me fait aussi peur qu'il m'attire maintenant. Je n'arrive pas à savoir si ce qu'il me dit est la vérité ou non. J'ai pourtant envie d'y croire. Et puis, il me demande ce que moi, j'attends de lui. L'électrochoc. Je n'écoute plus vraiment le reste de ses paroles, plongée dans mes pensées. Il faut que je lui dise, et peut-être osera t-il me dire sa vérité en retour. Nos fronts l'un contre l'autre, sa bouche si proche de la mienne. Je regrette de devoir parler avec l'odeur de vodka fraîche dans ma bouche. Et alors que j'allais ouvrir la bouche, il m'avoue qu'il n'a pas envie de me laisser. Je me mords la lèvre, heureuse qu'il fasse un pas en avant, me frustrant en évitant de l'embrasser une nouvelle fois. Pas d'actes, des mots, et encore des mots. J'inspire profondément, prête à lâcher un flot de parole qu'il n'est sûrement pas prêt à entendre. « Tu m'attires Rio. On est comme des aimants, et je pense que je ne suis pas la seule à le sentir. J'aimerai te faire confiance, j'aimerai apprendre à te connaître. Je me sens faible avec toi et j'ai... » Un bruit de poignée qui se tourne me fait sursauter et je me colle encore plus dans ses bras pour enfouir mon visage dans son cou. J'entends râler, sûrement l'homme d'entretien. Je pose mon doigt sur la bouche du jeune homme, étouffant un rire malgré la situation. Il faut que l'on sorte de là. J'attends un instant de ne plus entendre de bruit dans le couloir et me sépare de lui à contre cœur. « Si on allait chez toi ? Ou où tu veux d'ailleurs... » Je chuchote. « Débloque la porte maintenant, parce que je ne sais pas le bazars que tu as fait là. » Je regarde par dessus son épaule. Il faut qu'il nous libère avant que l'homme ne revienne, parce que l'on risque de passer un mauvais quart d'heure !

@Rio Vaz
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Je n’arrive à rien, c’est peine perdue, je ne sais pas faire. Je ne sais plus faire tout ça. Je ne sais plus dire ce que j’ai en tête, ce que je peux ressentir. Tout me semble tellement lointain et pourtant, une partie de moi a tout simplement envie de se confier et de dire à la jeune femme à quel point elle m’attire et que je pense beaucoup à elle. J’ai flirté, j’ai couché avec d’autres femmes quand je suis retourné au Summer camp, en pensant à elle. J’ai honte, et en fait, non, je n’ai pas honte de m’avouer que j’ai pensé à elle à chaque fois que j’étais avec une autre fille. Avec elle, je me sens faible, je ne suis plus celui qu’on connait. Je suis quelqu’un d’autre, et je ne sais pas si c’est bon ou pas. Je ne veux pas trop en dire, je ne veux pas qu’elle me pense faible si je lui avoue que j’ai envie d’elle, encore. Nous n’avons rien fais, enfin, il y a eu ces merveilleux préliminaires, rien d’autre, que des baisers et des gestes, mais ce n’était pas assez pour moi. Plus rien n’est jamais assez quand elle n’est plus avec moi. C’est fou cette attraction que nous avons, que nos corps ont pour l’un et l’autre. Malgré l’alcool qui émane de sa bouche, je peux sentir son doux parfum, parfum que j’ai senti tout de suite lorsqu’elle est arrivée sur la plage et que nous avons commencé notre petit jeu tous les deux. Elle sait jouer, elle sait ce qu’elle veut, et c’est plaisant parce que nous jouons dans la même cour elle et moi. Qu’elle me dise être vierge ne m’a pas semblé être un obstacle, cela ne m’a pas non plus fait peur. Au contraire, au début, je l’ai pris comme un défi, je dois bien l’avouer mais j’aurais été fier qu’elle me donne sa virginité, content qu’elle me fasse confiance et qu’elle veuille le faire avec moi. Ce ne sont pas tous les hommes qui aiment ôter la virginité d’une fille et pourtant, je trouve ce geste tout de même beau surtout quand c’est une femme plus vieille, qui attendait vraiment le bon moment. Et rien ne laissait paraitre qu’elle était vierge, elle savait de quoi elle parlait et elle connaissait déjà les préliminaires. C’est plus fort que moi, je n’arrive à rien. Je n’arrive pas à lui dire ce que j’aimerai pouvoir lui dire. Avec elle tout pourrait être plus simple, mais c’est tout de même bien compliqué. Trop compliqué. Mon front toujours contre le sien, j’ai une forte envie de l’embrasser. Elle me répond, elle au moins arrive à me dire quelques mots qui me font plaisir et je sais qu’elle attend une réponse de ma part après. Elle a raison, nous sommes comme des aimants elle et moi, et on ne peut rien faire contre çà. J’ai envie qu’elle me fasse confiance. Je ne suis pas prêt à me livrer et çà me tue. Elle n’a pas le temps de terminer sa phrase que la poignée de la porte se tourne de l’extérieur. Je ne peux m’empêcher de sourire. J’étouffe un rire franc. Si on va chez moi, j’aurais vraiment du mal à me contrôler tu sais j’ai un petit sourire en coin, et en même temps, je ne veux pas qu’elle me voit comme ça. viens, il va rapidement revenir je pense je lui dépose un rapide baiser sur les lèvres. Et par automatisme, je lui prends la main et nous sortons rapidement.


@A. Olympe Rothschild

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J'avoue. J'ai toujours aimé les mots. Parler, écrire. Je trouve cela important. Je suis une pipelette, j'ai tendance à beaucoup parler. Et j'aime beaucoup les sms aussi. Avec Rio, j'ai envie de passer mon temps à lui parler, pour le découvrir, et lâcher quelques informations sur moi aussi. Cela fait plusieurs mois, où nous avons parlé de tout et de rien, que j'ai l'impression de connaître alors qu'au final, je ne sais rien de lui. Je me lance pour lui dire que je me sens attirée par lui, que j'aimerai lui faire confiance. Mais je suis rapidement coupée. La surprise passée, je sors mon visage de son cou et le regarde sourire. C'est mieux quand on ne se fait pas la tête, quand je le vois sourire de cette façon. Spontané, j'apprécie terriblement cette qualité. « Nous n'irons pas chez toi alors.. » Parce que je sais que je vais craquer moi aussi, et que je ne sais pas ce qu'il peut se passer cette nouvelle fois. J'ai besoin d'un peu de temps, pour réfléchir à tout cela, à mon passé qui a refait surface d'un seul coup, au pire moment. Ou au meilleur. J'étais si bien avec lui, si prête à me donner enfin, et mon passé a explosé. Maintenant, je ne sais pas comment cela peut se passer. Et pourtant, c'est avec lui que j'aimerai recommencer. Mais pour le moment, j'ai besoin de ce moment de solitude. Essayer de trouver comment lui faire confiance, essayer de le connaître plus pour comprendre ce que je veux avec lui. On est déjà attachés, malgré moi, malgré lui, à cause de cette histoire sordide. Il me coupe dans mes pensées, m'embrasse comme un enfant et me prend la main pour sortir du local. Nous partons rapidement, sortons de l'université. Nous irons prendre un verre, sans vraiment parler, pas trop en tout cas. J'avais envie de ce moment avec lui, en dehors de l'université, en dehors des visages connues et de mes amies qui auraient pu nous voir à n'importe quel moment. Mais en fait, c'est Amaury qui a tout coupé. J'étais prête à partir avec lui, mais mon garde du corps a arrêté la voiture juste devant moi et m'a demandé de monter. J'ai du faire la bise à Rio, un peu honteuse une nouvelle fois de me faire prendre la main dans le sac par Amaury et son visage fermé. Partir à contre cœur, mais un peu soulagée de la tournure de nos retrouvailles.

@Rio Vaz
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