when nothing goes right, go left (jaga)

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{ when nothing
goes right, go left }
crédit/ tumblr ✰ w/jaga

Le moment qui était plus que parfait venait de tourner à la pire des situations et je voulais juste qu’on revienne à quelques instants auparavant pour qu’on évite ce désastre. Mais voilà, j’avais pas forcément les bons mots et j’étais tout bonnement en train de m’enfoncer. Seulement, quand elle posait la situation inverse, dans le cas où elle se mettrait à mater un autre mec, ouais, ça m’énervait. Et c’était assez puissant comme réaction puisque j’en venais à avoir la respiration forte, haletante, ce qui était assez rare chez moi sauf en cas de colère montante. « Encore heureux » Parce que j’aurais pété la gueule du gars en question, que je serais monté dans les tours et que j’aurais tout pété autour de moi tant la colère m’aurait rendu fou. Autant dire, valait mieux éviter que ça se produise. Et maintenant, elle tentait de me calmer, ses mains venant se poser sur mes joues, me poussant à la regarder dans les yeux. Me perdant dans son regard, je laissais ma respiration reprendre un rythme décent alors que l’envie de l’embrasser me prenait aux tripes. Alors je le faisais, glissant une main dans le bas de son dos pour la coller contre moi. Ouais, ça, c’était clairement la meilleure chose pour me calmer. « J’suis désolé » que je disais entre ses lèvres, lui volant un baiser chaste pour ensuite coller mon front au sien.

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{ when nothing
goes right, go left }
crédit/ tumblr ✰ w/jaga

je suis amoureuse de toi. je suis amoureuse de toi depuis mes seize ans et ça, malgré les quatre années de ruptures entre nous. alors crois moi, les autres ne m’intéresse pas parce que même maintenant, c’est avec toi que je suis. je n’ai besoin que de toi. et t’as beau être chiant, avoir les idées mal placées, parler souvent comme un beauf, faire des commentaires désobligeants et te comporter comme un goujat, je reste amoureuse de toi. alors ouais, j’vois bien que t’es en train de péter un câble et moi, j’pose mes mains sur tes joues pour essayer d’apaiser tout ça. pour que tu redescendes. j’ai pas envie de te voir lâcher prise et vriller. c’est pas mon but. et ça marche. après tout ce temps, on a toujours la même connexion. cette faculté de se canaliser l’un l’autre et de créer cette bulle autour de nous. et c’était tes lèvres qui venaient trouver les miennes signant la réconciliation. « je sais » t’as toujours été désolé à chaque fois que tu as été déplacé. le truc, c’est que tu continues à l’être et que moi, je ne sais pas si je pourrais gérer. « le fais plus s’il te plaît » que je soufflais te volant à mon tour un baiser. j’te jure, j’ai pas envie de te perdre, j’ai pas envie de te voir avec une autre. j’ai pas envie que nos anciens démons reviennent prendre place dans notre relation. « je ne veux pas qu’on refasse les même erreurs.. » parce que j’ai été malheureuse sans toi. vraiment malheureuse.

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crédit/ tumblr ✰ w/jaga

J’arrivais juste pas à me calmer et c’était elle, par ses gestes, par son regard, qui avait su canaliser tout ce qui se trouvait dans mon esprit. Et ouais, à vue d’œil, c’était doucement que mon rythme respiratoire venait redescendre d’un cran, tout ça par le simple fait qu’elle me touche, qu’elle me regarde. Je pouvais d’ailleurs passer des heures à la regarder, plongeant dans son regard comme s’il s’agissait d’un océan. Je m’y perdrais et jamais je ne reviendrai à la surface. Dans son regard, je me plaisais et j’avais envie d’être celui qu’elle avait toujours rêvé d’avoir. Mais la réalité était toute autre et je savais que j’allais la décevoir encore et encore… bien que ce n’était pas ma volonté. Mon but à présent, c’était de limiter la casse. « Je vais tout faire pour ne plus te blesser » Je ne promettais rien… même si j’avais promis juste avant d’arrêter de regarder les filles. « Je.. j’ai du boulot à faire, je le sais… Laisse moi juste le temps de me calibrer à tout ça » Les relations, j’en ai jamais vraiment eu depuis notre rupture et forcément, ça faisait un bail que j’avais pas du faire attention à mes faits et gestes. C’était une période d’adaptation que je lui demandais, pas la mort… je crois. « Je veux pas non plus, crois-moi. C’était déjà assez difficile de te perdre une fois, pas deux » Alors ouais, des efforts seraient nécessaires et j’allais tout faire pour la combler.

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t’as rien vu toi parce qu’immédiatement après notre rupture, on a coupé les ponts. puis t’es parti de la nouvelle orléans et forcément, t’as pas pu apercevoir comment j’ai géré tout ça et.. je te jure que ça a été difficile. on a du me ramasser à la petite cuillère, sécher mes larmes pendant des mois et des mois. je te cherchais partout dans les rues, à me retourner toutes les cinq minutes parce que je pensais t’avoir vu. je ne compte plus le nombre de fois où j’ai composé ton numéro pour te dire que tu me manquais, que je voulais que tu reviennes, que je n’y arrivais plus sans toi. j’ai souffert jax, j’ai terriblement souffert de ton absence. j’étais l’ombre de moi même, je ne sortais plus, ne parlais plus à grand monde. c’était un peu comme si j’avais cessé d’exister sans toi. alors non, je ne veux pas revivre ça. j’veux pas m’infliger une nouvelle fois cette peine parce que je sais que je ne me relèverais pas. j’avais tous nos projets en tête, les envies d’emménager ensemble, de se marier après l’université et.. c’est dur de tout voir partir en fumée. « d’accord » que je souffle doucement. je sais de toute manière qu’on a besoin de temps pour réussir à s’accorder toi et moi. « tu resteras toujours mon plus bel amour » l’homme de ma vie. ça a toujours été toi jaxon et je crois que personne n’arrivera jamais à changer ça.

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J’avais beau avoir fait le mec quand elle a rompu, j’étais pas bien au fond de moi. Ce jour là, j’avais perdu la femme que j’aimais, et j’avais fait celui qui s’en foutait. Et j’étais assez vite parti de la ville, en six mois de temps. Elle n’avait plus envie de moi alors je ne voyais pas pourquoi je resterai en ville. Le truc, c’est que j’avais Macy, Joy et Mael à charge et je les avais embarqué avec moi pour être sûr qu’ils allaient être bien géré. Ouais, grand frère de la décennie, je sais. Seulement, ouais, c’était compliqué tout ça, dans les deux cas, la situation avait été invivable, je suppose, mais maintenant on faisait table rase du passé. Ou presque. Disons qu’elle avait certaines hantises et j’allais devoir la rassurer là-dessus. C’était pas ma partie préférée d’une relation, préférant largement être libre de mes regards, de mes gestes, mais qu’importe. Vega n’était pas n’importe qui et j’allais tenter de la rendre heureuse. « Et toi tu resteras toujours mon seul amour » C’était la seule que j’avais aimé, que j’aime et que probablement j’aimerai de toute ma vie. Je ne me voyais pas avec une autre fille, va savoir pourquoi. « Tu veux bien de ta glace maintenant ? » que je disais en la lui tendant entre nous. « Et reprendre notre balade, que je montre à tous les grecs ce qu’ils manquent » Ma petite amie, ma plus belle créature et j’étais fier de me pavaner avec elle.

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alors je voudrais juste que pour une fois, tu fasses les choses bien. je te signale que c’est toi qui est venu me chercher en premier lieu. qui a voulu qu’on retente une relation. et je t’ai mis des barrières pendant des mois avant de succomber dernièrement. donne pas raison à tout le monde. leur laisse pas l’occasion de me dire que c’était écrit et que j’ai été stupide de croire en toi une nouvelle fois. alors j’souriais à tes mots parce que j’aimais entendre ça. j’voulais être la seule de toute façon et je ne pouvais pas m’empêcher de me dire que si après tout ce temps, on était de nouveau sur le même chemin c’était sûrement parce qu’on avait encore pleins de belles choses à vivre tous les deux ensemble. alors j’finissais par prendre la glace que tu semblais brandir en guise de paix esquissant un sourire à tes mots suivants. « ils manquent pas grand chose mais tu peux continuer à m’idéaliser » que je répondais glissant ma main dans la tienne pour reprendre notre balade. de toute manière, tant que j’étais belle à tes yeux ça me suffisait amplement. je n’avais clairement pas besoin de plus parce que tu étais la seule chose qui m’importait et.. ouais, je t’aimais toi, le reste n’avait pas d’importance. preuve étant que tu étais le seul pour qui je n’écoutais jamais ce que l’on pouvait me dire. et quitte à me casser la figure encore une fois, j’étais avec toi. j’crois qu’elle était là la force de mon amour.

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goes right, go left }
crédit/ tumblr ✰ w/jaga

J'étais pas le plus ambitieux, j'étais pas le plus doué, mais j'étais amoureux et j'espérais que ça, ça suffise à Vega. Elle méritait quand même mieux qu'un paumé de la vie non ? J'entends par là qu'elle était une Youtubeuse reconnue, qu'elle pouvait avoir tous les mecs à ses pieds de par sa beauté inégalable et... ouais, je ne savais pas pourquoi elle s'acharnait à penser qu'elle et moi pouvions avoir réellement une chance. Je la prenais malgré tout, parce que j'étais prêt à tout pour l'avoir près de moi. Mais ouais, je ne comprenais pas et je ne savais pas vraiment comment elle faisait pour m'aimer, moi et mes bien trop nombreux défauts. « Ils manquent tout au contraire... vu comment t'es parfaite » Et peut-être que l'amour me rendait aveugle mais non, pour moi Vega était parfaite et je n'arrivais tout bonnement pas à me dire que j'avais la chance de pouvoir être avec elle à présent. Je venais chercher ses lèvres une nouvelle fois pour un baiser, une simple envie qui me faisait totalement vibrer. « Tu sais que j't'aime ? » que je disais doucement avant de reprendre ma marche à ses côtés, satisfait de voir que j'arrivais encore à me dépêtrer de situation assez cocasses.

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goes right, go left }
crédit/ tumblr ✰ w/jaga

ouais, non, te retrouver c’était sûrement la meilleure chose dans ma vie. j’veux dire.. j’étais incapable de me sentir réellement vivante quand je n’étais pas avec toi. alors ouais, t’avais beau m’agacer, me donner envie de m’arracher les cheveux, c’était avec toi que je voulais être. « shhhh » que je soufflais plaçant mon index sur ta bouche. t’as assez dit de bêtise pour la journée même si c’est clairement le genre d’idiotie que j’aime entendre. un léger baiser et j’souriais de plus belle comme si soudainement toute notre altercation avait été effacée. « j’crois que tu devrais me le dire beaucoup plus souvent pour que je le sache » et ouais, je te taquine un peu mais les mots d’amour ça n’a jamais été ton fort et moi, j’serais clairement pas contre un peu plus de démonstration de ta part en fait. mais dans tous les cas, je m’étais apaisée et j’voulais te croire quand tu me disais que t’allais changer, que ça allait marcher et que j’étais la seule alors je préférais me conforter dans cette idée là et continuer à être tout simplement heureuse plutôt que ruminer sur tes regards un peu pervers pour les autres filles. mais s’il te plaît, ne franchis plus les limites.