suggy → you should be with someone else, someone who is not myself

you should be with someone else someone who is not myself
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le retour à boston, il s’est fait avec la boule au ventre. j’suis pas bien, je sais que je vais devoir faire des révélations et je redoute ce qui va se produire. je redoute ta réaction et tout ce que tu pourras me dire par la suite. parce que ouais, j’ai tout envoyer péter comme ça et maintenant, je dois revenir à la réalité. quand je passe la porte de l’appartement, j’arrive même pas à t’adresser un sourire. ce serait hypocrite de ma part, pas vrai ? je m’assois sur le canapé pendant que tu parles, me demande comment je vais. j’esquive tes tentatives de contact parce que ça serait hypocrite de ma part de laisser faire. et j’sais pas. j’sais pas comment je suis supposée aborder ça. j’veux dire.. c’est pas le genre de truc qu’on balance l’air de rien. c’est pas non plus le genre de truc ou l’on doit tourner autour du pot. moi, j’crois que ce dont j’ai le plus peur, c’est l’avis que t’auras sur moi après ça. j’crois que j’étais déjà descendu bien bas dans ton estime entre les photos et le nirvana mais là, ce serait sûrement la pire trahison à tes yeux. et je sais que dans le fond, t’auras raison de me détester parce que à ta place, je me détesterais aussi. mais c’est comme ça et je ne peux pas revenir en arrière. je ne sais même pas si j’en ai envie de toute façon. « sully, il faut qu’on parle. » vraiment. et tu dois le voir à mon air grave parce que tu te tais soudainement. tes yeux se pose sur moi et le stress monte d’un cran. « j’ai dérapé là-bas. » c’est vague, mais je sais que tu comprends. je sais que tu comprends exactement de quoi je parle et de quel genre de dérapage. « j’ai dépassé les limites avec un autre que toi et.. j’voulais que tu le saches. » parce que j’pourrais pas rester là avec ce secret dans tous les cas.

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Il avait peur Sullivan, il l'avait laissée partir à des milliers de kilomètres de lui alors qu'ils avaient des problèmes, qu'elle songeait à le tromper et.. ouais, il était idiot. Mais il avait confiance en elle, il se disait que jamais elle ne lui ferait ça. Un manque de respect aussi gros, il ne le supporterait pas. Alors il restait optimiste, il se disait qu'ils auraient tous les deux des efforts à faire pour que ça marche et peut-être qu'un jour, tout ira mieux. Il se disait ça. Et ses yeux pétillaient quand ils se posaient sur Meghan. Meghan dont il était fou amoureux, Meghan qui était la mère de ses enfants. Il l'aimait et osait croire le meilleur en elle. Mais elle était fermée, bien qu'il parlait. Elle avait instauré une limite entre eux, ils ne s'étaient même pas embrassés et il s'était dit que c'était normal, elle était fatiguée... jusqu'à ce qu'elle sorte les mots. "Il faut qu'on parle." Son cœur se resserrait, son visage se fermait et il attendait. Elle a fauté. Dérapé comme elle dit, et il loupe un battement, il se sent pas bien Sullivan, mais il ne bouge pas, il écoute. Elle a dépassé les limites avec un autre et ouais, il se sentait partir dans une autre dimension. Il se levait alors, se rendant dans le cellier pour récupérer un sac et il se rendait tout de suite dans leur chambre. Son ancienne chambre parce qu'il était hors de question qu'il passe une nuit de plus ici. Elle le répugnait à présent, il la détestait. Sullivan perdait pied à présent, passant d'un optimisme indéfectible à un pessimisme effrayant. L'amour, il ne sait pas pourquoi il a tenté, il savait pertinemment que c'était qu'une perte de temps. Attrapant ses vêtements les uns après les autres, il prenait le strict minimum, récupérant à travers tout l'appartement des choses qui lui appartenaient, notamment des souvenirs à lui dans la chambre des enfants. Il avait envie de pleurer, mais elle ne méritait pas ses larmes, et ça aurait été encore une nouvelle opportunité pour elle de le rabaisser, il ne voulait pas lui laisser cette chance. Il n'avait que faire de ce qu'elle faisait à présent, leurs chemins se séparaient et il allait devoir vivre avec.

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bref, j’ai lâché l’info. et je m’attends à tout à ce moment précis. à ce que tu m’insultes, à ce que tu pleures, à ce que tu me demandes pourquoi. à des tas de choses en fait mais certainement pas à ce silence oppressant. tu dis rien. y a pas un seul mot qui sort de ta bouche et.. j’crois que c’est pire que tout ça. pourquoi tu parles pas ? tu devrais dire quelque chose, n’importe quoi. mais non, à la place tu quittais le canapé disparaissant dans le couloir et je restais juste là, un peu interdite, pas certaine de savoir quoi faire. aller te voir ? j’supposais que t’avais besoin de souffler. ouais, ça devait être ça. peut être que t’avais juste besoin d’être un peu seul pour réfléchir un peu alors j’allais attendre, je te devais bien ça. mais je t’entendais passer de pièce en pièce et.. ouais, j’étais obligée de venir voir ce que tu faisais. j’passais la porte de notre chambre ou un sac était posé sur le lit. sac déjà emplit d’un tas d’affaires t’appartenant. alors quoi ? tu t’en vas juste comme ça ? tu ne me parles même pas ? j’crois que j’ai sincèrement peur là et je te retrouve dans la chambre de nos enfants. « attends attends, il faut qu’on discute au moins » enfin je sais pas, dis quelque chose non ? dis moi n’importe quoi. insulte moi même si tu veux mais tu passes pas cette porte sans m’adresser le moindre mot. j’pose ma main sur ton bras comme si ça pourrait te retenir au moins un peu, j’essaie de capter ton regard mais qu’est-ce que je peux dire au fond ? j’ai dérapé, je te l’ai dit et personne ne changera ça. la vérité était là aussi triste soit-elle. « dis moi quelque chose. tu peux pas tirer un trait sur toutes ces années » on se connait depuis qu’on est gosses, abuse pas.

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crédit/tumblr → w/@Meghan Harrison

Le cœur serré, il s’en allait, il ne voulait tout bonnement pas la voir. C’était impossible pour lui de poser son regard sur elle sans imaginer le pire. Trop bon, trop con. Lui qui avait eu espoir pour leur couple, il s’était mis le doigt bien trop profond dans l’œil. Dire qu’il pensait qu’elle le respectait assez pour ne pas le faire. Elle l’avait fait et venait de lui briser le cœur en le lui avouant. Il s’était éclipsé, récupérant les affaires les plus importantes et qui lui suffiraient pour vivre quelques temps sans devoir revenir ici. Seulement, quand il débarquait dans la chambre des enfants, elle revenait à la charge, cherchant à discuter. « Y’a rien à dire » qu’il disait de façon assez froide. Le pire, c’était quand elle posait sa main sur son bras. Sullivan était électrisé puis bougeait son bras pour couper le contact. « Ne me touche pas » Il était énervé, blessé, perturbé mais surtout dans l’incompréhension la plus totale. C’était pas la Meghan qu’il connaissait et il n’avait pas eu l’impression d’être si mauvais que ça en petit ami. Preuve étant que c’était elle qui voulait l’épouser, elle avait elle-même fait la propre demande. Elle voulait garder les bébés, qu’ils fondent leur famille. Tout ceci venait de voler en éclat parce qu’il avait été trop bête de croire qu’elle pouvait lui rester fidèle quand elle avouait avoir eu des pensées de tromperie. « Je peux pas tirer un trait sur toutes ces années ? Tu es la première à l’avoir fait à l’instant même où tes lèvres ont touché celles de celui avec qui t’as choisi de me tromper. Alors arrête, juste arrête. Dis plus rien, tais-toi et laisse-moi partir » Après avoir récupéré ses souvenirs de quand il était lui-même enfant, il partait dans la salle de bains, récupérant alors ses affaires, il faisait de même dans le salon, notamment sa balle de basket signée. Ses affaires de cours étaient dans son sac à dos, il avait tout. Il n’avait plus qu’à partir.

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t’as le droit d’être en colère, je ne t’enlèverais pas ça mais.. ne pas m’adresser un mot ? t’y vas fort quand même. genre.. vraiment fort. et j’sais pas.. tu pourrais au moins me dire quelque chose, essayer de discuter plutôt que faire tes affaires en un coup de vent comme si on se fichait de tout le reste. ne me touche pas. ok. je reculais d’un pas croisant mes bras sur ma poitrine avant de me mordre la lèvre. c’était douloureux de t’entendre me parler comme ça mais je supposais que je le méritais du coup alors.. ouais, j’allais rien ajouter sur ça. et le pire était à venir. la manière dont tu me parlais et tout le reste. j’restais là, un peu estomaquée, encaissant tes mots et leurs violences alors que tu sortais presque de suite après probablement pour finir tes bagages. je traînais des pieds jusqu’au salon où tu étais déjà, à finir de tout entasser et.. ok, donc tu claques la porte et voilà ? très bien. j’tendais la main vers toi, paume vers le plafond « mes clés. » parce que du coup, c’est mon appartement. tu t’en vas, tu rends les clés. si jamais tu comptes venir, tu feras comme tous les autres, t’appuieras sur la sonnette et t’attendra de voir si je veux t’ouvrir. « ma carte grise aussi. » parce que du coup, c’est ma voiture, mes papiers. tu me le rends aussi pour la peine et t’utiliseras ton vélo. et… je fouillais rapidement dans le meuble de l’entrée pour en sortir un écrin. « ça par contre, c’est à toi. » voilà. « puis quand tu seras d’humeur à discuter pour simon et addison, tu me feras signe. »

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Il ne voyait plus du tout l’avenir comme avant et pour le coup, il avait très peu d’espoir pour le reste. Est-ce qu’il allait changer d’université ? Est-ce qu’il allait changer de ville ? C’était les options qui se portaient à lui actuellement. Qu’elle reste ici, qu’elle fasse sa vie, il n’en avait plus rien à faire. C’était sûrement la déception qui parlait et il allait le regretter mais il n’en avait rien à faire actuellement. Là, il voyait juste la femme qu’il aimait lui avouer l’avoir trompé sans aucun regret. Elle n’a même pas dit être désolée non, elle l’avait fait et elle le lui avait avoué, ni plus, ni moins. Rompant tout contact, il lui envoyait les vérités à la figure en ne voulant plus entendre parler d’elle par la suite. Il continuait alors le reste de sa vadrouille dans tout l’appartement pour récupérer le plus important, avant de se rendre compte qu’il avait tout. Elle se rendait limite plus froide que lui quand elle réclamait les choses qui lui étaient dues. « J’allais pas oublier. Je sais très bien que c’est TON appart, TA voiture » Et voilà, l’énervement était bel et bien présent qu’il ne contrôlait plus vraiment son flot de paroles. Il laissait alors tomber les clés de l’appartement et de la voiture sur sa paume, et après avoir cherché dans son porte-feuille, il lui filait les papiers du véhicule. Voilà par contre qu’elle sortait un écrin et sa mâchoire se serrait, et en l’attrapant il le laissait tomber sur le canapé. « J’en veux pas » Mauvais souvenir, mauvaise histoire. Il avait vraiment cru que c’était la bonne, il s’était bien trompé pour le coup. « Je pars quelques jours, on en parle à mon retour, par messages » Parce qu’il comptait bien aller prendre l’air, tenter d’oublier ce mauvais cauchemar.. seulement, c’était la réalité. Il avait perdu la femme qu’il aime, mais aussi sa confidente, sa meilleure amie, sa moitié, son repère. Encore sous le choc, il ne savait pas encore à quel point ça serait dur. « Mes parents viendront récupérer le reste demain » 

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parce qu’en soit, t’es quand même obligé d’agir comme un adulte là. que tu le veuilles ou non, on a eu deux enfants ensemble et si tu veux jouer au roi du silence plutôt que trouver des solutions, j’crois que malheureusement pour toi, tu ne les verras pas tellement. « yas, tout à moi. » et peut être que je te provoque un peu mais c’est toi qui te tire comme ça. j’ai quand même le droit de réclamer ce qui m’appartient et ouais.. tout ça, là, c’est à moi. donc en soit, tu peux râler, appuyer sur les pronoms possessifs que ça ne changera rien. c’est la vérité, c’est à moi, je le récupère. « tu devrais la revendre pourtant. tu vas avoir besoin d’argent. » j’te dis ça comme ça. mais élever deux gamins c’est pas facile. et moi, je m’en sortirais. harrison remember ? toi.. ça risque d’être beaucoup plus compliqué et c’est pas tes 15 heures au starbucks qui vont t’offrir une vie de roi. « comme tu veux » on a un mois pour trouver des solutions de toute façon. tant qu’on s’y prends pas au dernier moment, ça devrait aller. « non. tu viendras récupérer tes affaires. et si t’es pas capable de m’affronter, elles resteront ici. » tu crois quoi ? que tu vas faire le lâche et m’envoyer tes parents ici ? que je vais rester sagement sans rien dire pendant qu’ils me lanceront des regards meurtriers ? non. si tu veux récupérer des choses, tu viens. si t’as pas le courage ou l’envie de me parler, tu te démerdes mais j’ouvrirais pas la porte à un autre que toi vis à vis de ce sujet-là.

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Il lui rendait ses affaires, que de toute façon, il n’aurait aucunement gardé. Parce que, comme à chaque fois, il finissait par faire des listes dans sa tête pour ne pas oublier les choses. Et voilà que mentalement, il rayait tout ça quand il lui rendait ce qui lui appartenait. Quand finalement elle venait donner au jeune homme l’écrin qui détenait la bague qu’ils avaient choisi pour elle, son cœur se resserrait encore plus et la rupture était amère pour lui. De son point de vue à elle, ça semblait facile, elle se libérait du poids qu’il pouvait être et c’était de toute évidence compliqué à gérer pour lui. « Je veux plus rien de toi » Et puis, il avait ses parents. Pas de loyer à payer cette fois, une bourse pour combler son salaire en plus de ça. Il allait gérer, il le savait, quitte à faire des sacrifices. Ses enfants étaient tout ce qu’il lui restait à présent, ils seraient son repère, son ancre et il allait tout faire pour les rendre heureux. « Pourquoi tu fais ça ? Pourquoi tu veux rendre ça plus difficile que ça ne l’est déjà ? C’est quoi ton intérêt de me torturer comme ça ? » Parce que là, il ne comprenait l’intérêt de vouloir lui infliger ça. Il voulait juste arrêter de saigner, arrêter de souffrir et être face à elle à présent, ce n’était que de la souffrance et il regrettait alors bien des choses, à commencer par lui avoir avoué ses sentiments en premier lieu.

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« donc tu tires un trait sur les jumeaux ? » parce que ça, que tu le veuilles ou non, ils sont de moi. je les ai portés alors si on suit ton raisonnement jusqu’au bout, tu renonces à tes droits de père. right ? et ouais, peut être que je joue sur les mots mais si tu veux jouer à celui qui sera le plus piquant, tu sais d’avance que je vais gagner. je suis moi et tu es toi. pas besoin de faire une battle pour savoir qui sera plus méchant que l’autre. « j’essaie rien du tout. j’cherche pas à faire quoi que ce soit. mais si toi t’as pas envie de m’affronter, y a aucune raison pour que j’affronte tes parents. à la rigueur, je te laisse les clés, tu me préviens le jour ou tu passes et je ferais en sorte de ne pas être là puis tu les laisseras quelque part dans l’appart mais je gère pas ça avec tes parents sullivan. » c’est pas fair play de ta part en fait. c’est comme si les positions étaient inversés et que j’avais envoyé philip régler les choses. bah non, ça fonctionne pas comme ça. tu règles le truc par toi même ou tu le fais pas mais t’envoie pas des gens de substitutions. « dans tous les cas, tu ne pourras pas m’éviter toute ta vie » sauf si tu renonces vraiment à tes droits concernant nos enfants. mais dans le cas contraire, on va devoir se voir, en parler, se croiser toutes les semaines pour la garde alternée et ce genre de connerie là. donc ouais, fais pas l’enfant, t’y échapperas pas de toute façon.

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« J’ai pas dit ça » Il était énervé mais non, il ne tirera jamais un trait sur les jumeaux, pas après avoir passé autant de temps à construire leur nid douillet dans cet appartement qui n’était plus le sien à présent. Il allait devoir tout reconstruire à zéro, ne dépendre de plus personne. Parce qu’il était affecté par tout ça Sullivan, il ne voulait pas que ça se termine comme ça. Mais elle avait décidé de toute cette suite logique toute seule, quand elle avait pris la décision que leur couple ne valait pas le coup, le détruisant de la manière la plus sale qui soit. « Demain, 14h » Et il espérait vraiment qu’elle ne soit pas là, parce qu’il ramènerait la voiture de ses parents pour prendre tout ce qui lui appartenait, déposant sûrement le cadeau qu’il avait prévu de lui faire dimanche sur la table face à l’entrée. Oui il l’aimait, oui, il avait prévu une journée mémorable pour eux deux ce dimanche, mais tout volait en fumée à présent et il n’était même plus capable de la regarder en face tant il était blessé. C’était même ce qui était en train de se passer. Sullivan avait le regard fuyant, incapable de la regarder sans avoir cette envie de pleurer. Mais non, il restait fort, se contenait. Après tout, il avait bien pris en compte à quel point il pouvait être pathétique et lâche. Ses propres mots à elle. « Je sais, c’est le plus triste dans cette histoire » Il aurait rêvé n’avoir plus aucun lien avec elle, refaire sa vie de son côté et la laisser vivre son histoire avec l’autre mec, si jamais c’était une tromperie pour une histoire de sentiments. « C’était Elliot, pas vrai ? » Histoire qu’il se rassure, sur ce qu’il pensait. Il savait que ce jour arriverait et maintenant, il était à deux doigts de se conforter dans l’idée qu’il ne se faisait clairement pas de films entre eux deux.