Fallait qu’on retrouve notre complicité. On était en bonne voie depuis la séance de surf, même si y’avait eu l’épisode où tu m’apprends que j’ai un frère caché entre deux. Mais comme j’t’avais dit, je t’en voulais pas, c’était pas ta faute, et on allait bien. Enfin… j’crois? J’espérais. T’façon, une sortie rien qu’à deux, ça ne pouvait pas faire de mal. Au contraire. Passer un peu de temps en amoureux. Et… ouais, ça sonne niais mais c’est la vérité après tout. Je t’aime, j’suis amoureux, et j’veux pas te perdre. Alors depuis que les choses ont un peu dérapé, j’fais tout pour que ça colle entre nous. Et si d’habitude, je m’efforce de te préparer des soirées qui sortent de l’ordinaire pour t’impressionner, là, ce soir, j’ai simplement décidé de t’emmener au resto. On a pas besoin d’un truc hors de prix ou complètement dingue pour profiter l’un de l’autre, si? Non, pas à mon sens. J’le sais, j’le sens là, quand le soleil se couche et colore le ciel de nuances de rose et d’orange, quand j’ai ta main dans la mienne, tes doigts entre les miens et qu’on se balade dans les rues pittoresques d’Albufeira (cc 1 & 2). C’est juste toi et moi. Et l’endroit, le lieu, peu importe ce qui nous entoure en fait. Ça compte pas. Pas autant que nous. Du coup, on marche tranquillement jusqu’au restaurant où j’ai réservé une table pour ce soir. Se retrouver, discuter autour d’un bon plat typique — même si moi, le Portugal, j’connais pas alors j’sais pas vraiment ce que ça veut dire ça. "J'espère que t'as faim." que je dis pour lancer la soirée en venant déposer mes lèvres sur ta tempe, un bras autour de ta taille pour te garder contre moi. Passer une belle soirée en ta compagnie. C’est tout ce dont j’ai besoin en ce moment. Juste toi.
≈ ≈ ≈ {let's give our hearts a break} crédit/ tumblr ✰ w/@elliot maxwell
j’ai du mal à savoir parfois où est-ce qu’on en est. j’crois que les choses vont bien entre nous même si clairement, on est loin d’avoir retrouvé notre complicité. mais je me plains pas. je sais que ça prendra sûrement du temps, le plus important étant qu’on était quand même en bonne voie. alors ouais, j’ai pas envie de râler pour tout et rien puis, on fait des efforts tous les deux de notre côté, c’est sûrement ce qu’il faut retenir de tout ça. puis quand tu me proposais une sortie tous les deux, j’pouvais pas dire non. premièrement parce que j’avais toujours adoré passer du temps avec toi et ensuite parce que ouais, j’croyais dur comme fer que ça nous permettrait de gravir encore un peu les distances que l’on avait pu mettre entre nous. ma main accroché à la tienne, je regardais avec admiration la magnifique ville que pouvait être albufeira et les jolies rues que l’on traversait doucement. quelque part, ça me rappelait la grèce même si clairement, ermoupoli avait bien plus de charme. mais ouais, y avait peut être un brin de nostalgie qui venait s’emparer de moi sur mon pays natal et la force avec laquelle ça pouvait me manquer parfois de ne pas être là-bas. j’avais l’impression de ne pas avoir vu mes grands parents depuis une éternité et pour quelqu’un d’aussi famille que moi, c’était parfois difficile à gérer. « j’dis jamais non pour manger » j’ai beau faire attention, je suis la première à craquer devant un stand de nourriture et.. attends, c’est pas la première fois que tu m’emmènes au restaurant ? j’crois que si. dans tous les cas, j’suis bien là, contre toi. et quand on arrive devant la devanture du petit endroit je souris. « j’suis désolée pour les messages. j’étais juste.. vexée ? » parce que ouais, j’me disais que quelque part, ça sortait pas de nul part et que t’avais forcément dû dire quelque chose pour qu’il me sorte ça comme ça de but en blanc, non ?
On déambule dans les petites rues d’Albufeira — et tant pis si on se perd un peu, parfois, c’est comme ça qu’on réalise les meilleures découvertes. Moi, ma meilleure découverte de ces derniers mois, c’est toi. J’pensais pas m’entendre aussi bien avec quelqu’un d’aussi différent que moi. Et pourtant, je t’aime. Irrévocablement. J’sais pas comment j’ai fait pour devenir ce gars aussi mielleux et niais, mais… j’crois que je changerais rien même si je pouvais. On arrive finalement devant le petit restaurant typique et je souris à ta réponse. "C’est une bonne philosophie de vie." Et ouais, je le sais, je t’ai jamais emmenée au resto. Probablement parce que j’me disais que c’était pas assez ‘wow’ pour toi? Toujours ce besoin de t’impressionner, de voir les étoiles que tu peux avoir dans les yeux quand ils se posent sur moi. Ça, ça me fait vibrer. "T’inquiète pas. Mais t’as pas à être vexée… J’t’assure que j’ai rien dit de tout ça. Phineas il est juste… très maladroit et parfois très idiot. Je lui en ai parlé et il m’a dit que c’était juste une blague pour te taquiner. Inutile de préciser que l’humour, c’est pas son fort…" Mais sérieux, j’étais un gars avec un certain paquet de valeurs et jamais, au grand jamais, je t’aurais sexuellement comparée à mon ex. On compare les coups d’un soir à la limite, mais pas les relations sérieuses, ça n’a rien à voir. "Tu me satisfais bien plus qu’elle n’a pu le faire." Peut-être que c’est un peu… le désert niveau intime ces derniers mois mais… ouais, niveau relation, la notre est bien plus saine que celle que j’ai pu avoir avec Cléolya.
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après, comme d’habitude, j’étais restée soft. peut être un peu trop froide à ton goût mais je n’avais pas non plus fait mon carnaval à hurler dans tous les sens. chaque fois qu’il y avait un problème j’étais plutôt du genre à me refermer sur moi même plutôt qu’étaler mes états d’âmes : c’était exactement ce que j’avais fais. mais comme on tentait d’aller mieux toi et moi, je préférais qu’on profite de ce tête à tête pour briser directement la glace plutôt que laisser les mauvaises choses venir une nouvelle fois prendre le dessus dans notre relation. « pour la maladresse, j’ai pu remarquer » j’veux dire, il m’avait envoyé son cerf-volant directement dans le fessier avant de m’escalader comme si j’étais la tour de pise puis avait gentiment squatté ma serviette pendant une éternité. alors ouais, adroit ne serait clairement pas le mot que je penserais à lui attribuer en pensant à lui en premier lieu. « mais ouais, ok, c’était juste une blague » et j’étais d’accord sur le point que tu venais de souligner : l’humour n’était pas son fort. parce que techniquement, je ne trouvais rien de drôle dans les insinuations qu’il avait faites. et si je n’étais pas moi, les choses auraient pu déraper beaucoup plus violemment. « c’est vrai ? » parce que tu sais que je suis terrifiée à l’idée de ne pas être à la hauteur. je peux pas m’empêcher de me trouver pas assez bien ou de me dire que je ne lui arrive pas à la cheville. à elle ou à n’importe qui d’autres d’ailleurs. et j’sais que je comble pas spécialement tes attentes sexuelles alors c’est sûrement pour ça que je l’ai autant pris à coeur sur le moment. parce que c’était comme m’envoyer en plein visage que j’étais totalement déroutée vis à vis de ce sujet en particulier. « t’as envie de moi ? » je demande parce qu’en soit, même si je suis en retrait dans ce domaine, t’as pas non plus initié grand chose de ton côté et peut être qu’en fait, je ne t’attire pas plus que ça à ce niveau là.
On s’explique à propos des mots de mon pote Phineas, ce gros abruti maladroit de mes deux. J’ai sérieusement envie de le buter parfois, parce qu’il a dit des choses que j’ai absolument jamais dit. Tout ça pour faire son intéressant, faire son clown et divertir le public. Sauf que moi, ça me fout dans la merde derrière, cette fois. Puis, comme je lui ai bien dit par textos, on peut comparer des coups d’un soir, mais on peut pas comparer des relations amoureuses. C’est pas comparable, c’est des expériences entières et totalement différentes selon la personne avec qui on les partage. J’peux juste te dire Vega qu’avec toi, je suis heureux, je me sens bien, et notre relation est beaucoup moins compliquée, beaucoup moins conflictuelle que celle que j’ai pu avoir avec Cléolya. Cléo, elle était peut-être plus libre que toi sexuellement parlant mais… c’est pas tout ce qui compte dans une relation, loin de là. "Bien sûr que c’est vrai. J’suis toujours là, tu vois pas?" J’suis avec toi, au Portugal. J’ai peut-être mis du temps à me lancer dans notre relation, mais comme j’te l’ai déjà dit, quand j’me lance, c’est entièrement. Et là, je suis lancé. Mais ta question, elle me prend de court. Je me stoppe net, je tourne la tête vers toi, le regard surpris. "Là, maintenant?" Enfin… j’suis pas sûr de comprendre. Ou peut-être que j’veux pas comprendre. Bien sûr que j’ai envie de toi. Même si j’essaye de réprimer ça depuis des semaines, parce qu’il se passe rien. Et j’crois que les autres riraient de savoir que j’ai pas couché depuis le bal. Le grand Don Juan Elliot Maxwell qui fait abstinence depuis deux mois. Ouais, j’ai jamais eu une aussi longue période sans sexe depuis… depuis que j’ai perdu ma virginité. Hm. Je te tire par la main un peu sur le côté de la rue pour ne pas rester dans le passage. "Pourquoi tu me demandes ça Vega?" J’sais pas, pour moi, c’est toi qui en a pas envie. C’est toi qui n’en a pas besoin. Et j’t’aime, alors je respecte.
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je sais pas en fait. j’suis une fille, c’est mon rôle de me faire des milliers de film dans ma tête, non ? puis j’suis moi et t’as déjà pu voir que mon cerveau ne fonctionnait pas comme la plupart des gens alors ouais, j’suis capable d’imaginer des tas de chose. et comme tu ne viens pas vers moi pour.. ça ? je me dis que t’en a peut-être pas envie. que je te conviens sentimentalement parlant mais que sexuellement, t’as pas spécialement envie de me toucher. « ouais » mais tu sais que je manque de confiance. que ce soit en moi ou dans les autres, dans les relations. j’arrive pas à tout abandonner et à juste laisser faire. j’ai besoin que les choses soient carrés, concrètes. t’as déjà vu mes listes et les plannings que j’organise pour mes journées. j’peux sembler psychorigide parfois. et j’vois que je te surprends à te poser soudainement cette question mais.. elle est légitime, pas vrai ? alors j’hausse les épaules. là maintenant ou en général. peu importe. j’veux juste savoir moi. parce que j’ai l’impression que je te donne pas envie, que je t’attire pas et.. j’sais pas ? faut que tu me guides, tu le sais. « bah.. tu me touches plus ? » j’baisse les yeux vers le sol parce que ce genre de conversation, ça m’a toujours mise mal à l’aise mais.. ouais. tu me touches pas. jamais. j’ai l’impression que soudainement, tout est devenu très chaste entre nous alors qu’on était plutôt bien parti au départ. alors j’sais pas, j’me dis que j’ai du faire quelque chose de mal ou que mon innocence ne te va pas. j’sais pas en fait, c’est juste chiant d’être moi des fois. « alors je me dis que t’as juste pas envie. et que j’suis peut être pas « assez » pour toi. » mais j’pourrais pas devenir un de tes coups d’un soir en un claquement de doigt. j’aurais probablement toujours ma pudeur avec moi et j’suis désolée si ça pose tant problème que ça.
Ta question, elle me prend de court parce que… j’sais pas, c’est pas un sujet que t’abordes d’habitude. C’est pas un sujet qu’on aborde, ni toi ni moi. Et quand on y réfléchit, ouais, avant c’était naturel entre nous, j’avais toujours ce besoin de te toucher, étant un gars très tactile de base mais maintenant… c’est pas que j’en ai pas envie, c’est juste que… j’ai peur de te froisser si j’le fais, j’ai peur de… me prendre un vent, en fait. Faut dire que ces derniers temps, avec la froideur de notre relation, ouais, j’y ai pas vraiment pensé. Mais après le bal, et là, ces vacances qui sont plutôt bien réussies pour l’instant… J’sais pas pourquoi c’est pas arrivé. J’me suis juste pas posé la question pour être honnête. Je me mords l’intérieur de la joue quand j’te vois baisser les yeux parce que je déteste te voir comme ça, je sais que tu te remets en question, que t’es blessée et j’aime pas. "C’est pas que j’ai pas envie ou que t’es pas suffisante… C’est juste que…" Que quoi? En fait, j’ai pas vraiment d’excuse. Et c’est chiant. "J’pensais que t’en avais pas spécialement envie, et j’me suis habitué à ne rien avoir." Autant la jouer honnête, vu que c’est ma ligne de conduite. C’est la vérité, j’me suis simplement habitué à ne pas avoir de contact. Et… c’est triste, dans un sens. Parce que j’suis pas le genre de gars à vouloir du platonique. Je l’ai jamais été, et j’compte pas l’être. "J’sais pas pourquoi y’a eu un blanc après le bal, mais t’sais après y’a eu l’engueulade, et c’était super froid et à chaque fois j’me disais que c’était pas le moment, que j’me prendrais sûrement un stop. Et après on est arrivé ici et… j’sais pas. J’ai pas l’impression que t’en aies besoin. Que t’en as envie." Tout simplement. Et j’suis pas un forceur. Tu réclames pas, tu montres pas d’intérêt, j’ai peur de me faire stopper dans un bon mood et… ouais, tout ça fait que j’ai pas fait le premier pas. "T’en as envie?" C’est ça, la vraie question en fait. La seule qui importe.
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ouais, j’suis beaucoup trop mal à l’aise d’aborder ce genre de sujet avec toi. j’veux dire, c’est typiquement de ça dont je ne parle jamais. ni à haute voix, ni autrement d’ailleurs. mais là, j’ai l’impression qu’il y a un problème et je sais pas. c’est comme si on était juste des potes, qu’on fait des sorties à deux mais que dès que ça touche à l’intimité, y a plus rien. j’suis obligée de me poser des questions tu sais ? parce que concrètement, si je ne t’attires pas dans ce sens là, qu’est-ce qu’on fait ensemble ? je sais très bien que t’es pas le genre de mec à vouloir une relation platonique est c’est exactement ce qu’on a là. le truc le plus platonique du monde. à croire qu’on joue au jeu de ne pas se toucher et ouais, on devient fort à ce niveau là. « ah » donc on fait comment, dis moi ? j’écoute tes justifications mais j’sais pas.. j’ai l’impression que c’est juste toi qui a posé une barrière dans ta tête en fait. et tu me sors n’importe quoi mais ouais.. j’sais pas. « bah.. oui ? » j’suis peut être pas celle qui réclame le plus au monde mais je reste une femme alors bien sûr que j’en ai envie. j’veux dire.. je ne serais pas normal si je ne le voulais pas, si ? mais ça ne change pas le fait qu’il ne se passe rien et qu’on reste bloqués comme ça dans une histoire qui n’avance pas. on rame depuis des semaines en fait toi et moi. « j’me demande parfois si.. t’as vraiment envie d’être avec moi. » peut être que tu t’es rendu compte que c’était trop tôt, qu’on était pas prêt. je sais pas en fait et dans ma tête, y a toutes les questions qui tournent en boucle tout le temps. « j’crois que j’ai pas envie qu’on continue comme ça. et j’ai beau faire tous les efforts du monde, ça marche pas. » alors on fait quoi ? parce que tu sais, je préfère largement arrêter les frais là plutôt que continuer dans une voie sans issu. on aura plus mal qu’autre chose si c’est comme ça.
Peut-être que c’est ma faute, en effet. J’me suis fait des idées. Et je sais que t’es pas une personne à l’aise avec ça, que t’es pas démonstrative sur ce sujet, alors j’aurais du savoir, j’aurais du faire le premier pas, comme avant. T’as raison, j’crois que j’me souviens même pas du dernier vrai baiser qu’on a eu, ce genre de baiser qui te laisse frustré, avec une envie de plus. J’ai l’impression qu’on est deux personnes âgées, un couple marié depuis 40 ans qui se fait que des petits bisous pour dire bonjour, au revoir et merci, et basta. Et merde, on est jeunes quoi. On a la vingtaine, on est censé toujours avoir envie de l’autre, besoin de se toucher, ne pas vouloir se lâcher. On est censés être extra, être un peu irresponsables. J’sais pas, se comporter comme des gamins de vingt piges quoi. "Pourquoi j’aurais pas envie d’être avec toi?" Fin, j’sais pas, j’suis là non? Je plante mes yeux dans les tiens, parce que j’sais que t’es pas encore allée au bout de ta pensée. J’te connais un minimum maintenant pour le savoir. Et je serre les dents en attendant le verdict, qui sort bien vite d’entre tes lèvres. Ma main lâche automatiquement la tienne à laquelle je m’accrochais encore, mes bras retombant le long de mon corps. Je me repasse ta phrase dans ma tête, une, deux, trois fois. Faut tourner sa langue sept fois dans sa bouche avant de parler non? "T’es en train de rompre?" J’préfère avoir une confirmation, en fait. Parce que là, ça en a tout l’air.
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alors je sais pas, tu crois que ça sert à quoi de continuer comme ça ? parce qu’à mon sens, y a pas d’intérêt. peut être qu’on s’aime mais ça suffit pas. en fait, j’ai l’impression que l’amour ça suffit jamais et ouais, c’est chiant. ça me rend dingue parce qu’on y arrive juste pas. on tourne en rond, on pagaie dans le vide mais on avance pas. et je me dis qu’on a juste laissé les choses arriver et qu’on a pas la force de se battre l’un pour l’autre. alors ouais, ça ramène à la question, qu’est-ce qu’on fait ensemble ? puis t’es agaçant parce que tu réponds à mes mots par d’autres questions et.. j’sais pas. si j’met en doute ton envie d’être avec moi, tu devrais plutôt me rassurer non ? me dire pourquoi est-ce que t’es là, pourquoi est-ce que tu restes.. mais non, tu le fais pas. et j’crois que c’est une preuve qui s’ajoute en plus sur la longue liste de nos échecs. tu lâches ma main et j’pousse un soupir secouant la tête. « je sais pas. je crois ? » et ça me fait pas plaisir parce que c’est pas spécialement ce dont j’ai envie mais j’ai déjà eu une peine de coeur et j’ai tellement eu du mal à le surmonter que je suis pas prête à revivre ça. alors si ça marche pas, c’est peut être mieux d’arrêter les frais maintenant, tu crois pas ? « j’crois qu’on y arrive pas et.. j’sais pas. quand tu nous regarde, on a pas vraiment l’air heureux ensemble » peut être qu’on est trop différent ou bien il y a des choses qu’on se pardonne pas. je trouve pas d’explication, je regarde juste les faits. et j’ai pas envie de souffrir. j’crois que t’as pas envie de souffrir non plus de toute façon. vrai ou pas ? « alors j’sais pas, ça rime à quoi là ? »
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