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{we are better together}
crédit/ tumblr ✰ w/@"Novella"
ok, je t’accorde le bénéfice du doute. peut-être que cette situation entre toi et mael n’était que la blague d’un groupe de portugais. mais à l’aide ! me raconte pas ce truc gênant. j’ai envie de me boucher les oreilles. toi, toute nue sur lui ? au secours, des visions d’horreur traversent mon esprit de petit saint. tu veux plus penser et fantasmer sur lui ? bah la solution, c’est moi vella. ça te coupera toute envie, j’en suis persuadé. « c’est toi qui le cherches alors !!! le pauvre, je faisais que l’accabler alors que.. » tu ris ? je te fais rire ? qu’est-ce que tu fous ? pourquoi tu te mets à quatre pattes ? pourquoi tu me grimpes dessus avec ton regard de chatte en chaleur. c’est pas parce que t’es ma meilleure amie que mon appareil génital reste au repos. tais-toi. olala. heureusement que toi et moi à poil en train de copuler, ça ressemble plus à un sketch qu’à une scène torride d’un film x. « sors de là sorcière ! » les yeux clos, j’attends que tes seins se décollent de mon torse pour les rouvrir. ouf, tu t’es retirée. je me redresse et me rassois en me débarrassant du sable que t’as foutu sur moi. bon, maintenant raconte moi la suite. « donc tu lui as pardonné à lauri ? » un poing dans la gueule quand même.. t’y es pas allé de main morte. ça se trouve il a fini chez le chirurgien pour une rhinoplastie avec tes conneries. bref, maintenant davi, ton objet sexuel. eh ben dis donc, doit pas y avoir beaucoup de toiles d’araignée entre tes jambes. « t’as bien raison, t’as le temps pour allaiter et jouer à la maman » puis apparemment, t’as l’air de vouloir butiner un peu partout.. à moins que tu cherches le bon en tâtant d’abord la marchandise.. bref, fini de parler. j’crois qu’on a fait le tour. j’ai envie de jouer un peu. je te soulève alors de la plage pour te jeter dans l’eau. je t’entends te plaindre sur le chemin, je m'en fous. t’as quand même arraché un peu de mon cuir chevelu, j’en reviens pas ! « chuuut, c’est rieeeen tout va bieeeen » arrête d’hurler, on va croire que je te tue ou quoi. jetant ton corps dans les flots, je comprends enfin ce que tu voulais me dire en apercevant tes tétons dressés sous ta chemise collée à ta peau. mes yeux s’écarquillent. ma bouche reste entrouverte. « quoi ? non, mais arrête de te justifier, j’savais que je te faisais de l’effet » remuant mes sourcils comme un crétin, je reçois tout à coup une plâtrée de sable dans la tronche. t’as pas osé ? bitch. l’espèce de paquet de sable tombe de ma joue. j’ai des grains coincés entre les lèvres, tout ce que je hais. « T’ES UNE FEMME MORTE FRANCESCOV!!! » bah maintenant, on peut évidemment croire que je vais commettre un meurtre. courant péniblement dans l’eau, je parviens à rejoindre le rivage pour te plaquer au sol. mes mains empoignent tes chevilles et je remonte sur toi pour te chevaucher. l’eau grignote la moitié de ton corps alors que je tente désormais de maintenir tes bras au dessus de ta tête « tu fais moins la maline là !!! » ok, tout ceci peut porter à confusion si on ne nous connaît pas. c’est juste que je hais perdre moi. pis c’est pas comme si je louchais sur tes nichons hum « arrêtes de lutter, j’sais que t’aime être dominée » plaisantai-je en poussant un rire de mouette trop zarbi « si tu dis phineas abernathy est l’homme de ma vie et dieu sur terre, alors peut-être que je te lâcherai.. »
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