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Des jours puis des semaines qu’on ne s’est plus écrit, parlé et vu. Restés sans nouvelles de l’autre, nous sommes devenus de parfaits étrangers. Et pourtant, il n’y pas une minute où je pense à lui, à nous. Dépendante de mon téléphone, je regarde désespérément son écran. J’espère un message ou un appel mais rien n’arrive. J’ai tant de chose à lui demander et à lui raconter. Lui demander comment se passe ses vacances. Lui confier que je suis malade et que je suis retournée une fois de plus à l’hôpital après le summer camp. Lui dire que je suis partie au Japon pour célébrer la réussite de mes examens et reprendre des forces, profitant de son magnifique paysage et de ses ryokans et onsens. Lui dire qu’il me manque et que je suis désolée. Mais je n’arrive pas à lui écrire. Je suis incapable de faire le premier pas. Puis finalement, il m’écrit et je fais long pour lui répondre. Je prends le temps de relire son message. C’est bien lui. Il me demande de le rejoindre à l’aéroport. Un cap ou pas cap qui m’arrache un sourire qu’il ne voit pas. Malheureusement, je suis incapable et c’est une première. Ce n’est pas ma faute, je suis à Kyoto. J’ai envie de le rejoindre mais un océan nous sépare. Une distance non insurmontable car il est là. Il se tient sous mes yeux. A quelques mètres de moi, à l’entrée de la forêt de bambou à Arashiyama. Il est venu. – Tu es vraiment là… Lui dis-je en m’avançant vers lui. Je sens mon cœur accélérer, battre pour lui. J’affiche un léger sourire, tout de même bien heureuse de le voir. Mais je ne sais pas quoi lui dire… Notre dispute au summer camp me hante toujours, j’ai du mal à m’en remettre.
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Je n’aurais jamais imaginé qu’on puisse se disputer avec Thalia. Mais les faits étaient là et depuis que nous nous étions tournés le dos ce soir-là, au Portugal, nous ne nous avions absolument pas adressés la parole. Une première pour nous deux, surtout quand on sait que ces derniers temps nous étions toujours en train de communiquer tous les deux. C’était dur, je devais bien l’admettre et même si c’était compliqué de me le faire comprendre, même si c’était compliqué de l’admettre aussi parce que je n’avais jamais été comme ça. Du moins, plus depuis Kara en tout cas. J’avais du mal à comprendre tout ce qu’il se passait dans mes pensées, du mal à me dire que peut-être… et si c’était vrai ? Si mon cœur était une nouvelle fois en train de s’ouvrir à quelqu’un ? Si cette personne n’était autre que Thalia ? Tant de questions et de si qui se bousculaient inlassablement dans ma tête depuis que nous nous étions disputés tous les deux. C’est fou, je pourrais me disputer avec les gens que je m’en ficherai royalement, mais elle… elle s’est vraiment différent et je n’aime pas que l’on soit comme çà tous les deux. Alors c’est décidé, je lui envoi un message après quelques semaines écoulés et je lui lance ce que l’on sait faire de mieux. Un cap ou pas cap de me retrouver à l’aéroport dans une heure. J’attends… j’attends tellement impatient une réponse de la jeune femme. C’est dur sans sa présence, plus dur que je ne l’aurais pensé. Mais le Summer camp m’a aussi aidé à garder le cap mais une fois terminé, il a tout de suite fallu que je m’en aille pour pouvoir tenter de la retrouver. Voilà que finalement je me retrouve dans l’avion pour la retrouver à l’autre bout de la terre. A Kyoto, au Japon. Je ne connaissais absolument pas l’endroit, ce qui n’était pas plus mal. Nous nous étions donnés rendez-vous à l’entrée de la forêt de Bambou quelque part dans une ville imprononçable pour moi. Je ne l’ai pas attendu longtemps. Je vis sa petite tête, son corps que je connaissais parfaitement, je la vis elle, s’avancer alors que je m’avançais moi aussi dans sa direction. Je sentis alors quelque chose qui ne m’était pas arrivé depuis bien longtemps. Mon cœur battait un peu plus vite. Mon cœur battait pour la jeune femme. Et bien, tout de même, je me devais de venir te retrouver lui dis-je avec un de ces sourires qui sont bien rares.
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J’ai toujours du mal à croire qu’il m’ait rejoint. Et pourtant si, il est là sous mes yeux. Je l’ai reconnu de suite, alors qu’une petite centaine de mètre nous sépare. Je me rapproche de lui et je sens mon cœur s’accélérer. C’est peut-être l’angoisse ou peut-être simplement lui. J’en sais trop rien. Encore une fois, je suis confuse. Mais je sais que cette fois, sa présence ne me déplait pas, pas comme l’autre soir. Je n’éprouve plus aucune haine envers lui. De l’eau a coulé sous le pont. Je sais que j’ai réagi de manière excessive et je l’ai regretté le lendemain, les jours suivants et aujourd’hui encore. Je regrette notre dispute mais je sais que nous ne sommes pas à l’abris d’une nouvelle. C’est pourquoi je m’impose une distance. Une distance qui se remarque alors que j’arrive face à lui. A peine un mètre nous sépare et pourtant j’ai l’impression qu’il y en a dix. – Qu’est-ce que tu fais ici Rio ? Pourquoi faire tout ce chemin pour me retrouver alors que tu aurais pu attendre mon retour ou simplement me parler par téléphone ? Je lui demande, les bras croisés. Vraiment, ce n’était pas nécessaire. Nous n’étions plus à un jour près. Mais je dois bien l’admettre que ça me fait énormément plaisir de le revoir et d’entendre sa voix à nouveau. J’ai même envie de toucher son visage, prendre sa main dans la mienne, le sentir près de moi mais je garde cette distance de sécurité. J’ai peur de déraper, de perdre la tête à nouveau et de ne plus me reconnaître. Il m’a fallu plusieurs semaines pour comprendre que je m’étais trop attachée à lui, beaucoup trop même et ce n’est pas bon pour nous.
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J’avais besoin de voir la jeune femme. J’avais besoin de lui parler. Çà ne me ressemblait absolument pas mais je ne pouvais pas aller contre ce que ma tête et mon corps me disaient. Oui, je ne voulais pas dire cœur parce que je ne sais pas encore ce qui était en train de se passer dans ma vie, avec mon cœur et avec Thalia. Tout était encore bien trop confus pour moi mais j’avais eu envie de lui poser la question. Cap ou pas cap ? J’avais attendu une réponse de sa part et j’avais vite été déçu de la savoir ailleurs. Loin de Boston, loin de moi, et surtout sur un autre continent. Nous qui partions toujours tous les deux en voyage, c’était finalement sans moi qu’elle avait mis les pieds au Japon. Cette dispute entre nous n’aurait jamais dû avoir lieu et elle me manque. Dois-je vraiment le lui dire ? Je ne sais pas. Je ne sais pas si j’en aurais la force. Tout me semble tellement confus alors que cela pourrait être si simple. Mais rien n’est simple entre nous deux. Depuis Kara, j’avais tout refermé, j’avais pris la décision de me fermer à n’importe quelle fille qui voudrait avoir l’accès à mon cœur et pourtant, je crois bien que mon cœur a décidé de s’ouvrir de nouveau à quelqu’un, tout seul, sans même que je ne puisse dire quoique ce soit. Je suis vraiment content de la retrouver, mais ce n’est visiblement pas son cas. J’encaisse encore une fois ce qu’elle me dit. Que lui dire ? tu es encore énervée pour la dernière fois ? lui demande-je tout simplement avant de répondre à ses questions. Non, je n’aime pas le téléphone, je préférai te retrouver. Je t’ai lancé un cap ou pas cap, tu étais déjà trop loin. Tu m’as lancé un cap ou pas cap, j’étais prêt à prendre l’avion, je l’ai pris. je suis honnête, je n’ai plus envie de jouer, il faut que çà s’arrête. On ne peut pas se faire la tête éternellement. Je ne le veux pas. Je l’ai dans la tête. Dans la peau. On s’assoit quelque part ou tu as envie de marcher ? lui demande-je Il faut qu’on parle, et de vive voix, pas chacun de notre côté. .
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Je me souviens de cette nuit comme si c’était hier. Et quand j’y repense, j’ai cette boule au ventre et cette tension qui monte. Mais j’ai appris à relativiser ou du moins j’essaie. J’en ris même car je ne me reconnais pas. Je m’étais énervée pour si peu quand j’y repense. Une crise de jalousie qui aurait cru. Pas moi. Mais c’est comme ça que j’ai compris ; que j’ai peut-être des sentiments ou que je suis tout simplement possessive. Bordel, c’est triste. – Ne t’inquiète pas, je ne suis plus énervée. Histoire oubliée. Je lui réponds de manière à le rassurer, à me rassurer. En réalité, je ne sais pas si j’arriverai à réellement oublier mais je vais simplement vivre avec et faire comme si rien n’était. Du moins, c’est mon plan. Un plan qui n’est visiblement pas partagé car il veut qu’on discute. Ça me rend nerveuse et mes ongles se plantent dans mon bras. Je n’ai pas envie de m’énerver à nouveau. Une fois m’a amplement suffi. – Je préfère qu’on marche. Je lui dis et nous commençons à avancer dans cette forêt de bambous, sur un sentier de 500 mètres de long environ. Nos bras se frôlent par moment et je m'éloigne aussitôt de lui. Je veux bien discuter mais je suis trop tendue pour vraiment rester sur place. J’ai besoin de marcher et laisser mon regard se perdre dans les plantations plutôt que dans les yeux profonds de Rio. Pendant quelques mètres, nous ne parlons pas. Une marche silencieuse et je profite pour regarder autour de moi. J’admire les bambous immensément hauts danser au gré du vent et les rayons de soleil qui se faufilent entre les feuillages. C’est une magnifique scène qui s’offre à nous, quelque peu mystique et enchantée. – De quoi veux-tu qu’on parle. Je lui demande. Ce cadre typiquement zen et japonais me détend, et je me sens plutôt prête à discuter à cœur ouvert.  
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Je ne sais pas du tout comment notre nouvelle rencontre va se dérouler après le fiasco de la dernière fois. Je n’ai jamais eu envie de me prendre la tête avec la jeune femme. Je ne suis pas colérique en général. Je n’aime pas me prendre la tête et encore moins avec la jolie brune. C’est parti trop loin et je ne sais pas s’il y a moyen de faire marche arrière. Je l’espère. Je n’aurais jamais cru redevenir celui que j’étais quand je sortais avec Kara. Je ne me reconnais plus. Depuis l’Islande, j’ai un besoin immense d’être avec Thalia. J’ai eu du mal à le comprendre mais j’ai finalement ouvert les yeux. J’ai compris une chose que finalement je refusais de comprendre. Je suis content d’avoir fais le trajet au bout du monde pour lui montrer que malgré tout je suis là. Je ne suis pas avec une autre. Je ne devrais même pas m’en faire pour ça à la base. Je ne dois rien à la jeune femme et elle ne me dois rien non plus mais imaginer ne serait ce qu’un seul instant elle pourrait être avec un autre, je ne le peux pas. Ce n’est pas concevable. Elle me fait savoir qu’elle n’est plus énervée, que l’histoire est oubliée. Je ne sais pas si elle dit vrai. Je ne réponds rien. Je marche, c’est ce qu’elle veut. Il va falloir que je lui parle. Que je me fasse violence. Sa façon d’être n’est pas aussi naturelle qu’avant. Je ne la reconnais pas vraiment en face de moi. Elle semble fermée. J’ai l’impression que quelque chose s’est brisé. marchons dans ce cas superbe réplique de monsieur Vaz ! Je grimace et continue de marcher. Ce vaste endroit qui s’étend en face de nous est tout simplement magnifique. C’est calme, relaxant, ça m’apaise. Je vais donc pouvoir lui expliquer des choses qu’elle ne comprend pas forcément dans leur intégralité. Je soupire lorsqu’elle me demande de quoi j’ai envie de parler. Regardant autour de moi je prends une profonde respiration. tu m’as déjà posé des questions sur mon ex ou tu as tenté d’en savoir plus. Je n’ai jamais voulu t’en parler. Ni même en parler aux gens. C’était trop pour moi. Ça l’est toujours parce que j’ai décidé de tout mettre derrière moi. Je n’ai eu qu’une petite amie c’est parce que nous sommes restés six ans ensemble. Je l’ai connu à l’âge de 16 ans. Elle est parti quand j’en avais 22 jusque là ça va encore Elle est partie, en me laissant sans une once d’explication après avoir perdu le bébé qu’on attendait tous les deux. Oui j’allais devenir papa très jeune. Trop jeune mais j’allais assumer parce que je l’aimais et que je pensais qu’elle était la femme de ma vie je m’étais drôlement trompé. C’était une descente de 10 étages au moins j’aurais tout fais pour elle. Et quand elle est partie j’ai décidé de me fermer complètement à l’amour parce que ce n’était tout simplement pas pour moi et je le pense encore. Je m’arrête là ne sachant pas si je devais continuer. Je ne suis pas assez brave.

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Il n’y a pas grand monde autour de nous ; une chance d’être arrivée tôt dans la matinée. Le calme y règne et nous avançons à un rythme tranquille, sans nous presser afin de profiter pleinement du charme des lieux. Devant nous, il y a un groupe de jeunes qui rigolent à gorge déployé et un peu plus loin un couple qui se ballade amoureusement main dans la main. Puis, il y a nous... qui avançons silencieusement avec une certaine distance et gêne entre nous. Et dire que nous étions un mélange équilibré de tous ces individus mais aujourd’hui, nous donnons l’impression d’être de simples étrangers. Sans aucune discussion... Ce n’est vraiment pas normal. Ce n’est pas du tout nous. Nous avions toujours eu tant de chose à raconter et à rire. Mais là, c’est un silence quasi religieux. Finalement, je lui demande. Il est venu me retrouver pour parler, alors parlons-en. J’ai peur. J’ai peur qu’on commence à parler du summer camp. Je me prépare psychologiquement ; je me prépare à garder mon calme. Je ferme même les yeux un court instant. Mais il me surprend à parler de toute autre chose. Il me parle soudainement de son ex copine. Je suis un peu perdue mais je continue à écouter ses confidences. Je l’écoute avec une oreille attentive et je me surprends à glisser ma main dans la sienne comme pour lui donner la force d’aller jusqu’au bout de son histoire. Je m’arrête lorsqu’il arrive à la fin et je pivote face à lui. – Je ne comprends pas… Pourquoi tu me dis tout ça maintenant ? Je ne t’ai pas demandé… Une main sur son visage, une marque de tendresse pour montrer que je m’inquiète, je cherche son regard. – Je suis désolé… Je n’ai jamais voulu te forcer la main… Et tu n’as pas à me raconter, pas à moi. Je me sens idiote. Horrible même. Je ne sais pas comment réagir, comment l'aider. Je sais qu’il souffre et c’est ma faute. Je suis horrible.
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Si je suis au Japon c’est pour elle, ce n’est pour personne d’autre. Je n’ai pas fais tout ces kilomètres pour me taire et ne rien faire. Je dois prendre mon courage à deux mains et lui parler de Kara. Je le fais. J’essaie en tout cas de lui en dire le plus possible même si je n’avais pas raconté cette histoire depuis bien longtemps. Seule Savannah connait toute l’histoire. C’est la seule et je pensais que çà resterait la seule. Cependant Thalia a pris une grande place dans ma vie et je viens tout simplement de m’en rendre compte. C’est fou, je n’aurais jamais pensé qu’une femme comme Thalia puisse faire irruption comme ça dans ma vie et y avoir une place bien plus grande que je ne l’aurais pensé. Je n’aime décidément pas cette situation, j’ai l’impression que nous nous sommes tout simplement éloignés. Je me sens mal, mal qu’elle soit si loin et pourtant juste à côté de moi. C’est étrange comme sensation mais en même temps, nous n’avons pas fais ce qu’il fallait le soir ou nous nous sommes pris la tête. Je lui parle. Beaucoup plus que je n’aurais cru possible d’ailleurs. Je lui explique les choses, je lui explique tout ce qu’il s’est passé et pourquoi je suis devenu cet homme qu’elle voit. Pourquoi je suis devenu un coureur de jupon et un homme assez fermé. solitaire. Je l’ai toujours été, même avec Kara, mais elle m’a sorti un peu de ma solitude, pour finalement m’y repousser 6 ans plus tard. Je sens la main de la jeune femme dans la mienne. C’est une douce caresse. Çà me fait du bien. Parce qu’il fallait que je te le dise. J’ai trop attendu et l’échéance est passée. J’aurais du pouvoir te le dire avant mais c’est … compliqué je dirais je ne suis plus amoureux de Kara. Disons que je pense souvent au fait que j’aurais déjà dû être papa mais ce n’était tout simplement pas mon heure. Ne t’excuse pas, tu n’as rien demandé, enfin, tu as essayé mais il fallait que çà vienne de moi c’est tout elle ne m’a en rien forcé en tout cas si je te le raconte à toi… les mots ne veulent pas sortir si je te le raconte à toi Thal’ c’est parce que t’as pris une place tellement importante dans ma vie mais je ne m’en suis rendu compte qu’après notre dispute. Tout était enfoui au fond de moi parce que je voulais clairement pas retomber dingue de quelqu’un. mais c’était trop tard.
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J’ai du mal à réaliser ce qui est en train de se dérouler sous mes yeux. J’ai du mal à croire que c’est vrai. Que Rio est là à côté de moi. Qu’il ait pris le premier avion pour me rejoindre au pays du soleil levant. Qu’il m’explique soudainement son histoire qui m’a tant intriguée. Je ne sais pas si c’est un rêve ou une réalité étrange, mais je ne fais pas la différence. J’ai du mal à suivre ce qu’il me raconte et j’ai mon cœur qui soudainement bat si vite. Ses paroles ne me laissent pas indifférentes. Elles me vont droit au cœur. – Et donc… tu es dingue de moi ? … ou … de quelqu’un d’autre ? Je ne suis pas sûre de bien comprendre. J’ai un doute et j’ai peur. J’ai peur de mal comprendre ou de mal interpréter. De me faire des fausses idées et plonger dans les méandres de la déception. J’ai besoin de savoir le fond de ses pensées pour pouvoir avancer. Je veux une vérité claire. – Non en fait dis rien. Je lui fais signe de la main de ne pas continuer, de s’arrêter là, de ne rien dire de plus. Oui, je reviens sur ma question. Je n’ai pas envie de savoir. Je n’ai pas besoin de connaître plus pour l’instant. C’est déjà un grand pas qu’il a fait et je ne veux pas lui demander plus. Pour l’instant, je suis assez aux anges. J’ai même retrouvé un sourire. Pas les plus radieux, plutôt timide mais un sourire quand même. – Merci pour ton honnêteté. Je le pense sincèrement et je regrette de ne pas pouvoir en faire autant et lui parler de mes problèmes de santé. Mais ce n’est pas ma priorité. La priorité est dans notre relation. – D’ailleurs, je suis désolé pour la dernière fois… j’ai vraiment très mal réagi. Et dire que j’angoissais à l’idée de parler de cette soirée désastreuse, c’est finalement moi qui décide d’en parler. Comme quoi, je suis moi aussi incompréhensible.
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J’avais eu du mal pendant bien longtemps à laisser de côté ma relation avec Kara mais depuis que Thalia est dans ma vie, je ne me suis pas rendu compte qu’elle prenait de plus en plus de place et qu’elle laissait les mauvais souvenirs de Kara derrière moi. Je lui explique alors ma relation passée, je lui explique pourquoi je n’ai eu qu’une seule copine. En même temps, j’ai commencé à sortir avec mon ex à 16 ans, je ne pouvais donc pas avoir beaucoup de petites amies avant Kara. Cependant, j’aurais pu en avoir d’autres après mais j’en avais décidé autrement. Aucun critère physique, simplement des jeunes femmes attirantes que je pouvais mettre dans mon lit une fois. Mais une fois pas plus. Enfin, c’est ce que je pensais puisque j’ai quelques plans culs. Et oui pas un, ni même deux, mais trois ou quatre. Je sais, c’est complètement fou mais c’est comme çà. Enfin… au fur et à mesure, je me suis rendu compte que je n’avais plus envie de çà, que je n’avais envie qu’une d’une seule chose. Que d’une seule personne: Thalia. Je ne sais pas comment elle va prendre les choses mais je me dois d’être honnête. J’ai fais tout le chemin pour être avec elle et je n’ai plus envie de me prendre la tête. Je m’apprête à répondre que c’est d’elle dont je suis dingue mais elle ne veut finalement pas le savoir. Est-ce que je lui fais cette fleur ou bien lui dis que c’est d’elle qui hante mes pensées ? Je hausse les épaules tu es sûre que tu ne veux pas le savoir ? lui demande-je alors en croisant son regard. Sa main toujours dans la mienne, je la serres un petit peu plus pour qu’elle essaie de ne pas s’en faire. Je suis là. Avec elle, et avec personne d’autre. Le type solitaire commence à devenir vraiment dingue de cette folle jeune femme. çà me bouffait de ne rien dire, et je te voyais vouloir savoir ce qu’il s’était passé même si tu me le disais pas. Les signes ne trompent pas. je ne lui en veux pas d’avoir voulu le savoir mais il fallait simplement que je me fasse violence et surtout que j’arrête de penser à mal. Elle possède cette place que je ne voulais plus donner. Elle est en train de posséder un coeur que je n’aurais pas cru avoir encore. T’étais en forme je dois bien l’avouer lui dis-je avec un petit rire pourquoi as-tu réagis comme ça ? Je n’ai vraiment pas compris je suis honnête avec elle. Je me suis demandé si peut-être elle était attiré par moi, mais j’ai vite sorti cette pensée de ma tête même si je sais qu’elle doit tout de même avoir un minimum d’attirance pour moi pour coucher avec moi lorsque nous sommes en vacances.
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