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Surprise it's me (Drogo)

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Le soleil, les plages de sable fins, l'eau turquoise, le calme, rien de mieux pour passer sa journée à lézarder et parfaire son bronzage. Le Summer Camp ça a pas mal de bons côtés. Tu décides quand même t'interrompre ta séance bronzage pour repasser à l'hôtel. Arrivant à la réception une idée te vient à la tête. Tu sais que tous les vacanciers logent dans le même hôtel et il se pourrait bien que tu aies des comptes à régler avec l'un d'eux. Tu t'approches du bureau, demandant à la réception s'il est possible d'avoir la clé pour entrer dans la chambre de Drogo. Tu fais les yeux doux pour convaincre le réceptionniste de te les donner. Au début récalcitrant tu finis par lui tendre une liasse de billet en guise de remerciement. Ni une ni deux tu détiens ce que tu voulais. Direction la chambre de celui que tu considérais comme un de tes plus proches amis, avec qui tu as partagé tellement de bons moments, que tu connais depuis ta plus tendre enfance. Mais qui du jour au lendemain t'ignore. Ca te blesse, tu veux connaitre les raisons de son comportement, tu as besoin d'explications. Il joue avec tes nerfs mais tu tenais tellement à lui avant qu'il ne parte. Tu ne prends même pas le temps de faire un détour par ta chambre. Non tu files vers la sienne alors que tu es encore en bikini avec une simple tunique de plage blanche par dessus. Tu passes la carte, qui fait guise de clé, dans la fente du lecteur. Tu ouvres la porte et la refermes délicatement. Tu t'avances dans sa chambre le plus discrètement possible. Pour l'instant aucun signe du prince, jusqu'à ce tu le découvres allongé sur son lit en train de dormir. Tu aperçois une chaise à côté de son lit. Tu la rejoins pour t'y installer confortablement attend 5 mins voir s'il se réveille. Rien. Faut croire que tu as été plus discrète que ce que tu pensais. Ta patience a des limites, tu déverrouilles ton téléphone, actionnant de la musique pour le réveiller. "Allez debout le prince j'ai pas toute la journée devant moi !" Tu te lèves de ton siège, te positionnant en face du lit de Drogo en croisant les bras pour lui montrer ta détermination pour lui tirer les vers du nez.

@Drogo M. Valestrel
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Puisque Anna était en sécurité avec son majordome unique et préféré, Drogo avait pris quelques jours en solo à Albufeira, au Portugal. Cela l'aidait à s'éloigner un brin de l'Andorre, ce pays qui le prenait aux tripes, et qui lui manquait atrocement. Pour l'heure, aucune encombre à l'horizon : bronzette, farniente et séduction au rendez-vous, pile poil ce dont le jeune prince avait besoin pour oublier. Mieux encore, il se sentait incognito et cela valait tout l'or du monde. Aussi, après une fête à tout casser la veille, il se reposait dans ses pénates, complètement apaisé, bien loin d'imaginer ce qui se tramait à la réception d'une part, puis sur la chaise en face de son lit. Encore embarqué dans un sommeil sans rêve, habillé d'un simple boxer blanc laissant entrevoir son torse nu et ses tatouages, il se leva d'un bond et envoya valser un coussin vers l'origine du bruit par pur réflexe défensif, avant de reconnaître cette voix. Comment ne pas la reconnaître ! Az... putain tu te fous de ma gueule ! grogna-t-il les cheveux en bataille, la fusillant du regard en se passant les mains sur le visage. Tu devrais crier encore plus fort, personne t'as entendue ! Puis baisse-moi cette musique de sauvage, j'ai une casquette de la mort ! reprit-il du même ton très aimable au demeurant, cette fois sans la regarder. Le simple fait qu'elle soit là compliquait tout, et... ruinait la tranquillité de ses vacances, indubitablement. Comment t'es entrée dans ma chambre ?!

@Azelia M. Lamborghini
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L'Europe destination que tu connais plutôt bien. En même temps tu y es née et y a passé une grande partie de ta vie. Tu as quitté ton pays natale, l'Italie, il y a seulement 3 ans. Alors tu n'as pas posé les pieds en Italie mais au Portugal, ce qui te ravie quand même. Ce n'est pas le première fois que tu passes la frontière de ce pays. En même temps il faut dire que tu as déjà visité une bonne partie de l'Europe, merci la famille Lamborghini. Ca te fait chaud au coeur de revenir dans ce coin du monde, ça te rappelle de bons souvenirs et les magnifiques rencontres que tu as pu faire. C'est d'ailleurs lors de ces nombreux voyages que tu as fait la connaissance de Drogo, te liant d'amitié au fur et à mesure que vous vous retrouviez à ces cérémonies de représentation auxquelles vous participiez. Malheureusement vous n'êtes plus en si bon termes, tu ignores toujours pourquoi ce revirement de situation. Par chance il se trouve dans le même hôtel que toi actuellement, l'occasion d'avoir enfin des réponses à tes questions. Tu as réussi à t'infiltrer discrètement dans sa chambre. Sauf qu'il fait son feignant alors tu le réveilles en mettant de la musique à fond. Ca ne semble pas plaire à ce dernier puisqu'il envoie valser un coussin vers toi. A cause de ça tu manques de faire tomber ton téléphone. Drogo a vraiment le cul bordé de nouilles parce que sinon il se serait attiré tes foudres. "Je vais bien merci de t'inquiéter pour moi !" Tu préfères ignorer les premières phrases qu'il t'adresse, répondant à côté de la plaque. Il a bien du mal à se réveiller le prince. "T'inquiète les murs sont épais, impossible d'entendre le son de magnifique voix, c'est bien dommage !" répondis-tu en haussant les épaules. "Ah d'accord ça va faire la fête avec des inconnus et moi tout ce que j'ai le droit c'est de me prendre un coussin dans la gueule en guise d'accueil ! Super ça fait plaisir !" Tu dis ça sur un ton ironique comme si tu t'en fichais de ce qu'il faisait de son temps libre. En réalité tu as un léger pincement au coeur de savoir qu'il ne compte plus sur toi pour faire la fête. Tu fouilles dans ton sac pendant quelques instants. "Tiens prends ça ça va te faire du bien !" Tu lui tends un cachet d'aspirine et une bouteille d'eau. "Et puis mets ça sur tes fesses !" Tu lui balances un de ses pantalons qui trainaient. Bah oui c'est une discussion sérieuse que tu tiens à avoir avec lui. "Alors c'est pas compliqué, j'ai pris la carte de la chambre, j'ai glissé la carte dans le lecteur et j'ai poussé la porte pour pouvoir fouler le sol de ta chambre !" Tu lui montres la carte de sa chambre que tu détiens encore entre tes doigts avant de la remettre dans ton sac. "Je suis plus maline que ce que tu ne le penses Drogo !"

@Drogo M. Valestrel
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A dire vrai, Drogo ne s'occupa même pas de la trajectoire empruntée par le coussin, trop grognon pour que son esprit ne se focalise réellement là dessus. Quelqu'un osait le perturber dans son sommeil réparateur, à l'intérieur même de ses précieuses pénates, et risquait donc une punition pour l'audace, point final. Tant que le jeune prince n'aurait pas pris un bon café serré ainsi qu'une aspirine, il serait de la même humeur égale à celle d'un chien enragé, mais ça, Azelia le savait déjà. Elle le connaissait mieux que personne, étant donné qu'ils avaient vécu de nombreuses histoires ensemble, toutes plus cocasses les unes que les autres. Hélas pour la jeune femme, le simple fait qu'elle soit au courant de son statut constituait un danger pour le beau brun et l'incitait donc à la tenir éloigner, piétinant une amitié pourtant indestructible à ses yeux. Il n'osait pas penser à ce qu'il ressentait, songeant avant toute chose à sa jeune soeur qui, contrairement à lui, se retrouvait sans défense dans ce monde de brutes... Mais de rien, c'est cadeau ! grogna-t-il sans penser une seconde ses propos. Il se trouvait cependant bien trop en colère pour agir avec intelligence et discernement, se comportant davantage tel un ours des cavernes. Quel dommage, les autres ne savent pas ce qu'ils perdent... ou plutôt ils auraient tôt fait de se barrer dès que tu as monté dans les aigus ! maugréa-t-il en évitant toujours son regard, ne posant ses prunelles iridescentes qu'à l'évocation de sa soirée d'hier. Certes, cela crevait les yeux que Drogo rentrait d'une soirée depuis peu, mais... Tu m'espionnes maintenant ou t'es juste jalouse ? arqua-t-il un sourcil avant qu'un sourire narquois ne ourle bientôt ses lèvres. Bien entendu, la remercier pour l'aspirine et la bouteille d'eau étant bien trop demandé, il se contenta de hocher la tête, prenant le médicament dans un silence de mort, tandis que la demoiselle poursuivait, toujours plus bavarde. A croire que le mode off ne soit pas livré avec son modèle... Je suis dans ma chambre, je m'habille si j'en ai envie... me donner des ordres, vraiment ? Quant à faucher la carte de ma chambre, je n'appelle pas ça de la malice, juste... du harcèlement. La voix du prince s'était faite plus froide et tranchante. Exprès, bien sûr. Il tendit la main aussitôt. Carte que tu vas me rendre, d'ailleurs.
@Azelia M. Lamborghini
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Littéralement à deux doigts d'insulter tout le monde en italien lorsque tu sentis l'oreiller te percuter alors que tu attendais tranquillement en  train d'attendre que Drogo se réveille. Certes tu as mis fin à son profond sommeil mais il y a quand même une manière de traiter ses invités convenablement. Pourtant des manières il devraient en avoir vu qu'il est prince. Faut croire qu'il a du oublier quelques règles de bonnes conduites. Malheureusement pour toi ce n'est pas la seule chose qui semble avoir oublié puisqu'il agit comme si tu étais une inconnue à ses yeux. T'aurait-il définitivement rayé de sa vie ? Tu espères si fort que non. En temps normal tu laisses les autres revenir vers toi quand il t'ignore tel que Drogo le fait. Sauf que là c'est différent, tu as partagé tellement de bons moments avec lui. Si tu ne t'ennuyais pas lors des différentes cérémonies c'est parce qu'il était là. Que vous vous retrouviez dans des situations assez comiques en y repensant. Mais bon ça n'a plus l'air d'être le cas au jour d'aujourd'hui. Il n'ose même plus t'adresser le moindre regard, il te parle d'une manière dont il ne t'avait jamais parler, comprenant dans sa voix qu'il est en colère contre toi. Son comportement te blesse. Tu souffres de ne plus être importante à ses yeux. Tu ne laisses pas paraître que cette situation t'exténue. "M'oblige pas à pousser la chansonette je risque de monter encore plus dans les aigus !" Tu rentres dans son jeu. Il n'apprécie pas qu'on se foute de sa gueule, ça tombe bien toi non plus. Ce que tu détestes aussi c'est qu'il évite sans cesse ton regard alors qu'il te parle comme un chien. Bizarrement quand tu parles de sa soirée d'hier ça fait mal et tu arrives enfin à capter son intention. "Ca se voit sur ta tête, et je te connais un minimum quand même Drogo !" Tu lèves les yeux au ciel. Tu soupires même quand il ose prétendre que tu es jalouse. Tu ne veux pas admettre cette horrible vérité qui se cache derrière ce mot. Parce que oui que ce soit en amitié ou en amour tu es jalouse, et alors ça l'empêche pas de sortir... "Ca va pas te bruler la langue de dire merci !" Tes yeux se noircissent de colère. Tu lui arraches la bouteille d'eau des mains pour la remettre dans ton sac. Tu le laisses parler et se justifier quand un mot vient heurter ton esprit "harcèlement". Tu te retournes vers lui, folle de rage. "Harcèlement, tu te fous bien de ma gueule toi aussi ! Si tu daignais encore m'accorder un minimum de reconnaissance je n'aurais pas à faire tout ça pour m'infiltrer dans ta chambre ! C'est de ta faute si on en est arrivés là aujourd'hui, à s'ignorer ! Je me casse le cul pour avoir la plus petite conversation possible avec toi et toi tu me jettes comme de la merde ! Bravo, félicitation monsieur le prince !" Tu es partagé entre le dégout et la tristesse d'avoir l'impression de perdre ton ami. La distance physique qui vous sépare illustre le fossé qui se creuse un peu plus chaque jour. Tu sens tes yeux qui commencent à être humide alors tu lèves la tête au plafond pour contenir tes émotions. "Tu peux toujours t'asseoir dessus, cette carte m'a coûté une liasse de billet !"

@Drogo M. Valestrel
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Sauf que Drogo n'ayant pas invité la jolie italienne, il ne comptait pas faire semblant. Cela ne faisait pas partie de ses attributions, de ses qualités profondes, tant et si bien que lui faire ce plaisir ne paraissait pas d'actualité aujourd'hui encore. Fut un temps où le jeune prince se serait coupé en quatre pour la faire sourire, l'ôter de cet ennui dans lequel les pince-fesses les plongeaient mais cette période lui semblait si lointaine qu'il la considérait quasiment révolue. Alors il l'écoutait déblatérer de longs discours dont il ne serait pas capable, trop empreint à ne surtout pas parler pour ne rien dire, bien plus désireux de choisir ses mots avec soin... mais sa voix portait et son mal de crâne ne cessait de croître à cette constatation. M'oblige surtout pas à te bâillonner, j'ai de quoi... soupira-t-il en passant et repassant une main désespérée dans sa chevelure déjà moult en bataille. Le pire, c'est que ce geste, chez lui, possédait quelque chose de sexy en diable tant il était désintéressé. J'oubliais... Le jeune prince se permit de jeter une œillade sombre à la demoiselle, n'ayant pourtant rien oublié de leur amitié ni de leur complicité. Cela le tuait sur place de devoir l'éloigner à ce point sans aucune chance de pouvoir lui expliquer à quel point le côtoyer constituait un danger, y compris pour l'italienne... mais merde, son majordome avait été très clair, n'est-ce pas ? Moins de personnes savaient, le mieux il se porterait... aussi, un nouveau soupir échappa de ses lèvres alors qu'elle reprit la bouteille d'eau d'un geste rageur, dont il ne lui tint évidemment pas rigueur : à sa place, sa colère aurait été beaucoup plus sourde, éclatante, incontrôlable. Drogo aurait tout cassé pour être entendu. Mais Azelia se contenait néanmoins, du moins en avait-il l'impression, même lorsqu'elle explosa, lui arrachant un haussement de sourcils surpris. Rarement elle s'était emportée de la sorte face à lui... et la douleur qu'il en ressentit le pétrifiait sur place... Et tu te dis maligne... Sa voix était froide, glaçante telle un souffle d'hiver en pleine Toundra sibérienne. Drogo venait de se lever et d'enfiler effectivement le pantalon que sa potesse lui avait envoyé en pleine trombine quelques instants plus tôt. Ses mains tremblaient presque, sous l'effet de la rage qu'il tâchait pourtant de contrôler malgré lui. Si tu me connais si bien, tu ne t'es pas dit qu'il existait une raison OBJECTIVE pour que je te tienne éloignée ? Réfléchis deux secondes. J'ai toujours été proche de toi. Mieux encore, nous étions fusionnels, à nous comprendre d'un regard, à finir les phrases de l'autre, du moins je le croyais... pourtant, lorsque j'ai pris le large, au lieu de chercher à comprendre, tu débarques telle une furie de l'enfer de Dante à me déblatérer mes défauts et à chercher à me faire culpabiliser. Tu penses vraiment que cela me donne envie de m'expliquer ? Dois-je te dire également bravo ?! conclut-il finalement, sarcastique au possible, avant de se tourner vers la fenêtre, aux volets fermés. Question de sécurité, toujours... il finirait parano avec tout ça, pour sûr. Une liasse de billets, eh beh...
@Azelia M. Lamborghini
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Le sourire s'efface de ton visage au fil des secondes qui s'égrainent. La situation devient dramatique si tu commences à faire la gueule. C'est que tu es à deux doigts de faire un meurtre. Drogo a réveillé la furie qui sommeille en toi. Ce qui n'est pas forcément une bonne chose pour celui à qui tu portais encore un minimum d’importance. Au final ce n'était peut être pas une bonne idée de s'infiltrer dans sa chambre pour avoir une discussion avec lui. Ses paroles sont en train de te détruire petit à petit. Jamais tu n'aurais pensé qu'il aurait pu tenir de tel propos à ton égard. Tu sais même plus si tu es encore capable de le regarder dans le blanc des yeux. Il n'est plus celui que tu as connu, celui qui te faisait rire aux éclats, te rassurait, à qui tu te confiais aveuglément. Il est en train de tout saccager. Pourtant tu étais tellement ravi de revoir son visage dans les rues de Boston quand tu as débarqué à Harvard. Tu crèves d'envie de remonter le temps, retourner à ces cérémonies même les plus chiantes, juste pour retrouver cette complicité. Parce que là il ne te décroche même plus un merci. Il est à la limite de te sortir par les yeux. Ca t'apprendra à accorder ta confiance alors que tu fais des efforts pour sauver une miette de votre amitié. Mais ça lui passe au dessus. Tu en as marre d'être la seule à essayer de réduire cette distance entre lui et toi. Malheureusement ses paroles se veulent de plus en plus sanglantes et sarcastique. Là c'est la goûte d'eau qui fait déborder le vase. Tu es à deux doigts d'exploser. Heureusement qu'il se tourne vers cette fenêtre, fermée, sinon tu lui aurais bien foutu une baffe, prince ou pas prince. Alors pour éviter de craquer tu sers les poings si fort que tu sens tes ongles s'enfoncer dans la paume de tes mains. Une façon pour toi de contenir ta rage. "Ah donc maintenant tu parles de nous au passé alors qu'on était soit disant  fusionnels ! Me parle pas de ses putains de souvenirs si tu as décidé de me rayer de ta vie ! Si je te balance que tes défauts c'est juste parce que maintenant je ne vois plus que ça dans ton regard quand tu oses à peine me regarder !" Tu fais un tour sur toi, prenant tes cheveux dans les mains. "J'ai essayé de comprendre pourquoi tu ne veux plus que je fasse partie de ta vie mais tu me refoules ! Tu préfères passer ton temps avec des nanas qui s'intéressent que à ce que tu as dans ton slip et pas à la vrai personne qui se cache derrière tous ces tatouages !" déglutis-tu d'une voix cassé, brisé. On entend presque les larmes qui te montent aux yeux. Tu es tellement dégoutée de t'avoir cassé le cul pour au final te faire traiter comme une moins que rien. Tu baisses la tête quelques secondes, braquant ton regard au sol. Tu la relèves, fixant ton ami toujours tourné vers la fenêtre. "En fait t'es comme tous les autres qu'on croisait pendant les cérémonies. Je te pensais différent Drogo. Tu es ma plus grosse erreur." A tes yeux c'est la pire des choses qui soit. Il a été faux avec toi c'est tout ce que tu retiens de lui.

@Drogo M. Valestrel
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Drogo tâchait de garder le contrôle de lui-même, de ne pas céder à cette colère insupportable tonnant à l'intérieur de ses tempes, rythmée au bruit des battements de son palpitant. S'il n'avait pas encore cogné quelque chose, c'était justement par respect pour Azelia, pour leur amitié, pour tout ce qu'ils avaient partagé par le passé. Cette facette odieuse que le meurtre de ses parents avait réveillé n'était, hélas, guère reluisante. Si son majordome ou sa petite soeur parvenaient à le tempérer, aujourd'hui, face aux assauts répétés et cruels de son amie, les barrières extrêmement fine du jeune prince s'amenuisaient de seconde en seconde. Il valait bien mieux qu'il ne la regarde pas, au risque de la surprendre, ou pire... de lui faire peur. Il s'agissait bien de la dernière chose qu'il souhaitait, et pourtant, face au couperet de sa dernière phrase, Drogo se tourna vers la glace se trouvant à proximité pour y envoyer son poing. PUTA ! vociféra-t-il avec une virulence semblable à nulle autre. Le verre s'était évidemment brisé, et les phalanges du beau brun saignaient, mais il n'en n'avait cure : cette douleur, quelque part, finissait par être souveraine. Il dépassa la brunette pour fouiller dans sa valise et en dénicher un magazine people, le lui tendant, avec pour gros titres : assassinat du couple royal d'Andorre. Tu agirais normalement en mode Polly pocket si tes parents avaient été assassinés par un psychopathe, Az ? reprit-il froidement, la toisant avec brutalité, pour qu'elle comprenne qu'il ne plaisantait pas. S'il s'était éloigné, ce n'était pas sans raison. Drogo ne faisait jamais rien sans des intentions bien précises, calculées, maîtrisées à la lettre... elle devrait le savoir, elle qui se targuait de si bien le connaître ! Mais je t'en prie, lis l'article à voix haute si tu veux tant que ça avoir ta raison, puisque de toute évidence tu as vécu dans une bulle aseptisée pour ne pas avoir eu conscience de ce qui a été répété, amplifié dans les journaux du monde entier ! continua-t-il sans cesser de lui tendre le journal, ni de la regarder. Dans ce cas là, une pote qui fait de tels reproches... ça donne quelle impression à ton avis ?
@Azelia M. Lamborghini
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La réputation des italiens dit qu'ils ont le sang chaud. Faut croire que ce n'est pas les seuls à l'avoir au vu de la réaction de ton ami. Est-ce que sans t'en rendre compte tes paroles auraient été aussi dévastatrices que les siennes ? Du moins c'est le premier à extérioriser sa rage, rompant le froid polaire entre vous deux. Tu ne réalises pas encore son geste. Le fracas de sa main contre le miroir bourdonne encore dans tes oreilles. Tu es pétrifiée par la violence qui s'est dégagé du corps de ton ami. Tu restes statique devant ce triste spectacle. Tu balaies du regard les bouts de verre éparpillés sur le sol et les goutes de sang qui provienne de sa main. Ca ne peut pas se finir comme ça. Votre amitié ne peut pas se briser comme cette foutu glace. Tu n'avais encore vu cette facette de Drogo. Plus aucuns sons n'arrivaient à sortir de ta bouche. Le regard dans le vide quand il passe devant toi pour aller chercher un magazine. Tu luttes pour ne pas lire ce qu'il y a d'écrit sauf que c'est écrit en lettres capitales. Même avec les yeux embués tu devines ce qu'il y a d'écrit. Des frissons traverses tout ton corps lorsque Drogo te demande froidement comment tu aurais agi à sa place si tes parents avaient été assassinés. Tu réponds par des sanglots. Préférant restée muette. Tu te souviens trop bien de l'onde de choc qu'avait occasionné l'assassinat de ses parents. Tes parents qui n'avaient cessé de te rappeler d'envoyer des messages protocolaires à Drogo en guise de soutient. Chose que tu n'avais pas réussi à faire vu que c'est seulement un mois plus tard que tu avais tenté en vain d'avoir des nouvelles du prince. Mais c'était déjà trop tard. Sa décision était déjà prise de s'éloigner de toi. Pas besoin de lire l'article à voix haute comme te l'ordonne Drogo tu as déjà lu tous les journaux qui parlaient de ce moment tragique. "Tu devrais savoir que j'ai par plusieurs fois percé cette bulle aseptisée pour fuir ce foutu monde dans lequel j'ai grandi. Dans lequel nos familles ont grandi !" Ta voix tremble maintenant à chaque fois que tu prononces la moindre phrase. "Est-ce que tu as lu tous les messages que je t'ai envoyé depuis que tu m'as rayé de ta vie ?" rétorquas-tu d'une faible voix. Une nouvelle vague de larmes coule le long de tes joues. Tu te réfugies dans la salle de bain, tu préfères ne pas connaitre sa réponse au risque de souffrir encore plus. Tu sèches tes larmes, les balayant de ton visage. Tu te regardes dans le miroir, remarquant une serviette de bain pendue derrière toi. Tu ouvres le robinet, tu prends la serviette, la plonge dans l'eau froide et l’essor. Quelques minutes plus tard tu retournes dans la chambre. Tu t'approches de Drogo. Tu attrapes la main blessée de celui ci. Tu poses d'une main frissonnante la serviette sur ses phalanges. Tu fixes ses blessures. "J'espère pour toi que ces plaies ne sauront pas aussi douloureuses que la plaie que tu viens d'ouvrir en moi." Une énième larme perle ta joue. "Dis moi qu'on a pas tout gâché Drogo." Le son de ta voix illustre l'immense vide qu'envahie les moindre parties de ton corps.

@Drogo M. Valestrel
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Il y avait hélas tant à dire maintenant que l'abcès se crevait petit à petit. Avec ce geste violent, et l'aveu à haute voix de ce que Drogo essayait pourtant de taire depuis des mois, il venait d'ouvrir la boîte de Pandore. Difficile de sauver la face ou bien de faire comme si de rien n'était, alors qu'Azelia se trouvait à ses côtés, choquée, de longues larmes coulant contre ses joues. Oui, il n'était qu'un bourreau sans cœur ayant brisé leur amitié sans possibilité de faire autrement et cette perspective le tuait littéralement. Se savoir responsable de cet immonde gâchis, malgré toutes les circonstances atténuantes qu'il pouvait avoir... non, il n'en n'était pas fier. Aussi demeura-t-il assis, dans un silence mortel, sans oser décemment répondre à la jolie brune, s'évadant un moment dans la salle de bain. Le jeune prince ne se préoccupa même pas de la douleur lancinante provoquée par les bouts de verres encore présents à même la peau de ses phalanges... il s'en foutait bien. Il s'agissait là d'une bien maigre punition pour l'enfer qu'il faisait suivre au peu de proches lui restant encore en vie... le pire, c'est qu'en demandant conseil à son majordome, ce dernier lui avait dit de continuer sur sa lancée... tu parles Charles. Une belle connerie ! Drogo se perdit un instant dans ses pensées sombres, et sursauta lorsque Azelia fut de retour, prenant sa main pour déposer délicatement la serviette. S'il haussa les épaules d'un air égal, c'était pour camoufler l'humidité grandissante de ses yeux. Non, il ne craquerait pas. Il ne le pouvait pas... Je n'ai pas eu tes messages, Az. Aucun. Tu peux choisir de ne pas me croire, je n'ai aucunement le droit de t'en tenir rigueur... mais j'ai dû changer de numéro, de téléphone... de pays. A partir du moment où la voiture de mes... La mâchoire du jeune prince se crispa, mais pas seulement. Il délivra sa main de la serviette pour saisir celle de la demoiselle, comme s'il osait s'accrocher encore à leur amitié, bien qu'il n'en soit aucunement légitime. La perdition dans laquelle il se plongeait lui-même finissait par être totale, mais s'il ne voulait pas s'effondrer totalement... c'était bien le seul moyen. ... parents a explosé, la tête de ma soeur et la mienne ont été mises à prix. Nous ne sommes en sécurité nulle part. J'ai dû tout quitter... ma patrie, mon foyer, mes amis, toi... tout. Anna m'inquiète énormément et je ne voulais pas que tu sois prise pour cible en traînant avec moi. La douceur avec laquelle Drogo avait pris la main d'Azelia contrastait tellement avec la violence de tout à l'heure que c'en était à perdre l'esprit. Mais il finit par relâcher sa main, et se relever du lit, recréant un espace de sécurité, par obligation. Je n'ai rien choisi, Az. ON a pas tout gâché. C'est moi. J'en assume l'entière responsabilité.
@Azelia M. Lamborghini
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