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i'm coming home (hakim)

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vendredi soir... sûrement ta soirée préférée parce-qu'elle rime avec fête, déconnade, alcool et tant d'autres choses qui égayaient ta vie. il va donc de soi que tu vas sortir, passer toute la nuit sur la piste et profiter des nombreux verres que les hommes allaient t'offrir. tu t'y vois déjà et rien que t'y voir, ça laisse un sourire sur ton visage maquillé comme jamais. puis tu t'es faite plaisir sur la tenue aussi. une jupe courte accompagnée d'une brassière en dentelle que tu venais d'acheter. quelques accessoires et bien sûr tes talons préférés du moment que tu laisses devant ta porte. tu t'empares de ton téléphone et cherches l'application UberEats, t'avais envie d'un bon coréen là. une fois la commande passée, tu t'accordes quelques minutes de repos. ces minutes sont rapidement perturbées par ce que tu croyais être le livreur. tu te demandes "ils sont rapides, en deux minutes je suis déjà livrée ?" en t'approchant de ta porte, en même temps, il t'es difficile d'imaginer quelqu'un d'autre qu'un livreur derrière cette porte. et pourtant, une fois cette dernière ouverte, tu manques de faire un infarctus. hakim. devant toi, en chair et en os. si t'avais assez d'audace, tu lui aurais claqué la porte au nez mais tout ce que t'arrives à faire c'est balbutier « ha-a-a-kim... qu'est-ce... 'fin, qu'est-ce que... tu fais là ? ». tout ton petit monde que tu t'étais crée loin des kahli venait de s'écrouler en deux secondes. t'espérais qu'il te prenne dans ses bras, t'expliquant ô combien il te comprend et qu'il veut venir te rejoindre mais tu te doutes bien que ça ne va pas se passer comme ça. mais au fond de toi... qu'est ce que t'es heureuse de le voir.  

@hakim kahli comme ça t'auras du boulot à ta validation i'm coming home (hakim) 166564858
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ça fait des semaines que tu cherches ta petite soeur. tu l'avais vraiment mal pris, quand elle s'était barrée sans te prévenir. pas un coup de fil, pas un texto, même pas un petit message laissé dans sa chambre avant de partir. d'un côté elle te connaît bien, inès. ton père, tu l'admires autant que tu le crains, alors si elle t'avait laissé un petit mot avec quelques informations sur ce qu'elle comptait faire, t'aurais tout déballé à papa kahli. la savoir loin de toi et impuissante face à tous les mecs en chien qui doivent courir les rues, ça te mets hors de toi. alors t'as utilisé tout ton temps libre -c'est à dire, à peu près tout ton temps tout court- pour la retrouver. cette fois, tu comptes bien la ramener à san francisco pour que tu puisses savoir où elle est et ce qu'elle fait. au final, grâce aux réseaux sociaux, ça n'a pas été si compliqué que ça de retrouver son adresse. qu'est-ce qu'elle est venue faire dans le massachussets sérieux ? enfin bref, après t'être assuré de l'endroit où elle habite, t'as pris le premier avion pour l'autre bout du pays. il y a un an, t'aurais jamais imaginé te trouver devant sa porte, à cambridge, les bras croisés. lorsque la porte s'ouvre, tu ne peux que ressentir un sentiment de soulagement. elle est devant toi, en vie, et n'a pas l'air trop amochée de ces mois passés loin de san francisco. tu fronces les sourcils. « qu'est-ce que je fais là ? c'est une blague inès ? c'est plutôt toi qui a des choses à m'expliquer, je crois. » tu fais même pas semblant d'être énervé contre elle. t'as la rage qu'elle se soit cassée sans rien dire à personne, et tu comptes lui donner une bonne leçon. sans lui demander son avis, tu la pousses sur le côté pour entrer dans son appartement. « j'peux savoir ce que tu fous là ? »
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c'est pas possible, t'es en train de rêver là... il peut pas être là. tu voulais croire que tu n'avais qu'à cligner des yeux pour le faire disparaître. mais non il était bien là, mais c'était plus facile de croire que c'était qu'une illusion de ton esprit rempli de culpabilité. tu balbuties difficilement une phrase qui ne fait qu'attiser la colère de ton frère. inès... ça faisait un bail qu'on t'avait pas appelé par ton vrai prénom. « j'ai vraiment besoin de t'expliquer ? » soupires-tu alors qu'il force son passage dans ton appartement. c'était pas évident de ce que tu foutais là ? c'était pas évident que t'avais une vie de merde à san francisco ? tu refermes la porte, t'avais pas non plus envie que les voisins profitent de cette dispute surtout que tu t'étais toujours faite très discrète. tes pas suivent ceux de ton frère, à un certaine distance tout de même, il pourrait vriller à tout moment. « écoute, j'en pouvais plus. j'avais besoin de tout recommencer à zéro loin de maman et papa. » que tu dis d'un ton morose. tu les appelais "maman" et "papa" par habitude mais c'est à peine si tu les considérais comme tes parents. tu t'es élevée seule en arrivant à boston mais ça hakim ne pouvait pas le comprendre.« puis, c'est facile de venir me faire la morale quand t'as toujours eu ce que tu voulais. tu peux pas me comprendre. » tu expires bruyamment comme pour laisser échapper la colère qui monte en toi. « t'as jamais essayé de le faire de toute façon. » t'avais envie de le crier mais t'oses pas alors t'optes pour un ton ferme et décidé. t'étais plus une gamine, t'avais autant le droit de choisir ce que tu allais faire de ta vie que lui. mais tu savais pas combien de temps t'allais réussir à faire la femme forte et indépendante, parce-qu'en vrai t'es une gamine sensible et la dernière chose dont tu as envie, c'est fondre en larmes devant le brun.
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tu t'attendais forcément à ce que ta soeur ne vienne pas sauter dans tes bras en te voyant. après tout, pour elle, t'es sûrement une extension de votre père. et c'est justement ça qu'elle a essayé de fuir en partant sans rien dire à personne. tu marches à travers son appartement, sans même prêter à inès qui te suit en essayant de t'expliquer la raison pour laquelle tu l'as retrouvée ici, dans le massachussets. tu te retournes brusquement, pour lui faire face. « et alors ? c'est pas une raison pour s'enfuir comme une voleuse du jour au lendemain, inès ! » toi, tu t'étais fait un sang d'encre pendant tout ce temps alors qu'elle vivait paisiblement à boston. « arrête de faire l'enfant, tu sais très bien que c'est faux. c'est pas parce que j'ai eu le droit de sortir plus tôt que j'ai eu une enfance parfaite. » ça, elle a pas l'air de bien le comprendre. alors oui, t'as eu plus de privilèges qu'elle. plus de libertés. ça n'enlève pas le fait que toi aussi, t'as subi les coups de votre père. toi aussi, t'as eu peur. t'essaies de te calmer en respirant lentement, et en observant ta soeur -ou plutôt ce qu'elle est devenue- de haut en bas. « j'peux savoir pourquoi t'es habillée comme si t'allais faire le trottoir ? » voir ta soeur aussi vêtue que si elle allait à la piscine alors qu'elle s'apprêtait sûrement à sortir avant que tu fasses ton entrée, ça te mets hors de toi.
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tu pouvais pas te justifier, c'était mal ce que t'avais fais mais t'en avais eu besoin et aujourd'hui tu peux pas dire que tu regrettes. loin de là, boston ça été comme un nouveau souffle pour toi. une nouvelle vision du monde mais surtout de la vie. « j'avais pas le choix ! » t'écries-tu désemparée. qu'est ce que t'étais censée faire ? attendre que vos parents meurent pour commencer à vivre ta vie ? il n'en était pas question. puis là, quand il part de votre père, il actionne la corde sensible. celle qui te donnes envie de te réfugier dans ses bras mais tu peux pas, t'as pas le droit. tout ce que t'arrives à faire c'est avancer un peu plus vers lui. « c'est toi qui fait l'enfant là. tu sais très bien que je ne parle pas de ça. et... même si je parlais de ça, tu devrais comprendre que moi j'en peux plus. » soupires-tu, tu te laisses quelques secondes pour te calmer mais ces secondes on l'effet contraire et en fait, elles te laissent bouillonner. tu continues d'un ton méprisant « si tu veux rester avec ces connards, c'est ton choix. mais m'en veux pas de vouloir une meilleure vie. », tu savais que t'allais pas réussir à raisonner hakim, ça se trouve il avait déjà prévenu ton père de là ou tu étais. juste pour bien se faire voir, comme toujours. puis tu le vois te dévisager, merde, t'avais oublié ta tenue. tu lèves les yeux au ciel en entendant sa remarque. « ah mais c'est parce-que je vais faire le trottoir. comment tu penses que je le paye cet appart' ? » dis-tu toujours sur un ton méprisant. tu joues peut-être un trop avec le feu mais t'en as marre qu'il te prenne pour une gamine.
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même si c'est la personne la plus chère à tes yeux, tu peux pas t'empêcher de vouloir claquer ta soeur. elle agit comme une enfant, et n'a pas l'air de prendre conscience de ce que ses actes peuvent avoir comme conséquence. tôt ou tard, tu l'aurais retrouvée, elle devait bien le savoir. le ton méprisant qu'elle prend pour te répondre ne te plaisait pas vraiment non plus. ces quelques mois loin de toi l'avaient bien changée, et pas dans le bon sens du terme. « tu sais bien que j'ai pas d'autres choix. si jamais papa me coupe les vivres, je suis foutu. » faut bien avouer que sans diplôme et sans travail, t'es rien sans tes parents. tu t'apprêtes à écouter ce que ta soeur a à dire quand elle te répond en levant les yeux au ciel. ça, c'était le truc de trop. tu la prends violemment par le poignet et la force à s'asseoir sur son lit. devant elle, les bras croisés, t'exploses. « putain mais réfléchis deux secondes ! arrête de faire l'idiote, tu sais comme moi ce que je veux dire par là. » tu gueules. un peu trop fort, sûrement, mais tu veux qu'elle arrête de se comporter comme une gamine écervelée, et elle le comprendra sûrement si tu lui cries dessus un peu plus fort. et puis de toute façon, cet appart sera vide dans et inoccupé dans les prochaines heures, alors au diable les voisins. « est-ce que t'imagines ce qui aurait pu t'arriver ? t'aurais pu te faire agresser, violer, kidnapper ! j'crois que tu sais pas bien, là. »
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« tu pourrais très bien vivre sans l'argent de papa. j'me débrouille très bien. » c'était assez hypocrite de ta père sachant que tu avais acheté cet appartement avec l'argent de ton père mais contrairement à ce que tu disais à ton frère, t'étais loin de te prostituer pour subvenir à tes besoins. il n'a pas l'air d'apprécier tes dires puisqu'il attrape violemment ton poignet pour te pousser sur ton lit. tu restes bouche bée pendant quelques secondes, ça te rappelait de mauvais souvenirs. depuis t'avais fugué personne ne t'avait levé la main dessus et le brun te donnait encore plus de raisons de rester. « putain mais lâche moi ! » que tu cries en t'échappant de l'emprise de ton frère. il te gueule dessus, t'écoutes même pas ce qu'il dit, des histoires de viol, kidnapping. tellement cliché. il pouvait pas te faire confiance deux secondes ? t'étais une grande fille et tu savais t'occupais de ta personne. « je suis pas conne hakim. j'ai pas besoin de tes morales à deux balles, surtout que niveau sorties, soirée et alcool, t'es loin d'être un exemple. » c'est l’hôpital qui se fout de la carte vitale (oui je cite du jeremstar), le mec n'avait pas fini sa puberté quand il sortait déjà en boîte et il essayait de te donner des leçons sur le fait d'être responsable. tu manques de pouffer de rire tellement c'était ridicule. tu finis par lâcher froidement « plus tu grandis et plus tu deviens comme ton père, alors va le rejoindre parce-que t'arriveras pas à me convaincre de rentrer. ». 
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bon, t'y as peut-être été un peu fort sur ce coup là. tu te calmes un peu quand tu vois la tête de ta soeur. faut pas que tu deviennes comme ton père. ou tu la perdras pour toujours. tu lui lances un regard noir quand elle mentionne tes frasques du passé. enfin, tes frasques du passé qui sont encore valables aujourd'hui. « sauf que bien heureusement t'es pas comme moi. je veux juste éviter que tu deviennent comme ces pétasses qui baisent avec le premier venu. parce que sans vouloir te vexer, c'est ce que dont tu as l'air, inès. » tu souffles un bon coup, dans l'espoir de te calmer pour t'expliquer tranquillement avec elle. lorsqu'elle pouffe et te compare à ton père, tu ressens un coup de couteau dans ta poitrine. « arrête, je suis pas comme lui et tu le sais très bien. » t'en as marre de rester planté devant elle en attendant que madame s'explique. tu te retournes, les poings sur les hanches. « écoute moi bien. j'ai pas traversé le pays pour essayer de te convaincre de rentrer à la maison. tu rentres à la maison, un point c'est tout. » tu fouilles rapidement dans les placards pour en sortir une valise, que tu jettes sur le sol de l'appartement. « je te laisse une demi-heure pour faire tes valises, magne toi. »
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tu te retiens. tu te retiens de tellement de chose, de lui crier dessus, de se blottir dans ses bras et de t’excuser. tu savais pas quoi faire mais fallait calmer le jeu. t’as failli lever les yeux au ciel quand il mentionne "ces pétasses qui baisent avec le premier venu", quelle hypocrisie, hakim c’est un séducteur hors pair et son tableau de chasse l’est aussi. mais bon, tu sais à quoi t’en tenir si tu osais le faire. alors tu te tais. « je sais, je suis désolée. » que tu dis la voix tremblante, t’es désolée de l’avoir comparé à votre père, désolée de l’avoir abandonné. t’étais désolée de tellement de choses. « hakim... s’il te plaît. » soupires-tu en t’approchant de ton frère qui lui s’approche dangereusement de tes placards. t’as pas envie de rentrer, non jamais... pourtant t’as beau faire l’insolente au fort caractère, t’es loin d’être certte femme et tu sais pas si t’auras la force mentale de résister à hakim. quand il attrape ta valise, t’essayes de l’arrêter mais ta valise est déjà au sol. « je veux pas rentrer. je peux pas ! » fallait que tu le convainques mais il était aussi têtu que toi voire plus. « t’imagines ce que papa va me faire ? tu l’as pas prévenu j’espère ? » des centaines de questions se bousculent dans ta tête mais ces dernières étaient les plus importantes. t’avais peur, peur de ce que le papa kahli te ferait s’il te revoyait un jour. parce que la seconde où t’as quitté san franscico, t’as signé ton arrêt de mort.
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tu te sens un peu moins mal après avoir entendu les excuses de ta soeur. t'aimerais lui dire que tu l'aimes, la prendre dans tes bras, et lui dire que tout se passera bien, mais c'est impossible. elle profiterai de ce moment de faiblesse pour te retourner les esprits, et ça, ton père l'apprécie pas. t'es pas un faible, hakim. elle t'attrape le bras lorsque tu jettes sa valise au sol, mais tu résistes. « tes jérémiades servent à rien, bouge toi. » tu peux pas te le cacher, ça te fait mal au coeur de voir ta soeur dans cet état. mais tu le fais pour elle. elle aura une vie bien plus saine à tes côtés qu'ici, entourée d'inconnus. « on a pas le choix et tu le sais aussi bien que moi. je serai là pour te protéger, cette fois. » t'essaies de la rassurer, mais t'imagines bien que ça ne suffira pas à la calmer. « fais tes valises, maintenant. » inès n'ayant pas l'air. d'accord, tu commences à ouvrir les placards et à jeter des tas de vêtements dans la valise. « on a un vol pour san francisco ce soir, alors aide moi. »
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