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never be the same {blakiya #3}

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Never be the same

« La jalousie est une maladie plus encore qu'une passion, car elle connaît les douleurs de la passion sans en connaître jamais les âcres voluptés. Maladie effrayante qui frappe toujours deux êtres à la fois, celui qui ressent le mal comme celui qui en est la cause innocente »
Tu attendais une explication concrète et précise. Lorsque tu vois Lidiya laisser tomber sa carte magnétique pour entrer dans sa chambre, on s'approchant doucement et surtout dangereusement de toi, tu la laisses faire ne prenant même pas le temps de te reculer ni quoi, ce soit. Plaçant sa main contre ta nuque, tu étais quelque peu surpris que déboussoler. En sentant ses lèvres contre les tiennes, tu restes sans voix. Tu ne pouvais et ne voulais surtout pas la repousser. C'est alors que tu prolonges le baiser aussi passionnément et avec envie. Lorsque le baiser était terminé, tu étais agréablement surpris, mais surtout à court de souffle. « Un peu surpris, mais ça me va totalement comme explication. » Attends, elle t'avait avoué par ce baiser qu'elle éprouvait quelque chose envers toi ? Puis merde, tu n'avais pas envie de te poser des questions pour l'instant. T'approchant d'elle, tu réduis l'espace entre vous pour déposer ta bouche contre celle de la Russe. Ce bisou était plus violent, mais délicat à la fois. C'est comme si tes lèvres en redemandaient toujours et encore plus. Pendant celui-ci tu avais mis tes doigts aux niveaux des joues de la future Dunster, tes mains glissèrent sur les hanches pour lui offrir quelques douces caresses à cet endroit. Arrêtant le bisou, ton souffle était quelque peu essoufflé. Te baissant pour ramasser la carte, tu lâches quand tu arrives au niveau de son oreille dans un souffle « Si tu ne veux pas aller plus loin, tu n'as qu'à me le dire. » Dis-tu en te mordillant les lèvres et en le regardant dans les yeux et en lui rendant sa carte magnétique. Tu ne voulais pas bousculer les choses avec elle, ou même qu'elle croit que tu voulais la mettre dans ton lit, ce qui n'est pas le cas. Ce fut à ton tour de sortir ta carte pour rentrer dans ta chambre, quand elle commence à te suivre. Tu la portes doucement de façon à ce qu'elle ait une jambe de chaque côté de ton buste. Rentrant la carte dans le lecteur, ta porte s'ouvre presque instantanément. Tournant celle-ci avec ta main libre, car l'autre était sur le dos de Lidiya. Rentrant dans celle-ci avec la jeune femme de vingt-quatre ans, tu fermes la porte avec ton pied. Allumant la lumière au passage, tu viens balancer la carte sur la table de chevet, avant de t'asseoir sur le lit. Quant à Lidiya, elle était assise sur tes jambes face à toi. Tu lui fais un grand sourire, tandis qu'une mèche vient lui cacher son visage. Tu lui remets celle-ci derrière l'oreille avant d'avouer. « Tu es tellement jolie. » Dis-tu en faisant des yeux de merlan fris en lui caressant le menton du bout des doigts et de déposer tes baisers chauds dans son cou.
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Comment était-il possible de passer par autant de sensations en si peu de temps ? Il y avait quelques minutes de cela, ils étaient à la limite de s'arracher et yeux et maintenant, leurs lèvres étaient scellées. Et ce geste était tout aussi libérateur que ce que Lidiya avait pu l'imaginer. Lorsqu'il lui dit qu'il était en effet surpris mais que cela lui allait totalement, tous les muscles de son corps se détendent en même temps. Ses jambes tremblent légèrement mais elle n'a pas le temps de réagir que Blake revient l'embrasser. Les mains fines de la russe viennent trouver ses bras, comme pour s'empêcher de chanceler. Elle ne veut pas ouvrir les yeux, elle ne veut pas que le rêve se termine, elle ne veut pas qu'on claque des doigts et que tout s'efface. Elle a peur; et si tout n'était que son imagination.
Elle sent les mains du jeune homme descendre jusqu'à ses hanches. Comme une réponse automatique, son corps frêle vient se coller au sien; ce moment, elle l'a tellement désiré, tellement choyé dans son esprit, tellement voulu. Se dire que ça arrive, pour de bon... C'était assez inespéré. Ouai la russe avait un peu de mal à y croire, et pourtant !
Il la ramena à la réalité et lui indiquant que si elle ne voulait pas aller plus loin, elle n'avait qu'à le lui dire. Alors là ! C'était le pompon ! Le regard de Lidiya s'attendrit aussitôt. Blake était attentionné jusqu'au bout et ça, ça faisait plaisir à voir; pas comme l'autre trou du c** d'hier qui... Ouai, non en fait c'était juste pas du tout le moment d'y penser, surtout qu'elle l'avait largement encouragé. Breef d'un battement de paupières le souvenir disparut. L'attention qu'il lui portait confortait Lidiya dans le fait qu'il était un type bien. Comment lui dire de façon polie que plusieurs fois c'était elle qui avait eu des pensées pas très catholiques ?! Bon aussi, fallait dire que ça faisait bien quelques mois qu'elle subissait une traversée du désert... Et l'être humain peut-être faible. La russe secoue lentement la tête à la négative lui indiquant qu'elle n'était pas contre le concept. A vrai dire, si elle pouvait le pousser dans cette chambre de toutes ses forces et le plus rapidement possible, elle l'aurait déjà fait. Mais une demoiselle se devait d'être irréprochable en toute circonstance.
Oui enfin lorsque Blake la soulève et que ses jambes se retrouvent a entourer son buste, là la décence vient d'être désactive, son cerveau affiche un gros "404 Error" et son coeur s'emballe, irrémédiablement. Elle est là, assise sur ses genoux, une jambe de chaque côté alors qu'elle le détaille comme s'il la fascinait, comme si elle le découvrait. Sa mains glisse jusqu'à son visage alors qu'elle en dessine les contours; elle a toujours voulu faire ça, geste d'une extrême tendresse. Elle en a presque le souffle coupé.
"Tu es tellement jolie", qu'il dit tout en replaçant une mèche de ses cheveux derrière son oreille.
Lidiya baisse les yeux, presque honteuse. Elle s'est toujours considérée comme une fille "dans la moyenne" mais de là dire qu'elle pouvait être belle, elle doit avoue qu'elle a toujours un peu de mal lorsque quelqu'un lui dit cela:

- Merci.., souffle-t-elle simplement alors qu'elle sent déjà ses lèvres s'aventurer sur son cou.

Suite à se contact, sa respiration s'accélère dangereusement et ses pupilles se dilatent; clairement, elle le veut, un point c'est tout.
La fine robe qui cache son maillot de bain remonte légèrement alors qu'elle resserre ses jambes autour de sa taille. D'un geste habile, elle enlève la lanière qui retenait ses talons et les chaussures de la russe s'écrasent sur le sol. Il y avait clairement quelque chose en trop. Les boutons déjà défaits de la chemise de Blake la narguent, un peu trop. Ses mains s'affairent à défaire les derniers et elle fait glisser le tissu, prenant bien le temps laisser ses doigts traîner sur les muscles du Winthrop. Satisfaite de son travail, elle lui lance un petit provocateur:

- Voilà, j'ai plus d'excuse pour me rincer l'oeil !

Aaaah parce qu'en plus t'es fière de toi Lidiya. Totalement, fallait être complètement être aveugle pour pas avouer qu'il était bien foutu...
Elle s’agrippe à la taille du short de Blake, lui permettant de s'installer un peu plus confortablement, son corps de nouveau contre le sien. La russe vient s'emparer de nouveau de ses lèves, pendant de longues secondes, avant de coller son front contre celui du jeune homme. C'est à bout de souffle qu'elle murmure:

-J'crois qu'on est foutu...

En tout cas, elle, elle l'était... Mais c'était bien le dernier de ses soucis.
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« La jalousie est une maladie plus encore qu'une passion, car elle connaît les douleurs de la passion sans en connaître jamais les âcres voluptés. Maladie effrayante qui frappe toujours deux êtres à la fois, celui qui ressent le mal comme celui qui en est la cause innocente »
Désormais, Lidiya était assise sur toi. Tu ne pouvais pas t'empêcher de la regarder chaque détail de son visage qui était tellement lumineux. Tandis que ses doigts n'arrêtaient pas de parcourir chaque détail de ton visage, comme si elle voulait le mémoriser. Tu n'arrêtais pas de sourire comme un con, il fallait l'avouer. Tu venais juste de lui avouer que tu la trouvais jolie comme tout en remettant une mèche de sa longue crinière blonde comme les blés derrière son oreille. Tes lèvres étaient parties dans le cou de la Russe afin de lui déposer des baisers légers comme des notes de musique. Tu pouvais respirer son doux parfum qui ressemblait plus à de la crème solaire. Peu importe, ta peau était contre la tienne et c’est tout ce qui compter pour le moment. Tu pouvais entendre que tes bisous dans le cou, ne laisser pas la future Dunster insensible. En effet, le rythme au niveau du souffle s’accélérait de la part de la femme de vingt-quatre ans. Ne faisant pas attention aux bruits dû aux chaussures de Lidiya, cette dernière commence à poser ses mains sur les quelques boutons de ta chemise encore fermées pour finalement t’en débarrasser en faisant glisser le tissu le long de ses bras. C’est ainsi que tu te retrouves torse-nu devant elle, dévoilant tes bras et ton torse musclés. La Russe semblait appréciait cette vue qu’elle ne pouvait pas s’empêcher de toucher chaque partielle de ta peau du bout des doigts, ce qui te fait frissonner. Suite à la remarque de la demoiselle, tu n’avais pas pu t’empêcher de te mettre à rire. « La force obscure commence à se dévoiler à ce que je vois. » Te mettant à rire, Lidiya se place bien sur tes jambes pour qu’elle soit plus à l’aise. Tandis que tu sens son corps être toujours plus prêt du tien, voilà qu’elle se mets à t’embrasser une nouvelle fois. Prolongeant le baiser doucement, mais sûrement tes bras forts viennent entourer son corps pour la rapprocher toujours plus près de toi. Après ce baiser, Lidi vient poser son front contre le tien. Ton pouce vient alors se poser contre ses lèvres dans le seul but de les caresser, tandis que ton souffle chaud venait cogner contre la bouche de celle qui te rendait complètement fou de désir. « Totalement foutu, je dirais » Sans lui laisser le temps de répondre, tes doigts viennent se poser sur chaque côté de sa robe pour pouvoir la tirer vers le haut pour l’obliger à lever les bras dans le but de lui enlever. Tes doigts viennent lui caresser le dos, tandis que tes lèvres parcouraient son épaule avant d’attraper une nouvelle fois sa bouche contre la tienne. Tout en l’embrassant, tu te mets debout le temps de quelques secondes pour l’allonger sur le lit, toi au-dessus. Tes mains étaient placées sur chaque côté du lit. Tes baisers descendirent vers le creux de sa poitrine pour venir jouer avec son nombril, remontant jusqu’à sa bouche. Tu t’arrêtes quelques secondes pour le regarder et lui sourire comme un adolescent qui découvrait les plaisirs charnels pour la première fois. Tu ne savais pas pourquoi, mais tu savais que cette fois, ça n’allait pas être comme les autres fois. Passant les mains derrière son dos, tu commences à lui enlever les ficelles du maillot qui se situaient juste autour de son cou. « Si tu savais comme si j’ai attendu ce moment. » Avoues-tu dans un souffle, tandis que ta fréquence cardiaque et respiration commençaient sérieusement à s’emballer, te sentant quelque peu à l’étroit. Tu ne voulais pas précipiter les choses, tu voulais les choses correctement et surtout en douceur. Tu ne voulais pas devenir sauvage, ni trop entreprenant si c’était pour lui faire mal. Certes, tu voulais qu’elle s’en souvienne de ce moment. À moins que ça soit elle qui te le demande ou prennes les choses en main.
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Lidiya reprenait peu à peu son souffle et revenait peu à peu à la réalité, remarquant ainsi à travers la baie vitrée de la chambre que le jour avait légèrement décliné. Quelques minutes après avoir terminé, Blake s'était levé pour partir dans la salle de bain. La russe se laisse retomber lourdement sur le matelas, la tête dans les coussins. Certes elle se sentait bien, mais quelque part son cerveau ne pouvait s'empêcher de lui dire qu'elle s'était foutue dans la merde. S'attacher ainsi, elle n'y avait pas le droit, elle l'avait bien compris depuis tout ce temps... Mais c'était cruel, car elle avait réellement envie de trouver une solution; elle en avait marre de devoir couper court à toute relation, elle enviait les couples qui se tenaient par la main dans la rue, qui riaient à découvert ou se regardaient tendrement à la terrasse d'un café. Son coeur se serra pendant un instant et toute pensée de la sorte fut balayée lorsque Blake refait son entrée dans la pièce.
La jeune femme lui adresse un grand sourire alors qu'elle, est toujours sans le moindre vêtement. A vrai dire, une fois qu'elle avait intimement découvert une personne, la nudité n'était pas la chose qui la dérangeait le plus.
Vêtu d'un caleçon, il l'attire contre lui alors qu'il se replace sur le lit.  Instinctivement, elle enroule un bras autour de sa taille alors que sa tête s'appuie délicatement sur son buste. Elle ne peut s'empêcher de pouffer de rire lorsqu'il lui demande si ça lui tente de recommencer précisant très rapidement après qu'il s'agissait d'une blague. Elle hausse un sourcil:

- Oui, je m'en doutais ! Bien que cela ne m'aurait pas déplu !


Suite à ces mots, elle se redresse légèrement et lui accorde un clin d'oeil complice. Tout c'était enchaîné si vite. A vrai dire, avec Blake c'était souvent l'ascenseur émotionnel et ils pouvaient être très maladroits... Mais le plus important était qu'ils avaient fini par se trouver. La boule qui s'était logée dans le ventre de Lidiya depuis l'accident du jeune homme venait un peu de perdre du poids... Cependant, elle se doutait bien que, tout dépendrait que la tournure que ce qu'il venait de se passer... Où cela allait-il mener ? Et en fonction, il était hors de question pour elle de lui mentir, elle ne voulait pas, elle souhaitait se sentir honnête, même si cela impliquait d'être un brin égoïste en lui avouant tout et le menaçant lui aussi. A cette pensée, elle frissonna alors que son regard était perdue sur un point imaginaire sur le paysage qui s'étendait par delà la baie vitrée. Elle chassa bien vite ces pensées en faisant un geste de la main à peine perceptible. Elle devait profiter du moment présent, on lui avait tellement enlevé ce loisir qu'aujourd'hui, elle se devait de se rendre ce service. Elle se redresse légèrement, s'appuyant sur un coude alors que ses doigts viennent effleurer la barbe de Blake:

- Comment on en est arrivé là déjà ?, demande-t-elle malicieusement en se mordant la lèvre d'un air bien plus provocateur que voulu.

Elle s'étire de tout son long dans le lit et se rallonge à ses côtés, sur le ventre cette fois, lui laissant tout loisir de le contempler:

- C'pas tout mais ça m'a donné faim cette histoire ! Tu crois qu'on peut genre appeler le room service ?

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Tu venais de passer un moment délicieux avec Lidiya où tu avais été plus proche physiquement parlant que d'habitude. Pourtant, vous étiez en train de vous disputer quelques minutes avant pour terminer au lit. Cette femme avait le don de te faire passer par toutes les émotions du monde. Tu ne savais pas quel pied danser avec la Russe. Néanmoins, tu ne regrettais absolument pas d'avoir franchi un pas en plus. Tu étais maintenant allongé sur le dos, vêtu seulement d'un caleçon. La jeune femme de vingt-quatre ans avait son corps collé contre toi, tandis que son bras était autour de ta taille, alors que sa tête était sur ton buste. Tu avais délicatement passé tes phalanges dans ses cheveux pour caresser ces derniers. Tu étais totalement détendu et bien à ses côtés. « Je t'avoue que moi non plus, ça ne m'aurait pas déplu, mais il ne faut pas abuser de bonnes choses. » Dis-tu en la regardant se redresser en lui souriant. Tu ne savais pas quelle tournure allait prendre depuis que vous avez couché ensemble. Néanmoins, tu ne préférais pas y penser maintenant. Tu auras l'ocassion de le faire lorsqu'elle quittera ta chambre. De te poser toutes les questions du monde. Tes yeux bleus étaient posés sur la fenêtre où tu avais pu remarquer que le soleil commençait à se coucher. Déjà ?! Tu n'avais pas vu le temps passer. Néanmoins, tu laisses la Dunstrer se redressait sur son coude, la laissant caresser ta barbe. Elle avait beau faire quelque chose d’anodin, comme sentir sa peau contre la tienne, cela te faisait des effets. Plus particulièrement des frisions jusqu'à t'en donner la chair de poule et sentir tes poils se redressaient sur ta peau. « Hum, je me le demande bien, je ne m'en souviens plus. » Dis-tu sur un ton totalement blagueur en lui adressant un sourire et un regard extrêmement charmeur avec un brin de mignonnerie. « Oui, c'est totalement possible. » C'est alors que tu te redresses sur le lit pour attraper le téléphone qui était sur la table de chevet pour appeler le room service et commander de la nourriture. Au début de la soirée, vous avez mangé ensemble dans ta chambre en papotant de tout et de rien avant que Lidiya quitte ta chambre pour aller retrouver ses amies pour aller faire la fête, te laissant seul avec tes pensées.  
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