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never be the same {blakiya #3}

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Never be the same

« La jalousie est une maladie plus encore qu'une passion, car elle connaît les douleurs de la passion sans en connaître jamais les âcres voluptés. Maladie effrayante qui frappe toujours deux êtres à la fois, celui qui ressent le mal comme celui qui en est la cause innocente »
Tu étais contrarié et pas qu'un peu. La veille, tu avais vu Lidiya dansait avec un autre homme et franchement, ça t'avait foutu les boules. La voir danser avec un autre homme aussi proche, ça t'avais fait un petit quelque chose que tu ne pensais plus vivre, voir ressentir. Tu avais beaucoup de mal à enlever cette image de la tête, t'empêchant même de dormir sûrement parce que tu étais en train de réaliser ce qu'il passait au fond de toi. C'est pour dire à quel point, elle t’obsédait cette nana. Grr, mais ressaisit toi Blake. De plus, la Russe ne t'avais même pas vu. Pour te défouler, tu étais parti faire un petit footing pour finalement terminer dans l'eau claire du Portugal à cause de la chaleur. À cause de ton physique avantageux, avouons-le, beaucoup de demoiselles t'avaient regardés sans que tu ne fasses quelques choses. En rentrant de la plage, tu rentres dans le hall d'entrée de l'hôtel serviette autour du cou. Soudain, tu vois une silhouette que tu connais plus que bien. C'était celle de la jolie blonde aux yeux verts avec qui, tu avais un lien particulier. Tu étais proche d'elle, comme si ta tête ainsi que ton corps ne pouvaient plus de passer d'elle. Mais cette fois-ci, tu ne réagis pas. Tu étais muet et tu te mordais la joue. Tu ne voulais pas l'engueuler ou quoi, ce soit. Après, tout ce n'était pas ta copine, comme tu n'étais pas son mec. Après, tout ce n'était pas ta copine, comme tu n'étais pas son mec. Lorsque le petit « ding » annonce que l’ascenseur était arrivé, tu laisses passer la femme de vingt-quatre ans. Même si tu étais énervé, ce n'est pas une raison de ne pas rester gentleman. Appuyant sur le bouton de ton étage, tu restes au fond de l'immense appareil, croisant les bras tandis que le dos était appuyé contre la cabine.
(c) DΛNDELION
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Aaaaah sainte merde de dieu ! La nuit dernière avait été très... Mouvementé ! Le séjour au Portugal commençait bien on pouvait dire. Cela ne faisait pas deux jours que Lidiya était dans le pays qu'elle avait fini par tomber sur Blake, à la plage répondant de façon très intéressée à des demoiselles. Des demoiselles ?! Des poufiasses, oui !
Secouant sa tête à droite et à gauche de façon frénétique, la russe cherchait désespérément un moyen de se calmer et de se sortir ce genre d'idée du cerveau. Mouai, pas du tout convainquant. Le truc, c'est qu'elle était déjà foutu. Mais pour oublier le tout, elle avait trouvé la solution parfaite: la veille, elle avait embarqué un groupe d'amies dans la boite de nuit la plus proche, enfilé sa robe la plus courte et juchée sur ses talons hauts, elle s'était défoulée sur la piste de danse. Ouai ça faisait grave du bien; surtout quand elle avait senti le corps d'un inconnu de coller contre, proche, un peu trop proche. Elle s'en foutait, clairement. Elle était venu au SC pour faire la fête et en profiter, alors c'était clairement ce qu'elle avait fait.
Sauf que... Au moment de rentrer chez l'inconnu, en sortant de la boite, il avait voulu la tripoter, et ça aurait dire que non, on n'attrapait pas son sein comme ça, en plein dans la rue et sans autorisation. Du coup, elle avait du foutre un coup dans les roubignoles, un coup bien placé en sommes.

Aujourd'hui, elle rentrait assez tôt de la plage, volant passer un peu de temps seule dans sa chambre à réfléchir. En entrant dans le hall, son regard fut très vite attiré par l'objet de ses tourments: Blake. Et merde, mais c'est pas possible ! Elle se mordit la lèvre inférieure et se dit que le mieux était d'agir normalement. Si elle se rendait compte de ce qu'elle pouvait peu à peu ressentir pour lui, en revanche, elle n'avait aucune idée de ce que lui pouvait ressentir pour elle. Mais avant tout, elle savait aussi qu'elle voulait préserver leur amitié si jamais c'était à sens unique:

- Salut !, lui lança-t-elle d'un air qui se voulait un peu trop joyeux.

Mais la surprise lui glaça le sang lorsqu'elle n'obtint aucune réponse. Haussant un sourcil, un brin alarmée, elle s'engouffra à sa suite dans l'ascenseur. Milles questions tournaient dans sa tête. Quelques secondes après que les portes ne se referment, il y eut comme un bruit étrange et l'appareil tangua. Lidiya pose une main sur la paroie, pure réflex comme si cela allait aider à quelque chose.

- Super..., murmure-t-elle en levant les yeux au ciel.

Elle ne pouvait pas rêver mieux que d'être coincée, seule, dans un ascenseur avec Blake... Mais déjà, l'image de la brune aux longs cheveux le draguant sans vergogne pointe le bout de son nez et le sang de la russe s'échauffe lentement.
Elle ose enfin lever un regard vers lui, ne pouvant s'empêcher de le détailler de ses yeux verts. "Ok, sois cool Lidiya", lui dit alors sa conscience:

- Bah alors ? T'as perdu ta langue ? Je t'ai connu bien plus loquace ! Y'a un problème ?

Ouai, elle avait la vague impression que... Qu'il faisait la gueule !

@Blake C. Lee-Stanwinsky
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« La jalousie est une maladie plus encore qu'une passion, car elle connaît les douleurs de la passion sans en connaître jamais les âcres voluptés. Maladie effrayante qui frappe toujours deux êtres à la fois, celui qui ressent le mal comme celui qui en est la cause innocente »
Lorsque quelque chose ne te plaisait pas, tu avais tendance à tout garder pour toi pour finalement exploser comme une bombe. Tu te laissais cinq minutes avant de dire le fond de ta pensée. Tu étais tranquille en train de fixer longuement les numéros qui défilaient au fur et à mesure des étages. Quand soudain, un bruit bizarre se faire attendre, tandis que l’ascenseur bouge d'une manière étrange. Tu ne paniquais pas et pourtant, tu ne pouvais pas t'empêcher de coller ton oreille contre la porte pour avoir un petit indice comme pour te rassurer que la machine marchait encore. « Il ne manquait plus que ça » Un long sourire sort de ta bouche. Croisant le regard de la Russe, tu ne pouvais pas t'empêcher de la trouver aussi jolie encore plus lorsqu'elle était jolie. Haussant les épaules, prenant un air tout à fait détaché limite comme tu t'en fichais. Bien au contraire, tu bouillonnais de l'intérieur. Si tu écoutais ton cœur, tu serais en train de l'embrasser dans l’ascenseur. Mais non, tu étais bien trop rancunier voir limite jaloux. Même si une chose que tu n'acceptais pas de reconnaître pour le moment. « Peut-être bien que j'ai perdu ma langue. Et non, je n'ai pas de problème. Elle s'est bien passé ta fin de soirée ? » Dis-tu en la regardant les yeux d'un air presque noir de colère. T'approchant doucement du clavier pour appeler les secours en appuyant sur la petite cloche en cas de problème. Ça commence à sonner, mais personne ne réponds à votre grand désespoir. Tu commences alors à taper contre le métal pour faire comprendre aux autres usagers qu'il y avait des personnes à l'intérieur de l’ascenseur et qu'il fallait surtout appeler le technicien ou le dépanneur.
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Lidiya observe les moindres gestes de Blake, comme prête à bondir à la plus petite occasion. Oui mais pour quoi ? Son envie irréfutable de l'avoir encore plus proche d'elle ou bien de lui hurler dessus?
La russe était à fleur de peau et il ne fallait pas la chercher. Il tape frénétiquement sur la porte et elle hausse les épaules. Fallait pas forcément s'attendre à ce que quelqu'un réponde. A cette période de l'année, la quasi totalité des chambres étaient louées par les étudiants d'Harvard alors bon, à l'heure qu'il est ils étaient tous dans des bras ou sur la plage... Lidiya s'adosse contre la paroie; la froideur du métal vient la faire frissonner malgré la chaleur. Visiblement, le jeune homme n'était pas plus ravie qu'elle par cette situation, ce qui confirmait qu'il y avait bien un problème. Elle hausse un sourcil lorsqu'il lui demande comment s'est terminé sa soirée. Elle ne peut s'empêcher de laisser un petit rire nerveux. Mais bordel, comment était-il au courant. Enfin, s'il parlait bien de la boite de nuit... Mimant l'innocence, elle lui répond d'une voix un peu trop cinglante cependant, marquant la tension qui pouvait alors faire rage en son être:

- Mais attend, tu parle de quoi là ? Me dit pas que hier t'étais...


Oui ça venait de lui sauter aux yeux... Alors du coup il avait du assister à pas mal de choses... D'où son interrogation ! Son sang ne fit qu'on tout et la réponse tomba tel la lame d'une guillotine affûtée:

- Je t'en pose des questions moi sur les greluches qui te tournent autour avec des yeux ronds comme des billes et un filet de bave de 10 kilomètres de long ?

BON! Bah voilà, c'est sorti. Bordel ce que ça faisait du bien ! Elle qu'elle vient de terminer sa phrase, son buste se soulève et s'abaisse un peu trop rapidement montrant que la situation la touche bien plus que ce qu'elle ne voudrait. En même temps, au point où elle en était plus rien ne l'étonnait. Elle se sentait mal, très très mal. Un mélange entre un sentiment de perdition, de solitude et de colère qui lui vrillait les entrailles. Bordel que cela faisait mal. Mal de ne pas savoir, mal de réaliser qu'elle était totalement mordue.

- Je passe mes soirées comme je l'entends ! Jm'amuse c'est tout !

Oui, c'est ça, bravo l'assurance et la réplique qui tue...Mais c'était plus fort qu'elle... C'était comme si tout ce qu'elle avait retenu en elle jusque là, menaçait de se déverser tel un flot dévastateur... Elle n'en pouvait plus, il fallait qu'elle s'exprime, il fallait qu'elle se libère.

@Blake C. Lee-Stanwinsky
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« La jalousie est une maladie plus encore qu'une passion, car elle connaît les douleurs de la passion sans en connaître jamais les âcres voluptés. Maladie effrayante qui frappe toujours deux êtres à la fois, celui qui ressent le mal comme celui qui en est la cause innocente »
Évidemment que tu parlais de la boîte de nuit étais présent dans ce même lieu hier soir. Sauf que Lidiya avait été trop occupé à faire du rentre-dedans au gars pour te voir ou même te remarquer. Tu avais essayé de taper contre le métal presque de toutes tes forces pour quelqu'un puisse t'entendre, mais rien à faire. Te frottant nerveusement le visage, tu n'aimais pas beaucoup les endroits enfermés où tu ne pouvais pas sortir. Dans ton esprit, tu essaies de te rassurer, te dire que tu aurais pu être tout seul dans cet endroit. Tu pouvais voir que la Russe était extrêmement en colère. Ne valait mieux pas la contredire dans ces moments-là, mais néanmoins, tu ne pouvais pas en rester là. « Tu étais tellement occupée à chauffer ce mec que tu n'as même pas vu que j'étais là. » Doucement, tes poings commencent à se fermer tandis que tu parlais un peu plus fort que tu ne l'aurais voulu. Oui, tu criais malgré toi. En entendant répliquer que les filles te tournaient autour, tu fais une mine étonnée en répliquant « Pardon ?! On va remettre les choses dans son contexte. Déjà, c'est toi qui a commencé à l'hôpital. Dès que l'infirmière est rentrée dans ma chambre pour voir comment j'allais et me soigner, tu l'as dégagée comme une pauvre merde alors qu'elle ne faisait que son travail. Puis tu commences à me toucher comme si j'étais ton mec ou ta propriété privée. Alors que je ne suis pas ton petit-ami, ou quoi, ce soit à tes yeux. Tu ne me poses peut-être pas de questions, mais tu me fais une putain de signe de jalousie à chaque fois que je deviens proche ou qu'elle me regarde ou encore que je réponds à leur sollicitation. Tes remarques, c'est l'hôpital qui se fout de la charité. » Tu respirais assez fort, tellement que tu étais en colère. Tu commences alors à faire les cent pas dans la cabine. Il est clair qu'on pouvait vous entendre à des kilomètres. Voir peut-être que tout l'hôtel était en train de vous entendre. Tu lâches un long soupir « Ah, madame peut s'amuser et pas moi sous peine d'avoir quoi ? Une crise de jalousie. Tu es vraiment tarée Lidiya, je crois que tu n'es pas seule dans ta petite tête. » Tu te laisses glisser le long de l’ascenseur, sortant ton portable pour capter du réseau, mais rien à faire. Rien ne passer. « Tant qu'on y est, tu veux peut-être surveiller mon portable ? » Ouais là, tu la cherchais clairement et délibérément.
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"Alors que je ne suis pas ton petit-ami, ou quoi, ce soit à tes yeux". Ce fut clairement cette partie qui la blessa profondément... Comme une lame aiguisée qu'on lui plantait, lui coupant le souffle. Elle ne le pensait pas capable de paroles aussi dures. Même si, il fallait l'avouer, elle l'avait assez chercher. C'est vrai qu'au fond, elle n'avait aucun droit de lui faire pareilles scènes, mais c'était tellement plus fort qu'elle. Des larmes menaçaient dangereusement de faire surface. Putain, décidément il avait réussi à la changer en si peu de temps... Avant, Lidiya se foutrait totalement de la situation, elle aurait juste chercher à le blesser, en gardant son calme. Sauf qu'elle ne voulait pas lui faire de mal, pas à lui:

- Alors concrètement c'est ça que tu penses de moi ? Que je suis qu'une grosse tarée et que tu ne représentes rien ? Whouah mais en fait, t'as rien compris, mais alors rien de rien !

Elle s'approche dangereusement de lui, lançant des éclairs. Oooh oui il pouvait commencer à s'en faire. Les vanes des ressentiments étaient visiblement ouvertes des deux côtés et ça allait chauffer. Comment avaient-ils pu en arriver là en une fraction de secondes ? Il fallait croire qu'il était tous les deux aussi sanguins l'un que l'autre:

- L'autre boulet d'hier soir c'est qu'un crétin, puis c'est à cause de toi aussi !!

Aaah merde. Immédiatement elle se mord la lèvre inférieure, un peu trop à son goût. Putain mais pourquoi elle ouvre sa grande gueule comme ça ? Faut dire qu'il l'a poussée à bout, elle ne veut plus rien garder pour elle:

- Oh puis merde, oublie ce que j'ai dit, t'en vaut pas la peine en fait !! Fait ce que tu veux, j'en ai marre de me faire un sang d'encre alors que visiblement tu t'en fous. J'ai plus de temps à perdre !!

Ces paroles étaient aussi très blessantes mais elle ne contrôlait plus vraiment grand chose. Il faut qu'elle prenne ses distances et vite, elle est bien trop proche de lui... Alors que son sang pulse et qu'elle peut ressentir son pouls s'affoler de plus en plus. Même si la colère est bien présente, l'envie avide de se jeter sur ses lèvres est aussi nichée quelque part, au fond de son être.
Elle me vient se placer non loin de lui et tape à son tour contre la porte de métal, d'une force bien plus grande qu'elle ne l'aurait pensé alors qu'elle a l'impression d'être à bout. Lors de son geste, son bras effleure celui de Blake et son corps frémis. Mais bordel, c'est fou l'effet qu'il peut encore lui faire alors qu'en ce moment même elle lui en veut à mort. Elle lui lance un regard en biais, extrêmement rapide avant de reporter son attention sur l'ascenseur:

- Mais ouvrez cette porte bordel !!

Oui Lidiya, bravo ! Intervention totalement réussie.... Ça ne servait visiblement à rien. Le destin avait décidé de leur faire un gros fuck et de les laisser là, tel deux animaux sauvages en cage prêts à se déchirer...
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« La jalousie est une maladie plus encore qu'une passion, car elle connaît les douleurs de la passion sans en connaître jamais les âcres voluptés. Maladie effrayante qui frappe toujours deux êtres à la fois, celui qui ressent le mal comme celui qui en est la cause innocente »
Tu ne voulais pas la blesser. Lorsqu'on te pousse à bout, tu as tendance à te lâcher aussi niveau verbal ne contrôlant pas toujours tes paroles. Et c'est ce qu'il était arrivé alors que tu étais en train de disputer avec la Russe, lui disant qu'il n'était rien pour elle. Faux ! Elle représentait tant à tes yeux que tu ne savais pas comment lui dire et que la seule façon de la faire réagir était de te prendre la tête avec Lidiya. Avec cette dernière, tu passais par chaque émotion. La colère, l'envie, la joie. Plongeant tes yeux bleus dans ceux de la jeune femme de vingt-quatre ans, tu lui dis. « Comment ça je n'ai rien compris ? Explique-moi bordel ! Vous êtes toutes pareils les filles avec vos sous-entendus de merde. » La laissant t'approcher de toi, tu lui lances un regard noir. Ça, c'est bien typiquement féminin. Comme si vous pouviez tout savoir et tout contrôler sans savoir des explications explicites. À chaque fois que tu la croises, c'était toujours l’ascenseur émotionnel. En une fraction de seconde l'ambiance pouvait pouvait se dégrader pour passer de la joie à l'énervement. Ou Vice-Versa. Te mordillant les lèvres, tu fonces sourcilles en ayant une envie de la coincer contre le mur pour qu'elle avoue le fond de sa pensée, mais ça serait l'énerver encore davantage. « Comment ça à cause de moi ? Va jusqu'au bout de ta pensée et n'essaie pas de changer de sujet de conversation » Tu la regardes toujours en étant en colère. Ton sang ne fit qu'un tour « Tu penses vraiment que je m'en fous de toi ? Hein ? Si c'était le cas, je ne serais pas en train de m'embrouiller avec toi. Putain comment te dire que tu es toujours dans ma tête, hein, tu peux m'expliquer ? Tu fais vraiment chier. Maintenant TOI, fais ce que tu veux, je ne serais plus là pour t'embêter en perdant mon temps à vouloir te protéger tout le temps. » Tu frappes contre le métal de toutes tes forces comme pour te défouler. Tu te sentais plus léger même si l'ambiance est toujours tendue. Lorsque tu sens son bras contre toi, tu viens te toucher le visage à l'aide de tes deux mains. Tu défais les deux boutons de la chemise, te sentant soudainement à l'étroit comme si tu te manquais d'air.
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Vu de l'extérieur, on pouvait clairement dire qu'ils s'enlisaient dans une situation dangereuse. Évidement qu'elle allait devoir se justifier. Elle était dans une situation où elle ne pouvait plus reculer. Mais de là à ce que Lidiya lui exprime clairement ce qu'elle ressentait, ouais en fait faudrait certainement qu'elle digère la présente dispute. La peur lui étrangle la gorge alors quand réalité elle a peur de le perdre.

- Je..., commence-t-elle.

Mais non, ça ne veut vraiment pas sortir. Elle est dans une situation de panique. Elle pose son front contre la paroie de métal et tente lentement de reprendre le contrôle. Elle inspire... 4 secondes... Exprime, 3 secondes et ainsi de suite... Une technique de contrôle du SWAT à ce qui paraît... Pfeuh tu parles ! Il lui demande alors pourquoi c'était à cause de lui. Lidiya respire à nouveau normalement mais la colère n'a pas pour autant diminuée, pourtant sa voix dans être un poil moins vindicative. Elle arrive à parler presque sans hurler. Elle vrille son regard pâle dans celui de Blake:

- J'étais énervée Blake, tu m'as énervée. Je sais c'est trop con mais c'est plus fort que moi...

Oui surtout qu'elle avait tenté de lui dire par A+B qu'elle n'était pas jalouse. Elle s'enfonçait carrément un peu plus là. Mais du coup elle avait du trouver un moyen pour se défouler et la boîte de nuit lui avait semblé être une excellente idée. Putain ce qu'elle avait pu être débile...
Alors qu'il défait les premiers boutons de sa chemise, les joues de la russe s'empourprent un peu plus. Encore, ça passait assez inaperçu avec la colère. Clairement dans son esprit la température venait encore de monter d'un cran. Mais merde, il le fait exprès ou quoi ?! Et c'est juste à ce moment là que l'ascenseur tangue de nouveau. Et pas un truc de tapette, non un bon vieux mouvement qu'on voyait souvent dans les films d'action. Sur le coup de la surprise, Lidiya perd l'équilibre alors que ses jambes ne sont que coton. Elle se retrouve contre le torse de Blake et sa chemise à moitié ouverte là... Ses mains se crispent automatiquement sur le tissu et elle ose lever vers lui ses yeux verts; d'un côté elle voulait se faire pardonner et d'un autre.
Soudain l'ascenseur se met en marche, capricieux. Il ne met pas plus d'une minute pour atteindre l'étage souhaité. Lorsque les portes s'ouvrent, c'est comme une délivrance. Lidiya inspire à plein poumons l'air qu'il s'engouffre dans l'espace exiguë. Et elle sort précipitamment. Elle est libre. Ses talons émettent un bruit feutré sous la moquette du couloir. Blake sort aussi. Putain c'est vrai que leurs chambres sont pas loin.
Puis les dernières paroles du jeune homme lui reviennent en tête. La russe s'arrête et se retourne vers lui:

- Attends attends; qu'est ce que tu veux dire par "tu es toujours dans ma tête"?

Bravo ma poule, tu viens enfin de percuter ! C'est beau... Elle aimerait que cela veuille dire ce qu'elle comprend mais on n'est jamais trop prudent. Ça ne serait pas la première fois que quelqu'un se fou d'elle aussi. Mais elle voulait croire qu'il n'était pas comme ça, pas lui... Alors peut être qu'il y avait de l'espoir. Son visage se radoucit. Et puis c'est plus fort qu'elle, elle est obligée d'ajouter une touche d'humour:

- Je sais que tu m'as vu une fois dans une mauvaise situation, mais tu sais que je peux me défendre toute seule des fois hein ? Mais OK, j'avoue, j'apprécie quand tu joues les Superman...

S'il savait... Ses joues redeviennent un peu plus rouges, son regard devient soudain fuyant et elle recommence à se morde la lèvre.
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« La jalousie est une maladie plus encore qu'une passion, car elle connaît les douleurs de la passion sans en connaître jamais les âcres voluptés. Maladie effrayante qui frappe toujours deux êtres à la fois, celui qui ressent le mal comme celui qui en est la cause innocente »
Rien de te rendait plus fou lorsque les filles essayaient de faire passer des messages en mode démerde-toi avec ce que j'ai dit quitte à te planter. Désolé Lidiya, mais tu étais foutue dans la merde toute seule en voulant être trop franche. Croisant le regard vert de la Russe, tu lâches un soupir de désespoir. « C'est tellement facile de dire que tu étais énervée. » Elle n'était même pas foutue de dire le fond de sa pensée. En effet, la boîte de nuit avait été une très mauvaise idée puisque tu l'avais surprise en pleine danse sensuelle contre un homme. Ça t'avais mit un coup de poignard dans le cœur limite. Ça avait eu le même effet sur toi. Mais en même temps, ça t'avais pris conscience que la russe était bien plus importante à tes yeux et surtout dans ta courte vie. Tu avais juste défait deux boutons, non pas pour la provoquer, mais juste parce que tu manquais d'air et que tu avais l'impression d'étouffer. Soudain, l’ascenseur fait un bruit ainsi qu'un mouvement bizarre faisant légèrement basculer la cabine. Sentant qu'on tirait sur ta chemise, tu baisses la tête pour voir Lidiya accrochée à celle-ci, tandis que son corps ou plutôt son haut était contre son torse. Faisait t-elle exprès pour que tu craques ? Pourtant, tu n'avais pas l'intention de craquer le premier. Pas cette fois. Croisant le regard de la jolie blonde, tu te mordilles la lèvre. Ton regard était beaucoup moins froid, mais tu étais toujours fâché. Doucement, tes yeux se posent sur le cabinet où les étages qui défilaient à nouveau. Tu n'avais pas pu t'empêcher de lâcher un soupir de soulagement. Une fois à l'étage souhaité et les portes ouvertes, tu te diriges vers la sortie pour ne plus être à l'intérieur. La prochaine fois, tu prendrais les escaliers, il n'y avait pas de doute. Commençant à marcher pour aller jusqu'à vos chambres, voilà que la femme de vingt-quatre ans te pose la question qui tue. Pendant le trajet, tu étais moins énervé, réfléchissant à ce que tu allais répondre en affichant une grimace sur ton minois. Elle s'était arrêté de marcher pour se retourner vers toi. « Tu as vu comme c'est chiant les sous-entendus hein ? Ce que je voulais dire, c'est que … que .. Laisse-tomber. » Maintenant, c'était à toi de prendre la fuite. Tu n'étais pas doué pour exprimer tes sentiments. Tu préférais généralement, agir au lieu de discuter. Mais cette fois-ci, tu avais peur de te prendre comme un manche ou même recevoir la paume de sa main contre ta joue. « Ce que je voulais dire que c'est que je t'apprécie même si tu es extrêmement tarée sur les bords voir limite bizarre à vouloir toujours me tuer pour je ne sais quelle raison. » Néanmoins, tu n'avais pas pu t'empêcher de te sourire, mais très rapidement, tu rétorques. « J’attends toujours mes explications pourquoi tu étais toujours énervée contre moi. » Si elle croyait qu'elle allait y échapper, c'est te mettre le doigt dans l'œil, même si toi tu étais quelque peu léger voir vidé mentalement d'avoir eu cette dispute avec la future Dunster.
(c) DΛNDELION
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Ouai c'est vrai c'était facile à dire, Blake avait raison. Mais c'était aussi tout bonnement la vérité, cette bonne vieille vérité toute pourrie. Lidiya hausse les épaules; pour l'instant il devrait se contenter de cela et puis c'est tout ! Lentement la distance qui la séparait de sa chambre se réduisait. Si elle se souvenait bien celle de Blake devait être après. Déjà elle commence à farfouiller dans son mini sac pour retrouver la carte magnétique. Cependant elle n'a pas envie de rentrer, elle ne veut pas quitter ce couloir altos qu'ils n'ont pas fini de s'expliquer, alors qu'il est encore là...
C'était au tour du jeune homme de ne pas pouvoir s'exprimer. Lidiya hausse un sourcil, visiblement satisfaite qu'il puisse se retrouver dans la même situation qu'elle. C'était presque sadique si on y réfléchissait bien... Un frisson d'effroi parcourt le dos de la jeune femme lorsqu'il lui dit qu'il l'apprécie, malgré le fait d'avoir voulu le buter... Ah ouai merde... Il avait capté... Booon ça va c'était qu'une fois aussi:

- Désolée... Un mauvais reflex on va dire... Mes parents ont toujours voulu que je sache me défendre... Soit disant que d'après eux, les femmes sont conditionnées pour être des proies plus faciles que les hommes. Faut croire qu'ils ont poussé le vice un peu trop loin...

Voilà, d'un côté s'était tout à fait vrai ! Lidiya avait dit à moitié la vérité. Au fond, elle était fière d'elle car elle avait été capable de dire ce qu'elle pensait sans en révéler un brin sur l'identité de ses parents. Mais le plus important c'était qu'il venait de dire qu'il tenait à elle. À Ouai, pour le coup elle était sur le cul... Bon après, tenir à une personne, ça voulait souvent dire beaucoup de choses. Par exemple, Lidiya tenait énormément à Asia; normal, c'était sa meilleure amie et elle n'imaginait pas une vie sans elle.
Et voilà Blake qui revient à la charge, demandant une nouvelle fois des explications. Bordel ce qu'il pouvait être têtu !! La russe lève les yeux au ciel alors qu'elle triture nerveusement une mèche de ses cheveux blonds. Ouai, elle n'a pas forcément envie de se lancer dans un discours de 10 km de long. Sans plus de discrétion, elle l'observe, dirons nous que le terme adapté serait "dévorer du regard" ; bah oui, elle ne peut pas s'en empêcher, c'est plus fort qu'elle...
Oh et puis merde !! Sa tante lui avait bien souvent dit que des actions valaient souvent une multitude de mots. Prends donc ton courage à deux mains et remue toi ! Merci conscience, merci... Sans réfléchir plus longtemps, le corps de Lidiya se met en mouvement. Elle lâche la carte magnétique qu'elle tenait dans sa main; cette dernière vient s'écraser sans bruit sur le sol à moquette. Une fois cette même main libre, la jeune femme vient la placer sur la nuque de son ami. Tout se met en place rapidement et ses lèvres viennent s'écraser sur celles de Blake, sans vergogne et avec une envie non cachée. Elle avait tellement eu envie de faire cela depuis un moment déjà que lorsque ce fut le cas, c'est comme si elle retrouvait pleinement son oxygène, comme si on lui rendait enfin ce qui lui manquait. Dieux, ce que cela était souverain.
Après quelques secondes, elle mit fin à ce contact et reprit une distance plus ou moins convenable. Mais déjà toutes les fibres de son être réclamaient de nouveau ce qui venait d'arriver, tel des enfants affamés:

- Voilà, ça te va comme explication ?!, lui lance-t-elle d'un ton désinvolte.

Au moins, ça avait le mérite d'être clair...
(Invité)

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