(liam) jour 13 - c'pas bon la pizza, c'est encore mieux qu'ça.

Il jouait les innocents et je rentrais vite dans son jeu. La gamine et le gamin parfait. Sauf que j'étais sans doute plus naïve que lui, sans aucune hésitation. Ah donc tu préfères m'empêcher de voir pour pas que j'ai peur et que je ne me blottisse pas contre toi ? ok. On allait bien s'entendre, parce qu'on était aussi taquin l'un que l'autre. En lui faisant croire que j'allais l'embrasser, je savais dans quoi je m'embarquais, et il ne perdait pas de temps avant de répondre en usant de la même tactique. Sauf que bien sûr, j'y avais cru l'espace d'une seconde à ce baiser. Te brûle pas avec ta part. Un sourire faussement appréciable, mais j'appréciais le jeu quand même. Je voulais jouer. J'étais forte à ça. Et il allait être celui qui se brûle les ailes en premier. Je finissais ma part, me levant du lit. Je ne savais pas vraiment pourquoi, mais je me dirigeais vers la salle de bain. Je reviens peut-être dans un instant. À nouveau un sourire. Amusé cette fois. Je ne savais pas ce que je pouvais faire. Et arrivée dans la salle de bain, des tonnes d'idées se bousculaient dans ma tête. Mais aucune ne se prêtaient réellement à la situation. Alors lorsque je sortais de cette salle, je ne retournais pas directement sur le lit. Je m'asseyais sur un des fauteuils. Ne le quittant pas des yeux pendant qu'il mangeait cette si merveilleuse pizza. Alors comme ça tu t'appellerais Liam. C'est ton vrai prénom ? Bienvenue dans Inspecteur Barnaby.

Liam Gremlins a écrit:

❝ c'pas bon la pizza, c'est encore mieux qu'ça.  want ❞
LIAM & SKYLER

«  Ah donc tu préfères m'empêcher de voir pour pas que j'ai peur et que je ne me blottisse pas contre toi ? ok. «  Liam enleva automatiquement sa main, commençant à comprendre où était son intérêt. «  Finalement t’es assez grande pour choisir toute seules ce que tu regarde. » Dit-il en jouant les innocents, mais avec ce petit sourire aux coins des lèvres qui ne laisser aucun au fait que ses propos avaient un rapport avec ce qu’elle venait de dire. L’idée qu’elle se blottisse dans ses bras lui plaisait assez. L’un comme l’autre commencèrent à se chercher, faisant semblant d’aller à l’assaut des lèvres de l’autre sexe pour finalement se concentré sur la pizza. Ce petit jeu amuser beaucoup Liam, tant qu’il ne durait pas trop longtemps. Elle finit par disparaitre dans la salle de bain et l’espace d’une seconde il espéra que… En fait. Elle ressortit autant vêtue que lorsqu’elle y était rentrée. Qu’est-ce qu’elle avait foutu dans cette salle de bain ?! Mystère. En tout cas elle prit place sur le fauteuil et non sur le lit. «  Tu va y voir quelque chose d’ici ? » demanda-t-il à moitié moqueur mais elle commença à l’interrogeait. «  Non mais après quatre ans de prison pour proxénétisme j’me suis dit que ça pourrait être assez cool de changer. Puis Marguerite ça manque un peu de sex-appeal, j’avais peur que ça ne passe pas lors de ma recherche d’emploi. » Dit-il avec ironie, un grand sourire finissant d’achever ce qu’elle devait déjà savoir : c’était une blague ! Il attrapa une nouvelle part de pizza mais elle était brûlante et il l’a lâché légèrement. Résultat la sauce tomate coulait sur son tee-shirt. «  Eh merde ! » Il ôta son tee-shirt et se leva pour rejoindre la salle de bain, laissant la porte ouverte tant continuer d’entendre Skyler alors qu’il faisait couler l’eau pour essayer de laver son tee-shirt dans le lavabo. «  Toi qui est l’accro au pizza.Une solution miracle pour enlever ça? » demanda-t-il en se tournant vers elle, lui laissant ainsi tout le loisir d’admiré son torse nu, son torse savamment musclé…

©️ MADE BY LOYALS. - @A.-H. Skyler Hasselhoff

Ses mots résonnaient dans ma tête comme un tambour de guerre. Tu es assez grande. J'avais clairement envie de l'embrasser, mais je feintais comme une gamine. Alors oui, je me devais d'être grande, et c'est sans doute pour ça que je lui avais acquiescé de la tête cette information sur le moment. En allant d'ailleurs jusqu'à la salle de bain. Je m'étais posée énormément de questions. Si je devais rester comme ça, si je devais la jouer sexy. J'étais perdue et d'une grande innocence assez naïve. Alors j'étais revenue dans la chambre pour me poser sur ce fauteuil face à lui. Qui sait. Peut-être que je ne verrais rien, ou au contraire peut-être que je verrais tout. Ça dépendait de ce qu'on voulait bien regarder. Lui posant une question à laquelle il répondait comme toujours par une blague. Je me rendais compte que j'aimais cette facette de sa personnalité. Au moins, on ne pouvait jamais s'ennuyer avec lui, il avait toujours cette répartie hilarante. Quand il laissait tomber de la sauce sur son haut, je l'avais suivie du regard jusqu'à la salle de bain, l'admirant corporellement parlant. Il était beau. Drôlement beau. Son torse me faisait littéralement de l'effet, comme sa personnalité. Plusieurs solution s'offre à toi… Je me levais du fauteuil, allant vers lui lentement. Le désirant du regard. Le jus de citron ou bien… Plus je m'approchais plus je détaillais chaque parcelle de son torse. Du dentifrice avec de l'…alcool. Face à lui finalement. Je passais ma main sur lui. Caressant son corps d'homme. Le dévorant des yeux pour finalement l'embrasser. Un vrai baiser langoureux. Me donnant exactement ce que je cherchais depuis qu'il avait posé ses lèvres sur les miennes lorsque nous étions au restaurant plus tôt. Dégustant ses lèvres parfaites. Ma main continuant ses caresses.Qu'est-ce que je m'en foutais de son tee-shirt pour le coup.

La tension était palpable. Lorsque ma main avait caressée sa peau, j'avais vite compris que je ne pourrais pas retourner en arrière. Ce n'est d'ailleurs qu'au moment où ses yeux sont revenus se poser sur moi que j'ai commencée à l'embrasser. J'en avais marre des petits baisers à deux balles, alors oui, j'y avais mis de la passion, du langoureux. Sa poigne ramenait même mon corps plus près du sien avant de m'enlever mon haut. Lorsque nos lèvres se quittaient pour faire passer ce bout de tissu, je ne pouvais pas m'en empêcher. Je le laissais passer, et lorsque c'était fait, je me rapprochait de lui. La chambre sera beaucoup plus confortable. Murmurant  près de son oreille, mais assez proche de sa bouche pour ensuite l'embrasser, il tenait mon tee-shirt et je m'éloignais de nouveau de lui pour enlever sensuellement mon bas. Ben ouais, nous n'étions plus à ça près. Si je devais me trimballer en soutiens gorges, autant avoir le string à sortir à sa vue. Mes pas me guidaient jusqu'au lit où je m'asseyais, lui faisant signe de me rejoindre. Il était si beau. J'avais envie de lui. Je voulais le sentir contre moi. Je voulais sentir ses lèvres contre les miennes.

Ses lèvres m'envoûtaient sur le moment, j'avais dû mal à m'en détacher lorsqu'il enlevait mon haut. Mais je le faisais quand même. Sans doute parce que le manque que je ressentirais me ferait encore plus apprécier leur retour par la suite. Alors oui, je tentais de le charmer. Et lorsqu'il répondait à ma requête pour aller dans la chambre par la proposition de prendre une douche, je me mordais les lèvres. C'était alléchant. Mais je faisais non de la tête. Après tout, si nous faisions ce qui suivait cette suite logique, il faudra bien prendre une douche à un moment ou un autre. Alors je me mordais la lèvre inférieur, tout en me détachant. Enlevant mon bas. Lui laissant vue sur mes fesses rondes et ferme. Il y a toujours plus appétissant. La drague dans la voix, l'envie dans chaque parcelle de mon corps. Me dirigeant vers ce lit, j'avais envie qu'il me rejoigne. j'avais envie qu'il vienne à côté de moi ou devant moi pour que les choses corsées ne commencent. J'en avais marre d'être sage. Je voulais profiter de chaque instant. Et être avec lui maintenant me satisfaisait tellement que rien d'autre n'importait. Il s'approchait, détachant sa braguette, faisant tomber son pantalon, et je continuait de mordre ma lèvre. Par envie. Par pulsion. Jusqu'à ce qu'il ne vienne m'embrasser après m'avoir souhaité bon appétit. Si seulement il savait que ses lèvres valaient plus que cette maudite pizza. Me tendant, je passais mes mains sur ses épaules pour finir par l'enlacer. Ne coupant pratiquement jamais le contact de nos lèvres. Lorsque je fût debout, je faisais un léger bon pour finir par passer mes jambes autour de sa taille. Je voulais de lui. Maintenant, tout de suite. Je crois que je pouvais pas rêver mieux. Sauvage mes tendres, j'étais agrippée à lui. Et je reprenais les baisers. Sa bouche, ses joues, sa mâchoire puis son cou. J'embrassais chaque partie de sa peau qui m'était disponible sur le moment.Puis je revenais à moi. Attends. Tu as ce qu'il faut ? Les protections, éh oui. Je pensais à tout. Une femme organisée.