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ISAAC J. BRIXTON ► clément chabernaud

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ISAAC JOSHUA BRIXTON

feat. clément chabernaud




ID CARD
  • huit octobre mille neuf quatre-vingt quatorze
  • Boston
  • vingt trois ans
  • américain
  • hétérosexuel
  • célibataire
  • sangsue
  • sport
  • droit
  • escorte
  • BOURSIER
ADMISSION
TON ADMISSION À HARVARD - Sport. La jalousie haineuse, la bestialité, le mépris de toutes règles, le plaisir sadique de la victoire et la violence. Encore et encore. Une guerre sans arme dont les morts s’éteignent dans les phares des véhicules. Tu as cherché la peur pour la dominer, la fatigue pour en triompher, la difficulté pour la vaincre. L’ambition te poussant toujours plus. Ichor coulant seulement dans l’effort, aucun goût âcre ne vient perturber cette passion dévorante. Pas la moindre inflammation, aucune honte. Toutes ces choses inquiétantes dans l’immensité de l’espace t’entourant, dans le mutisme même de ton corps n’ont su atteindre ton désir de victoire. Isaac, tu as lutté durement pour te créer une place dans cet univers, que cela soit par ton parcours scolaire exemplaire ou par l’accomplissement de prouesse sportive. L’université d’Harvard ne pouvait pas oublier un prolétaire exemplaire.  


STUDENT

Solitude. Sorte de tare, parfum subtil de la tristesse. Aucune attirance ou même intérêt ne semble effleurer la moindre personne de cette misérable existence. Pourtant tu t’es noyé dans ces effluves Isaac. Aucune honte, seulement le plaisir du silence et de ta propre voix. Ton cœur est silence entier, renfermant tout l’enfer de la culpabilité. Tu ne mérites guère la compagnie des autres. Il n’existe pas de plus grandes tortures que le spectacle amical des autres. Tu les méprises, crachant sur leur vain bonheur. Elle te détruit lentement, te coupant des autres… Eveil de tes montres les plus profonds. Pourquoi vouloir se fondre dans une confrérie pleine de vie quand la noirceur dévore ton âme ? Tu ne désires pas apaiser cette douleur solitaire, ni même te confronter à la présence d’un individu.


/1/ Brixton, paternelle disparition. Fraternelle… ta voix commence là où s’est arrêté la sienne, naissance même de la destruction. Lentement, il disparaît.  Une peur palpable fait frissonner ta peau… Erreur. Isaac, tu as manqué de motivations. Tu dois accentuer tes efforts. Rien ne doit faire vaciller sou souvenir. Mécène de ton nectar vicié, tu portes son deuil dans le creux de ta peau.
/2/ Isaac, écume infâme bouillonnant dangereusement à la surface même de l’élite. Brûlant et suant les moindres poisons. Cette pourriture ambiante récoltant les rayons d’un soleil rougeoyant. La soif incommensurable de murmures de femmes, encore et encore. D’argent, toujours plus. De souffrance. Les mouches bourdonnent autour de cette carcasse superbe, l'admiration et la crainte s'épanouissant dans tes entrailles putrides. Ton appétit vorace ne trouvant aucune limite…
/3/ Hétérosexuel, essence même d'une contradiction profonde. Rien n'appartenant à l'ordre du charnel, du passionnel ou du désir ne peut se fondre à l'Amour. Il n'y a pas de place pour ce vif sentiment qui s'accroche aux courbes féminines. Aucune. Le plaisir est un terrible mensonge qui s’aggripe à la peau. Tu refuses toutes formes de bonheur, et ce même le plus trivial. Le vulgaire s’insinue seulement dans ton ascension du pouvoir. Tu oscilles entre une délicatesse maléfique et une dureté salvatrice. Loin de l’élan sensible qui agite les masses au moindre effeuillage, tu demeures d’une austérité rare.
/4/ La mort, peur viscérale, l’accident. Le choc. Temporaire témoin déambulant dans ce cimetière vivant. Simple idée qui fait frémir ton ombre même. Le hurlement des sirènes, loin, tellement loin. Douce amie déjà rencontrée mais qui te refuse la moindre permission. Pourquoi toi ? Pourquoi lui ? Lutte incessante contre tes démons qui essayent sans cesse de s’engouffrer pour te ramener dans la lumière. Non. Tu t’éloignes dans les ténèbres, le temps s’écoule en silence. Glissement de voiture, les freins qui glissent sur l’asphalte. Le silence assourdissant. Retrait de permis, cinq ans. Amende que tu efforces de payer avec ton corps. La prison s'éloigne avec chance.
/5/ Cicatrice & Miracle. Fins barreaux de ta vitalité, rectangle rougeâtre, angle droit de la chaire. Les ventricules sauvegardés, masse informe pulsant, agitant des litres de sang. Cible sur la poitrine gauche. Maladroit. Plutôt rigide, certaine rigueur et détermination rare. Hypocrisie du miracle. Tranchante binarité. La vie, la mort. Miroir effroyable des lèvres bleutées enviables face à la torture d’une cicatrice. Toutes les autres alternatives était tolérable, mais l’existence t’a propulsé dans un cauchemar. Epineux miracle qui n’est qu’un malheur supplémentaire.
/6/ Fétiche des cheveux. Douceur filaire, parasite qui bat ton cœur à tes moindres ardeurs. Cette déviance est une honte dûment dissimulée. Plaisir visuel que tu ressaisies sans le vouloir. Famélique désir de toucher.
/7/ Dessin. C’est déjà ne plus être toi, c’est devenir une suite de traits noirs sur le papier. Ou autre chose. C’est le silence et voir la matière devenir. Ne plus posséder, simplement s’abandonner à tout ça.
/8/ Aiden. Le Déni. De tes yeux s’amortissent de paresseuses larmes, l’air est brisé par un silence assourdissant. La stupeur. La morne scotomisation. Tes bras vaincus se balancent comme de vaines armes alors que la réalité s’échappe. L’irréalité des évènements t’entraîne en des abymes obscurs. Impossible. La perte n’est pas envisageable, pas la sienne. La Colère. Tu sens fondre en toi de lourdes épouvantes, des nuées de bataillons de fantômes épars te conduisent en une rage si intense… Il n’y a qu’un horizon sanglant qui semble demeurer possible. Qui ? Pourquoi ? Personne ne peut apaiser ta douleur et ta colère. Jamais tu ne pourras assouvir ta haine… Ton châtiment est simplement l’hériter de ta réussite. C’est de sa faute, de ta faute ! La Négociation. Il n’y a aucune prière plus intense que la tienne Isaac. Il s’agit presque d’une humiliation si ce n’était pour lui. Tu conjures le temps de revenir sur ses pas et de te le rendre. Implorer encore et toujours. Et puis, il a toujours ce silence. Il est là, dans tous les détails de l’existence. Il ne te quitte plus. Il se mêle à la solitude de tes mots. Chacun de tes instants est empli d’une tristesse véritablement dense et palpable. Ce silence, c’est toi. Tu ne supportes plus l’agitation de la masse. Ton corps réclame l’isolement comme pour exprimer sa souffrance dans l’absence des autres. Tu t’oublies dans le chagrin, abandonnant la volupté. La solitude devient presque heureuse. Elle possède un goût différent que la douleur. Elle t’embrasse doucement, amie fidèle qui jamais ne t’abandonnera. La Dépression. Tu restes en ce lieu où le bouquet de tes larmes s’est embrasé, dans ce lieu où sa vie s’est fané, dans ce corps sans oxygène. Sa disparition prend le poids d’un supplice dont l’ombre même semble éteindre la moindre lumière. Tu lui dois presque tout le bonheur d’une vie et…
/9/ Cigarette & Solitude. Le rythme monotone de tes volutes bleues résonne dans la nuit même. Dans chaque recoin de ta vie, les nuages gris brillent au fond de tes yeux. Sans eux tu es malheureux Isaac, sans lui tu es détruit. Est-ce qu’il comprend ? Tu aurais aimé le garder toute ta vie… Tout près de toi mais si loin de lui. Tu n’as jamais vraiment vécu, tu existe seulement dans une lassitude des choses.
/10/ Autodestruction. Image même de la décadence de ce monde, de ton plaisir qui part en cendre. Le jour fait semblant de se lever, mais tu sais que c’est la nuit pour toujours. L’odeur du tabac mouillé ne fait pas frissonner ta narine. Tu penses à la douleur qu’engendre la braise de ta marlboro sur ta main, tu penses au froid qui engourdi tes membres, mais plus encore, tu penses à l’avenir… Si près et si loin. Cette éternité de souffrance et d’ennuie qui t’es destiné. Demain. Véritable cauchemar, poursuite d'une existence morne et inévitable. Demain. Demain, tu te lèveras avec le même poids sur le cœur, la même mélancolie. Rien ne t'importe mise à part la douleur causée par la trahison. Laquelle ? Tu l’ignores. Elle résonne encore en toi. Plus rien. Isaac, tu sais que c'est la nuit pour toujours, et que le soleil qui se lève n'est qu'une ruse. Un soleil noir qui nous rappelle que l'espoir et le bonheur n'existe pas.





CharismatiqueCoupableIntelligentManipulateurSolitaireCynique


Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Atrazine et j'ai 21 ans. Je suis belge et j'ai connu le forum grâce à ... C'était il y a plusieurs année maintenant, difficile de m'en souvenir. Il est magnifique et les rpgistes sont trop sympas ici alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Willa Holland comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Viceroy & EYLIKA. Je fais environ 500 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Je souhaite adhérer un flood d'intégration (?)
je veux être parrainé si oui, par pseudo du parrain (voir la liste des parrains)


Je recense mon avatar
si personnage inventé:  
Code:
[size=10][url=http://www.i-love-harvard.com/u8483]☆[/url] ☆ <span class="pris">CLEMENT CHABERNAUD</span> • “ Isaac J. Brixton ”[/size]

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Sentence. L'oubli et le souvenir pèsent sur toi. Coincé dans ce paradoxe cruel, tu fini par te noyer dans un océan de regret, de culpabilité Isaac. Et si le goût salé des larmes ne s'efface pas, c'est pour que je sois là pour toujours. Je suis ton cœur brisé, ton âme meurtrie, ta vengeance narquoise et ta fragilité ambulante. Une réalité cachée sous tant de mensonge que tu t’effondres aux moindres miroitements de ton existence. N'est-il pas préférable d'être indifférent et digne que malheureux et pathétique ? Tu sombres plus encore. Bientôt, les profondeurs se refermeront sur tes nuits... La vie n'a aucun sens, aucun but. Espoir vain. Caricature même du pauvre mec torturé par le deuil, d'une ordure comme les autres. Ta supériorité était un mirage alléchant... Erreur. Tu t'agrippes férocement à la vie, comme un fardeau plus lourd d'instants en instant. Tu t'affranchis des obligations morales pour finalement t'emprisonner dans le mutisme de l'infamie. Totalement libre dans tes chaînes. Dissimuler sous ton masque absurde de mystère, tu ignores que personne n'est dupe. Tout le monde sait le crétin que tu es. Les mœurs légères sur lesquelles tu t'épanches sur des délivrances biens futiles. Des secrets de fumé. Tu caches tes erreurs par une façade d’hypocrisie. Tout n'est qu'une question d'apparence mais l'harmonie visible sent la charogne. Feinte difficile à maintenir, ton visage se tord en d'affreuses grimaces. Aucune harmonie, seulement la souffrance et la solitude. La douce culpabilité qui se déverse par vagues sur toi... Ton indifférence flotte à la surface de ces abysses de douleur. Son regard pèse sur tes épaules, maintenant, demain, toujours. Ton âme s'effiloche sous le scalpel de la lumière... La peur d'oublier t'étrangle, envoyant des salves électriques dans tes membres. L'adrénaline se répand alors que tu es pétrifié. Le silence t'entoure dans un bruissement cauchemardesque... Tu ne l'oublieras jamais.

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Isaac. Tes pupilles se dilatent, tes artères se contracteur et ta température augmente considérablement. Ton coeur s'emballe alors qu'une liqueur amère brûle ta gorge. La radio bourdonne agréablement à tes oreilles, comme une douceur berceuse et le ronron de la voiture alourdit doucement tes paupières... Tu t'enfonces dans ton siège. Tes mains glissent lentement sur le volant alors qu'Aiden ronfle légèrement à tes côtés. Ta respirations ne cesse de s'accélérer, haletant souffle qui s'échappe en un voile de froid. Des impulsions électriques s'insinuent jusqu'à ton estomac. Tes muscles se tendent et se crispent en de douloureuses supplications alors que le goût sucré de l'alcool chatouille tes lèvres. Le petit remue un peu te réveillant un peu. Tu redresses un peu le volant pour rester bien droit sur la route alors que ton pied s'enfonce à nouveau sur l'accélérateur. La voiture bondit vers l'avant, vers la fin. Aiden pousse un petit soupire. Un rire t'échappe, alors qu'une d'une main tu conduis et que l'autre va donner un léger coup dans l'épaule de ton frère pour le réveiller. Il gorgne avant de se tourner vers toi. " T'es con Isaac ". Tu souris en jetant un coup d'oeil vers lui. La route est déserte. Semble déserte. " Comment va la belle au bois dormant ? " Une bataille démarre dans l'habitacle confortable, quelques insultes fussent ainsi que d'autres taquineries. La voiture tangue dangereusement sur la route, les méandres se multipliant. " Arrête de mouliner, tu me fais du vent... Fais attention ! Mais tu vois pas que je conduis ? Stop ! Je conduis, ça suffit ! " Tu lui donnes un dernier coup dans l'épaule en riant avant de te concentrer à nouveau sur la route. Son petit cri de douleur te fait doucement rire. " Toi, tu as vraiment de la chance... Sinon je t'aurais éclaté la tronche ". Tu vas lui ébouriffer les cheveux pour le taquiner un peu plus... Juste encore un peu. " Bien entendu, je suis mort de trouille Princesse ". Tu coupes la radio et le silence s'installe dans la voiture. Un silence désagréable. " Je rigole Aiden... Arrête de faire la gueule.. ". La ligne blanche se dédouble dangereusement alors qu'une nouvelle crampe vient agiter ton ventre. Vomir, hors de question. Pourquoi as-tu autant bu ce soir ?" Tu as trop envie d'y aller pas vrai ? ". Un soupire t'échappe. " Arrête, ne râle pas. On sera tout le temps ensemble. ". Le petit s'agite un peu pour détacher sa ceinture, il se tourne complètement vers toi. " C'est ce que papa disait " " Je ne suis pas papa d'accord ? Je ne vais pas te laisser tomber Aiden. Je n'ai pas l'intention de t'abandonner. Souris moi... Tu n'as pas le choix... Un sourire dans une seconde et..." Tu lui donnes un nouveau coup dans l'épaule. Vos rires résonnent dans l'habitacle. Tu finis par poser ton front contre le volant pour te calmer. Tes yeux clignent difficilement alors que tu te redresses. Une lumière aveuglante.

Silence. C’est terriblement violent. La bile coule sur ton menton alors que tu redresse vivement. Le tourbillon t’entraîne précipitamment contre la taule déchirée et ton corps vient affronter le métal brutalement. Un nouveau flot de lymphe vient tenir tes vêtement alors que tes yeux cherchent sa présence. Tu échoues lamentablement, une haine viscérale se joignant maladroitement aux battements de plus en plus violents de ton cœur. Sa voix. " Maman va nous tuer. ". Tremblante, de la peur liquide. " C'est de ma faute, ne t'en fais pas."" J'ai mal Isaac. ". La sirène d'ambulance vient déchirer le silence de la nuit. " Ils arrivent, ils vont nous aider" . Une main chaude et poisseuse se pose à l'arrière de ton épaule. Une toute petite main. " S'il te plait, ne me laisse pas " La main est terriblement froide, tu tentes de te retourner mais la douleur te paralyse. " Jamais je ne te laisserais, je te le jure" . Tes paupières continuent de lutter contre la fatigue, la douleur attaque la moindre trace d'énergie... L'obscurité. La décharge. Douleur. Douleur. Ton corps se soulève rapidement. Décharge. Encore. " Tu reviens de loin... Un vrai miracle " La lumière est intense, l'homme gigantesque. L'odeur des antiseptique brûle tes narines. " Où j'étais ? Où est Aiden ? Tu te redresses difficilement, luttant contre les mains de l'ambulancier. " Reste calme.. Tranquille. Tout va bien, ne t'agite pas. Ca va aller." . Tu tournes la tête, cherchant ton petit frère. A ta droite, un petit corps. Tout petit corps recouvert d'un drap blanc. La montre d'Aiden. Tu lui prend la main, cherchant sa chaleur. Cherchant à le réveiller. Rien. " Aiden ? Aiden ? Aiden ! " Tu te débats, essayant de te lever alors que les larmes brûlent ton visage. La douleur n'est plus face à l'horreur. L'ambulancier lutte contre toi. " Laissez moi ! Arrêter ! S'il vous plait ! C'est mon petit frère ! Aiden ! Non. Je reste avec lui, je le laisserais pas... C'est pas vrai. Excuse moi Aiden... Je te demande pardon. " Les mots s'éteignent dans ta gorge alors que l'ambulancier retire l'aiguille de ta cuisse.


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Willa ISAAC J. BRIXTON ► clément chabernaud 3850463188
Bienvenueeee ! Courage pour ta fiche :heaart: ISAAC J. BRIXTON ► clément chabernaud 152426858
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ALISON :ôô: :ôô:
ISAAC J. BRIXTON ► clément chabernaud 152426858
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Bienvenue chez toiii !! ISAAC J. BRIXTON ► clément chabernaud 1946740601 ISAAC J. BRIXTON ► clément chabernaud 1230098378 ISAAC J. BRIXTON ► clément chabernaud 3026748879
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Bienvenue sur le forum ^^
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Bienvenue et bon courage pour ta fiche ISAAC J. BRIXTON ► clément chabernaud 3850463188
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bienvenue, bon courage pour la fiche. ISAAC J. BRIXTON ► clément chabernaud 3850463188
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Bienvenue et bonne chance pour ta fiche ISAAC J. BRIXTON ► clément chabernaud 3850463188
(Wesh Alison genre Foetus ? :ôô: )
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bienvenue :heaart:
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