Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityand suddenly, all the love songs were about you ๑ LEVUM
-29%
Le deal à ne pas rater :
DYSON V8 Origin – Aspirateur balai sans fil
269.99 € 379.99 €
Voir le deal


and suddenly, all the love songs were about you ๑ LEVUM

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Putain, t’étais saoulé. Charlotte et Levi s’étaient montée une ligue « on fait chier Callum aujourd’hui » ou quoi ? Leur jalousie à la con, à chacune d’entre elle. Putain, t’étais saoulé. Peut-être que t’en faisais des tonnes, que t’assimilais mal les textos échangés, mais t’étais un peu à cran ces derniers temps. T’avais voulu trouver un peu de repos à la Winthrop pour avancer dans ta recherche d’appart. T’aurais aimé que ce soit bouclé avant de partir en Ecosse. Pourquoi t’étais pas resté chez Levi ? Y’avait son chien, celui qui t’aimais pas là. Bref.
Du coup tu rentres, il est dix-huit heures trente passé, t’es encore plus saoulé qu’en partant ce midi. Tu serres le frein à mains, descend de la voiture. Putain, toujours croire Levi sur paroles. Tes affaires son balancées sur le porche, en bordel. L’ouragan Levi était passé par là. Ton ordi qui jonche sur le sol, quelques plans de maisons étalés, envolés, par ci, par là. Levi.. ! soupires-tu en serrant les poings. Un jour tu pensais la comprendre, la connaître. Le lendemain, c’était une parfaite inconnue. Lunatique au possible ! Tu grimpes les petits escaliers, enjambe tes effets personnels et entre dans la maison à l’aide de ton double. T’es où ? lances-tu à la cantonade dans la maison en partant à la recherche de la Mather. Garage, personne. Salon, personne. Cuisine, personne. Sa chambre, ah, Levi ! Putain mais qu’est-ce qui t’prend, c'est quoi ton problème ? grognes-tu en t’arrêtant à quelques centimètres d’elle brusquement. Ses cheveux mouillés qui encadrent son visage, les gouttes d’eau qui perlent le long de sa gorge, le parfum noix de coco qui émane de sa peau, la petite serviette en coton qui entoure son corps tatoué. Putain.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

 
≈ ≈ ≈
and suddenly,
all the love songs were about you
( @callum fraser )


T’es où ? Tu entends ses pas, ces gros pieds de gollum fracasser le sol, rompre le silence que tu as réussi à faire régner, le temps d’un instant, juste un si court moment. Tu l’entends te chercher, il veut te voir, tu ne veux pas avoir affaire à lui, rester loin de son visage. ne pas sentir son odeur, son putain de parfum masculin qui fait tambouriner toute ton âme. Il te fait chavirer, il te fait trop penser. Tu ne veux pas l’avoir, si près de toi, comme les dernières fois. I se rapproche, dangereusement, ta chambre, ton cocon, confortable. Tout est brisé quand il vient d’arriver. Putain mais qu’est-ce qui t’prend, c'est quoi ton problème ? il grogne, véritable chien. Doberman énervé. Contre toi. Les perles d’eau coulent le long de tes cheveux, s’écoulent sur tes épaules, tombent sur le sol, le long de ta peau. Ta peau dénudée, délicatement parfumée. Ton regard, vide, comme si tu avais été aspirée, tu ne fais que le regarder. Un sourire le long de tes joues, paradoxe infernal dont toi seule t’as le secret. D’une petite voix faussement joyeuse. Tu n’as pas pris ta jolie blonde avec toi ? Tu es si mauvaise. Ton sourire se rabaisse finalement, pour le pousser, de ton bras. Ce regard que tu évites, son parfum que tu t’efforces d’expirer loin de ton âme si fragilisée. J’peux m’habiller ? Tu risquerais de voir un bout d’mon cul ou de mon téton quand j’vais te foutre dehors de force ! Tu surenchéris, tu ne le veux plus ici, tu t’en fous de ce qui peut être de lui. C’est faux, tu le sais. Tu ne veux pas te l’avouer. Il te fait chier, sa pute de princesse te fait chier, tu ne le veux que pour toi, possessive.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Tu n’as pas pris ta jolie blonde avec toi ? Putain. T’as envie de la secouer, lui dire de se sortir cette putain d’idée de la tête parce que y’a rien avec Charlotte. Et y’aura jamais rien, parce que tu y’arrives pas, parce que t’as pas envie. Parce qu’à chaque fois que t’oses y penser une seule seconde, t’as le visage rieur de Levi qui débarque dans ta tête. T’es foutu, Callum. T’es foutu. Mais arrête avec elle, bordel ! Tu m’fais quoi là ? C’est quoi ça, d’la jalousie ? C’est elle le problème ? Son sourire qui se rabaisse soudainement, son bras qui te pousse, mauvaise. Son regard qui tirerais une rafale de balle s’il en était capable. J’peux m’habiller ? Tu risquerais de voir un bout d’mon cul ou de mon téton quand j’vais te foutre dehors de force ! Rapidement, tu la détailles de bas en haut. Cette serviette qui ne recouvre que si peu de peau, ses tatouages qui te fascinent toujours autant. Bon sang, sait-elle seulement combien elle est magnifique, cette princesse poubelle ? Non, tu restes comme ça. réponds-tu le regard perdu sur ses longues jambes avant de relever la tête, réalisant ce que tu venais de dire à voix haute. J’veux dire, ce serait pas la première fois que ça arriverait. dis-tu en pointant son sein du bout du doigt. A la descente de l’énorme boule, à la fête foraine. Là où tout avait commencé, finalement. T’avance d’un pas vers elle, attrapant son bras qui s’apprête à te repousser une nouvelle fois. T’es si prêt, trop prêt. Elle est si… Levi que tu pourrais y perdre pied et l’embrasser au risque d’y perdre une couille, ou les deux. Mais non, ton regard qui défie le sien. Dis le encore. Dis le que tu veux m’foutre dehors Levi. Dis le moi une dernière fois et j’me casse. Yeux plissés, lèvres pincés. T'attends sagement la suite.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

 
≈ ≈ ≈
and suddenly,
all the love songs were about you
( @callum fraser )


Mais arrête avec elle, bordel ! Tu m’fais quoi là ? C’est quoi ça, d’la jalousie ? C’est elle le problème ? Si il savait, seulement, s’il pouvait juste s’imaginait. Tornade, dans ta tête. Ton cerveau en éruption, t’es le Piton, véritable fournaise. Tu es si jalouse, un sentiment si fort, t’en rendre malade. Boule de nerfs, concentrée. Tout ce que tu peux aspirer, enfermé, dans ton petit cœur, malformé. Tout le mal que tu peux te faire. T’es comme ça, on ne te changera pas. Jalousie, si intense. Une éternelle tête brûlée qui fond sur ta langue, tu te retiens, de crier. Cette blonde, débarquée chez toi, ton sol, souillé par ses pieds de petite princesse de merde. C’est tout ce qu’elle est. Tes yeux brûlent à l’idée de le voir, avec elle, dans ses bras. Fixette, sur ses bouclettes blondes, il pourrait les entortiller du bout de ses doigts, là. Tes poings qui se serrent, tes ongles contre ta paume, rentrent dans ta peau. Tu ne luis réponds pas, poussant son bras. Tu veux sortir de là, son emprise, bulle de rage dans lequel tu vous enfermes. Tu pourrais l’exploser, ouais, t’es tellement tarée. Non, tu restes comme ça. Ricanement, l’ironie qui plombe l’air. J’veux dire, ce ne serait pas la première fois que ça arriverait. Non. Il ne t’a jamais vue nue, complétement à poil. Il n’a jamais vu toute la fragilité que tu peux dégager, toutes tes faiblesses. Toi, dans ton naturel le plus exact. Tout ce qu’il y a de plus parfait. Il n’a vu que carapace, forgée, au fil des années. Cette provocatrice, infernale. Putain de tentatrice. Il t’en fallait tellement peu pour bander, ouais. Tu le défies, de ton regard, bleuté, si foncé. T’es yeux revolvers. Mais c’est lui qui a  tiré le premier. Dis le encore. Dis le que tu veux m’foutre dehors Levi. Dis le-moi une dernière fois et j’me casse. Un nouveau ricanement sort d’entre tes lèvres, il veut jouer. Il ne fait que te défier. Il ne sait décidément vraiment pas qui tu es. Tes braises qui deviennent feu, tu vas finir par être ce brasier, si ardent. Les flammes que tu sais si bien faire valser. Tes lèvres qui se rapprochent des siennes rabaisse ton visage sur le côté. Ton souffle chaud, brûlant, contre la peau de son visage. Il va cramer, la chipo grillée au chalumeau.  Dégage. Mais on sait ce qu’il va se passer, tu vas regretter, mais tu manger, toute ta fierté, garder ta tête haute, alors que tu as besoin. Droguée, à l’odeur de son parfum et sa tête d’écossais. Ton doigt qui se balade, sur son torse, tu finis par le pousser du bout des doigts, te reculer. Un sourire, si sadique, sur tes joues parfumées, noix de coco. Tu es plus forte que lui, à ce jeu là.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Il t’en fallait tellement peu pour bander, ouais. Aucun sourire, même pas moqueur. Elle est méchante, c’est ce qu’elle souhaite. Levi et sa vocation à détruire les choses qui l’entourent, elle le décrit si bien. Tu ne relèves pas, à quoi bon ? Elle n’a pas si tord de toute façon. Il te fallait peu de Levi pour que ça s’agite dans ton pantalon. C’était même surprenant que Mini Callum ne se soit pas encore agité, peut-être la situation qui ne s’y prêtait pas. Certainement, même. Pourtant, t’es si prêt d’elle. Tu n’aurais qu’à lever le petit doigt pour effleurer sa main. Tu n’aurais qu’à pencher la tête pour goûter à ses lèvres. Tu n’aurais qu’à tirer sur cette serviette pour l’admirer, toute entière, Levi. Mais non, tu te contentes de la provoquer. De lui faire dire ce qu’au fond, elle ne pense pas, t’en ai persuadé. Dégage. Son petit doigt fin qui te pousse, d’une pression sur le torse ; son sourire qui veut tout dire. Tes lèvres s’étirent en un sourire à leur tour, un sourire beaucoup moins sadique que le sien, un sourire à la limite de la frustration. Très bien. réponds-tu en hochant lentement la tête. Et tu tournes des talons, claque la porte de la chambre derrière toi, retourne dans l’entrée, te plante devant la porte de la maison, l’ouvre et la claque. Sans bouger. T’es toujours là, devant cette porte. Non, t’es pas parti, malgré ce qu’elle peut croire là bas, dans sa chambre, claquement de la porte en témoigne. A pas de velours, tu vas dans la cuisine, ouvre le frigo et sors deux bières, saint Graal de Levi, et part t’installer dans le canapé. Elle voulait jouer ? Tu l'aurais à son propre jeu.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

 
≈ ≈ ≈
and suddenly,
all the love songs were about you
( @callum fraser )


C’est comme ça que t’as toujours été. Tu joues des limites. On ne te changera jamais, tu seras celle-là. Provocatrice, tu tapes sur les nerfs. Tu n’es que boule de nerfs, prête à exploser, à tout moment si on arrive à trop t’énerver. T’assumes pas, rien, de tout ce que tu fais tu arrives à l’assumer. Tu le sais, question fierté. Tu ne veux que jouer, sans jamais pouvoir vraiment réfléchir avant de lancer tes dés. Putain, tu peux être conne, ta manière de t’auto détruire. Bruler tes ailes, tu n’es qu’un ange déchu. T’as cramé tout ton paradis d’enfant gâté. Juste pour placer ton égo d’merde trop prononcé. Tu lui demandes de dégager, qu’il se casse, lui ses affaires qui prennent déjà l’air. Tu veux le garder avec toi, qu’il te prenne dans ses bras, sentir son parfum. Putain de merde qu’il peut t’exciter, te donner envie, de l’avoir dans ta vie. Mais tu ne fais que le pousser, l’éloigner de toi et tes secrets. Ouais j’disais, complètement conne. Il se barre, t’entends la porte, se claquer. Une expiration éjectée de tes poumons tout ratatinés à force de te retenir de respirer. Il t’a enfin lâché, il a enfin exécuté. Pourquoi tu fais ça ? Pourquoi tu veux juste te calciner ? Pourquoi tu eux pas t’accorder ce monde heureux sur lequel tu fantasmes tous les soirs, noyés dans tes larmes, ta solitude à peine acceptée malgré les années. Merde. Tu essuies tes cheveux, quelques gouttes dans le fond de ta serviette. Tu retires le tissu de coton de ta peau. Un short que tu enfiles assez court pour remarquer la naissance du bas de tes fesses. Un t-shirt que tu prends dans tes mains, le temps de rejoindre la cuisine, te prendre une bière. Putain de bière. Tes seins nus, ton t-shirt dans la main, le temps de démêler tes cheveux. Merde ouais, célibataire, te trimballer à poil chez toi, sans avoir à te poser de questions qui va bien voir tes tétons. Le frais du frigo, contre ta peau. Frissons le long de ton corps, tes longues jambes, penchées en avant. Merde ? Tu arrêtes de respirer, gardant cette position, ouais t’as l’air canon là, montre bien ton cul à Callum juste derrière. Tu entends respirer, tu te retournes avant de claquer la porte du caisson réfrigéré. Mais what the fuck ? Tu remets rapidement ton t-shirt, cacher tes seins. P’tits tétons qui pointent. BORDEL ! Tu le fixes, sur TON canapé, avec TES bières. Tu vas hurler. Tu vas crier. Tu vas le tuer. C’est une pomme que tu chopes à côté de ta main. Lancé bien géré, il se la prend en plein dans son bras. Tu comprends pas la définition de casses toi bordel de merde ? T’es vraiment un con ! Tu lui fais dos, tu respires profondément, tu pourrais réellement, le tuer.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Y’a bien un moment où elle finirait par sortir de sa chambre, où tu lui dirais d’venir se poser avec toi – contre toi – pour boire cette bière qu’elle aime tant. Mais putain, tu t’attendais pas à ça ! Levi, dans un semblant de tenue d’Eve, avec ce petit short qui ne recouvrait que si peu de peau. Et rien d’autre. T’avais vu sur ses tatouages, ses deux jolis seins, la naissance de ses fesses rebondies. Putain. Le spectacle qui s’offre à toi, alors qu’elle cherche un peu de fraîcheur dans son frigo. Jamais de ta vie t’avais rêvé d’être un frigo, là, tout de suite. Putain, ça s’agite dans ton boxer. Tu pourrais t’approcher d’elle, poser tes lèvres dans son cou, tes mains sur ses fesses et les faire glisser sur son ventre tatoué pour remonter jusqu’à sa poitrine si délicate, jouer avec les piercings qui lui décorent les tétons, te coller contre elle, toujours plus près. Putain, ouais tu pourrais ! Tu te remets à respirer, pauvre gars en manque que tu étais, et peut-être trop bruyamment. BORDEL ! Son sursaut, son tee-shirt qui recouvre bien trop rapidement le haut de son corps. Non, non, non. Ni une, ni deux, c’est une pomme qui vient cogner ton bras de plein fouet, marquant son énervement sur ton bras qui finirait par bleuir légèrement. Tu comprends pas la définition de casses toi bordel de merde ? T’es vraiment un con ! Et elle te tourne le dos, devant son frigo refermé. Jolies fesses galbées. Tu t’lèves, attrapes les deux bouteilles de bières et files dans la cuisine. Tu poses les deux boissons sur le plan de travail à ta droite et retourne derrière Levi. Tu sais pas comment elle réagira, tu sais pas si t’es en train de vivre les dernières minutes de ta vie mais tu t’en fous, elles auront certainement été les plus délicieuses. T’attrapes l’épaule de la Mather, la force à se retourner, attrape son menton et plaque tes lèvres contre les siennes, ton corps contre le sien qui butte contre le grand frigo. Quelques secondes, beaucoup trop court, t’en veut tellement plus. Tes doigts qui glissent le long de son cou pour jouer avec le col trop décolleté de son tee-shirt. T’as raison, j’suis un con. J’avais oublié de prendre le décapsuleur pour ouvrir les bières. dis-tu en attrapant le petit objet derrière elle à sa gauche, non sans en profiter pour coller plus encore ton bassin contre le sien.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

 
≈ ≈ ≈
and suddenly,
all the love songs were about you
( @callum fraser )


T’es cette poule mouillée, un rien qui te fait trembler. T’as peur de tout, du haut d’ton mètre soixante-quinze. Tes longues jambes affolantes. T’as cette peur du noir, tu dors avec une petite lumière pour ne pas être totalement dans l’obscurité, p’tetre qu’un gars va sortir de sous ton lit. T’as peur de l’eau, toute cette flotte où tu n’aimes pas tremper ton corps, trop peureuse de boire la tasse, de couler, ne pas savoir remonter. T’as peur. Cette respiration, comme un film d’horreur, tu pensais trouver le visage de Scream juste derrière toi, posé sur ton canapé. Tu te retournes brutalement. Mais ce n’est pas Scream, tout aussi blanc, mais ce n’est que Callum. L’écossais qu’a du bien en profité, le salop. Ton t-shit que tu as vite enfilé, camoufler le haut de ton corps, simple bout de tissus pour dissimuler toute ta féminité. Tu lui jettes ce qui te tombes sous la main, une pomme, dans son bras. Les poings serrés, tu penses à respirer, ne pas t’étouffer. Pour ne pas crier. Une fois, deux fois, trois fois. Souffles longs, au possible. T’entendre tes nerfs. Cette trouille, putain de merde. Quel con. T’auras pu finir violée, dans ton lit même pas fait. T’aurais pu te faire découper en petits morceaux pour te faire manger, sauce bbq. Il t’a fait peur. Il se rapproche de toi, bruit de verre contre le plan de travail, ta cuisine, où vous vous retrouvez. Sa main sur ton épaule, ton dos contre le frigo, avant que tu n’es le temps de le repousser, du bout du doigt, encore une fois. Ses lèvres ferment les tiennes, que tu fermes ta gueule avant de l’insulter. Tu te laisses faire, tes paupières se ferment. Tu dégustes ce petit rêve. Sa bouche aurait presque gout un kinder surprise, du chocolat qui fond sur la tienne, saveur sucrée. Tout n’est que surprise avec le winthrop. Il est ce petit tube jaune impossible à ouvrir. Renferme tout un tas de conneries dont personne n’aurait l’idée d’y trouver là-dedans. Il est tout un tas de surprise que tu n’aurais même pas soupçonné trouver, dans ce mec, que tu pensais trop efféminé. Avant tout ça, avant la fête foraine, avec cette attention qu’il t’a donnée. Ce n’était que Callum qui voulait te faire chier. Callum qui sait cuisiner les meilleurs burger chorizo que t’es gouté, après celui de ton père. Mais t’aurais jamais pensé qu’il est toute cette dose de virilité dans ce gars capable de porter des chaussures italiennes en pensant que c’est tout à fait cool. Ses doigts qui s’amusent à chatouiller ton cou, ton décolleté. Son corps contre le tien, tu pourrais le sentir. Sa plus grande virilité, qui arrive à te toucher, d’un peu trop près. Sérieux, il bande ? Tu ne fais que le pousser, le rejeter. Tu l’insultes, tu le méprises. Toi ton sourire de garce. Mais il bande, ça l’excite. Ok ce mec est trop bizarre. Ça te plaît, putain qu’il te plaît. Il se détache de toi, tes lèvres, frustrées. Son corps qui s’appuie contre toi pour attrape le décapsuleur. T’as raison, j’suis un con. J’avais oublié de prendre le décapsuleur pour ouvrir les bières. Ta lèvre inférieure, mordillée. Tu pourrais lui faire tout un tas de chose, la maintenant, dans ta cuisine, avec l’écossais. Ta main empoigne son entre jambe. Cette pression que tu exerces. Des années d’entraînement à tenir des bières ça.  Tes lèvres toutes proches de son oreille. C’est d’avoir vu mes petits tétons percés qui te fais cet effet ? Tu le provoques, toujours et encore. Pourtant tu n’es que cette gamine insolente beaucoup trop fragile. Tu ne franchirais pas le pas. C’te facette que tu lui as toujours montrée. Alors c’est ça entre nous deux ? Le chat et la souris ? Tu te détaches de lui, ta main qui libère son pantalon. Sérieusement j’vais finir par te détruire. Tu baisses la tête, cette mine, paradoxale innocence. Luantique à mort.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
T’es quand même heureux que ça ne soit qu’une pomme qui ait cogné ton avant-bras, et pas l’énorme couteau de cuisine qui se trouvait à côté de la corbeille à fruits. Tu la rejoins, dans la cuisine, contre ce frigo. T’étais pas décidé à partir, tu la lâcheras pas, tu peux pas. T’es déjà accro mec. Ta kryptonite destructrice. Tes lèvres qui s’accaparent des siennes, quelques secondes trop courtes. Des heures entières ne seraient pas suffisantes. Le décapsuleur de Levi dans la main, ton visage encore trop près du sien. Autant que ton corps. Si elle savait ce que t’avais dans la tête, là, putain. Deux ans que t’as pas trempé ta nouille, deux ans que ta main droite est ta meilleure alliée. Et là, Levi, qui t’excite ô possible. Si seulement elle savait, putain. Un sourire amusé qui s’illumine sur tes lèvres en agitant le décapsuleur. La main de Levi qui attrape ton entre jambe, surpris. Ton sexe, gonflé, qui ne demande qu’à être soulagé. C’est d’avoir vu mes petits tétons percés qui te fais cet effet ? Tu fermes tes yeux une demi seconde, ta lèvre inférieure mordillée par la surprise. Un semblant de rire, la tête penchée en avant. C’est d’imaginer tout ce que je pourrais faire à tes petits tétons percés, Levi, qui me fait cet effet ! réponds-tu en posant ta main sur la sienne, accentuant la pression contre ton membre de plus en plus gonflé, douloureux. Alors c’est ça entre nous deux ? Le chat et la souris ? C’était pas tes plans, c’était pas ta façon de faire. Tu détestais ça, pourtant tu restais. Mordu. T’étais un mec simple, sans prises de têtes. Levi était tout l’opposée. C’était un rumik’s cube, un casse-tête. Des heures et des heures de manipulation pour, au final, baisser les bras et passer à autre chose. T’espérais être celui qui trouvera la solution à ce casse-tête, retrouver toutes les faces du cube coloré. Sa main qui te libère, contact qui te manque déjà. Sérieusement j’vais finir par te détruire. T’ouvres les deux petites bouteilles de bière, en prends une pour toi et tend l’autre à Levi avant de boire quelques gorgées amère et citronnées. Ca pourrait être simple si tu m’faisais confiance, meuf. dis-tu en haussant les épaules et en reposant la bouteille de verre sur le plan de travail avec un clin d’œil et un sourire adolescent. T’attrapes Levi que tu tires contre toi et passe tes mains, fraiches, sous le tissu de son tee-shirt, dans son dos. Tes mains qui explorent, qui se promènent sur ses côtes, ses hanches, son ventre, le dessous de sa poitrine. Putain. Parfaite. Tes yeux qui la dévorent. Et puis, me détruire ? C’est du costaud, ça ! Il en faudra beaucoup pour m’détruire. dis-tu en bombant le torse. Faut pas croire, t’étais pas un grain galet hein !
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

 
≈ ≈ ≈
and suddenly,
all the love songs were about you
( @callum fraser )


C’est d’imaginer tout ce que je pourrais faire à tes petits tétons percés, Levi, qui me fait cet effet ! Parce que toi tout ce que tu voudrais c’est le faire valser. Le voir danser, sous tout l’effet que tu peux lui procurer. T’aimes voir ce désir monter dans son regard qui te demande de tout lui donner. T’aimes voir ses prunelles te dire s’il te plaît quand tu ne fais que toucher à travers son pantalon, cette chose, si fragile. Source de son désir. Tu veux qu’il ne pense qu’à toi, qu’il n’est que ta main, son corps sir malsain qui arrive à le faire chavirer. T’es égoïste, ce que tu veux pour toi, doit l’être et le restera. Putain d’enfant qui ne prêtera pas son jouet jusqu’à l’avoir lâché. Est-ce vraiment ton jouet ? Est-ce que tu veux le lâcher ? T’es perdue, paumée. Il te plait, putain, tu vas te noyer. Tu vas devoir apprendre à nager si tu veux te tirer de ce merdier. Ses yeux bleus qui t’appellent, t’attirent. Typhon, ses billes ne sont que des aspirateurs à petit cœur. T’es un p’tit cœur, tout fragile, tout démoli par ta vie. Tu relâches l’emprise que tu détenais sur ton entre jambes, tu quittes le sommet pour te retrouver au pied, complétement paumée. Tu attrapes la bouteille de Corona, décapsulée, à souhait. Une gorgée s’écoule le long de ta gorge, comme anesthésiée à ses petites bulles. Tu ne ressens rien si ce n’est le citron, piquant, acidulé. T’es une putain de Corona, acidulée si douce à la fois. Tu fonds en bouche, tu piques la gorge. Les deux opposés qui se battent la partition dans ton cerveau trop compliqué à cerner. Ca pourrait être simple si tu m’faisais confiance, meuf. Bulle d’air qui ressort de ton corps, entre tes lèvres. Ce bruit, tranche l’air, sans pression. Tu rotes, comme si tu n’étais que toi-même. Tu l’es ? Tu l’es. Donne-moi des bonnes raisons. Qu’il te montre de quoi il est capable, que i te sorte ses plus belles disquettes, tu veux rire, les écouter, les emballer. T’es tellement habituée à en écouter. Sa main, baladeuse, coquine. Contre ta peau, si fraiche, glaçante. Un frisson le long de ton corps. Le souffle coupé un petit instant, au moment où il t’a touché. Et puis, me détruire ? C’est du costaud, ça ! Il en faudra beaucoup pour m’détruire. Une nouvelle gorgée, goulot à tes lèvres pulpeuses. Bouche à pipe. Un petit ricanement sort d’entre tes poumons. Crois moi je pourrais te pousser à bout, te tuer à petit feu jusqu’à que tu me supplis d’arréter. Tu as tellement été entraînée, à provoquer, à tuer, ses âmes que t’as croisées. Ce bel enculé qui t’a forgé, ton ex, crevard. Ton corps s’extirpe rapidement de son étreinte, trop tactile. Tu frissonnes, tu te lasses, ça t’énerve. Tu n’aimes pas ce trop-plein de contact contre toi. Tu as besoin de respirer, de ton espace vital de merdeuse finie. Tu rejoins le canapé, ton cul vautré, en pleins milieu. Ta bière presque terminée. Je crève d’envie de savoir de quoi est capable Callum Fraser. Ton regard, le même, aguicheur, provocateur. Qu’il t’impressionne.

(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)