Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitythese voices won’t leave me alone (louisas) - Page 2
Le Deal du moment : -43%
-100€ Pack rééquipement Philips Hue ...
Voir le deal
129.99 €


these voices won’t leave me alone (louisas)

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

≈ ≈ ≈
{these voices won’t leave me alone }
crédit/ tumblr ✰ w/@"louisas"

Admire la folie à l’état brut Thomas. Croquer dans cette pomme, c’est peu comparé à ce que je pourrais faire pour t’épater. Parce que je ferais n’importe quoi pour que je puisse voir tes yeux qui scintillent encore et encore. Ce feu d’artifice dans tes prunelles, c’est tout ce que je cherche. Je veux un homme à surprendre, qui s’enfonce dans mes délires à la con et qui me regarde juste comme tu me regardes en ce moment-même. Alors oui, je savoure ta pomme empoisonnée et je pourrais même lui trouver bon goût parce qu’elle a touché tes petits doigts boudinés. Je m’intoxiquerais volontiers pour ta belle gueule tu sais. Malheureusement, mes papilles gustatives ne sont pas d’accord avec cet acte d’auto-destruction. Ainsi, dans un réflexe de survie, j’expulse les morceaux ramollis devant tes godasses. Puis, une vague incommensurable de courage m’envahit et me donne assez de force pour éliminer tes concurrentes, quel que soit le nombre. 1, 20, 1000, je les chasserais toutes, je les enfermerais dans des pokéball et je les enterrais en Ouzbékistan. Je trouverais une solution pour qu’il ne reste que moi, ta mère et ta soeur. « Je les épargnerai, je leur fais confiance pour qu’elle me donne un petit bout de toi » J’espère qu’elles ne seront pas radines et qu’elles apprécieront ma personnalité de borderline. Adjugé vendu Thomas ! Je veux sceller notre pacte sur l’arbre dès maintenant. Je peux même griffer nos initiales dans un coeur sur ce tronc derrière nous. Je m’en fous d’y perdre mes dix ongles. Je suis prête à pisser le sang du bout des doigts et à me faire passer pour une échappée d’asile en plein milieu de ce parc. Alors que je m’apprête d’ailleurs à passer à l’acte, je sens que tu freezes complet, comme une créature de Westworld qui aurait un bug système. Qu’est-ce que tu fous ? Tu poses un genou à terre ? Involontairement, je songe à Ezio qui avait également déposé sa rotule sous la Tour Eiffel. T’as raison Thomas, rien n’est comparable entre vous. Lui a choisi la ville la plus romantique du monde et toi, un arbre dégarni qui logent des centaines de petits Albert. Je craque autant, voir plus. Dis moi quand même que tu vas lacer une de tes chaussures plutôt que de me faire une demande en fiançailles, c'est dingue là. Et non. Tu le fais vraiment, tu me demandes ma main. Le poids des regards alentours m’alourdit. Mon coeur pulse fort dans ma poitrine. Il est toujours là le con. J’ai un palpitant qui fonctionne et qui s’réveille. J’ai envie de danser la macarena. Je vais le faire sérieux. Je ne peux pas résister à cette paire d’yeux en fascination. Sans tarder, pendant que tu trifouilles dans ta poche pour dégainer un trousseau de clés, je te tends ma main pour que tu insères l’anneau rouillé à mon annulaire « Je le veux Thomas. Tu n’as pas à me le demander, je suis la femme de ta vie depuis le commencement, bien avant le Big Bang même ! C’était inscrit, le tout-puissant voulait que tu t'humilies ce dix-sept juin deux mille-dix huit. » Accompagnant ta main à la mienne, j’enfonce l’anneau qui retient quelques clés à mon doigt. Je grimace en coinçant ma peau sous l’acier. Et finalement, il rentre jusqu’au bout, me voilà avec une bague pesant une tonne « En plus de devenir ta femme, j’suis aussi détentrice des clés de ton appartement, de ton coffre-fort vide, de ton casier et quoi d’autre encore ? » te demandai-je en soulevant le trousseau au niveau de ma bouille. Tu enfermes combien de trucs sérieux ? Je suis passe-partout là. « On ne devrait pas s’embrasser pour sceller tout ça ? » Tes lèvres sur les miennes, tu te souviens ? Moi je me souviens bien, ta bouche qui rencontre la mienne = invasion de papillons. « J’oubliais, tu ne sais plus embrasser c’est ça ? » te provoquai-je en posant mes bras sur tes trapèzes pour lier mes mains à ta nuque.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

≈ ≈ ≈
{these voices won’t leave me alone }
crédit/ tumblr ✰ w/@thomas holloway

Je le veux Thomas. Tu n’as pas à me le demander, je suis la femme de ta vie depuis le commencement, bien avant le Big Bang même ! C’était inscrit, le tout-puissant voulait que tu t'humilies ce dix-sept juin deux mille dix huit. Toi, t’as posé ton genou au sol. Dans cette pomme pourrie, ce pantalon que t’as sali. Pour elle, ses beaux yeux. Rafale t’avait de prendre ton temps, d’y aller doucement, ne pas faire le forcené pour ne pas l’effrayer. Putain, t’as merdé, mais tu ne le comprendras jamais T’es comme ça, spontané. L’irréfléchis, qui agis, un coup de tête. Il t’a suffi que de la voir croquer dans cette pomme pour la vouloir, rien que pour toi. T’en es persuadé, c’est celle qui te plait, c’est pour elle que ton cœur va battre désormais. Stella peut bien se foutre de ta gueule, dire que tes papillons de ventre s’envolent tous les quatre matins parce qu’une fille est venue te parler. Mais toi, tu sais C’est pour elle qu’ils ne se sont pas tous envolés. Tu lui demandes sa main, putain, qui pouvait le croire ? Y’a une semaine t’étais chez Saphir pensant que c’était la petite perle parfaite pour s’assembler à ton collier, ta petite vie que tu voudrais tracer. Mais elle n’était rien, cette joie. Rien comparer à celle que t’éprouves là. Un sourire indélébile sur ton minois d’gamin. Tu lui passes l’anneau de ton trousseau de clés, autour de son doigt. Vous avez l’air bien con comme ça. Tu contemples les clés de ton appartement, s’agiter autour de sa main, qu’est maintenant la tienne. Chelou. Ton regard, illuminé, t’es ce gamin trop gâté. En plus de devenir ta femme, j’suis aussi détentrice des clés de ton appartement, de ton coffre-fort vide, de ton casier et quoi d’autre encore ? T’as u nombre insensé de clé, dont tu ne connais même pas le dénouement pour la plupart. Tu te relèves enfin, pousse les petits morceaux de pommes de ton genoux, putain ça craint. Y’a les clés de chez mes parents, y’a le double de l’appart à ma sœur aussi, et je crois que celle-là je les trouver dans la rue et elles sont belles. Ok ?? Elle lorgne sa bague tellement, naturelle. Une bague qui n’a sûrement à envier aux plus belles bagues de mariage princier. Ou même celles qu’aurait pu lui offrir n’importe quel autre homme dans le reste de sa vie. On ne devrait pas s’embrasser pour sceller tout ça ? Ton sourire se fige, descend petit à petit. Tu es perdu, le mot de trop qu’elle te fait danser sous le nez. L’embrasser ? Tu veux l’embrasser ? T’en crèves d’envie Mais t’as peur, une boule au ventre, douloureuse. Tu vas vomir, dans sa bouche, par la panique. Ce stress qui t’envahit. Pète un coup. Non, ne pète pas. Ton regard se perd dans ses yeux, t’es égaré, on t’a paumé. Tu l’as déjà fait, mais c’est comme si c’était la première fois. T’as tout oublié, pourtant tu t’es assez entraîné sur ton propre reflet. T’as pécho ton miroir. J’oubliais, tu ne sais plus embrasser c’est ça ? Parce que ouais, t’as pas embrassé personne d’autre depuis des mois, un an, maintenant, quasiment. Tu n’as encore que l’adn de ses lèvres sur les tiennes, indélébile. Tu ne veux pas tout rater, tout gâcher. Merde, tu viens de lui passer ton anneau de clés au doigt et tu penses qu’elle va se barrer maintenant ? Ses bras sur ses tes épaules, tu entends presque le bruit de la peau de ses mains se nouaient derrière ta nuque. Si proche de toi. ELLE EST TROP PROCHE. Tu adores ça, t’es gêné. Merde mais à quoi tu devrais penser là ? Tu te rapproches de son visage, un baiser furtif sur le coin de sa bouche, commissures à peines effleurées. Non j’ai pas oublié tu vois. Ho l’arbre ! Tu pointes l’arbre du doigt, un sourire, innocent sur ton visage d’enfant. Faut qu’on grave nos initiales dedans non ? Tu changes de sujet, tu tentes de fuir, tu vas y arriver. Elle va te bouffer. Mais tu vas tellement kiffer, en rêver, toute la nuit
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

≈ ≈ ≈
{these voices won’t leave me alone }
crédit/ tumblr ✰ w/@"louisas"

Je vais me tordre une phalange avec ces conneries, bordel, j’ai dit oui, j’suis fiancée. Ce n’est pas une promesse en l’air, je sais que tout ce que tu entreprends possède de la valeur à tes yeux. Tu es sincère et je n’ai plus le droit de me dérober désormais. Obtenir une place dans ton coeur est un privilège que je compte honorer. C’est toi que j’ai choisi, toi qui a eu les couilles assez grosses pour me demander ma main après ma rupture encore fraîche. Je t’attendais depuis si longtemps. Il est là le tournant. Je dois l’emprunter, sans hésiter. Je dois virer d’un coup, déraper violemment et prendre cette voie qui me conduit à toi. C’est clair. Je ne peux plus te laisser partir une nouvelle fois. La voie est libre, entre dans ma vie, totalement. N’en sors plus. Embrasse-moi afin de cimenter notre engagement irréfléchi, dépêche ! Mince, je crois que je t’en ai trop demandé d’un coup. Ta banane remplie de dents étincelantes se ferme. Je perçois presque ton stress qui s'évade des pores de ta peau. Tu veux que je t’indique la marche à suivre pour un baiser ou quoi ? Mes bras appuyés sur tes épaules, je jongle entre tes billes couleur noisette en attendant que tu réagisses. Allez, un peu de courage, goûte moi, comme au bon vieux temps. Tu ne te souviens pas quand on se galochait à en mourir d'asphyxie ? Quand nos cœurs battaient à l’unisson et que nous sentions le désir grimpait l’un contre l’autre ? Je me hais. C’est avec toi que j’aurais dû perdre ma virginité. Je suis sûre que tu ne m’aurais pas laissé comme une étoile de mer après avoir envoyé la sauce. Bref, c'est fait, c'est trop tard. Tes clés pendouillant contre ton dos, je scrute tes mimiques hésitantes. Si tu ne le fais pas, je vais le faire. Je n’en peux plus de cette distance infime qui nous sépare. Ah ! Enfin ! Ton visage s’approche du mien. J’ai un gros zoom de ta tronche, de ton nez qui fonce sur moi et de ta bouche qui se replie en cul de poule. Je ferme alors les yeux, m’attendant à un bisou à la hauteur de l’événement que nous scellons. Un dixième de seconde. Voilà le temps de ce contact entre tes lèvres et la commissure des miennes. Tu crains. T’es un sacré handicapé de l’amour, mais paradoxalement, je trouve ça encore plus attachant. D’ailleurs je crois que tu es quand même conscient de la médiocrité de ce baiser, parce que je te vois bien tenter de noyer le poisson en détournant mon attention, sauf que je ne suis pas un poisson rouge mec « Oui, ça serait cool, mais je suis déçue » balançai-je en rapatriant mes mains le long de mon corps « Si tu me fais ça le jour de notre mariage, nos invités vont se moquer de nous. Je vais devoir te donner des leçons dans les prochains jours, réserve moi un créneau quotidien pour des cours de french kiss » Mes sourcils remuent dans tous les sens de manière suggestive. J’sais que je dois te déstabiliser avec tout ça, toi, le petit puceau du New Hampshire. J’suis désolée. J’étais comme toi l’été dernier je te rappelle. Englobant tes joues d’une seule main, je serre fort ma pince de M. Krabs pour faire ressortir ta bouche décorée d’une faible moustache. Tu verrais la tronche que tu tires. Tes yeux sont si exorbités, carrément prêts à rouler dans l’herbe avec ma gerbe. Go ! Je fonce droit sur toi et je te smack intensément avant de relâcher ta frimousse. « Mhhhh, c'était bien mieux non ? Maintenant gravons ce pauvre tronc qui n’a rien demandé » dis-je en me retournant pour m’agenouiller devant l'arbre, ton nectar de bave qui recouvre mes lèvres. Retirant à contre coeur ta bague de fortune, j’attrape la clé la plus rouillée pour commencer à soulever l’écorce. L’enfoiré, il s'est bien protégé, je galère déjà pour creuser le L de Louison. « Petit cul, prends la relève s'il te plait, t’as des muscles dans les poignets à force de te mast… jouer à la console.. »
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

≈ ≈ ≈
{these voices won’t leave me alone }
crédit/ tumblr ✰ w/@thomas holloway

Tu gères pas. Ton baiser, transparent. Sur le coin de ses lèvres pour t’éloigner de ces deux petits machins qui te donnent envie de les manger. Tu l’as déjà fait, embrassé. Putain, tu l’as galoché comme si tu le devais. Mais ça fait un an, en arrière. Le blanc intersidéral depuis, t’as comme oublié comme on peut encore pédaler. Mais ça s’oublie pas, grimpe sur ta selle, reprend tes petites couilles entre tes mains. T’en as assez pour te mettre à genoux devant elle mais pas assez pour l’embrasser, sceller, ce pacte de clé, autour de son doigt. C’est con. T’as peur, des papillons dans le ventre, ceux qui arrivent à te faire mal. L’impression qu’ils te griffent l’estomac de leurs pointes d’ailes, acérés. T’aurais pu, être jaloux, te battre pour la garder que pour toi, depuis le début. Tu l’as pas fait, t’as peur, de décevoir, peur d’être qu’enfaite un vieux légume moisie dans la vie. T’as laissé ta place comme un gentil mec pourrait laisser passer une vieille croûte de grand-mère devant toi à la caisse. Poliment, avec le sourire, t’as ouvert la porte de ton histoire d’amour avec Louison, mais pour laisser rentrer Ezio. Toi, t’es resté derrière. C’était sûrement mieux comme ça, elle heureuse, son sourire, c’était le plus important. Si tu me fais ça le jour de notre mariage, nos invités vont se moquer de nous. Je vais devoir te donner des leçons dans les prochains jours, réserve-moi un créneau quotidien pour des cours de french kiss. Ses sourcils qui s’agitent dans tous les sens, un sourire sur tes lèvres. Déformées par ses doigts contre tes joues. T’as une gueule de merde. Ta bouche qui ressort façons Donatella Versace, tes yeux à moitié fermés par tes joues remontées. Elle dépose un smack, gamine, sur tes lèvres. Ceux de la cour de récré. Derrière un arbre, caché, pour pas que la maîtresse vous attrape. Trop furtif. Pire que le tiens, juste deux secondes sur tes lèvres écrasées. Sans même que tu puisses répondre, surenchérir. Mhhhh, c'était bien mieux non ? Maintenant gravons ce pauvre tronc qui n’a rien demandé. C’est les papillons, dans ton ventre. Volent dans tous les sens, ils sont des milliers, tu vas exploser. T’as envie de plus. Putain tu veux l’impressionner. T’arrêtes pas d’y penser. Peut-être que Pluton embrasse mieux que toi tu ne pourras jamais embrasser Peut être qu’il l’a faisait monter aux rideaux, si haut que t’arriverais même pas à l’atteindre sur la pointe des pieds. T’arrivera peut-être jamais à la hauteur des gars qui sont passés avant toi. Mais, elle. Ca sera la plus haute épingle sur le tableau de ta vie. La punaise dans ton tableau de liège. Dans la case « goals ». Elle se retourne sans même que t’es le droit de lui donner son baiser super cool. D’la galochais, lui bouffer les lèvres. Ces deux petites knackis qu’on a réussi à te voler (plutôt que t’as gentiment donné). Tu ne peux pas t’empêcher de regarder. Son boule qui chamboule. DAMN. Son cul est si beau, si douillet. Tu dormirais bien dessus. C’est bizarre, ne pense pas assez. C’est ça, réajuste ton pantalon avant de finir trop coincé à force de trop mater. Tu tournes le regard, difficile. Tu voudrais la manger, tout entière. Une glace, vanille, un peu de chocolat, un léger gout pomme, moisie. Ouais.. C’était à peine mieux. Frustration dans ta voix. Tu finis par la rejoindre, tes clés contre l’écorce de l’arbre. Petit cul, prends la relève s'il te plait, t’as des muscles dans les poignets à force de te mast… jouer à la console.. Tu roules des yeux, un rire qui sort de tes lèvres. Tu pivotes sur toi-même, ton cul qui s’approche trop de la tête de la mather. Regardes si il est petit hein ! De gauche à droite, tu frottes la pointe de ton GROS cul contre son visage. Mais qu’est-ce que vont penser les gens, autour de vous, hein ? Mais qu’est-ce que vous en avez à foutre ? Tu arêtes de danser, imbécile heureux, les clés entre tes doigts, tu tentes d’abîmer ce pauvre arbre, qui n’a rien demandé. Vos initiales, gravées. Voilà ! Tu jettes un regard, satisfait de ton art. Louison. Ta main qui se colle rapidement à sa nuque. Ton visage en contact avec le sien, scellé de vos lèvres. TU L’A PECHO. Ta langue qui se glisse même dans l’équation. ON T’ARRÊTE PLUS. Longues, de longues secondes, cette fois, ouais. Tu veux plus la lâcher, tu vas la gober, une huitre. Manque un peu de citron.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

≈ ≈ ≈
{these voices won’t leave me alone }
crédit/ tumblr ✰ w/@"louisas"

Si je dois t’attendre pour recevoir la pelle de ma vie, je peux déjà creuser ma tombe. Alors évidemment, je prends les devants. J’aplatis ma grosse bouche sans botox contre la tienne. La pointe de nos deux nez se caresse. Je me consume intérieurement, tentant de ne pas déborder. Je ne voudrais pas que tu te raidisses plus que tu ne l’es déjà. À court d’oxygène, je nous sépare à contre-coeur pour me retourner face à l’arbre. Les genoux à terre, sur l’herbe bien grasse, je me sers de ta bague et de ses clés pour creuser l’écorce. Je galère. Je m’énerve. L’arbre est plus fort que moi, comme s’il ne voulait pas que notre union soit symbolisée sur lui, le bâtard. Par conséquent, je fais appel à ta puissance masculine pour terminer l’oeuvre désastreuse que j’ai entamé. Petit problème, ce ne sont pas tes poignets virils qui viennent me secourir, absolument pas, ce sont tes fesses enveloppées dans ton petit pantalon qui viennent m’effacer le visage ! Tu ne paies rien pour attendre. La face enfouie dans ton derrière qui me tartine, je ferme les yeux tout en essayant de me sortir de cette attaque « Ça pue le vieux pet, dégageeeee » criai-je en frappant tes fesses lorsque tu arrêtes enfin ce supplice. Les joues rouges et l’envie de t’étrangler à son plus haut niveau, je te laisse me voler ton porte-clés pour finir notre oeuvre d’art commune. « Splendide » soufflai-je en reportant mon attention vers toi. Toujours aussi imprévisible, ta paluche velue de charpentier vient harponner ma nuque pour me ramener à toi. Mes cils battent à toute allure. Mes paupières se ferment totalement et en échange, mes lèvres s’entrouvrent. Ta langue se faufile et s’enroule à la mienne. Je ne capte pas ce qui m'arrive, je me laisse faire, jusqu’à ce que mes pulsions s’activent. Mettant un terme à ma passivité, mes mains agrippent tes biceps qui ont pris du volume depuis l'été dernier. Je me soulève ensuite sur mes genoux, ne perdant pas pour autant la connexion entre nos lèvres emmêlées. Complètement goulue, nos dents se cognent dans la légère remontée que j’ai instaurée. T’as battu tous les records là, bienvenue dans le guinness des puceaux Thomas. Mes doigts se noient dans ta chevelure encombrée de miettes de gel fixation béton portugais. Je suis en apnée totale. Je me délecte de toi, de tout ce que j’ai perdu pour un Apollon incapable de tenir sa bite. À bout de souffle, on s’écarte à peine l’un de l’autre et je te fixe ardemment. « Je préfère tes baisers plutôt que la vie éternelle, une crêpe au nutella ou même le son du générique de Game of Thrones ! » t’avouai-je en posant mes mains sur tes épaules. Putain, qu’est-ce que je suis amoureuse de tes canines de Dracula. Forçant sur mes bras, je te force à chuter en arrière pour te couvrir de mon corps. Ta tête rencontre le gazon, je m’accroche à toi de tous mes membres. T’es pas bien hein ? Je le sais, je sais que mes seins écrabouillés contre ton torse doivent créer une belle cacophonie en toi. Tu ne peux pas t'imaginer à quel point je jubile à l'idée de détenir ce micro pouvoir sur toi. « Je veux une balançoire au fond du jardin et même une cabane pour nous et nos quatre enfants » exigeai-je en grimaçant à cause de nos côtes saillantes qui se combattent entre nous « Tu ne me quittes plus jamais ok ? Cette fois-ci c'est la bonne Thomas. Notre histoire doit enfin s'écrire..  »
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)