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these voices won’t leave me alone (louisas)

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aujourd’hui, je t’ai donné rendez-vous où nous avions autrefois l’habitude de passer tout notre temps, oui sous le pommier le plus radin de la planète. tu comprendras que ce clin d’oeil n’est pas anodin, tout a un sens, toute cette symbolique m’est importante. je tiens à ces choses si niaises. bref, toi et moi, c’est une longue histoire. une histoire qui n’a jamais eu de fin car nous l’avons à peine commencé. tu sais, en ce moment, mon monde s’effrite bizarrement et je n’ai pas suffisamment le temps et la force de le rafistoler. je me sens happée par mon for intérieur. je pratique l’introspection à forte dose, au point de disparaître dans un tourbillon de souvenirs. c’est comme si je faisais un scan complet de ma machine et je peux te dire qu’il y a des tonnes d’erreurs qui s’affichent en rouge. j’ai besoin de toi. avant que nous empruntions un chemin tortueux s’apparentant à une idylle romantique, faut savoir qu’on était de bons amis. puis forcément, quand ezio a débarqué l’été dernier, tu t’es barré en courant, parce que tu n’es pas de ceux qui croient en eux. pourtant tu as tout pour rendre une femme heureuse. oui, tu as tout. si j’avais résisté à l’autre fruit empoisonné, je suis sûre qu’on tracerait une route parfaite tous les deux. mais non. tout a foiré. j’ai foiré. de fil en aiguille, je me suis enfoncée dans des péripéties tordues et à l’heure actuelle, je me demande clairement où je vais. tu ne l’as peut-être pas saisi, mais lorsque tu m’as parlé d’une famille de chinchilla hier, j’ai carrément planté. tu m’as juste filé sous le nez ce que je souhaite le plus au monde. je veux une foutue de famille. est-ce que pluton pourra me l’offrir ? putain. m’asseyant contre le tronc d’arbre, je lève mes yeux sur les branches qui se déploient au dessus de ma tête et je soupire en me faisant aveugler par quelques rayons de soleil qui transpercent le feuillage. ma blessure au cou camouflée par un foulard en soie, je cogite en t’attendant.
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Un mois. Un mois, sa voix que tu n’as pas entendue. Son parfum dont tu en oublierais presque les effluves colorés à peine dissimulés. Ses cheveux, douceur infinie. Cette bouffée de fraîcheur, depuis un mois que tu ne l’as pas respirée. Depuis si longtemps que tu n’as pas pris ta dose. Simple drogue. Toute sa beauté que tu n’as fait laisser s’échapper Tu l’as laissé, les bras de ce gars. Elle t’a si ombreuse fois filée entre les doigts, jamais, tu n’as su la retenir. Su lui montrer que ce n’est qu’elle que tu voudrais. Tu n’es qu’un bouffon. Sombre con. Ton manque de confiance, celle que tu n’as jamais eu. Si peu confiant, tu ne sais pas. Tu ne te rends pas compte de ce que tu peux dégager. Tu n’es qu’inconscient. Son bonheur, c’était ta clé. La clé de ton propre bonheur, tu le pensais. Te n’en as jamais douté. Trouver son sourire, les courbes de ses lèvres, le long de ses joues. Ses prunelles où tu as fini par y laisser, toutes tes pensées. T’as toujours voulu les voir briller, mais, ça n’a jamais été à tes côtés. C’est toi ça, tu te fais couiller. Tu te fais ses illusions où les fondations ne font que se balancer, gauche à droite. P’tain t’as jamais pensé que ton sourire de couillon et ton humour carambar pourrait plaire. T’as jamais pensé que tu peux être un mec absolument charmant. Ouais , tes caleçons bob l’éponge et ta collection de jouets happy meal, tu peux l’être cet homme parfait, à mes yeux tu l’es. Tu l’as rejoint, enfin. Retard noté de dix minutes. Tu t’es égaré, dans tes fringues mal pliés. Tu voulais, t’as essayé de bien t’habiller. T’es ce Thomas, dans sa simplicité, trop mal accordée. Les couleurs si mal associées. Mais tu n’es que ce tu as toujours été. T’avances, tu t’approches. Ton cœur qui bat, fort. Prêt à casser les os de ta cage thoracique. Souffle long le long de tes lèvres quand tu l’aperçois, enfin. Tu stress. Putain respires. Tu vas être rouge, tu vas exploser. Tes pas qui s’approchent de sa silhouette sur le sol. Perdue dans ses pensées, tu la vois rêver, au travers de ses prunelles foncées. Tu réfléchis au sens de la vie ? Sourire sur ton visage, ses yeux qui posent sur toi. Vague de chaleur qui remontent en toi sillonne toutes tes artères, réchauffe ton cœur, ton corps. T’es trop sensible. Trop vulnérable à son simple regard. Tes mains qui se tendent devant elle, l’aider à se relever. Elle est belle, toujours aussi rayonnante malgré tout ce qu’elle a pu te parler dans vos messages envoyés. Tes mains relâchent les siennes pour finalement entourer son corps. Tes avant-bras, contre ses omoplates. Étreinte que tu refermes contre elle, délicat, tout est si naturel, avec elle. Ton souffle contre son oreille, doigts qui caressent le tissu de son vêtement. T’es toujours aussi mal coiffée. Tu ricanes, tu fais chier. Tu peux pas t’empêcher.
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Je rêvasse. Je me laisse couler dans la nostalgie. C’est peut-être la fin d’une ère et le début d’une nouvelle. Un vieil adage dit qu’il faut écouter son coeur. Ben aujourd’hui, mon coeur il saigne. Me suis-je plantée une nouvelle fois ? Ça se pourrait bien. C’est même sûr. Il s’est foutu de moi, un de plus. C’est normal de ne plus être étonnée ? Je baisse les bras moi. L’amour n’existe pas. C’est une utopie. Alors que mes yeux se perdent encore plus dans ces branches entrecroisées, ta voix m’extirpe tout à coup de mes songes pour me ramener violemment à la réalité. « Non, j’ai déjà trouvé le sens de la vie. Il n’y en a pas » répondis-je en retrouvant un visage bien plus illuminé. Mon dieu. J’ai envie de pleurer. Te voir ici me donne bizarrement l’aval pour que je me lâche. Je ne t'ai carrément pas dit toute la vérité par messages. Je suis seule. Célibataire. Morte. Vide. Je souffre. Attrapant tes mains, je me retrouve debout face à toi, le visage de nouveau en berne. Tu le sens pas ? Tu sens pas que je suis au bord du précipice ? Sans que je m’y attende, tu m’entoures de tes bras et je me blottis fort contre toi. Je te serre jusqu’à ce que tu vomisses tes tripes. Me quitte plus jamais. J’ai fait l’erreur de ma vie l’été dernier, pardonne moi. J’ai besoin de toi. Ton parfum m’embaume. Je me sens en sécurité dans ton étreinte. Lorsque nous décidons de nous relâcher d’un commun accord, je plante mes prunelles anéanties dans les tiennes. Malheureusement, n’étant pas un expert des relations humaines, tu me clashes sur ma coiffure alors je t’envoie une gifle bien calculée pour éviter que tu chiales comme un bébé « T’es toujours aussi con » répliquai-je en croisant mes bras sur ma poitrine. Frottant ma semelle dans la pelouse, je pose mon attention sur le bout de mon pied en reniflant un peu trop fort « Je dois t’avouer un truc, je t’ai pas tout dit hier soir. » amorçai-je en relevant ma frimousse abattue. En fait j’ignore réellement qu’elle va être ta réaction en t’annonçant ma rupture. Je dois m’attendre à tout avec toi, t’es vraiment pas commode et c’est qui m’a plu dès que je t’ai pris sous mon aile en arrivant ici. « Attention, c’est du lourd et je risque de pleurer comme une madeleine. Tu peux sortir le mouchoir avec lequel t’essuies ton gros nez là ? »
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T’es toujours aussi con. Comme une claque que tu te prends, à trop jouer au con. Tu n’es qu’un taquineur, tu ne fais que déconner, il ne faut jamais essayer de te prendre au sérieux, tu n’es qu’un gamin qui a oublié de grandir. Petit gosse dans tes prairies, balaye maintenant le bitume de la ville. C’est ici, que tu l’as rencontré. Elle, sa beauté, c’est tout ce que t’as regardé, la première fois que tu l’as rencontré. Si tu n’étais jamais venu, tu ne l’aurais jamais vu. Sa mine boudeuse, ses pommettes relevées. Elle te fait marrer, elle te fera toujours rêver. Ce n’est pas méchant, tu n’es que fou. Fou d’elle, de son sourire, de ses eux, amande noisette. Délicieuse. Tu ne ferais qu’une bouchée du gâteau Louison. J’ai pas changé. Tu ne changeras jamais. Non ça, tu le resteras cet enfant mal élevé, juste pour te marrer. Cette maladresse que tu cultives, sans même le vouloir, sans même le savoir. Ça fait ton charme, tu n’es qu’un charmeur, tu ne le sais pas. Non, tu t’en doutes même pas. Je dois t’avouer un truc, je t’ai pas tout dit hier soir. Elle relève ses prunelles vers toi. Tu ne fais que tomber. Tomber dans le précipice, ce trou noir qui t’embarque. Tu te noies, tu n’y arriveras jamais, toi. Tu vas toujours réussir à te faire embarquer par le courant. Par ce courant qu’elle dégage en toi, en face de toi. Tu te souviens encore, le goût de ses lèvres sucrées sur lesquelles tu avais pu déposer les tiennes, le temps d’un instant. Juste avant qu’elle te laisse en plan. Pour ce gros con. Ezio, Ezio mon cul. Ezio de ses morts. Attention, c’est du lourd et je risque de pleurer comme une madeleine. Tu peux sortir le mouchoir avec lequel t’essuies ton gros nez là ? Tu ressers la mâchoire, sans la lâcher, d’une seule seconde. De peur. T’as peur qu’elle te laisse encore. Qu’elle t’annonce un départ, qu’elle va se marier, qu’elle va juste se barrer. Encore, te filer entre les doigts. C’est du vent, cette fille, une putain de tornade dans le ciel de ta vie. Tu tapotes tes poches de la paume de tes mains, mine déconfite. T’as pas de mouchoir, t’as rien, c’est malin. Tu lui tends ton t-shirt, levant les épaules, par défaut. Pauvre bout de tissus que tu veux lui donner pour essuyer sa grosse morve le long de son nez. Je l’ai pas lavé t’façons. Gros dégelasse, tes fringues que t’oublies toujours de laver. Juste un check s’il sentait beaucoup trop mauvais pour l’enfiler. Le test passer, il va se retrouver souillé de morve étalée. Tu vas partir ? T’es enceinte ? Tu fais les gros yeux, regardant son ventre comme si tu venais de l’avoir, cette lumière au-dessus de toi. Coup de massue, sans même savoir. Calme-toi. Combien de mois ? T’y crois vraiment. T’es con, putain.
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Tu as bien raison. Tu es encore intact toi. Rien n’a changé. Tout est sa place. Tes yeux rieurs. Ton sourire de polisson. Ta gueule de merlan frit. T’es toujours identique à celui que j’ai croisé il y a quelques années maintenant. Je suis dans le mal Thomas. Je dois t’avouer ce qui me ronge. Il faut que je m’en débarrasse, que cela sorte et que tu te foutes de ma poire. Aide moi à dédramatiser. Sors-moi une blague pas drôle, un jeu de mot au ras des pâquerettes que je ne puisse pas avoir le temps de m’effondrer. Je compte sur toi. Préférant tout de même assurer mes arrières, je te quémande un simple mouchoir et tu me tends ton tee-shirt qui n’a pas côtoyé de machine à laver depuis un moment. Attrapant le bas de ton haut, je le garde emprisonné dans mes mains jusqu’au moment fatidique. Je le froisse même entre mes doigts pour canaliser mes émotions lorsque tu te mets à émettre des hypothèses sur l’aveu que je m’apprête à faire. « Chut, tais-toi ! » Tu délires. Arrête. Stop. J’ai déjà été enceinte, ne me rappelle pas cette perte atroce. J’étais à deux doigts de l’avoir ma famille et on m’a tout pris. « Combien de mois j’ai perdu avec un gars qui ne voulait qu’une autre fille ? Eum laisse moi réfléchir » Je compte sur mes doigts et ça se termine assez vite, fort heureusement « Euh bah environ 3-4 mois de mensonges » lâchai-je sans qu’une larme ne se pointe. Je crois que j’ai tout vidé, c’est fini. Je ne dois plus jamais chialer pour lui, il ne doit pas le faire pour moi. J’étais la distraction, le pansement et on se l’était dit, comment ai-je pu être aussi myope quoi ! Je vais vraiment devoir aller consulter l’ophtalmo. Bref, il avait raison, il ne me méritait pas, je crois que personne ne me mérite à part moi-même. « On a rompu avec Pluton » t’avouai-je en avalant péniblement ma salive. Mon coeur tambourine tout à coup dans ma poitrine. Il me fait chier celui-là à s'exciter sans que je puisse le faire taire. Ouais j’ai mal. Je me sens trahie. Je me sens moche. Je me sens prête à me barrer d’ici. La fuite fait son retour, c'est mon péché mignon j'y peux rien. Disparaître me permet de renaître. Thomas, je crois que je te demande qu’un truc-là, retiens-moi cette fois-ci.
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T’as peur, peur de ce qu’elle va te sortir. Te déballer sans même que tu sois près. T’as peur qu’elle t’annonce tout ce que tu veux pas attendre, qu’elle te mette un stop avant même que tu j’es commençais à vouloir la rattraper. Combien de mois j’ai perdu avec un gars qui ne voulait qu’une autre fille ? Eum laisse-moi réfléchir. Elle compte sur le bout de ses doigts, tu ne fais que suivre son regard, ses yeux brillants, son petit nez qui ne fait que renifler tous les déchets de sa tristesse accumulée. Elle tient ton t-shirt, ton ventre à l’air livre, la brise cogne contre ta peau, ses frissons le long de ton corps. Je ne suis pas sûr que tes poils dressés ne soient que causés par l’air contre ta peau, ouais tu peux l’avouer, t’es juste hypnotisé. Tu n’écoutes qu’à peine tout ce qu’elle peut bien t’annoncer. Euh bah environ 3-4 mois de mensonges. Ses amandes qui ne savent pas où se poser, sa voix qui pourrait presque trembler. Elle est si fragile, tout est si facile à démolir. Petite poupée de cire, trop souvent brisée, t’as déjà bien essayé d’en recoller des petits morceaux tombés sous ton nez, elle ne t’a jamais laissé faire. On a rompu avec Pluton. Tu plantes, ton regard dans le sien, une nouvelle fois. Un sourie sur le long de tes joues qui commence à se dessiner. NON. Ne souris pas, ne montre aucun signe de joie intense, celle qui parcours l’intégralité de ton être en comprenant que oui, tu avais raison, que oui, le chemin est libre, c’est la putain de chance de ta vie. Tu passes la main sur ton visage, garder ton sérieux, garder cet air triste. Ho, tu es si triste. T’sais, je m’appelle pas Saturne mais tu peux être le centre de mon univers. CETTE DISQUETTE ? Tu te retiens de pouffer de rire tu ne veux pas te moquer, tu ne te moques pas d’elle. Tu es chiant, vraiment. Ton pouce, gros pouce, qui passe sur la peau de son visage, sous ses yeux. Délicate, cette fille est un bonbon, ton bonbon. Menthe poivrée, un peu périmée, il ne te manque plus qu’à la raviver, cette chlorophylle effacée. J’suis désolé, ça craint. Mais quelqu’un qui est capable d’aimer une autre en étant en couple ne mérite personne. Tu es de ceux qui croient en l’amour, celui si puissant, rythme de ton univers. Tu ne jures que par ça, l’exclusivité. J’comprendrais jamais un mec pareil, j’sais pas, c’est con. Ta main pousse une mèche de cheveux de son visage barbouillé. Tu rêves d’amour, le parfais, celui qui ne se fini jamais. J’suis obligée d’te dire que j’ai encooore raisons ? Un sourcil qui se lève, un mine de victoire. Tu te rappelles la première fois hein ? Ironie tu ne fais que jouer de ton humour à peine foireux. La première fois, Ezio, ce boloss. La deuxième fois, qui se répète.


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Je l’ai enfin balancé, cette vérité que je te cachais. Je ne suis pas en cloque. Je ne vais pas me marier. Je suis juste anéantie par ma relation qui s’avère être un fiasco. Je donne mon amour à qui j’intéresse et je ne réfléchis jamais aux conséquences. Je me mure dans des histoires qui sont vouées à l’échec. Je recommence, encore et encore. Quand est-ce que je vais résister ? Quand vais-je prendre LA bonne décision pour atteindre le bonheur absolu ? Aucune larme ne coule après mon piteux aveu. Je suis creuse. Tu pourrais taper sur ma poitrine, tu n’entendrais plus rien Thomas. Pire, il m’a réduite en cendres. C’est du moins ce que je croyais jusqu’à ce que tu m'offres cette phrase sortie de nulle part et que mon sourire fasse son apparition. Le nuage pluvieux qui pleure au dessus de ma tronche se fait virer par une violente rafale. Le soleil revient et c’est toi pour le coup. Si je peux devenir le centre de ton univers, il se peut que tu le deviennes également pour moi. Cependant, un jour ou l’autre, j’en aurais marre de graviter à distance. Je voudrais entrer en collision brutalement et m’exploser contre toi. Nos atomes qui se mélangent, c’est un truc que j’ai autrefois désiré tu sais. Très fort même. « Est-ce que cet univers pourra être composé que de nous deux ? » demandai-je en guise d’assurance. J’veux plus être en compétition. J’ai suffisamment donné dans le triangle. T’as beau ricaner comme un sombre idiot, je crois que tu ne me mens pas et c’est plutôt effrayant en fin de compte. Comment tu fais pour ne pas m’en vouloir et m’envoyer chier comme je le mérite ? Ton pouce s’écrase sous mes yeux. Tu multiplies les gestes affectueux et je me laisse simplement faire. C’est peut-être le moment pour nous. Le bon timing. Non ! C'est fou, je me précipite encore dans l’évidence ! Ta compassion attaque le centre de mon coeur, ouais ce truc tout ratatiné qui bat uniquement pour me maintenir en vie. J’comprendrai jamais Pluton et son goût pour l’auto destruction, c’est son choix. J’espère qu’il restera avec l’élu de son coeur et qu’il ne fera plus jamais de victime collatérale comme je l’ai été. « Tu as toujours raison. » Ça me fait chier de l’admettre, mais c’est le cas. Un simple constat. « Je me rappelle très bien. J’avais le choix et je me suis loupée, content ? » rajoutai-je en attrapant tes mains pour les balancer entre nous. « Est-ce que tu m’en veux ? » Ptin, on aura mis un an pour avoir une discussion, un an quoi. « Pourquoi tu te montres toujours aussi gentil, pourquoi !! » criai-je tout à coup en m’agrippant à tes épaules pour te secouer comme un pommier, ironie du sort. « Tu devrais m’éjecter du vaisseau Holloway de suite… Si Pluton ne me mérite pas, moi je ne te mérite pas non plus. »
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Est-ce que cet univers pourra être composé que de nous deux ? Un coup de fouet qu’elle te met en pleins nez. Elle vient de te dire, tout ce que tu as toujours voulu entendre, sa bouche, des lèvres d’une femme, de ses lèvres à elle. T’es obsédé. T’es complètement accroc à ce qu’elle peut dire, les courbes de ses lèvres, tout ce qui se dégage d’elle, te fait rêver. Tu as succombé, tu rendu accroc, d’elle. Ce qu’elle dégage, depuis un an, depuis que tu t’es rendu compte, au summer camp. Toi, Thomas, t’as craqué, encore. Une nouvelle fille dans ta vie qui t’as un peu trop souri pour que tu choppes cette confiance énorme, que tu tombes encore amoureux. Mais cette fois, non, tout était différent. Elle était si différente, à tes yeux, c’est tout ce qu’il te fallait. Battre ton cœur, plus fort. Elle savait si bien le faire danser, des valses, incessantes. Elle t’a appris à danser, mieux que tu ne l’as jamais fait. T’es pas amoureux d’elle, seulement ce sentiment, si profond. Tu l’as veut que pour toi, avec toi. Tu voudrais prendre son cœur, réparer ses blessures, le cajoler comme il l’a jamais été. T’as pu entendre tes pensées s’affoler à chaque regard qu’on t’a donné, comme si tu avais une place, importante dans la vie de ses filles que t’as croisées. Ses films que tu t’es créés, cet espoir que t’as toujours cultivé. Mais elle, Louison, ton bonbon. Non, il faut une place pour Gangsta. T’es sérieux, complètement sérieux. Ton chinchilla, c’est une petite partie de toi. Tu as toujours raison. Je me rappelle très bien. J’avais le choix et je me suis loupée, content ? Est-ce que tu m’en veux ? Pourquoi tu te montres toujours aussi gentil, pourquoi !! Elle enchaîne, ne te laisses pas parler. Elle ne te donne pas l’occasion de placer un mot, tu ricanes. Tu pourrais presque sentir son petit cœur s’affoler entre ses deux p’tits nichons dont t’as trop souvent rêvé. Elle ne comprend pas pourquoi, pourquoi t’es comme ça, si gentil. Tu l’as toujours été, ce Thomas-là, on t’a élevé comme ça, tu ne changeras jamais, tu te le promets. Elle prend tes épaules, te secoue dans tous les sens, secouez-moi orangina. Tu devrais m’éjecter du vaisseau Holloway de suite… Si Pluton ne me mérite pas, moi je ne te mérite pas non plus. Tu prends ses bras pour la calmer, tes mains sur sa peau, sa peau sensible, l’intérieur de ses coudes. Arrêtes j’te jure, c’est lui qui ne te mérite pas. Clairement pas. Il ne mérite à peine une miette de ce qu’elle peut être. Puis j’ai pas de vaisseau. J’peux pas t’éjecter. Mais tout ce que je peux t’offrir c’est.. Tu baisses la tête, à tes pieds une pomme, trouée. Tu te penches pour la ramasser avant de lui donner. Putain so romantique. On commence même à voir un petit asticot sortir, oklm. Moi j’peux t’offrir une pomme.. et Albert. Ca t’vas si on est quatre dans notre univers ? Tu souris, ta tête de con, putain, que t’es con. J’serais toujours la pour toi tu sais, je t’en veux pas. Pourquoi je t’en voudrais ? T’as préféré un super mec avec un max de testostérone qui t’offre des super roses parce qu’il est cool. Tu regardes ta pomme, pourrie. Moi j’suis un croûton.


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Un univers rien que pour nous deux. Nous deux et Gangsta. Je ne demande rien de plus. Pire, je suis certaine que je voudrais forcément agrandir notre système par le brassage de nos gènes. Je vais vite. Mes pensées explosent et se fracassent les unes contre les autres. Tous nos souvenirs jaillissent à ma conscience. Le hic, c’est que je crains d’être encore un tas de miettes pour former quoique ce soit dans notre galaxie minuscule. Pourtant j’en rêve. J’en rêve depuis que j’ai constaté qu’aucun homme ne t’arrivait à la cheville. Aucun n’a ta fougue, ton humour désastreux et ton odeur de rongeurs. Tu es unique Thomas Holloway. À tes côtés, la vraie Louison Chamberlain existe. Ouais, j’suis sûre que je peux roter, rire trop fort au milieu de la rue ou te tirer sur le slip que tu m’apprécieras toujours. Parce que toi aussi tu es capable de ça. Tu es mon double au masculin, une catastrophe ambulante qui déborde d’imagination. « T'inquiète, Gangsta était déjà dans l'équation » Seulement, je descends vite de mon petit nuage lorsque tu me rappelles à quel point j’ai fauté dès l’été dernier. Tu as raison sur toute la ligne, depuis le début. Alors non, je ne te mérite absolument pas. Je pourrais encore te décevoir, faire un choix stupide au lieu d’accepter cette évidence que tu constitues. Tu es la pièce manquante de mon puzzle et je m’obstine à te repousser. Je crains quoi ? De filer le parfait amour ? Au lieu de me foutre une claque à moi-même, je te secoue dans tous les sens en t’aboyant dessus. Mon énergie s’épuise rapidement. Tu restes calme. Tes doigts viennent maîtriser mes petits bras tous frêles. La chaleur de tes mains sur ma peau froide se propage à tout mon épiderme. Qu’est-ce que tu me racontes ? Les sourcils froncés, je te regarde te courber pour attraper une pomme vomi par l’arbre qui nous recouvre. Tu me la tends et je l’attrape par réflexe. Mes yeux examinent le fruit et remarquent une cavité peu ragoûtante. Ah ok, Albert c’est sûrement le ver qui creuse des galeries dedans, j’ai saisi. Relevant mes prunelles en direction des tiennes, je continue de t’écouter non sans quelques soupirs d’exaspération. Ne te dévalorise pas putain. Tu es au-dessus de tous. Cette pomme en est la preuve. Et rien que pour te le prouver, je vais croquer dedans même si je crève par la suite. Soulevant la pomme entre nous, je plante mes dents dans la chair pour mâchouiller une bouchée qui s’avère hyper amère. Mes yeux se plissent. Ma bouche se tord. Elle est dégueulasse. Une infection. Prise de nausées, je crache les quelques morceaux dans ma bouche sur ton torse où ils rebondissent pour finir sur le sol, entre tes pieds « Oops. Ou pas Oops, t'aime ma bave t'façon. Au fait, un croûton a toujours besoin d’une bonne soupe non ? Je peux postuler ? » te demandai-je en essuyant ma salive d’un vulgaire revers de main. « Je parie que la liste est longue. Mais je m’en fous, je découperais toutes mes concurrentes en petits morceaux et je les donnerais à bouffer à ton chinchilla. Pis s’il faut que je finisse à genoux, je le ferai, mais t’imagine pas trop cette situation tu risques de bander » avouai-je en roulant lourdement des yeux. Tu te souviens qu'on devait surtout se voir pour acheter des croquettes nauséabondes à ta créature ? « Je vais te faciliter la tâche, dis moi où signer pour créer notre univers. Sur cet arbre ? » t’interrogeai-je en pointant mon pouce vers le tronc derrière moi.
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{these voices won’t leave me alone }
crédit/ tumblr ✰ w/@louison chamberlain

Cette pomme. Entre ses doigts féminins, tout est délicat, elle pourrait rendre cette pomme si belle. T’as presque l’impression qu’elle si appétissante et brillante depuis qu’elle est dans sa main. Calme-toi, Thomas. Respire un coup. Ce n’est qu’une pomme pourrie, que tu viens de lui offrir. Merde. T’as toujours cette classe qui te caractérise si bien, aucune ! Bon. Tu n’es pas un con, tu l’sera jamais, tu sais pas y faire, tu galères. Ca te donne ce charme que tu soupçonnera jamais. C’est toi, Thomas Holloway. Il faut arriver à te supporter, à vouloir franchir le pas avec toi. T’es cet enfant, l’éternel. On va t’appeler Peter Pan. MAIS QUEST CE QUELE FAIT ? Oops. Ou pas Oops, t'aime ma bave t'façon. Au fait, un croûton a toujours besoin d’une bonne soupe non ? Je peux postuler ? Ton visage se transforme, entre ta bouche ouverte, tes yeux, plongés dans le respect, le wtf. Merde, elle vient de croquer dans ta pomme, pourrie, Albert dedans. Elle recrache le morceau à tes pieds, ton regard qui suit la trajectoire, sous goberais les mouches. Fermes ta bouches p’tain, Thomas ! Je parie que la liste est longue. Mais je m’en fous, je découperais toutes mes concurrentes en petits morceaux et je les donnerais à bouffer à ton chinchilla. Pis s’il faut que je finisse à genoux, je le ferai, mais t’n’imagines pas trop cette situation, tu risques de bander. T’écoutes à peine ce qu’elle dit. Tu es restée bloquée, elle l’a mangé, sous ton nez. Tu repasses en boucle, fond de ton crane, casier D, ranger 948, les filles que t’as rencontrées, avec t’as passé un rendez-vous raté. Tu le sais, elles auraient toutes gueulé, elles seraient parties en courant, tu aurais eu cette pomme dans la gueule, en plein dans ton nez, t’aurais même saigné, fragilité. Elle n’a tort, aucune concurrente, aucune à son niveau. Elle n’en sait rien, elle ne peut même pas imaginer ce que t’es entrain de penser, là. Son niveau est tellement haut, dans ton estime. T’es amoureux. La liste est composée de ma mère et ma sœur, évites de les découper quand même s’teuplait. Les deux femmes de ta vie. C’est glauque, c’est mignon. On sait jamais sur quel pieds danser avec toi. Est-ce que t’es vraiment chelou ou juste un peu trop cute pour être réel ? Je vais te faciliter la tâche, dis-moi où signer pour créer notre univers. Sur cet arbre ? Qu’est ce tu es censé faire là, est-ce que tu dois vraiment l’épouser, maintenant, sur place ? Est-ce que tu dois vraiment lui avouer qu’elle est la femme de ta vie, son petit goût de moisi qu’elle doit avoir sur la commissure de ses lèvres. Tu bloques, quelques secondes, de trop, trop longtemps, réagit, n’importe quoi putain ! Ton genou s’abaisse au sol, faisant même pas attention d’où se trouve le morceau si joliment recraché. Hé merde qu’est ce que tu fais sérieusement ? Ton regard reste planté dans le sien pendant que tu t’abaisses de plus en plus, posé terre sur le sol. Louison veux tu m’épouser ? Cette pomme, ouaw, c’était, c’était tellement.. Sois la femme de ma vie s’il te plaît. T’as ce regard brillant, c’est vraiment hilarant. Merde attends. Tu fouilles une de tes poches de jean. Ton trousseau de clé. Tu pointes vers elle, les épaules en elle, par défaut. WOAW. J’ai pas de bague.


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