Il faut que l'on parle mon amie. | Bibi.

Il faut que l'on parle mon amie.

Je vais voir pour organiser tout ça, à mon avis on va bien rire. «  Je vais m'occuper de tout ça, et je te tiens au courant. » Je sais que cela ça être drôle, on va sans doute avoir une discussion sacrément bien animé. Je préfère aussi ne pas me prendre la tête. Maintenant je lui dis : «  Et bien comment se fait-il
..... ?  » Je me demande bien ce qu'il a bien pu se passer pour qu'elle est une situation pareille. De plus, je m'arrête un instant puus je lui fais un bisou sur la joue. « Allez ça va finir par venir.   »

Un léger clin d’œil ponctua la promesse de Honey, clôturant la conversation à ce sujet. Bambi lui faisait une totale confiance, de toute façon, inutile donc d'en rajouter. Son esprit semblait happé, en revanche, par cette interrogation de sa meilleure amie, la mettant foutrement mal à l'aise. Eh bien... quand l'un de tes exs te laisse à brûler vive et que ton second te quitte avec un texto... je crois que ça relativise un peu ton côté romantique, tu ne crois pas ? Je ne sais pas, l'amour ce n'est sans doute pas fait pour moi. Alors je multiplie les fêtes. En ce moment, je suis la parfaite Mather par excellence ! souffla-t-elle avec sarcasme.

Il faut que l'on parle mon amie.

Écoutant mon amie, je me dis que je peux aussi essayer de lui remonter le moral. « Allez ça va bien se passer, tu cas bien finir par trouver la bonne personne. Il ne faut pas croire que tout est foutu.  » Je ne sais pas trop ce que je peux dire de plus, je vais profiter de ce moment pour lui parler le plus possible. Je pense aussi que je vais aussi l'aider au mieux. Je lui dis tout simplement : «  De toute façon te connaissant les fêtes te changent les idées, après il ne faut pas désespérer.  » Je réclame toit simplement une chose : que mon amie aille bien mieux par la suite. Maintenant, je sais que je fais devoir aussi la motiver pour qu'elle puisse être mieux. «  Et bien si tu as le moral dans les chaussettes, tu peux passer à la maison.  »

Bambi se permit de hausser les épaules de manière égale. Je crois que je n'ai plus envie d'y croire, tout simplement. Ça fait moins souffrir et ne m'attendre à rien ne me déçois plus, au moins ! souffla-t-elle en secouant la tête. Difficile de sortir un tel discours face à une jeune femme amoureuse mais l'italienne n'ayant pas l'habitude de faire semblant, elle ne commencerait pas aujourd'hui, et surtout pas devant sa meilleure amie. Je crois même que c'est la seule chose qui me change les idées... surtout avec ces partiels ! rit-elle doucement, avant qu'un petit sourire amusé ne pointe le bout de son nez. Chez toi, alors qu'il risque d'y avoir ton mec ?

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« Je comprends, je pense seulement qu'il ne faut pas perdre espoir.  » Je souris, je me dis que je peux aussi continuer de partir sur ce sujet sans la vexer. Je me demande bien ce que je peux dire par là suite. Je souris puis je dis tout contente : « Et bien, je vous tout de même que tu restes sur tes cours cela fait plaisir à voir. J'espère tout de même que tu ne bois pas trop.   » Je réfléchis et je lui donne ma réponse : «  Et bien, tu peux aussi venir lorsqu'il n'est pas là. Il serai dommage que je ne puisse plus voir ma soeur.... » Faisant une moue pas contente, je fini par lui faire la lippe.

Bambi ne put décemment réprimer un éclat de rire. Tu es la personne la plus extraordinairement optimiste que je connaisse ! Bien évidemment, dans la bouche de l'italienne, cela sonnait comme un compliment et non telle une moquerie. Jamais elle ne se permettrait de se moquer de sa meilleure amie, qui l'accueillait dans sa maison. Oh mais je me suis donné tous les moyens pour réussir, tu me connais... je veux être interne l'année prochaine, être un peu éloignée d'Harvard, rentrer dans le vif du sujet. Cela va me faire un bien fou ! Pour la boisson... je ne peux rien promettre... esquissa-t-elle néanmoins petite moue. Bon... faudra que tu me dises quand il n'est pas là ou alors que je t'invite chez moi !

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« Tu sais bien que je suis toujours comme ça. Je ne perds pas espoir. » Je trouve qu’il est intéressant que je sache comment aider mon amie. Je préfère faire en sorte qu’elle aille bien mieux. De plus, je me dis que je dois faire en sorte de répondre à sa question. « Hum, je suis contente que tu ne te laisse pas aller au niveau des études. Je crois aussi que côté boisson, tu vas tout de même faire attention. » Maintenant, je vois bien qu’elle va sans doute me remonter le moral en me disant que je peux aller chez elle pour discuter ensemble. « Bien entendu; que je te dirais lorsque tu pourras venir, on ne vas pas en rester là. C’est intéressant de voir que tu l’on peut trouver une solution comme celle-ci. Hihihi, c’est bien drôle. »

Il va falloir que tu me donnes des cours sur ce coup là ! rit-elle de bon cœur, bien que Bambi soit tout à fait certaine d'être un cas parfaitement désespéré. Tu sais bien que je ne suis pas inconsciente à ce point là... en revanche pour la boisson, à moins d'un chaperon efficace, je ne peux rien promettre ! plaisanta-t-elle, tout en sachant que même un chaperon ne l'empêcherait pas de faire des conneries. Pas alors que l'italienne avait tant à évacuer. N'empêche... moi je finis cas désespéré et toi si ça se trouve, tu vas bientôt finir mariée et maman ! plaisanta-t-elle de bon cœur.

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« Pas de soucis, je t’en donnerais si tu veux. » Je souris, puis, je me dis que je vais devoir aussi trouver des petites choses pour aider ma sœur. Buvant un peu de mon verre de vin rouge, je lui répond en riant : « Je crois que pour le chaperon je suis mal placée pour te répondre….. » Je savoure mon Bordeaux tout en lisant l’étiquette cela me donne envie d’aller faire un petit tour chez moi en France. J’y emmènerai bien Bibi d’ailleurs si elle en a envie. Ma sœur me fait une remarque sur le ton de l’humour, puis m’étouffant presque de sa remarque, je prends le temps de réfléchir, et je rajoute surprise : « C’est une bonne remarque, je ne sais pas du tout ce qu’Aaron va bien me dire… C’est une question, que je n’y avais pas songé. Non, mais attend…..Non… Ca fou les pétoches…. » C’est sure qu’il s’agit d’un désire qui me plairait bien, après, il faut voir ce que cela peut me donner une vie assez plaisante comblée par un travail qui me plait beaucoup.

Ah oui, mal placée, vraiment ? Tu déconnes, tu es la plus sage de nous deux, tu as été moine Shaolin dans une autre vie ! éclata-t-elle de rire sans même savoir pourquoi elle disait ça. De tout temps, Honey avait été la sagesse et Bambi le démon. Cela les rendaient complémentaires et donc d'autant plus à mêmes de se comprendre, se conseiller et s'adorer. Toutefois, la réaction de sa meilleure amie face à ce qui restait une plaisanterie fit hausser un sourcil à l'italienne, qui ne s'était clairement pas attendue à cela. Minute, minute... tu vas parler gamin et mariage à Aaron, sans déconner ? Je plaisantais, hein !