Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitywho said red is the color of love ๑ LEVUM
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who said red is the color of love ๑ LEVUM

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Tu tapes frénétiquement sur le clavier de ton ordinateur portable les dernières phrases de ton putain de dossier dont tu vois enfin la fin. Et enfin, le point final. Hallelujah ! Tu lances l’impression du document, enregistre et, pour fêter ça, t’ouvres une petite bouteille de bière. Allez, tu l’as bien mérité ! C’est ce moment que choisi ton portable pour t’annoncer l’arrivée d’un nouveau message. Levi. L’envie soudaine de sortir de food truck ? L’irrépétible envie de retourner à la tête foraine du Massachussets Fairground ? T’ouvres le texto. Fallait que tu viennes chez elle. C’était tout. Pas de pourquoi, pas de comment, rien, nada. Tu lui réponds rapidement. J’savais que tu avais envie de moi, mais pas à ce point. J’arrive. Tu plaisantes, of course. Tu files à la salle de bain mettre du parfum, t’enfiles tes chaussures italiennes, t’attrapes une veste au cas où et te voilà sorti de la Winthrop House, prêt à grimper dans ta voiture.
T’arrives quelques minutes plus tard devant chez Levi. Tu te gares, sors de la voiture et frappe à la porte. C’est Callum. Ajoutes-tu à tes toc toc toc.
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T’as ce problème. La patience. Celle qui te chatouille toutes te extrémités, qui te rend dingue. Tu n’en as pas, tu n’en auras jamais. Tu étudies dans l’art visuel, patience est maire mot. Créativité et base. Tu débordes d’idées sans jamais savoir les exploiter. Une finition approximative, c’est ta marque de fabrique, ce qui n’est pas net, les limites franchissables, trop souvent franchies. Comme avec lui, l’écossais. Tu n’as pas établi les panneaux-stops, le code de la route est comme trop souvent abusé. La ligne blanche est finalement juste discontinue, finissant même par disparaître. Pas de doubles voies, tu te fais doubler dans un virage. Il te dépasse et tu tentes. Tu tentes de le bloquer pour ne pas qu’il te passe devant. Sa proximité qui t’embrouille, mais c’est lui que t’as appelé à l’aide pour venir t’aider, ton travail à terminer. T’es en short, les jambes dénudées, tachées de peinture colorée. Les cheveux attachés d’une simple broche, à peine coiffée. Dans le feu de l’action, les pots de peinture à tes pieds, ta table faite maison à impression, en bordel. Tu entends frapper à la porte, trois coups, un prénom qui s’entend. Tu hausses la voix, pour qu’il t’entende. OUAIS JE SUIS DANS LE GARAGE. Il connaît le chemin. Tu restes penchée sur ton travail, ta feuille à imprimer, la raclette dans tes mains. J’te conseille d’enlever tes chaussures dégueulasses et ta veste aussi là. Tu lui as à peine jeté un regard que tu pouffes déjà de rire sur sa dégaine beaucoup trop, classique. Tu risques de de tâcher ça serait con. Tu lui montres, tes jambes, tes bras des vêtements, même tes tatouages sont à peine visibles.
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OUAIS JE SUIS DANS LE GARAGE. C’est le signal comme quoi tu peux entrer alors tu pousses la porte et pénètre dans le home sweet home de Levi. Tes pieds t’emmènent jusqu’au garage que tu connais que trop bien. Tes yeux, eux, découvrent l’intimité de Levi. Des photos, des posters, des objets de décoration, tout respire Levi ici. Dans l’encadrement de la porte, tu découvres une blondinette verte, bleue, rose. T’as décidé d’être un arc-en-ciel aujourd’hui ? souris-tu en la regardant si concentrée sur son baquet plein de peinture. Keskequecé donc ? T’as à peine fait un pas pour la rejoindre que sa voix résonne dans le garage. J’te conseille d’enlever tes chaussures dégueulasses et ta veste aussi là. Qu’est-ce qu’elles ont tes chaussures ? Elles sont très bien, oh ! Tu risques de de tâcher ça serait con. En effet, ouais. Et t’y tenais un peu à tes italiennes, et à ce polo aussi. T’aurais dû prévenir qu’il fallait que je prenne un bleu de travail. dis-tu en posant ta veste sur l’atelier à ta gauche. T’enlèves tes chaussures, glisses tes chaussettes à l’intérieur et fini par enlever ton polo fraichement parfumé. Autant sacrifier ce jean seulement. Bonjour. dis-tu finalement en t’approchant d’elle, posant une main dans le bas de son dos et tes lèvres sur sa joue. Alors dis moi, en quoi j’dois t’aider ? demandes-tu, toujours cette main qui traine dans son dos.
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T’aurais dû prévenir qu’il fallait que je prenne un bleu de travail. Tu essuies le haut de ton front d’un coup de main, les doigts peinturés collés contre ta peau démaquillée. Tu fatigues, ce travail que tu dois terminer, que tu ne t’es pas avancé. T’avais la tête ailleurs, égarée dans tes pensées les jours passés. Tu pensais à Ael, ta sœur, Callum, qui envahit ta vie, sans que tu en comprennes d’où il est véritablement arrivé. Tu as besoin d’aide, tu aurais pu appeler Jaxon, peut-être même Zora, mais t’es loin de tout ça, tu as choisis Gollum, ses mains blanches d’écossais pour t’aider à tout terminer. Il se rapproche de toi, un œil qui le fixe, sans perdre la concentration sur cette feuille à imprimer, d’un coup de main désorientée. Tu aperçois la peau de son torse dénudé, sa veste posée sur le côté, son polo retiré. Tu sens les effluves du parfum de ses vêtements volés en direction de ton nez. Merci de m’offrir tes pieds pour m’aider, c’est top. Fais pas l’innocente, tes yeux qui ne se sont pas gênés de fixer sa peau dénudée. Sa proximité, qui te chamboule. Bonjour. Sa main dans ton dos, frôlant le peu de peau qui dépasse au-dessus de ton cul, ton débardeur relevé. Ses lèvres contre ta joue. Un frisson qui parcourt le reste de ton corps. Une dose de bonheur qui remonte le long de tes veines, de tes artères. Direction ton cœur, celui qui bat fort, trop fort. Il pourrait l’entendre. Alors dis moi, en quoi j’dois t’aider ? Tu le pousses de ton cul, légèrement pour circuler autour de ta table carrée. Tu veux juste l’éloigner, ne pas t’emballer. Tu reprends de la peinture, rouge, cette fois. Une nouvelle feuille à placer en dessous du socle. Tu peux, me sortir les feuilles de là quand j’ai fini. Tu fais gaffe, c’est pas sec. Tu donnes tes ordres. Tu regardes encore sa peau, blanche, l’Écossais. Tu souffles te redressant, enfin, pour le regarder, véritablement. Tu aurais pu garder ton machin la. Tu pointes du doigt son haut, son torse.
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Un coup de cul pour te pousser et là voilà qui passe devant toi, tournant autour de la petite table sur laquelle s’entreposent différents bacs de peintures, différentes raclettes et autres objets inconnus au bataillon. Tu peux, me sortir les feuilles de là quand j’ai fini. Tu fais gaffe, c’est pas sec. Hmhm, tu hoches la tête, plissant les yeux pour voir de quoi il s’agissait réellement. Ok, ces feuilles-là, pleines de peintures. Ok, et j’te les mets où après ? lui demandes-tu en la regardant continuer de s’agiter. Elle s’arrête une seconde, puis deux, et pointe ton torse de son index, fâcheuse habitude que tu avais aussi. Tu aurais pu garder ton machin la. Machinalement, tu poses tes mains sur ton torse. De quoi, mon polo ? J’avais pas envie de le ruiner avec ta peinture là. La vérité. Tu la regarde se remettre à l’œuvre, faisant tu n’sais trop quoi dans ce drôle de bac à peinture. Et t’attrapes la feuille, t’en allant la poser à l’endroit indiquée un instant plus tôt. Tu reviens vers elle, dévisage la multitude de dessins tachetés de peinture parcourant ses bras, ses jambes, son corps entier. Il te prends la soudaine envie de les voir tous, d’aussi près que pourrait te l’accorder Levi. C’est pour faire quoi, tout ça ? demandes-tu en reprenant le cours de tes pensées, pointant du doigt tout l’attirail sur la table.
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Tu veux rester concentrée, ne pas le regarder. Ne pas déposer ton regard vicieux sur son corps près, trop près de toi. Des chatouilles le long de tes doigts, tu as cette sensation. Comme si tu pouvais toucher sa peau, comme ses doigts qui épousaient la tienne. Au fond, est-ce que tu aimerais ? T’aimerais quoi ? Caresser son torse. Pourquoi ? Pourquoi tu aurais envie de ça, maintenant. Pourquoi tu le désires alors qu’il y a quelque temps ce n’était que Callum, celui avec qui tu vends des burgers dans votre truck. Qu’est-ce qui a changé, qu’est-ce qui germe au fond de tes pensées ? Tu veux juste qu’il t’aide, qu’il empile ses feuilles à sécher sur l’endroit que tu lui a indiqué. Tu veux juste que tout se termine, vite, qu’il remette son polo, revenir à tes pensées, ne même plus y songer, oublier ce que tu as vu. Ce n’est qu’une torse, blanc, tout blanc. L’écossais qui se fait désirer sûrement sans même le soupçonner. Tu continues de t’activer, tu enchaînes les feuilles à imprimer. C’est pour faire quoi, tout ça ? Tu es nerveuse, cette manie, mordiller la lèvre inférieure de ta bouche gercée. Tu es sur les nerfs. Tu soupires, long souffle qui fait vibrer les quelques peaux sèches sur le rebord de ta bouche. Yeah, hyper sexy. Tes commissures déshydratées façons Grand Canyon que tu humectes rapidement d’un coup de langue. Bah pour imprimer. Ça te paraît logique. Tu te mets finalement dos à lui, ton cul penché dans sa direction, sans même  penser, tu veux juste ne pas le regarder. C’est un travail à terminer pour la fin d’année. Mais j’ai bientôt fini. Tu n’avais peut-être pas besoin de lui, pour terminer, tu voulais seulement le retrouver. Tu ne voudras pas l’avouer, ton ego mal placé. Tu es courbée, sur ta table à imprimer, ton débardeur remonté à la moitié de ton dos qui se retrouve dénudé, ton tatouage dorsal pointant le bout de son encre. C’est un projet pour dénoncer des injustices, j’ai choisi mon thème, j’ai fait les illustrations, je dois les imprimer. Tu finis par te redresser, redressant une mèche de cheveux qui ne fait que tomber, le long de ton visage démaquillé. Mèche de cheveux à la coloration rouge faite maison. Voilà. Tu te recules pour admirer, toutes tes feuilles en train de sécher. Tu t’entraves. Ton cul au sol, ton cul souillé, dans le pot bleu, renversé. MERDE ! Tu es bleue, la schtroumpfette retrouvée dans un gang bang qui s’est mal terminé.
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Bah pour imprimer. Comme si ça tombait sous le sens, comme si c’était évident. Ok, tu te doutait bien que c’était pour imprimer.. mais à quoi tout ce bazar servirait-il, il était là le sens de ta question. Comme si elle t’avait entendu penser, elle te répond. C’est un travail à terminer pour la fin d’année. Mais j’ai bientôt fini. Mais tu n’entends pas, ton regard et ton attention perdu sur les courbes de la demoiselle. Le début d’un dessin dans le bas de son dos. T’aurais presque envie de faire glisser tes mains sous son tee-shirt pour découvrir la suite de ce dessin, cet énième tatouage qui recouvre le corps de Levi. Mais combien en cache-t-elle encore ? C’est un projet pour dénoncer des injustices, j’ai choisi mon thème, j’ai fait les illustrations, je dois les imprimer. Elle se redresse, d’un coup. Dommage, t’appréciais beaucoup la vue que tu avais. C’était agréable à regarder, on va pas se mentir. Elle recule un peu, pour une vue d’ensemble sur son travail. Encore une fois, ta main se retrouve dans son dos pour la retenir et l’avertir de ne plus reculer. T’étais derrière. C’est toi qu’à dessiner ça ? C’est top. Je savais pas que tu faisais ça. En fait, tu ne savais rien de Levi à part qu’elle aimait la mécanique, et qu’elle se débrouillait pas mal en vente de burgers. Elle semblait tellement différente que ce que pouvaient montrer les apparences. Levi était un diamant, un si joli diamant : milles reflets, de multiples facettes, une seule pièce, unique. Elle se décale un peu, encore et se prends les pieds dans ce pot de peinture bleu, là, juste à côté de toi. Levi se retrouve le cul au sol, de la peinture plein partout. Tu n’es pas épargné par les éclaboussures. D’abord, tu exprimes un « oh » de surprise, craignant qu’elle ne se soit blessée. Lorsque tu constates que tout va bien, tu ris. Oh oui, tu ris, lui tendant une main pour l’aider à se relever. Quelle injustice elle dénonce, cette affiche là ? pouffes-tu en lui enlevant une tâche de peinture sur le menton du bout de ton pouce.
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[quote="Levi Fawkes Underwood"]

 
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Sa main dans ton dos, pour te retenir, comme une paume délicate qui se pose sur le creux de ton corps. Ne pas que tu tombes, ne pas te laisser t’échouer comme une baleine, sans aucune délicatesse, celle que t’as jamais eu. Tu te recules, toujours plus, pour regarder de loin, ton travail, admirer, tes heures enfermées à taffer pour tout boucler. C’est toi qu’à dessiner ça ? C’est top. Je savais pas que tu faisais ça. T’es un mystère pour les autres, pour toi-même. Tu as ces choses à cacher, si bien enterrées dans ton jardin trop bien secret.  Tu ne te dévoiles jamais, tu n’aimes pas t’étaler. Tartiner les gens de ta vie trop emmerdante. Ouais c’est moi. Tu vas te chier, c’est fait. Tu t’es chiée. Tu es tombée, fall on the floor. Ton cul dans la peinture, elle s’échappe, glisse le long du sol de ton garage, s’éparpille aussi rapidement que ton lait que tu fais toujours tomber, ta tête dans le cul, le matin. Une rivière, autour de toi. Tu en as partout, le long de tes jambes, ton visage. Éclaboussures éparpillées sur ta peau. Tu t’es pris une giclée d’un avatar. Faciale non désirée. Il te tend sa main pour t’aider à te relever, des petites taches sur lui, aussi. Tes yeux qui le fixent, sans s’arrêter, juste planté. T’as bugué. La peinture qui marque les plis de son ses muscles, tous contractés, penché sur toi, attendant que tu attrapes sa main. Quelle injustice elle dénonce, cette affiche-là ? Tu attrapes sa main, ta peau qui glisse le long de la sienne, t’agrippant à son poignet pour le tirer. L’entraîner vers le sol. Cachalot, qui s’échoue. L’écossais qui côtoie le sol bitumé, coloré. Elle dénonce les inégalités de niveaux dans la société. Il se retrouve allongé au sol, au même niveau que tu étais, tout rééquilibré. T’es pour l’égalité, tes doigts contre son visage pour l’enduire du liquide bleuté. A son tour d’être un peu plus défiguré. Ses taches de rousseurs recouvertes. Comme ces tonnes d’influenceuses qui arrivent à camoufler leurs imperfections d’un coup de fond de teint. Tu ricanes. Ton rire qui perce la froideur du garage. Le bleu te vas pas.
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Tu étais admiratif devant ces affiches, devant tout ce travail que la jolie blonde effectuait. Ouais c’est moi. Tu hoches la tête, continuant d’admirer chaque détail de ces affiches peintes, imprimées dans ce drôle de bac. Et boom, Levi tombe. Tu lui proposes de l’aider à se relever, te moquant d’elle gentiment, la comparant à une affiche à son tour. Ses doigts s’entrelacent aux tiens, et alors que tu t’apprêtes à la tirer vers toi pour la soulever, Levi est plus rapide et t’attire contre le sol. Tu tombes sur elle, posant tes mains de part et d’autre de sa taille pour ne pas l’écraser. Les petites éclaboussures qui parsemaient ton pantalon ne sont plus qu’un vague souvenir comparés à toute cette peinture qui recouvre désormais ton jean. Elle dénonce les inégalités de niveaux dans la société. Tu souris, efface de nouveau une petite tâche de peinture qui lui recouvre la joue du bout du pouce, mais tes mains trempées dans la peinture ne font qu’en rajouter. Oops. Levi en profite pour passer ses petites mains bleutées sur ton visage. Le froid de la peinture et sa couleur te recouvrent, ce que tu dois être beau. Le plus beau des shtroomphs, à n’en point douter. Je pense que niveau égalité, nous, on est bon ! Tu souris et te redresse sur tes genoux, Levi toujours étalée dans la peinture, sous toi. Le bleu te vas pas. Son rire. Si communicatif que tu ne t’empêche de rire à ton tour. Quand Levi ris, plus rien d’autre ne compte. Tu t’en étais rendu compte lors de votre virée à la fête foraine. Elle était si mignonne quand elle riait, tellement loin de la fille renfermée qu’elle pouvait être. T’aimais beaucoup cette Levi là, la Levi qui riait, la Levi qui allait bien. Toi non plus. Je trouve que ça manque d’un petit quelque chose… Hm, tu te pinces le menton, les yeux plissés, en pleine réflexion. Et puis, tu te penches en avant pour tremper ta main dans le pot de peinture jaune. Tes doigts glissent sur le col de la jolie Mather, longent la ligne de tatouage de son bras, remontent pour passer à l’autre bras. Tes yeux ne quittent pas tes doigts qui peignent, qui découvrent, tellement concentré. La peau frémissante de la Mather te pousse à continuer ce parfait mélange de jaune et de bleu offrant même quelques nuances de vert là où les couleurs se mixaient entre elles, sur le bas de son ventre où son tee-shirt avait été légèrement remonté durant sa chute. Magnifique. murmures-tu à n’en plus savoir si tu parlais des différentes couleurs sur son corps où de Levi elle-même.
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Tu sais pas ce que tu veux. Deux de tes personnalités distinctes, perpétuel choc. Confrontation de ces comportements. Comme deux personnes vivant dans le même crâne. Un côté de cerveau dansant à poil twerkant sur tchikita et l’autre, celui qui se morfond dans sa morve amy winehouse en fond sonore. Merde. Tu es toujours trop compliqué à suivre, à comprendre. Impossible de te cerner, de capter ce qui peut bien se passer dans ta tête divisée en deux côtés. Tu fais la gueule, ton travail à finir, son torse qui te rend malade, tu veux le tuer, le faire crever, arracher ses tétons et les brûler dans de l’acide lentement. Seulement pour ne plus les voir, ses trois poils qui poussent autour de ses mamelons trop visibles, trop présent. Maintenant, t’es là, comme ça. Allongée sur le sol, dans la peinture, les mains de l’écossais qui entourent ta taille, pour ne pas t’écraser. Tu rigoles aux éclats, te pêter les cordes vocales. Le sourire qui déchire tes joues toujours trop crispées. T’as envie de jouer, autant que t’avais envie de le buter. Il va se lasser de toi, comprendre que tu n’es que conflit. Que ce qui s’approche de toi, finit par exploser, partir en fumer. Ton caractère défonce tout, tu es le feu. Une putain de braise qui s’enflamme aux moindres mouvements trop indécents. Toi non plus. Je trouve que ça manque d’un petit quelque chose… Il fait mine de réfléchir, ses yeux quasiment transparents qui longent ton corps. Louchent sur les grains de ta peau bouchés par autre chose que le sébum que t’as en excès. Son regard si puissant, perturbant. Tu aurais peur d’y tomber, te noyer, dans ce bleu translucide. On l’sait, tu vas juste te faire engloutir, tu ne résistes pas, jamais. Trop amoureuse de cette attention, celle qu’on peut te donner, d’un seul regard donné. Sa main recouverte de jaune, ses doigts qui glissent le long de ta peau. Frissons qui s’intensifient à l’arrivée de ses phalanges baladeuses au-dessus de ton décoté. T’es petits seins qui vont finir par pointer. Silencieux, ce moment entre vous deux. Tu le laisses faire, tu entendrais presque le crissement de la peinture qui se trace sur ta peau. Seulement ta respiration, bouche ouverte, laisser rentrer plus d’air. Tu vas mourir. Magnifique. Il arrive en bas de ton ventre, sur la naissance des ailes de ton tatouage à peine apparent. Comme un murmure à tes oreilles. Tu bug, un moment, trop long moment. Quelques secondes inertes, ses paroles qui résonnent dans ta tête. Tu pousses son doigt rapidement d’un geste de main. C’est pas assez spontané. Tu le prends, le même pot de peinture jaune qui s’est retrouvé sur toi. De tes deux mains, tu le renverses sur lui. La peinture textile, liquide, coule rapidement sur la tête du jeune homme. Tu veux vider, tout vider. Sourire machiavélique sur ton visage. T’es toujours aussi dégueulasse. C’est faux. Juste coloré. S’il veut jouer, tu peux jouer, tu ne vas pas assumer. Tes doigts qui se glissent dans ses cheveux pour masser, shampoing de colorant. Finissant par essuyer tes doigts sur son jean. T’as bien fait de pas rester habiller, ouais.

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