Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(elliga) you know i try, it feels like it's never enough - Page 2


(elliga) you know i try, it feels like it's never enough

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


J’veux que tu me laisses parler parce que t’as pas le droit de m’envoyer sur les roses comme ça, moi aussi j’ai le droit de m’exprimer, de dire ce que je pense face à toi. Juste parce que t’as peur d’une réponse qui n’irait pas dans ton sens, t’as peur que je ne dise pas ce que tu voulais entendre et j’le conçois, mais vaut mieux être clair non? Vaut mieux savoir la vérité qu’être dans le déni. J’veux pas de ça pour nous. Alors ouais, j’suis clairement pas prêt à quitter la villa, tout comme j’étais clairement pas prêt à me remettre en couple. Et pourtant, j’suis là, avec toi. Non? Si. Alors tu vois, j’suis pas vraiment un mec logique au final. J’veux pas quitter la villa, j’ai la trouille, mais je t’aime et j’veux être avec toi, alors pourquoi pas? Pourquoi pas tout envoyer valser et vivre ce qu’on a toi et moi à fond? C’est quoi le pire hein? Que ça marche pas? Qu’on se déteste au quotidien? Qu’on finisse par se quitter? Mh. Pas cool ouais, carrément inconcevable si tu veux mon avis vu comment je suis accro à toi, mais au moins, on aura essayé. Pas de regrets. Je roule des yeux à ta réponse. "Oui, t’es une idiote, compte pas sur moi pour te contredire là-dessus." La prochaine fois, tu me laisseras parler plutôt que de te braquer. J’dis pas toujours que des trucs négatifs. "J’ai quand même le droit à un jacuzzi hein?" que je réclame comme un gamin, l’air innocent. La dispute était passée non? Oh et puis de toute façon, le jacuzzi… c’est pas négociable. On en aura un, qu’on vive dans un trente mètres carré ou dans un quatre cent mètres carré. D’ailleurs… "Tu veux quoi en fait? Comme type de bien, j’veux dire." Un appart? Une maison? Quel style? Quel prix? Où ça? Pour quand? Trop de questions qui ont besoin de réponses parce que là, on attaque le côté pratique. "On va vraiment faire ça?" On me dirait encore que je suis taré. Comme quand j’ai épousé Lucky. Comme quand j’ai dit que j’étais amoureux de Cléolya en même pas deux semaines. Mais j’m’en fous, parce que c’est pas l’avis des autres qui compte pour qu’on construise notre relation.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
je fais vraiment tout ce que je peux d’ailleurs mais parfois, c’est compliqué. parce qu’on ne change pas les personnes en un claquement de doigt et que même quand je me fais violence, mes mauvaises habitudes reviennent au galop. et j’arborais une mine choquée à tes mots avant de rire. le calme après la tempête. c’était rassurant parce que je ne savais absolument pas gérer les conflits. « ça tombe bien, toi aussi tu peux être un idiot » je réponds d’un sourire innocent, signant l’acte de paix pour cette conversation. agréable ou non, j’allais faire l’effort de t’écouter et d’engager un vrai dialogue plutôt que continuer à te pousser contre le mur juste pour ne pas affronter mes propres peurs. « euh.. si tu veux ? » mais combien est-ce que ça allait coûter ? j’en avais les moyens ? parce que je savais que toi, ce n’était qu’un détail. l’argent de poche de ta journée même sûrement mais.. j’étais pas là pour profiter de toi et ouais, quelque part, probablement trop idéaliste, j’imaginais qu’on allait faire du cinquante/cinquante. « un appartement ça pourrait être bien.. » je crois ? je sais que t’as une villa. probablement que t’as la folie des grandeurs mais.. juste pour toi et moi, ça me semble suffisant. un petit appartement dans boston, à un prix abordable ou l’on pourrait probablement construire la suite de notre relation. pourquoi pas ? « si tu le veux, oui » parce que moi, tu sais que je le veux. je te l’ai déjà dit alors ce n’est pas une surprise. « j’suis consciente que c’est probablement hyper rapide et.. et je m’en fiche en fait. j’ai juste envie d’être avec toi, tant pis pour le reste. » on était jeunes, amoureux, autant le vivre à fond ? et si on essuyait un échec, on apprendrait de nos erreurs. pas besoin de voir plus loin que ça.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


J’suis presque offusqué. Moi, idiot? Ouais non, en fait, je suis pas du tout offusqué, au contraire, c’est même gentillet. Alors je me contente d’hausser les épaules dans un petit sourire angélique. Faussement angélique. Le genre de sourire qui te dit ‘je sais, j’suis qu’un petit con insupportable, mais tu m’aimes trop pour m’en tenir rigueur’. "Oui, je veux, et j’aurai. T’en profiteras avec moi." Et j’te vole un baiser, hop, j’me dis que ça passera mieux. On a sûrement pas les mêmes moyens, j’me souviens très bien de la tête que t’as fait la première fois que t’as débarqué à la villa pour regarder Jessica Jones. Tu t’es décomposée devant tant de… luxe? J’sais pas, je sais que tout le monde n’a pas ça mais pour moi c’est… normal? C’est un confort ++, mais ouais, ça ne me paraissait pas extraordinaire. "Va pour un appart." Avec des voisins de palier et tout? Faut pas qu’ils soient trop canons pour te faire tourner la tête, ni trop chiants à nous emmerder parce qu’on fait trop de bruit. Et je repose les yeux sur toi, t’écoutant attentivement parler. "Oui, je sais, et je pense qu’on est sur la même longueur d’ondes." Yolo quoi? Carpe Diem et tout ce bordel? Fallait que j’arrête de me poser des questions. Comme me l’avait fait remarqué Thalía hier, ma première réponse, spontanément, c’était oui. Alors on y va à l’instinct, comme je l’ai toujours fait, et on verra où ça nous mènera. "Tu veux bouger quand? Après le Summer Camp? D’ailleurs, on y va bien ensemble hein? Tu passes l’été avec moi? Je dois t’emmener surfer, oublie pas." Bon, surfer en Europe… Ça dépendrait d’où on serait, quoi. À voir. "T’es sûre de me supporter 24 heures sur 24, 7 jours sur 7?" J’le disais sur le ton de la plaisanterie, mais en vrai, c’était une question sérieuse. Réfléchis bien. Le Summer Camp serait comme un test en fait. Voir si on se supporte tout le temps, au quotidien. Mais te concernant, j’avais pas vraiment de doutes là-dessus.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
et ouais, c’était tellement insouciant comme manière de fonctionner. j’en étais parfaitement consciente. ça contrastait d’ailleurs énormément avec le fait que j’avais ce besoin constant de paramétrer chaque seconde de ma vie. mais comme le dirait si bien saphir, je pouvais parfois me comporter comme une enfant. et ouais, dans cette histoire, j’étais une gamine éperdument amoureuse de toi. t’étais arrivée dans ma vie comme ça, d’un coup, et dès la première seconde, j’avais senti qu’il y avait quelque chose de spéciale. que si je restais, j’aurais du mal à me détacher de toi. puis de toute manière, je n’en avais pas envie. j’étais bien avec toi. j’étais bien dans tes bras. j’adorais par dessus tout te voir sourire, rire et j’crois que chaque seconde à tes côtés me rendait un peu plus vivante à chaque fois alors tant pis si c’était stupide et dangereux de vouloir s’engager à cette vitesse dans une histoire peut être perdue d’avance. j’savais juste que j’en ressentais le besoin, l’envie. je voulais être avec toi, partager chaque seconde à tes côtés et puisque dans le fond, on vivait déjà ensemble, pourquoi ne pas tenter d’avoir un vrai chez nous ? « je pense qu’on s’est bien trouvés. » même si je peux être chiante par moment. même si je te prends la tête parfois. j’crois qu’on match vraiment bien ensemble et qu’on était fait pour se trouver. j’ai pas envie d’un autre que toi. je te veux toi elliot maxwell et tu me suffis amplement. « après le summer camp, ça me semble bien » puis dans le fond, ça nous laisse le temps de réfléchir à si l’on veut vraiment que ça se produise. à peser le pour et le contre un peu plus longtemps. et si à la fin de l’été, on est toujours décidé, alors on pourra tenter une année scolaire avec un endroit à nous et une relation qui deviendra encore plus sérieuse que ce qu’elle n’est déjà. « et bien sûr que je passe l’été avec toi. tu crois vraiment que j’arriverais à être loin de toi ? » regarde moi. je te colle tout le temps. j’suis tout le temps là en train de te chercher, à avoir besoin de te toucher. et même quand nos obligations personnelles nous poussent à être séparés pour le temps de quelques heures, je ne peux pas m’empêcher de t’envoyer des messages ou bien de t’appeler. je t’ai dans la peau, je crois que c’est aussi simple que ça. « c’est pas déjà ce que je fais ? » que je réponds avec un semi-sourire. parce que moi, j’en ai bien l’impression. on vit ensemble je te rappelle, je te supporte déjà tout le temps en fait. « t’es la plus belle personne que je connaisse. » vraiment. et j’ai clairement aucun doute sur le fait que cet été sera de loin le plus beau depuis longtemps.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


Bien sûr qu’on s’est bien trouvés. Tu te rends pas compte à quel point on s’entend bien? À quel point on est pareil? Et sur les points qui différent, c’est même pas un problème puisqu’on se complète. Je me pose trop de questions alors que tu fonces dans le tas, t’as du mal à communiquer alors que moi j’en ai clairement besoin, tu m’assagis, et ouais, j’pense que y’a que du positif qui puisse ressortir de cette relation. T’as un sacré pouvoir pour m’avoir fait tomber sous ton charme en aussi peu de temps. Tu t’en rends peut-être pas compte mais t’as réalisé l’impossible. "Très bien, un appart à Boston après le Summer Camp." Et n’imagine pas que j’me force. Que j’fais ça uniquement pour te faire plaisir. C’est pas le cas. J’en ai envie. Vraiment. Pour construire un truc avec toi, pour aller plus loin. Pour rendre la chose encore plus sérieuse et réelle. Je glisse une mèche de tes cheveux derrière ton oreille, laissant mes doigts effleurer ta joue dans un petit sourire. "Non, j’sais bien que tu peux pas rester loin de moi." Parce que moi non plus, j’peux pas rester loin de toi. D’où l’intention aussi d’habiter ensemble. De se côtoyer au quotidien. Se lever le matin à tes côtés, rentrer de cours et te retrouver. Ça me parait être le rêve. Alors pourquoi pas? Tentons le tout pour le tout. "Certes, mais tu pourras pas m’échapper en allant taper la discute aux colocs si je te saoule. Là, ça sera juste toi et moi." Et à tes mots, je dépose un petit baiser sur tes lèvres. "Arrête, tu me ferais presque rougir." J’suis pas forcément à l’aise avec ce genre de paroles, j’ai l’impression d’être mis à nu, parce que tu lis en moi comme dans un livre ouvert et ça reste encore étrange à mes yeux de me livrer autant. Alors je préfère les marques d’affection, l’ironie. C’est plus facile. Et j’veux pas te contrarier en te contredisant. Parce que clairement, la plus belle personne ici, c’est toi.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
est-ce que ça te fais peur à toi ? parce que moi, quand j’y réfléchis réellement, j’suis terrorisée. je me dis que tout vas beaucoup trop vite et que c’est peut être pas vraiment saint de sombrer comme ça pour une personne en si peu de temps. mais j’crois que malgré cette peur qui pouvait me taillader l’estomac par moment, ce que je ressentais était bien plus fort et non, j’avais pas envie de reculer. jamais, pas une seule seconde. quitte à me ramasser complètement, je voulais voir jusqu’où tout ça pourrait nous mener. « tu me le dirais si t’en avais marre, hein ? » que je te colle, que je sois toujours dans les parages, que je m’illumine que quand tu étais présent. parce que je ne voulais pas être une plaie pour toi, bien au contraire. j’voulais juste.. j’sais pas. être heureux. et c’était quand tu étais dans les parages que ça se produisait alors forcément, j’avais du mal à me détacher de tout ça. « tu me saoules jamais. » vraiment. y a pas une seule fois ou j’ai tenté de t’échapper. ou je me suis dis que j’avais besoin que tu me laisses tranquille alors dans le fond, je ne me fais pas trop de souci pour ça. même là, quand le ton est légèrement monté, j’avais pas eu envie de partir. « bah en fait, j’crois que t’es déjà rouge » que je répond l’air taquin passant mes bras autour de ton cou. tu t’rends compte quand même de la rapidité avec laquelle on progresse ? j’ai l’impression qu’avec toi, c’est tout ou rien. t’as bloqué pendant un moment et soudainement, tu me donnes tout. je m’en plains pas, vraiment. j’suis juste sur mon petit nuage depuis que j’ai croisé ta route et quelque part, c’est beau. « je t’aime elliot maxwell » de la manière la plus sincère et pur qui soit.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


« Bien sûr que je te le dirais, tu crois quand même pas que je suis le genre de gars à souffrir en silence ? » que je réplique, petit sourire aux lèvres. Bon, en réalité, c’est exactement ce que j’ai fait ces derniers mois. Souffrir en silence. Mais on apprend de ses erreurs justement, non ? Donc si y’avait un problème, quoi qu’il soit, je préfèrerais t’en parler plutôt que de l’ignorer volontairement. « Toi aussi j’espère que tu le dirais. » J’voulais pas que tu t’emmures dans ce cercle vicieux de ne pas vouloir communiquer dès que tu doutes, dès que quelque chose te froisse. J’étais con, j’allais sûrement beaucoup te froisser sans le faire exprès, alors je ne voulais pas que ça nous porte préjudice. Parce qu’on aurait sûrement pas mal de conflits, parce qu’on avait beau être harmonieux tous les deux, on avait quand même quelques différences qui pouvaient être diamétralement opposées. Mais j’savais qu’avec des efforts et des concessions des deux côtés, je ne doutais pas qu’on s’entendrait à merveille la plupart du temps. Tu me combles Vega, j’sais pas comment tu fais, comment t’as su effacer tout le mal, tous mes doutes sur moi, sur toi, sur nous, sur une relation de couple. J’sais juste que… j’ai plus envie de reculer. Ouais t’as raison, avec moi c’est tout ou rien, je ne connais pas le juste milieu moi et là, je suis prêt à tout te donner. Entièrement. Je suis prêt à franchir le point de non-retour, le point où je te dis que je suis dingue de toi et que j’veux regarder vers l’avant pour tenter de construire un truc, un vrai truc. Et je sais pas où ça nous mènera, j’en ai réellement aucune idée, mais j’m’en fiche, à partir du moment où je suis avec toi. « Je t’aime aussi, Vega. » Et sur ces mots doux, le conflit effacé, je t’offre un tendre baiser comme pour clôturer tout ça et retomber dans un climat de douceur niaise.


FIN DU RP
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)