Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitySOLIMAN & JOAN - Page 2
-50%
Le deal à ne pas rater :
[Adhérents Fnac] -50% Casque Pro Gaming HyperX Cloud Alpha Noire et ...
49.99 € 99.99 €
Voir le deal


SOLIMAN & JOAN

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
SOLIMAN & JOAN - Page 2 Tumblr_m3oehwt9vk1qmtfiyo1_r1_500

« Il est vrai… Je suis un peu barjo je pense, c’est pour ça que les gens m’aiment non ? » tu sais qu’il n’a pas totalement tort même si les gens ne l’aiment pas exclusivement pour son aptitude à foncer tête baisser, cela joue, c’est sur. « oui surement enfin j’pense pas qu’ils ne t’aiment que pour ça » tu lui souris. Toi par exemple si tu t’es attaché à lui c’est pour la simple et bonne raison que tu aimes qui il est, son caractère, ses valeurs etc etc.

« Tu m’aimes alors ? J’en ai de la chance ! » tu ne sais pas si c’est une chance ou non mais il est clair que oui, tu tiens à lui. Tu t’y es attaché rapidement pour finalement ne plus t’en défaire. « Oh je ne sais pas si c’est réellement de la chance, je peux être chiante tu sais et je suis un véritable aimant à embrouille, la preuve tout à l’heure. » tu ris en repensant à toutes les merdes qui ont pu te tomber dessus, pourtant tu n’es pas turbulente, t’es même invisible pour la plupart des gens mais faut croire que ca ne suffit pas à t’éviter les emmerdes.

Vous continuez de danser, vos corps se frôlant toujours un peu plus, la conversation dérive sur les petits secrets de Soliman ce qui attise automatiquement ta curiosité. Tu veux en savoir plus. « Un magicien ne révèle jamais ses secrets ! » t’affiches une petite moue boudeuse dont toi seule à le secret puis t’éclates de rire « maaaais ! » ronchonnes-tu en plaisant. tu lui fais ensuite remarquer qu’il te cache donc des choses. Un sourire se dessine sur son visage et avant de te répondre il tourne sur lui-même se retrouvant dos à toi, son torse contre ton dos, ses mains posées sur ton ventre, ce qui te fais une nouvelle fois frissonner « Peut-être un peu, c’est grave docteur ? » cette phrase t’arrache un énième sourire tandis que tu te déhanches contre lui, vos corps ne se frôlent plus, ils se touchent. Tu ne fais pas sa d’habitude, tu ne danses pas ainsi avec tes amis mais là tout est différent, tu ne te rends même pas compte de votre proximité, tu profites de l’instant présent, c’est tout. Doucement tu tournes ta tête légèrement sur le coté pour qu’il puisse t’entendre malgré le fait qu’il soit dos à toi, « non tout le monde à ses secrets de toute façon » et toi la première, en y réfléchissant bien, personne ne connait ton passé, les réprimandes un peu trop brutales de ton père et les moqueries de tes camarades durant ton enfance, tu chasses ses idées de ta tête préférant ne plus y penser et te re-concentre sur la musique. Tu ne sais pas depuis combien de temps vous dansez, tu n’as pas vu le temps passé et tu ne ressens aucune fatigue. Tes hanches ondulent sensuellement le long de son corps, tu ne te reconnais pas mais cela ne te déplait pas. « tu sais qu’il n'y a qu’avec toi que je me lâche comme ça ? » lui lances-tu en souriant.



(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Joan & Soliman
« i'm your superhero »

Je savais bien que mes amis ne m’aimaient pas uniquement pour mon sens aiguisé du clash, de la franchise me poussant à ne jamais me retenir de dire à quelqu’un tout ce que je pensais à son sujet mais c’était néanmoins l’une des raisons. Avec moi il n’y avait aucune notion de langue de bois à avoir, je détestais les paroles dites derrière et pas assumées devant et la plupart de mes proches étaient pareils, c’est justement pour cette raison qu’il était impossible de nous monter les uns contre les autres, tout ce qui devait être dit était déjà annoncé entre nous avant que les autres ne puissent en entendre une partie, je ne parlais sur le dos de personne et ma conscience était tranquille. « oui surement enfin j’pense pas qu’ils ne t’aiment que pour ça » Elle avait raison, je me contentais d’acquiescer ses paroles sans y apporter un élément de réponse supplémentaire. Une chose à savoir à mon sujet, je n’aimais pas blablater juste pour le principe.

Je la taquine tout en admettant que j’avais énormément de chance qu’elle m’apprécie, ce petit bout de femme était unique, j’étais fier d’avoir pu faire sa connaissance dès son arrivée parce qu’elle représentait une bouffée d’oxygène, pas une garce comme toutes les autres filles qui pouvaient avoir un intérêt pour moi. J’aimais énormément sa simplicité et sa naïveté même si j’espérais réussir à travailler sur ce dernier point pour qu’elle ouvre un peu les yeux, nous n’étions pas dans le monde de oui-oui et elle ne s’en rendait pas compte parfois, la preuve avec les événements de ce soir. « Oh je ne sais pas si c’est réellement de la chance, je peux être chiante tu sais et je suis un véritable aimant à embrouille, la preuve tout à l’heure. » Je riais, pour moi en tout cas c’était une chance de passer du temps avec elle. « Tu n’es pas un aimant à embrouille… C’est ta naïveté qui l’est m a petite ! » Bon okay mon surnom était un peu pourri mais j’aimais la taquiner en la chambrant sur sa petite taille, logique qu’elle soit plus petite que moi, je faisais un bon mètre quatre-vingt-cinq après tout.

La situation on ne peut plus habituelle et platonique se transformait bientôt en quelque chose que je décrirais comme plus sensuel. Mon corps tout entier était comme en transe contre celui de Joan, si au départ nos déhanchements étaient très suggérés à présent il n’y avait plus aucune place de laissée à l’imagination, nous étions collés l’un à l’autre, son dos contre mon torse musclé, ma ceinture de jean frottant contre son dos remontant parfois son haut légèrement entre deux mouvements. « non tout le monde à ses secrets de toute façon » Je souriais, il est vrai que nous avions tous nos petits secrets. Ici tout le monde savait que j’avais des origines musulmanes mais peu de personnes savaient par exemple que mon nom à l’origine n’était pas Marlson, que j’avais immigré pendant mon enfance aux Etats-Unis grâce à mon père très qualifié et qui avait pu rendre service aux Etats-Unis. Ce sont des choses sur lesquelles je n’étais pas très à l’aise pour parler, je n’en voyais pas l’intérêt pour le moment en tout cas. « tu sais qu’il n'y a qu’avec toi que je me lâche comme ça ? » Ses mains contre mes hanches sont à deux doigts de me faire perdre la tête, je souris amusé ne pouvant m’empêcher de sortir une petite bêtise pour répondre à ce qu’elle venait de me dire. « Ce n’est pas désagréable d’avoir cette exclusivité… Au contraire ! »



© Chieuze

(Invité)