Dorian Z. Kremer ► Tim Borrmann.

C'est le 15 Juin 1991 à Long Ashton, que les membres de la famille Kremer m'ont accueilli dans leurs bras, ils m'ont prénommé Dorian Zayn. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis bisexuel et j'en suis fier(e). Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études d' astronomie depuis quatre ans ans. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Mather ou les Eliot.

J'ai fait du cirque pendant plusieurs années. De ce fait, je suis excellent en "art au sol", demandez-moi de vous faire un triple saut arrière, c'est un jeu d'enfant. ▲ J'ai un tatouage "Never back down" dans le bas de ma nuque et haut de mon dos qui me rappelle un peu chaque jour que je peux combattre ma maladie, même si je n'en ai plus l'envie, je vis sans m'en pré-occuper, bien qu'elle soit là. Ainsi le soir quand je me douche et que j’aperçois le tatouage au travers du miroir, je me souviens... ▲ Je ne parle plus avec mes parents depuis cinq ans, depuis que j'ai appris pour ma maladie et que j'ai coupé les ponts avec eux pour ne pas qu'ils me voient mourir. ▲ Ainsi, venons-en aux fait, j'ai une maladie cardiaque, et je n'en ai jamais parlé à qui que ce soit. Personne n'est au courant, et personne ne le sera jamais, j'y veillerais personnellement. ▲ Je suis têtu et borné, quand j'ai raison, j'ai raison, un point c'est tout.▲ Je suis dur à percevoir. Je ne montre jamais mes émotions, je les détestent. ▲ Je suis un fin provocateur, et j'aime en jouer. ▲ Je n'écoute QUE de la bonne musique, cela va de soit. .▲ J'étudie l'astronomie parce que plus petit j'ai toujours rêvé d'aller dans les étoiles.▲ Je parle couramment le Bulgare car mes parents sont nés là-bas. Ainsi, lorsqu'ils ont déménagés en Angleterre, pour ma naissance, ils m'ont dès mon plus jeune âge, inculqué cette langue.

▲ À vrai dire ce n'est pas une "vie de merde". Mais cela pourrait s'y rapporté, en effet. Un soir, alors que je me préparais pour aller à une soirée costumée dans le sud de Londres, où j'ai vécut trois ans, il s’avérait qu'un de mes amis de l'époque avait choisi le déguisement qui m'était destiné. Ainsi, je n'avais aucune idée de ce qui m'attendait ce soir là. Evidemment, lorsque j'ai découvert avec horreur que j'avais pour obligation de traverser toute la capitale habillé en poulet, l'idée ne m'eut guère ravi. Néanmoins, ayant parié ma capacité à le faire, je me devais de réaliser cette tâche, sans véhémence. Ainsi, lorsque je suis sorti de ma salle de bain, avec cet accoutrement plus que conséquent, je n'aurais jamais pu m'imaginer que ce qui me servait de chien, aurait l'intelligente idée de penser que j'étais un vrai poulet et ainsi de me sauter dessus en me mordant férocement. De ce fait, ayant le bras ouvert au sang, ce ne fut pas à une fête que j'ai dû me rendre, mais aux services hospitaliers. Seriez-vous capable d'expliquer aux urgentistes que vous vous êtes fait mordre par votre chien qui pensez que votre déguisement lui servirait de dîner ... toujours habillé en poulet ? Quoi qu'il en soit, cette petite anecdote mignonne a mené à des tests sanguins, pour vérifier qu'aucune toxine ne s'était infiltrée dans mon corps, et, c'est ainsi qu'avec horreur on m'annonça que j'étais atteint d'une maladie, mes globules blancs se battaient sans relâche contre ce qui peu à peu allait finir par me tuer.

Les Mathers organisent une soirée arrosée, t'y vas, t'hésites ?

Je pense que la question ne se pose même pas. J'y cours. Je suis du genre à faire la fête sans relâche, à boire, encore et toujours comme si je n'avais aucune limite, la mort ne me fait pas peur, et je profite de chaque jour comme s'il s'agissait du dernier. Ainsi, oui j'irais, fièrement, et sans le moindre doute.

Les Quincy ont planifié un voyage humanitaire, participeras-tu ? Ou qu'en penses-tu ?

Quelle idée. Si encore je pouvais y trouver un intérêt comme pouvoir draguer une ou deux filles au passage ou simplement me payer un voyage gratuit, mais non. Je ne suis pas du genre à travailler d'arrache pieds pour le bonheur des autres. À chacun sa chance, en plus, il n'y a que des thons dans cette confrérie, et la seule bonne action que je pourrais faire serait de leur offrir mon corps, mais je n'ai pas assez de pitié pour cela.

Les Lowells ont annoncé un talent show, auditionneras-tu ? Si oui, pour quoi faire ?

Les qui ? C'est qui eux ? Encore une confrérie qui ne sert à rien. Ah, ces artistes. Comme si le monde allait leur appartenir parce qu'ils savent danser, dessiner ou chanter. Non, mais sérieusement, pensez-vous que je trouverais un seul point positif à me pavaner en public en prétendant avoir un talent qui de toutes évidences ne me servirait à rien ? Ces gens sont des déchets de la société. Laissez-les entre eux.

Une Cabot t'approche, elle est belle et très gentille... Parfaite, quoi ! (Pour les garçons) Comment tu la trouves ? (Pour les filles) Voudrais-tu lui ressembler ou tu t'associes déjà à elle ?

La seule chose qu'il y a de vrai chez une cabot est ... son chirurgien plastique. Excusez mon manque de tact, mais je ne me sens pas vraiment attiré par ces mini-queens qui se maquillent à longueur de journée et dont on ne peut faire la bise sans se retrouver avec une couche de fond de teint sur le visage. De plus, celles-ci n'ont que très rarement un QI qui atteint la moyenne. Il me faut quelqu'un qui me mérite, quelqu'un comme moi.

Les Winthrops font une enchère tous les ans. (Pour les garçons) Aimerais-tu un jour y participer ? (Pour les filles) Serais-tu du genre à acheter un homme afin qu'il soit à ton service ?

Pourquoi pas. Je dirais que je serais très intéressé de voir comment ils mettent leur pseudo-charme en oeuvre pour attirer les filles dans leur lit. Elles sont tellement idiotes qu'elles ne réalisent pas que ces machos sans cervelle font tout cela dans l'unique but de pouvoir tirer un coup. De plus, la seule chose que ces mecs ont, c'est un peu de ruse et un physique avantageux, je ne me voix alors, vraiment, mais vraiment pas traîner avec cette basse-cour.

Tu vois un Eliot arriver en Ferrari, lunettes de soleil et fringues de marque, tu en penses quoi ?

Je me sentirais à l'aise, disons simplement que j'aurais l'occasion de voir s'il a du goût ou non. Vous savez, les riches subsistent de plus en plus c'est un fait, mais combien savent réellement utiliser leur argent à bon escient ? Peu. Ainsi, j’analyserais ces goûts et si ceux-ci me conviennent j'irais lui parler. Dans le cas contraire, j'éprouverais juste de la peine à son égard.

Une série de conférences de 3h sur la littérature anglaise à l'époque Victorienne est organisée à Harvard par les étudiants de la Dunster House tous les soirs pendant une semaine. Serais-tu du genre à y aller ?

Bien sûr que je m'y rendrais, et je foutrais un bordel pas possible. Quoi de mieux que d'embêter ces pauvres petits intellos boutonneux et trop sûr de leur future réussite ? Oh ça oui, je me ferais un malin plaisir à leur retourner la tête et à les empêcher de pouvoir briller...

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Nate et j'ai 18 ans. Je suis Française et j'ai connu le forum grâce à BCU. Ce forum m'a l'air actif et très sympathique alors j'ai décidé de m'inscrire. Question intégration, j'aurais -peut-être- besoin d'aide. J'utilise Tim Borrman comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Tumblr. Je fais environ 1000-15000 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ Let's get it started.

The beginning (1991-1996)
L'histoire de ce garçon n'a rien d'extraordinaire, mais néanmoins est comblée de grandes péripéties. C'est à Long Ashton, près de Bristol en Angleterre que naquis le jeune homme ; Dorian Zayn Kermer. Ces parents, riches possesseur des cabinets d'avocats "Kremer & co" lui offrent une vie aisée et dorée, le petit a absolument tout ce qu'il veut, à l'exception d'une chose : l'amour de ses parents. C'est ainsi que dès son plus jeune âge, en sent en lui une sorte de rebellions envers la société, lorsque celui-ci voit ses copains en compagnie de leurs parents aimant. Néanmoins, sa servante, Nina, ne se gêne pas à lui inculquer une quelconque éducation, en lui apprenant le Bulgare, la langue maternelle de ses parents, et le respect aux autres.

Le déménagement (1996-2005)
À l'âge de cinq ans ses parents, bien trop occupés par leurs allers-retours entre Bristol et Londres, décident d'emménager dans la capitale afin d'y faciliter la vie de tout le monde. C'est ainsi qu'il s'installèrent dans le vieux centre riche, et que Dorian découvrit un tout autre monde, la grandeur. Très vite il s'intégra dans sa nouvelle école et passa une première scolarité plutôt épanouis. C'est lorsqu'il rentre au collège à 11 ans qu'il commence à devenir de plus en plus fermé. Il supporte de moins en moins la compagnie, et préfère une solitude. Ses parents, n'y prêtant pas attention, demandent à Nina de régler le problème. Ainsi, celle-ci l’amena chez un psychologue, qu'il eut pour obligation de fréquenter jusqu'à ces 14 ans.

14 ans, l'âge fatidique où il attaqua ses parents en justice en demandant son émancipation, qui, au vu du dossier, fut acceptée. Il s'installa seul dans le centre de Londres, et vécut une vie plutôt agréable jusqu'à que ...

La dure réalité (2005-2008)
Lors d'une soirée où il doit se rendre à l’hôpital, les médecins se rendent comptent qu'il est atteint d'une maladie cardiaque qui le condamne ainsi à mourir avant ses trente ans. Il se refuse à en parler à qui que ce soit, et, feint à ses parents de ne plus jamais vouloir les voir, ainsi, le jour où il mourrait, ils ne s'en rendraient jamais compte et vivront leur vie paisiblement. Il était le seul à être au courant, et, alternant les jours à l’hôpital pour ses traitements, il rencontra la femme qu'il qualifia tout de suite de "sa vie". Mikayla, était parfaite, le seul point était qu'elle était atteinte de la même maladie que lui. Ainsi, ils se firent tout deux tatouer "Never back Down" dans le bas du cou à l'arrière, dans l'espoir de toujours se battre, quoi qu'il arrive. Ils vécurent trois ans ensemble, trois ans qui furent probablement les plus belles de toute sa vie. Et, un soir, retournant à l’hôpital dans l'espoir fou de la demander en fiançailles, il eut le regret d'apprendre que la demoiselle était décédé la nuit même. Il ne s'en remis jamais.

Le dérapage (2008-2011)
Il partit loin. Pour oublier. Il partit voyager à travers l'Europe dans l'espoir de retrouver quelque chose à quoi s'attacher, mais en vain. C'est ainsi que dans un profond désespoir, il commença à fumer de la drogue, à boire à tout va, à n'être qu'un simple connard sans scrupule, bordé de solitude. Il ne retomba jamais amoureux, l'idée même d'avoir à être avec quelqu'un d'autre que la femme de sa vie le répugnait. Il changea alors de comportement, et le brin d'humanité qui lui restait s'effaça, au dépend d'une colère sans merci.

Le nouvel espoir(2011-2012)
Bien que ses parents eurent toujours voulu qu'il travail également dans le droit, il reçoit par hasard une lettre d'admission à Harvard, prestigieuse université, où il est invité à y venir étudier l'astronomie. Ne se souvenant guère d'y avoir envoyer cette lettre, il compris très vite que Nina l'avait fait pour lui, pour l'aider. Ainsi, réticent dans un premier temps, il ne fallut que très peu de temps pour accepter de tout recommencer ... de tourner les pages de sa vie.