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cause i'm missing more than just your body (hae-wook)

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@Hae-Wook Choi

un fois pas deux, t’y vas, t’y court, toujours. sa vie avant la tienne, sa personne avant la tienne. si tout ça s’arrête, ça n’aura plus aucun sens, ta vie en générale, ou juste toi. t’as jamais mentit, il est ton centre de gravité, et aujourd’hui encore, malgré tout les sentiments négatif que tu ressent envers lui, tu ne peux pas juste fermer les yeux sur tout ce que vous êtes. alors t’y vas, tu roules, très vite, trop vite. la tournure trop dramatique des choses te bouleverse, t’aurais préféré rester chez toi, pleurer en boule te relever le lendemain matin avec une tête trop lourde à porter. pas chez moi trop de carton, ça sonne dans ta tête tout au long du trajet. tu te gares dans la rue principale, là ou tout à commencé, ça sonne encore, tu reconnais la bais, le vent trop fort, toujours les mêmes vieux qui marche avec leurs gosses et leurs chiens. pitié, pas de wook froid, je vous en supplies, que les dieux m’entende. « wook? » c'est ici que j't'ai dit que j'avais un crush sur toi, sans filet ,sans retenue, juste mes sentiments contre les tiens, c'est ici que je t'ai aimer en premier, destiner à n'être rien de plus qu'une amie dans ta vie, c'est ici que je veux t'aimer encore, me laisse pas. « tu déménages? »
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@Zora Fawkes Underwood

Tu y étais bien avant elle. Tu voulais rester là, seul, au bord de la mer. Cette mer d'un bruit si doux, si paisible. Le soleil jaune qui se reflète sur lui. Un ton jaune et rosé d'un matin bostonien. Ton regard perdu, ailleurs. Un joint entre tes doigts, le bout rôtit, échappe une légère fumée. Tu l'apportes à tes lèvres, tire une taffe, et souffle cette fumer dans l'air maritime. Tes pensées sont contradictoires à ce temps pacifique. Tout est en guerre en-dedans toi. Déchirement, brulure, destruction, tout bien si caché sous cette carapace familière. Tu entends ses pas. Tu connais ses pas. Légers, précipités par la situation. "Hum." réponds-tu. Bien que d'autre mots veulent survoler à sa personne, la percuter, l'affecter, mais tu ne dis rien, toujours rien. "Oui." tu ne t'étends pas plus. Tu ne te justifie plus. Le moins dit, le mieux c'est. "Assis-toi." tu lui indiques de la main qui tenait ce même joint qui se rétrécit à chaque taffe tirée. Tu attends qu'elle s'installe, à distance de toi. Cette distance que tu ressents s'accroître, jour après jours. "Rompons." encore une fois tu prononces que des mots et non des phrases. Comme-ci tu n'y arrives plus à les former sans que celle ne parte dans un sens contraire voulu.
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@Hae-Wook Choi

il semblait ailleurs, détacher de toute émotion. tu avales ta salives, t’assoie quand il te dit de t’assoir. de simple mot s’échappe de ses lèvres, autre que la fumer qu’il dégage avec son joint, odeur que tu ne supporte pas d’ailleurs, mais d’autre chose se battent dans ta tête pour y faire attention. ton coeur se sert, oppresser, étouffer, t’aurais aimer sourire sur toute la plage en hurlant, mais au lieu de ça tu restes assise sagement. il pars ? non, reste. ou est zora bavard, tu ne dit plus rien, comme si tes mots avaient été stopper par ta tête. « non? » t’as le droit de donner ton avis ou alors c’est juste la raison de ta venue ici, pour qu’il te large en vrai. «… j’ai dit des choses que je pensais pas hier. parce que je pensais t’avoir perdu, j’ai été méchante, et j’en suis désolée. mais non. non wook je veux pas te quitter. je suis juste perdu, et fatiguée de nos disputes, mais non je veux pas que ça s’arrête. » tu poses enfin ton regard sur lui, tu fais pitié Zora, toi et tes crises de larmes, toi et tes crises de nerf. t’avais envie de le sentir pris de toi, sentir sa peau contre la tienne, son toucher contre toi, mais rien, miette, un océan vous sépare. « pourquoi tu veux me quitter si tu m’aimes… » est-ce que c’est vrai au moins?
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@Zora Fawkes Underwood

Tu ne pourras pas rester muet comme tu le voulais. Tu sais bien qu'elle est plus têtue et ne se contentera pas de simples mots de ta part. Elle avait soif d'explication , de justifications. Mais pourtant c'est ce que tu as fait ces derniers jours. Te justifier et encore te justifier. Vous vous englobez dans un tourbillons sans fin qui vous laisse assécher de tout bonheur et de joie. Pas une seule fois, dans les dernières semaines, tu as vu ce visage pour qui ton coeur bat, ce visage qui te fait baisser ta défense, ce visage qui te rendait faible rien qu'à le voir, ce visage que tu aimais embrasser chaque centimètre. Non, ce visage n'a pas su sourire depuis des jours. Toujours ce même air attristé, ses yeux vitrés, cette bouche d'une ligne droite, ses sourcils abaissé par l'inquiétude, la peine. La douleur transpirait par tous les pores de sa peau. Son corps prêt à s'écrouler à n'importe quel moment. Trop de mal, trop de mauvais, tout lui était néfaste. Tu étais néfaste pour elle. "On se dit toujours des choses qu'on ne pense pas et finir par s'excuser à la fin. Mais on recommence le lendemain." tu tires un dernier souffle de ton poison avant de le lancer au loin. Tu penches ta tête en arrière et laisse échappe entre tes dents les résidus ton joint. Finalement, tu tournes ta tête pour la regarder, la mémoriser, imprégner dans un coin de ton cerveau cette dernière image d'elle. " Je te quitte parce que je t'aime. Je te quitte parce que ton bonheur est ce qui m'importe. Ensemble, tu n'es pas heureuse. Ensemble on détruit l'un et l'autre. Alors, pourquoi rester ainsi quand rien ne va et rien n'ira bien ?" Vous ne faites qu'enfoncer l'autre dans les bas-fonds. Vous vous entraînez dans un cercle vicieux, toxique, mortel. Un début chaotique et une fin malheureuse, tout était déjà écrit.
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@Hae-Wook Choi

ça te prend la gorge, aucun mot n’arrive à sortir de celle-ci, comme emprisonner par tes propres émotions. une vérité qui semble beaucoup trop lourde à porter. mais alors, on peut abandonner les gens qu’on aime ? on a le droit de baisser les bras par amour ? mais l’amour en lui même n’est pas centre être un défit ? pas censé être une raison de se battre? ça te prend toute la tête, comme secouer dans tout les sens, tu te met à saigner du nez. « putain. » tu prend un mouchoir pour venir compresser sur ta narine, si tu pleurer à chaude larme face à Ael, et que tu t’énerve au point d’en perdre la voix avec Seong, ton corps refuse de laisser Wook partir, rejette carrément l’idée qu’il puisse s’en aller en tournant ton cerveau à 90 degrés. « on quitte pas les gens parce qu’on les aimes, Wook. c’est la pire des excuses qui soit. on quitte les gens parce qu’on les aimes pas, qu’on s’en fiche pas mal de comment ils peuvent être après. on jette les gens dont on a plus besoin, parce qu’on est usée par les sentiments ou juste fatiguée de les avoirs. les gens qu’on aime, on se bat pour. » pourquoi ça semble évident maintenant, alors que toi aussi tu as réfléchis 100 fois à l’éventualité de le quitter. parce que c’est trop dur en face, trop dur quand il est là. tu évites de nouveau son regard, toujours la compresse sur ta narine. « tu attend que j’te face changer d’avis? ou ça sert à rien parce que t’as déjà fait ton choix? tu me consulte une fois sur deux. tu dit que tu m’aimes, mais t’as pas envie qu’on s’aime. pas de mensonge on a dit, on a dit carte sur table, c’est la base même de nous, alors carte sur table monsieur Hae-Wook Seong. » t’en a marre de pleurer, marre de te replier sur toi même, marre de chercher des solutions, y a pas de problème, y a que des solutions. « moi, Zora Fawkes Underwood, Choi de mon futur nom quand tu m’aurais épouser. je t’aime de mon être et de tout mon âme. et si ça semble irréel aujourd’hui, c’est parce que j’ai idéaliser la relation sans même prendre en compte que tu ne sors pas tout droit de mon imagination. si j’ai pu te blesser parce que j’ai pas eu la réaction que tu voulais au cabanon, j’en suis désolée et si je te gueule dessus pour x et y raison, j’en suis désolée aussi. mais le plus important le voilà, la vérité vrai la voilà : moi zora fawkes underwood, je ne veux pas te laisser toi, hae-wook choi, sans me battre pour garder un nous. » alors large moi, laisse moi sur le côté, j’te sourirai après jusqu’au profondeur des enfers, si j’ai à le faire. deux fois, trois fois, quatre fois, je ferais le tour du monde pour te rattraper, si il y a 0?1% de chance qu’un nous soit possible.
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Tu vois cette goutte rouge perlé en dessous de son nez pour descendre et s'achever sur ses lèvres. Comme automatisme, tu te penches vers elle pour essuyer la goutte de sang qui s'est échappé de son nez, mais elle fut plus vite que toi et étampe un mouchoir sur son nez pour arrêter le soudain écoulement. Même un simple touché devenait compliqué. Calculé le temps de trajectoire, la réaction imprévisible, l'attente, l'angoisse, quand tout devait se faire naturellement sans y penser une seconde. Tu fermes ta main en un poing, te réprimande intérieurement de ne pas avoir su te contenir et d'arrêter de lui donner de faux signales. Sauf que ce n'était le cas. Tu voulais faire ça. Touché chaque centimètre de cette peau sous la pulpe de tes doigts. Sentir cette chaleur qui émane de son être. Mais encore, ses paroles te renvoient à ta place. Te fais sentir plus mal. Un incapable. Voilà ce que tu es. Ta jambe amochée, c'était à cause de toi. Ton rêve brisé, c'était à cause de toi. La déception de ta carrière, c'était à cause de toi. T'étais le seul fautif de tous tes malheurs. Tu es la raison pourquoi tu étais un être aliéné, complètement dépourvu de tout acte cohérent, en marginalité des autres comme toujours. Tu n'as jamais su aimer proprement, être sociable, amical. Non. T'es qu'une sale carapace vide qui crée le mal autour. " Carte sur table ?" Honnêteté, vérité, franchise. Voilà sur quoi vous avez toujours basé votre relation. Tu lui devais cela. Tu lui avais promis cela. " Je ne vais pas bien Zora, voilà pourquoi !" tu te relèves d'un mouvement, te mets face à elle, la voix haute, extirpant tout ton mal-être. "Qu'est-ce qui est si difficile à comprendre sur le fait que je ne vais pas bien. Rien ici ne va" tu enfonces ton index sur le côté droit de ta tempe. " Je suis fou putain. Complètement cinglé. Y'a pas un matin où je me réveille avec l'envie de me tuer. De disparaitre de ce monde. D'en finir pour de bon parce que j'en ai marre de souffrir. Souffrir à cause de ma jambe, de mon rêve brisé, l'absence d'amour parental, de liberté. Mais je souffre surtout parce que je n'arrive pas à rendre heureuse la femme que j'aime. Que je la fais pleurer, mais aussi saigné sans même la touché.  " tu étais à bout de souffle, mais tu ne peux t'arrêter." Comme peux-tu rester avec une personne comme moi qui est complètement barge ? Je me dégoûte putain ! Je n'arrive même pas à me regarder dans un miroir sans que je ne le défonce." tes plaies sur tes jointures prouvent cette récente action. "J'en peux plus Zora. Je veux que ça cesse, je suis plus capable de me sentir comme une merde à tous les jours. Me réveiller pour vouloir disparaitre la seconde d'après. Ce n'est pas normal. Rien est normal chez moi. Quand vas-tu comprendre que je ne suis pas fait pour toi. Que tu vas finir plus brisée qu'avec Ael. Part avant que les dégâts ne soient plus graves, car je ne me pardonnerais jamais à moi-même de t'avoir fait encore plus souffert." les gouttes s'écoulent, un à un vient se choir sur tes joues pour tomber de ton menton. Les valves s'ouvrent, la douleur est stridente et intolérable. Tout cela doit cesser, tout cela doit avoir une fin.
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@Hae-Wook Choi

tu reste silencieuse, sans vraiment savoir quoi dire. doucement, tu retires le mouchoir pour le fourrée dans ta poche. tes doigts étaient clean, mais t’arrivais pas à ne pas jouée avec eux, dans un mouvement de stresse. tu tortures le tissus de ton haut, tout en écoutant ce qu’il avait à dire. tu te rappel t’être réveiller à ses côtés, toute cette semaine, tu essaie de voir ce qui allait pas, ce qui avait changer, mais t’arrive à rien voir. tu le voit se lever en premier, toujours matinal, son dos courber quand il éveille chaque muscle de son corps avant de se faufiler dans la salle de bain. tu voit rien d’anormal, non, rien du tout. quand il prend son café, jouée avec Phily qui attend sagement d’avoir ses croquettes et réclame son calin du matin, quand il pars une premier fois pour promener Albert, quand il revient une deuxième fois, embrassant rapidement tes lèvres avant de partir. à quel moment de ces débuts des journées est-ce qu’il se sent perdu, à quel moment est-ce que tu voit intervenir. tu peut porter sa peine, tu peut porte ses regrets, car tu l’a toujours fait, pour Elliot, pour Eloan, pour tout le monde à commencer par ta propre soeur Levi. Zora, tu es destiner à survivre pour les autres, car seule tu ne sert à rien, pourtant à ses côtés, pourtant dans ses draps, pourtant enrouler sous ses bras alors qu’il s’endors comme un vieux devant un épisode d’une série lambda, tu ne te sent pas utilisée. « Il faut que t’arrêter de travailler pour ton père et que tu consultes un psychologue. » pour extirper tout ça, pour effiler tout ça, ça a pris des années pour Eloan, ça lui prendras des années aussi, à faire la paix avec lui même, faire la paix avec ses idées noires. mais tu n’arrives à rien dire d’autre que ce qui semble correcte. tu essuie ses larmes du bout de ta manche, ceux qui dévale avec rapidité sur son tee-shirt, tu prend sa tête entre tes doigts pour virée ces foutues larmes avec tes manches. ta respiration devient alors saccadé et tu as surement envie de pleurer aussi, parce que ses mots sont si fort et si tranchant qu’il te taille dans tout les sens. mais tu sera celle qui sera vote aujourd’hui, tu seras celle qui vous sauvera. « t’as besoin de faire la paix avec toi même, wook. tu voit que du mal en toi, du négatif, alors qu’y a pas que ça. y a tellement plus. y a tellement plus qu’un enfant brisée par une famille de merde. y a un jeune homme fort et indépendant, qui sait ce qu’il veut, qui sait ce qu’il vaut. porter par ses ambitions et son désire de réussir. un être brillant et merveilleux, une âme étoiler qui se cache sous cette chair trop épaisse. un soleil brillant, illuminant chaque être qu’il entour de sa présence. pourquoi t’es pas capable de te voir comme moi j’te voit? » tes yeux se pose dans les siens, puis sur ses lèvres, puis de nouveau dans ses iris beaucoup trop profond pour que tu puisses y rester longtemps. et tu vires cette océan entre vous, parce qu’il a besoin de toi. « me repousse pas wook. t’enfuit pas, reste avec moi, je vais t’aider à recoller tout les morceaux. je vais t’aider à souder les étoiles que t’as dans ton âme. pour la constellation wook ai un vrai sens. » me quitte pas s’il te plais. laisse moi t’aider. embrasse moi.
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Elle avait raison. Ils avaient tous raisons. Tu devais abandonner, tu n'as pas le choix. Toute cette situation te bouffait l'esprit. Consumait petit à petit la vraie partie de toi. T'étais épuisé, exténuée, vidée. Tu ne faisais que rester éveillé pour travailler, étudier, travaillé encore puis finir par t'effondrer dans ton lit complètement lessivé. Voilà pourquoi elle se questionne sur le nous que vous formiez. Comment former un nous quand ce nous-même est en partie absent, invalide. Tu l'as retrouve toujours endormie, soit le matin avant de partir tôt, soit le soir complètement tard, sa petite silhouette coincée entre Albert et Philly. Après une journée disjonctée, elle était le seul réconfort que tu souhaites tant revoir. 22 ans putain. Tu n'avais que 22 ans et tu devais déjà te déchirer en deux pour survivre quand tous les gens autour de toi vivait selon leurs envies, leurs désirs, leurs pulsions, pendant que toi tu te retrouvais enfermé h24 sans sortir de secours. Ce n'était pas humain. Ce n'était pas normal. Tu ne vivais pas en Corée et pourtant tu t'entraînais dans le même mode de vie exténuant du pays. Ce même mode de vie qui finit par consumer l'existence des habitants et les plonger dans une profonde dépression. Dépression, tu n'avais que 22 ans et te voilà en train de souffrir d'une dépression. Est-ce un train de vie pour une jeune homme comme toi ? Souhaites-tu continuer comme ça ? Non. Fuck No. T'en avais marre. C'en était assez. T'a besoin de ta jeunesse. T'a besoin de vivre. Et encore, tu n'allais pas laisser cette carrière consumer tes derniers jours. C'en était fini. Cette page devait être tournée. Elle parle de psychologue et tu te souviens que Soeng t'avais fortement suggéré celui qu'il fréquente, afin que lui aussi t'aide à traverser cette période difficile. Mais tu avais besoin de plus que ça. Tu avais besoin d'elle. Zora. Tu tentais tant de la repousser, mais elle persistait à rester et ton coeur suivait le même chemin. Ton coeur ne pouvait se détacher de cette personne. Ta tête ne cesse de penser à elle. Tu avais besoin d'elle, tu ne pouvais pas te passer d'elle. Ses mains si douces sur tes joues, ce touché si simple ,mais qui t'atteignais au plus profond de ton être. Tu ne peux pas t'en départir. Tu en étais addictif. Ses yeux si sincères, d'un amour si pur et dévoué. Alors tu craques, tu laisses ses sanglots que tu as tant retenues. Tu redeviens ce garçon de 16 ans, blessé, désorienté, apeuré. Sous ses doigts tu te laisses décomposer, tu te fiches de montrer enfin ta faiblesse. Tu es à elle et elle est à toi. Alors plus rien ne devait être caché. Tu t'accroches à ce petit corps. Tu encercles ses formes pour les coller contre toi. Comme des aimants, tes lèvres trouvent les siennes. Tout traverse à travers ce baiser. Ta détresse, ton amour, ton affection. Tu ressens à ton tour ses sentiments. Tu les accueilles à coeur joie. Les gardes précieusement. Tu glisses sur le long de son cou, pour finir par te longer dans son creux. "Ne me quitte pas s'teu plait. J'ai besoin de toi Zora. Putain je t'aime Zora. Ne me laisse pas seul. Plus jamais s'il te plait. Je ne sais pas si j'arriverais à survivre seul." les mots se coince dans ta gorge, douloureux aveux qui finisse par éructés. Mais finalement tu ressens ce poids, que tu voulant tant te débarrasser, s'enlever de tes épaules
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@Hae-Wook Choi

il s’effondre, tu le rattrapes. littéralement, tu prend son corps entre tes mains, sa tête poser sur ton épaule, alors qu’il lache prise. c’est donc ça de voir un Choi se lacher entièrement ? c’est donc ça que ses parents refusent qu’il soit ? combien de fois est-ce que ton père t’as porter dans ses bras alors que tu pleurais à chaude larme ? combien de fois est-ce qu’il t’as surprise entrain de cacher ces dites larmes avant de fondre entièrement. toi, zora, éponge humaine. portant, tu ne pleures pas, tu fermes les yeux, tu réceptionnes ses émotions aussi lourd qu’ils puissent être. tu gardes une main coller à son dos, remontant doucement jusqu’à la naissance de ces cheveux. tu te rappel de son toucher, de chaque réveil ou il dépose un baiser sur le haut de ton crâne, de l’amour qu’il a pu te donner en petite part. la voilà, elle est là, elle est vivante, elle est présente, maintenant, entre lui et toi. tu peux sentir chaque partit de son âme se liée intimement au tiens, comme sceller par ces deux mots qui veulent tellement dire. « je t’aime encore plus fort. » et il colle ses lèvres au tiens, tu lui rend son baiser, avec tendresse, avec légèreté, et tu colles ton front au sien, les yeux clos, les poumons gonflé. ton coeur chavire encore, il manque encore des battements, mais maintenant tu sais pourquoi. « c’est moi qui conduit pour rentrée, puisque t’as fumer. » dis-tu dans un leger rire, tu glisses tes doigts dans les siens, respire encore une deuxième fois. « on peut le faire, on est plus fort que ça. je vais t’aider à aller mieux, tu vas t’aider à aller mieux, jusqu’à ce que tu soit en paix avec toi même. jusqu’à ce qu’il y a là, soit en accord avec ce qu’y a, là. » tu pointes sa tête, puis son coeur. ces deux là doivent apprendre à être ami, à co-opéré correctement. ils doivent apprendre à s’écouter et se comprendre. et il doit apprendre à prendre sa vie en main, pour qu’elle n’appartienne qu’à lui. « partons. on devrait partir quelque part et juste.. tu sais juste pas se soucier de ce qui va pas en ce moment. on devrait, partir en Argentine, ou au Brésil. faire le tour du pays en mobilette et en faisait du stop. on devrait… je sais pas, faire la fête toute la nuit? et faire l’amour sous les étoiles. »
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Elle te rattrape malgré ton poids lourd contre son corps de plume. Même avec toutes ses forces, elle arrive à supporter son géant copain contre elle et apaiser toutes ses douleurs. Tu devais te soigner, non seulement pour elle, mais pour toi aussi. Tu devais être un meilleur homme pour afin lui offrir ce bonheur tant attendu. Tu étais près, finalement résigné à vivre tes années d'étudiant librement. Tu t'en fiches si cela ne plaira pas tes parents. Tu n'étais pas leur animal, mais un humain. Majeur. S'il fallait les traîner en justice pour avoir la paix, tu le feras. Tu étais aussi détaché d'eux que d'eux de toi. Une mère, tu n'as jamais connue ça. Seul ta nounou été la seule figure maternelle qu'il soit. Ton père, inexistant. Tu ne peux même pas te souvenir du dernier moment où il t'a montré une marque d'affection. Ces années ne t'ont fait réaliser à tel point que ces gens n'étaient pas faits pour être parent. Procréer ne s'agit pas de faire naitre un humain. Il y a bien des choses qui s'y rattache et l'amour vient en premier. Mais dans tous tes albums de bébé, dans tes souvenirs, jamais tu n'as vue cet amour de leur part. Mais c'est fini. T'allais te reconstruire à zéros et cela, sans eux. Que toi, Zora, ton frère et tes amis. Tu te considères orphelin, car malgré qu'ils soient vivants, jamais tu n'as eu de vrais parents. Tu serres ses doigts avec les tiens, lève vos mains jointes pour déposer un bisou sur le dos de sa main. " Tien." tu lui lances tes clés de voiture pour qu'elle les attrape, lui confiant sans soucis ta voiture. Bien qu'auparavant tu n'envisageais même pas la possibilité qu'elle prenne le volant, tu décidais de lui faire aveuglement confiance maintenant pour la laisser conduire. " À nous deux, on y arrivera Zo' je te le promet. A nous deux on trouvera notre bonheur à nous" mais le plus important, son bonheur à elle. Après tous ses efforts, c'est ce qu'elle mérite. Tu auras beau la couvrir de tous les bijoux du monde, tu sais qu'elle ne se base pas sur le matérialisme, mais le sentimental. Alors tu lui offriras les plus beaux moments qu'elle aura pu connaitre jusqu'à aujourd'hui. " Et si tu venais avec moi à Seoul. Je veux qu'on parte sur des bonnes bases et te faire découvrir mes racines. Mon pays. On y va. Dès après le bal. On s'envole pour Séoul. T'en dis quoi ? " Tu avais besoin de retrouver ressource dans ta terre natale. Revoir ta grand-mère après tant d'année. Elle était bien la seule de ta famille qui n'a pas eu la tête gonflée par la richesse et traitre toi et ton frère comme ses propres enfants. Tu voulais que Zora rencontre une partie de ta famille à qui tu tiens tant.
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