Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityJ’ai un goût de chiottes... C’est pour ça que tu me plais ! -- Yaël - Page 2
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J’ai un goût de chiottes... C’est pour ça que tu me plais ! -- Yaël

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Il est passé où mon portable ? Et si Marshall l'avait déjà trouvé et caché dans la salle de bain avant de se mettre sous l'eau ? Je suis prête à enfin lui demander si il l'a vu, mais je le trouve sous mon pantalon de sport. La bouche se referme, et alors que je tends la main pour l'attraper, c'est Yaël qui la prend. « Hey ! » Je ne comprends pas sur le moment, mais il me tire le bras, forçant mon corps à se redresser et à entrer dans la douche avec lui. Instinctivement, j'ai retiré ma main de devant mes yeux, pourtant pas vraiment prête à le voir nu. Ou pas prête à avouer mes envies en tout cas. Il est encore sous l'eau, mais les éclaboussures humidifient mon peignoir petit à petit. Il colle à mes jambes nues, me fait une deuxième peau sur le ventre, la poitrine, les bras. « Je le savais déjà moi... il suffisait de me le demander. » Un murmure, la voix pas plus haute que la sienne. Il me coupe dans mes élans. Et mes yeux qui descendent sur son torse, remonte aux épaules et à son visage. Il est maintenant trop proche de moi pour que je ne puisse voir autre chose. Mon dos tape contre la paroi, et je me retrouve coincée entre le brun et la douche. Prisonnière. La respiration s'accélère. Je ne rougis pas, ce n'est vraiment pas mon genre, mais cette proximité réveille en moi des instincts que je ne maîtrise pas totalement. J'humidifie mes lèvres, hypnotisée par ses yeux et son corps contre le mien. Est ce qu'on joue encore Yaël ? Parce que maintenant, j'ai terriblement envie de t'embrasser. Sa respiration se fait plus forte, presque bestiale, comme le chasseur qui découvre sa proie. Je déglutis, pas vraiment mal à l'aise, pas réellement bien non plus, avec mes idées contradictoires qui se cognent dans ma tête. On pense à la même chose, mais je ne veux pas craquer la première. « Qu'est ce que tu attends ? » Le provoquer, je ne suis bonne qu'à cela on dirait. Allez, passe le cap toi, traverse la ligne de nos limites, de notre jeu. Embrasse moi. Tu n'as pas brossé tes dents, et imaginer le goût de cette autre cabot me donne envie de vomir. Et pourtant, je n'attends que ça, qu'il attaque. Parce que si c'est lui qui fait le premier pas, il aura définitivement perdu. Mes mains se glissent sur sa taille, sur sa peau bouillante, s'immobilisent sur ses hanches avec une pression un peu plus importante. Je le tire vers mon bassin, obligeant son torse à suivre le mouvement, son visage aussi. Mes yeux observent alternativement ses yeux et sa bouche. Il ne fallait pas m'emmener sous la douche avec toi.


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Tu pensais la provoquer mais là, c'est elle qui te cherche. Tu viens de te faire prendre à ton propre jeu Yaël, comme un débutant, comme un bleu. La proximité entre vos deux corps est indécente. Tu es nu, elle est habillée et tout ce qu'elle trouve à te dire c'est qu'est ce que tu attends ? C'est vrai ça, qu'est ce que tu attends ? Tu l'as devant toi, prête à se livrer pour un baiser sensuel. T'en meurs d'envie putain mais céder serait synonyme de défaite. Après toute la guerre et les ordures que vous vous êtes lancés en pleine gueule, voilà que tu peux tout faire changer. En as-tu envie ? Votre querelle te convenait à merveille jusqu'à présent. Olympe te regarde de ses grands yeux, elle te met au défi. Tu ne peux pas faiblir maintenant pourtant tu en as envie, terriblement envie. - Laisses-moi en profiter un peu. Ta réponse est évasive et ton visage, de plus en plus prêt du sien. Si toi tu ne veux pas franchir le cap, ton inconscient te pousse vers elle d'un grand coup de pied au cul. Elle pose ses mains sur toi et t'arrache un frisson. Doux Jésus, qu'est ce qu'il t'arrive ? On dit qu'entre la haine et l'amour il n'y a qu'un pas mais t'as clairement pas envie de franchir le pas. T'es bien dans cette zone qui te protège de tout. Tes yeux se posent sur ses lèvres, elle le fait exprès t'en es certain. C'est toi qui l'a embarqué sous la douche, on dira que t'as déjà craqué à ce moment-là. Tu glisses ta main mouillée sur sa nuque et t'approches encore un peu plus, jusqu'à ce que vos lèvres se frôlent. Tu caresses tendrement ses lèvres avec les tiennes. - Tu le fais exprès d'être aussi chiante ? Tu rigoles faiblement parce que dans le fond, ça ne te fais pas rire. Ton autre main libre se faufile sous son peignoir de soie et glisse dans son dos. - Au diable ma fierté, il y a bien longtemps qu'elle n'a plus aucune valeur... Tu enfonces ta main dans sa chevelure lisse et capture ses lèvres pour te délivrer de cette envie exécrable de l'embrasser. Putain, tu fais quoi là ? T'en sais rien, tu suis juste tes envies.
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J'ai chaud, beaucoup trop chaud. Et je ne sais pas ce que nous sommes en train de faire. C'est lui qui me cherche. En rentrant dans la chambre, il aurait pu tout de suite ressortir en me voyant, mais il ne l'a pas fait. Et il a continué le jeu, notre haine nous poussant l'un vers l'autre pour nous renvoyer bouler à chaque occasion. On se déteste. Je n'aime pas son caractère, sa pauvre répartie et sa façon de réagir nonchalamment. Il n'aime pas ma façon d'être hautaine, l'égocentrisme que je lui montre et la plupart de mon caractère. Mais il a déjà avoué aimer mon corps. C'est un pas en avant ça Marshall, et tu avais déjà perdu à ce moment là. Vous les hommes, vous vous croyez supérieurs aux femmes, mais la plupart du temps, nous vous menons à la baguette. Et aujourd'hui, tu viens de te faire prendre à ton propre jeu. Parfois, ça change, mais ce matin, je suis le chasseur, et tu es la proie. Tu crois me coincer dans la douche, mais je t'ai pris au piège dans le jeu. Et pourtant, je sens que je plie sous son poids, que je ne devrais pas le laisser prendre possession de mes lèvres. Mon ventre se tord, et je ne sais pas encore si c'est le désir qu'il m'embrasse ou le plaisir de la victoire. Il ouvre la bouche. Tu profites de quoi ? Tu cherches un échappatoire, tu joues avec le temps ? Tu as perdu, avoue le maintenant. Sa main se glisse sous mes cheveux, attrapant ma nuque comme si j'étais en porcelaine. Mes doigts se resserrent sur sa peau quand nos lèvres se frôlent. Je reste figée, je me suis promis de ne pas perdre. Je souris oui, à sa question, à son rire tellement faux qu'il me fait presque de la peine. Le sourire répond. Je le fais exprès oui, je pousse mon caractère exécrable avec toi, parce que je sais que tu vas réagir et notre guerre me plaît terriblement. Sa main libre se glisse sous mon peignoir, décolle ma deuxième peau, se faufile entre les deux pour atteindre mon dos. La cambrure de mes reins lui laisse une place parfaite entre ma peau et la paroi de la douche. J'ai frissonné, je ne sais pas s'il l'a senti mais je n'ai pas réussi à me contrôler. Et il craque, enfin. Sa main attrape ma tête, m'empêche de fuir mais ce n'est pas mon intention. Nous nous embrassons passionnément, presque violemment, à l'image de notre guerre. Je finis même par découvrir sa langue autrement que comme celle d'une vipère. Mes ongles griffent un peu sa peau, remontent dans son dos. Est ce que c'est une nouvelle bataille ? Peut-être. Et je brise le baiser, le lâche totalement, et touche ma bouche du bout des doigts, pensive. Le sourire revient. « Tu n'embrasses pas si bien que ça. » Avec une moue déçue, pourtant déjà prête à recommencer pour lui redonner une seconde chance.


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Tu cèdes le premier, t'es faible, ou pas d'ailleurs. Tu assumes ton attirance pour elle sous la douche, t'en as des couilles d'embrasser une meuf avec qui tu te prends la tête depuis six longues années. Tu brises les codes et en réalité, t'adores ça. Tes lèvres se plaquent contre les siennes et tu assouvis ton désir de l'embrasser. Ton coeur cogne dans ta poitrine parce que putain, tu es en train d'embrasser Olympe dans sa douche, à neuf heures du matin. Ça ne te laisse pas indifférent du tout. Tes doigts agrippent sa chevelure, tu te perds un peu plus dans ce baiser torride. Ta langue vient à la rencontre de sa jumelle, c'est bien plus qu'un flirt comme tu as eu hier soir avec l'autre Cabot. La dimension n'est pas la même et c'est bien pour cette raison que ça t'excite davantage. Ton corps se presse contre le sien. Tu kiffes ta race et tu ne peux pas t'empêcher de rire quand elle se moque de toi. - T'inquiète Rothschild, tu n'es pas la seule à être déçue .. Je ne sais pas mais au vu de ta condition sociale, je pensais que t'avais plus de classe que de sauter au cou du premier venu. Vous avez gardés la même proximité, tu n'as pas vraiment envie de te détacher d'elle pour l'instant, t'es bien là. - Je pensais aussi qu'avec des lèvres aussi pulpeuses, tu vendrais plus de rêve que ça ... T'as aimé ce baiser mais non, tu ne vas pas l'avouer, ça lui ferait trop plaisir. Sans prévenir, tu la décolles du mur et te retourne avec elle, pour prendre sa place. L'eau vint dégouliner sur elle à présent et tu en profite pour l'embrasser de nouveau. Arrête Yaël, c'est malsain ce que tu fais là.
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C'est terriblement bon. Mais je ne vais pas lui dire. Sa langue, son odeur, ses lèvres, et son corps qui se colle encore plus contre le mien. Je me laisse faire, appréciant tout de lui à ce moment où il ne parle plus pour raconter des conneries. C'est agréable, trop pour que l'on continue. Alors je brise tout, et n'attends pas pour lui mentir sur ses capacités. Il ne tarde pas à répondre, et je suis contente qu'il n'ait pas perdu ses réponses cinglantes. Le premier venu ? Je le laisse rire. « C'est juste un baiser Marshall, rien de plus. » Si, il y a plus en fait. Je le sens dans mon ventre, mais tout m'empêche de lui dire. Et puis, il n'est pas vraiment le premier venu, un homme que je ne connais pas. Six ans que l'on s'engueule, sans chercher à se connaître plus que par nos joutes verbales. Et il balance sur mes lèvres. « Tu ne me feras pas croire qu'elles ne sont pas agréables... » 100% naturelle. Et personne ne s'en est plaint. J'ai à peine le temps de terminer ma phrase que ses bras m'emportent. Mon corps suit le mouvement, et je ronchonne quand je prends sa place sous le jet d'eau. Sans avoir le temps de réagir, il m'embrasse une nouvelle fois. Tu vois que ce n'est pas si désagréable Marshall. Mais tu joues avec le feu là, encore un peu plus. Les cheveux mouillés, le peignoir trempé, je me colle un peu plus contre le corps nu du jeune homme. Les mains contre la vitre, de chaque côté de lui, comme pour me contenir de le toucher, m'empêcher de faire quelque chose que je vais regretter par la suite. La chaleur de l'eau réchauffe un peu plus mon corps. D'un geste lent, et sans quitter ses lèvres, je défais le nœud qui retient le peignoir et le laisse tomber par terre. Il me colle toujours à la peau, mais je l'écarte un peu, laissant mes sous vêtements à la vue du brun. Sa peau m'appelle, je n'y peux rien. Mon corps se rapproche du sien, laissant enfin mon épiderme découvrir le sien. Je ne devrais pas, mais c'est plus fort que moi maintenant. Son corps nu contre le mien me fait tourner la tête. Mes mains retrouvent son dos, le tire vers moi pour que nous nous retrouvions de l'autre côté, mon dos contre le carrelage froid de la douche. Entre deux baisers fougueux, j'articule difficilement. « Tu es, terriblement nul Marshall. » Et mes bras s'enroulent autour de son cou. Je fronce les sourcils un instant, comprenant que moi aussi, j'ai perdu.


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Tu joues avec ses lèvres sans hésitation, tu repars à l'assaut de celles-ci pour lui prouver que tu embrasses bien mais aussi pour assouvir le désir qui grimpe en toi. T'es à poil mec, tu ne peux pas te cacher. Les yeux clos, tu te laisses absorbé par un nouveau baiser tout aussi passionné que le premier. C'est complètement dingue, tu veux t'imaginer être en train d'embrasser n'importe qui mais pas Olympe. Pourtant, toutes tes pensées vont pour elle. Tu la revois au dessus de toi, cette dentelle affriolante et ses putains de lèvres sensuelles. Tu y goûtes une deuxième fois avec la même passion et la même intensité. C'est bon. Divinement bon. Elle détrône ta conquête de hier soir, d'un simple coup de langue. La petite Rotschild t'offre une vue sur ses sous-vêtements en ouvrant son peignoir de soie mais tu y jetteras un petit coup d'oeil plus tard, là t'es occupé. Elle te tire vers l'avant pour se plaque de l'autre côté de la douche. Elle te lance une énième remarque, tu sens sa voix fébrile, tu la sens perdre pieds, c'est bon ça. - Je m'adapte à ton niveau Olympe. Tes lèvres se séparent des siennes et tu plonges ton visage dans son cou pour l'embrasser. Tes doigts font glisser son peignoir sur le sol, elle n'a plus besoin de ça.

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Tu perds pieds et entends qu'à moitié la sonnerie de ton iphone qui retenti. Tu continues de l'embrasser langoureusement. La mélodie s'arrête pour reprendre quelques secondes plus tard. - Putain c'est pas vrai, râles-tu. Forcément, tu repenses à ton petit trafic illégal et tu te dis que tu ne peux pas rater l'appel, même pas pour les fesses d'une Rothschild. Tu la reposes par terre et sors précipitamment de la douche. Tu prends la première serviette venue et l'enroule autour de ta taille, tu attrapes ton portable et le colle à ton oreille trempée. Tu quittes la salle de bain pour un peu d'intimité pour ton appel.
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Et c'est à ce moment là que j'ouvre les yeux, en entendant une sonnerie de téléphone qui n'est pas la mienne. S'arrête, reprend. Il jure et me repose au sol. J'en reste pantoise, et le regarde sortir de la douche précipitamment. J'ai maté ses fesses, juste le temps qu'il ne mette une serviette autour de lui. Je ne comprends pas vraiment sur le moment, la tête encore un peu dans les nuages de cette passion étrange. Je me laisse tomber au sol, sous l'eau qui me coule sur le visage. Allez, reviens à toi Oly ! Ce n'est pas plus mal, je n'ai pas eu besoin de le repousser. Je me relève, éteins l'eau et m'enroule dans une serviette. Mon corps avance jusqu'à l'immense miroir, observe mon visage, mes lèvres maltraitées par le jeune homme, les cheveux en vrac. Je me fais un chignon rapide en attendant qu'il termine son coup de téléphone. Après tout, cela ne me regarde pas.




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Ta conversation téléphonique n'a pas duré longtemps, juste le temps pour toi de noter les informations importantes et de raccrocher. Tu sais que ce genre de conversation doit être bref pour n'éveiller aucun soupçon sur tes activités illicites. Tu raccroches et regardes ton portable quelques secondes. Ta langue glisse sur tes lèvres pour les humidifier, tu n'as pas envie de retourner dans cette putain de salle de bain. Tu sais qu'Olympe y est et vu comment les choses viennent de tourner, tu n'es pas prêt à l'affronter. Tu entres de nouveau dans la salle de bain et la voit, te tournant le dos. Tes sourcils se froncent. - Ca ne va pas ? Pourquoi tu demandes ça toi ? T'es un débile, tu es sensé te foutre d'elle. Tu secoues ta tête et récupères ton jean qui se trouve à côté d'elle. - Je dois y aller, ma soeur a besoin de moi. Tu donnes une excuse. Pourquoi ? Elle n'est même pas valable ton excuse. Pourquoi prends-tu autant de pincettes tout d'un coup ? - Peu importe, je ... Tu ne finis pas ta phrase, tu ne sais pas quoi dire. Tu enfiles ton jean à l'arrache, fourre ton caleçon dans ta poche et quitte la salle de bain. Sans un mot, tu prends également ta veste que tu enfiles pour ensuite partir comme un voleur.
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