Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityJ’ai un goût de chiottes... C’est pour ça que tu me plais ! -- Yaël
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J’ai un goût de chiottes... C’est pour ça que tu me plais ! -- Yaël

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La nuit a été courte. J'ai rapidement été réveillée par un cauchemar, me rappelant l'enfer que j'ai vécu avec les autres dans ce hangar sordide, les blessures que j'ai du faire, les plaies qui se sont ouvertes sur ma peau et le traumatisme psychologique qui reste malgré moi. Mon père m'avait envoyé le meilleur psychologue d'après lui, mais rien n'y fait. Je n'y arrive pas pour le moment. Parler de cette nuit là m'est impossible, et je reste bloquée dès que le professionnel me pose des questions. C'est trop récent, trop douloureux, trop compliqué. Tellement que pour l'instant, je préfère l'enfouir dans un coin de mon cerveau. La seule personne avec qui je peux en parler, c'est Jasper. Tout simplement parce qu'il était présent lui aussi, et parce que j'ai besoin de me faire pardonner pour ce que j'ai pu lui faire. Cette nuit, j'avais essayé de réviser, mais rien n'y faisait. J'avais donc décidé d'aller courir au petit matin pour faire fuir tous ces souvenirs sombres qui ne doivent pas tacher le début de ma journée. J'ai couru un bon moment sur le parc du campus avant de rentrer à la Cabot House pour prendre une douche. Un coup d’œil à ma montre avant d'entrer dans la douche. J'ai encore quelques heures devant moi avant le début de mes cours de droit. Le corps fatigué est soulagé de rencontrer la douceur de l'eau. Les muscles brûlent et m'empêchent de penser à autre chose pour le moment. Mission réussi. Je reste un long moment sous la douche pour essayer de détendre mon corps, et finis enfin par en sortir, enfilant un shorty en dentelle avant de se laisser tomber sur le lit. Je prends mon portable, passe sur les réseaux sociaux avant de regarder instagram. Je finis par m'assoupir un moment, le corps et l'esprit plus détendu. Le calme de la fin de nuit m'aide à me détendre totalement. Ce n'est que lorsque ma porte de chambre s'ouvre vivement que je sors de mon sommeil léger. Qu'est ce qu'il se passe ? En sursaut, j'attrape ma couette et cache ma poitrine avec avant de remonter mes cheveux correctement pour observer la personne qui vient d'entrer. Il referme la porte aussi rapidement qu'elle a été ouverte et s'appuie contre cette dernière. « Marshall... » Presque soulagée de le voir lui, et pourtant. « Je sais que je t'obsède mais franchement, tu crois que c'est une manière de venir me voir ? Qu'est ce que tu fais ici ? »

@Yaël Marshall

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Comment tu vas faire putain ? T'ouvres de grands yeux, tu n'oses presque plus respirer. Tu as déjà réussis à enfiler ton jean et tes chaussures sans te faire prendre. Ta conquête de la veille dort profondément, à tel point qu'un léger ronflement se fait entendre de ses lèvres. C'est tellement pas sexy bordel. Tu roules des yeux quand elle se retourne pour te faire face. Ton corps tout entier se contracte et se tient en alerte. Sans bouger reste, tu tournes juste ta tête dans sa direction pour s'assurer que les yeux de la Cabot sont clos. Par chance, elle n'est pas encore réveiller. Tu prends une grande inspiration silencieuse en détournant le regard. Tes yeux se posent sur la capote usagée sur la table de chevet, simplement nouée pour éviter tout débordement. Tu fronces les sourcils, tu ne te souviens pas l'avoir déposée là cette nuit. Deux solutions étaient plausibles dans ce cas de figure. Soit, elle l'avait déplacé durant ton sommeil ou soit, elle en fait collection, va le congeler et s'en servir pour avoir une armée de minis Marshall à ton insu. Tu pouffes de rire, tu n'es pas net, tu gardes encore des séquelles de ta soirée alcoolisée de la veille. - Yaël ? Tu te figes. Pourquoi tu as rigolé, tu es vraiment trop con. - Tu pars ? Elle te questionne, la voix encore endormie et la gueule avec le mascara tout dégoulinant sous les yeux. Erk. - Ouep, salut. T'es un putain de bâtard. Tu attrapes ton sweat et quittes la chambres dans la précipitation. Tu vérifies quand même que tu as ton téléphone portable et ton porte-feuille. Tant pis pour ton t-shirt, elle va pouvoir en faire un feu de joie. RIP à lui. - YAEL ! Tu l'entends crier et ça te faire marrer. Tu presses le pas, tu te mets même à courir. Tu appuies sur toutes les poignées de porte jusqu'à ce qu'il y en ait une qui s'ouvre. Tu ne prends pas la peine de réfléchir et tu entres dedans en espérant que la fille dont le nom t'échappes, ne t'a pas suivit. Tu te retournes pour t’imprégner des lieux et visualiser dans quelle chambre tu as débarqué. En voyant Olympe, tu te mets à sourire. - Chut, chut, chut, dis-tu en faisant de léger mouvements de hauts en bas avec tes mains pour qu'elle se taise. Tu enfiles silencieusement ta veste à capuche sans la fermer, t'as le torse à l'air pour c'est le cadet de tes soucis pour l'instant. Tu colles ton oreille à la porte et écoute quelques secondes les bruits de couloir. Rien. Hallelujah. - Rien du tout, je m'apprêtais à quitter ta maison, t'inquiète pas. C'est juste que je viens de vivre ce moment gênant où je me suis rendu compte que la fille avec qui j'ai couché hier soir était bien plus agréable à regarder avec 3 grammes d'alcool dans le sang. Tu éclates de rire et entres franchement dans la chambre. - Je reste dix minutes et je me casse, fais comme si j'étais pas là ... D'ailleurs tu faisais quoi là ? T'es presque à poil, tu te touchais en solo ? Coquine, tu peux continuer si tu veux, c'est pas moi que tu vas choquer. Tu t'affales sur le lit et t'allonges sur le dos pour regarder le plafond. Tu ne la regardes pas. Elle est déjà trop imbus de sa personne cette fille, tu n'as pas envie de lui donner matière à être encore plus exécrable.
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J'ai eu peur. Peur à cause de cette soirée macabre. Ce passage de ma vie a changé beaucoup de chose. Je sursaute au moindre bruit un peu suspect, même encore à mes sms de peur que tout ne recommence une nouvelle fois. D'habitude, j'ai plutôt tendance à fermer ma porte à clé pour la moindre occasion, mais la fatigue de mon footing m'a fait oublier mes gestes les plus basiques de défense.C'est aussi pour cette raison que je vis à la Cabot House et non dans ma villa. Même si mon chauffeur y vit aussi, j'ai peur de ce grand espace trop vide pour moi. Et me voilà dans de beaux draps maintenant, coincée sous ma couette pour me cacher de Yaël qui vient d'entrer en vitesse dans ma chambre. J'ironise sur la situation, presque heureuse de le voir lui plutôt que quelqu'un d'autre. Il me demande rapidement de me taire, et j'ai terriblement envie de hurler qu'il est dans ma chambre. Mais je me ravise en observant son torse sous sa veste à capuche. Pas mal Marshall, je dois me l'avouer, même si jamais je ne te le dirai. Il colle son oreille contre ma porte de chambre et je me retiens de rire en haussant les sourcils. Je ne sais pas qui il fuit, mais cela paraît relativement grave. Il finit par ouvrir la bouche pour m'expliquer la situation. C'est con. Tant pis pour toi Marshall, t'as pris ton pied avec une fille qui ne te plaît pas ? Tu crois que je vais te plaindre ? La plupart des cabots sont quand même bien foutues. « Tu parles de qui ? » Mais il enchaîne sur le fait qu'il veuille rester dix minutes. « Hors de question que tu restes ici ! » Il ne semble même pas m'entendre et continue son monologue. « Oui Marshall, je me touche en pensant à toi, et tu apparais devant moi, quelle chance... » Je le regarde se coucher sur le lit, tranquillement, alors que je suis encore en shorty, assise à côté de lui. « Tu te moques de moi ? Tu dégages de là ! Je ne vais pas rester presque nue à côté de toi. » Et j'espère qu'en sortant, tu vas tomber nez à nez avec ta conquête de la nuit ! Et qu'elle va te mettre une gifle dont tu vas te rappeler. Je ne suis pas timide, mais il est hors de question que je me ballade seins nus devant lui. Ce mec, il est odieux, sans sa façon d'être et de parler. Dès que nous nous croisons, c'est pour nous envoyer des pics aux visages. J'avance vers lui, à genoux, toujours cachée. Je coince la couette sous mes bras et essaye de lui retirer sa veste. « Passe moi ta veste là, que je ne reste pas à poil pendant ta sieste matinale sur mon lit ! » Allez, dépêche toi ! Je finis par réussir à lui retirer, sans perdre ma couette. Je lui tourne le dos rapidement, laisse tomber ma cachette de fortune sur le lit et enfile sa veste. Je la ferme et me lève enfin. La veste cache à peine la moitié de mes fesses mais c'est toujours mieux que rien. D'un coup d’œil, je ne peux m'empêcher de regarder un peu son torse, mais je tourne rapidement la tête vers mes cours que je rassemble d'un coup de main. "Tu n'as pas de cours aujourd'hui ?!" Juste pour parler. J'espère le saouler vite pour qu'il parte avant les dix minutes qu'il a décidé de passer ici.


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Tu t'allonges sur ce lit confortable et tu te dis que t'es bien là, loin de cette folle avec qui tu as passé la nuit. Il est moelleux ce plumard et en plus, petit bonus, t'as une délicieuse créature presque à poil juste à côté de toi. Tu abordes ta précédente nuit sans rougir, ça t'amuse même de t'être fait piéger comme un bleu. Ne jamais rentrer avec la première venue, tu le sais en plus Yaël putain, t'as déconné à plein tube sur ce coup-là. Ta conquête va lancer des rumeurs sur toi, t'en as rien à foutre, ta réputation n'est pas au top niveau de toute façon. - De la fille avec qui j'ai passé la nuit mais je dois bien avouer que son prénom m'échappe totalement. Elle a cru que ... Je ne sais pas ce qu'elle a cru d'ailleurs, que j'étais l'homme de sa vie peut-être. Vous êtes toutes désespérés à ce point là chez les Cabots ? Ce n'est pas vraiment une question mais plus une constatation, un fait, une évidence. Tu t'allonges toujours un peu plus sur ce putain de lit, tu es bien ici, au chaud. Tu n'as pas envie de rentrer dans ton 20m² où il n'y a pas vraiment de chauffage car tu n'as pas payé les factures du mois dernier. - Hors de question que je parte maintenant, tu peux toujours essayer de me virer de ton lit, les seins à l'air, je ne demande pas mieux moi. Tu rigoles bêtement, ton rire a toujours été bête et plutôt communicatif. - Tu as pensé tellement fort à moi que je suis venu jusqu'à toi, on est connecté princesse, rajoutes-tu. Vous ne faites que de vous engueuler mais dans le fond, cette fille a du chien et ça t'attire inévitablement. Tu lèves ta tête pour la voir s'approcher timidement de toi. Elle te grogne dessus pour avoir ta veste, ça te fait bien rire. - Viens la chercher. Tu en espères presque que la couette ne tombe. Tu la laisses poser ses mains froides sur le haut de ton corps bouillant. Tu te retrouves torse nu mais tu n'as pas à rougir de ta musculation, au pire, tu t'en fous complètement de lui plaire ou non. Tu t'affales de nouveau sur le lit en la regardant s'habiller de ta veste. Tu vois son dos nu et quelques formes que tu devines de l'autre côté. Tes yeux se plissent pour chasser ces pensées impurs. Elle est belle Olympe, tu ne peux pas le nier. Belle oui mais exécrable. Tu donnerais presque ton salaire de misère pour en voir un peu plus. Elle se lève et tu la suis du regard. Pas besoin de payer pour la voir en petite culotte finalement. Tu te mords la lèvre inférieur en relevant les yeux vers elle. - Pourquoi tu es aussi casse couille ? Regardes-toi, pas un seul défaut physique, t'es magnifique, n'importe quel homme vendrait père et mère pour toucher ta peau ... Pourquoi t'as un caractère de merde sérieux ? Tu viens d'ignorer sa question donc tu reprends en te redressant sur le lit. - J'ai cours que cet après-midi et toi ? Tu regardes tout autour de toi. - On est bien dans ta chambre, dans ton lit, je fais comme chez moi. Tu ôtes vite fait ton jean pour te retrouver en caleçon et te fou sous les couettes.
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Qui peut croire qu'il est l'homme d'une vie ? Je lève les yeux au ciel. Cette fille non plus, n'a pas pu le croire. C'est impossible. Marshall, c'est le chewing-gum sous la chaussure. Il est toujours là quand on n'a pas besoin de lui, et on a du mal à s'en débarrasser. Le seul avantage qu'il a, c'est sûrement un physique pas désagréable à regarder, c'est tout. Il rit tout seul de ses bêtises, de cette connexion qui n'existe pas autre que part le fait que je ne le supporte pas. Nous pourrions être amis sûrement, s'il n'avait pas ce caractère insupportable. Je me bats pour récupérer sa veste et finis enfin par lui enlever et l'enfiler. « Tu aimerais bien voir mes seins, espèce de pervers ! » Lui dis-je alors que je lui tourne le dos. Un coup d’œil par dessus mon épaule me prouve bien qu'il observe mon dos, et sûrement le dessin discret de ma poitrine. Je ne m'en offusque pas, j'aime plaire aux hommes, même si c'est Marshall. Ce n'est pas désagréable, loin de là, et la chaleur monte dans mon ventre sans que je ne puisse l'empêcher. Secouer la tête, oublier qu'il est là. Et alors que j'ai fait mon effet, je vais vers mes cours pour les remettre en ordre. Je tends l'oreille à ses mots, lui tournant le dos et arrête tous mes mouvements. Qui vendrait père et mère pour moi Marshall... toi ? Il m'a coupé l'herbe sous le pied, je ne pensais pas qu'il me trouvait magnifique. Ça me fait bizarre d'entendre ça de sa bouche. Six années que l'on se connaît, que l'on se tire dans les pattes, que l'on s'engueule, que l'on se cherche et se repousse, et c'est la première fois qu'il me dit qu'il me trouve belle. La muraille se fissure un peu, mais je reprends contenance rapidement. « J'ai un caractère de merde pour éviter que des mecs comme toi ne me touchent justement. » Pas vraiment franche à vrai dire. Qu'est ce que ça veut dire des mecs comme lui ? Sans argent ? Qui couche avec n'importe qui, même les filles qui ne lui plaisent pas ? Avec un caractère de merde ? Il a un physique parfait, je ne peux pas le nier, mais je vais m'empêcher de lui avouer. Parfois, j'ai envie de me donner au premier venu, qu'il fasse partir ce poids, qu'il me fasse découvrir les joies du sexe. Et puis ma raison reprend toujours le dessus. Ma virginité, je ne compte pas la donner à n'importe qui, et c'est important de bien le choisir. Il n'y aura qu'un seul essai, qu'une première fois. « Que cet après midi ?!» J'ai pensé à haute voix, et me retourne vers lui alors qu'il quitte son pantalon en me disant qu'on est bien ici. C'est une blague Marshall ! Tu viens de baiser avec une fille, et tu te couches dans mon lit ? Je fais rapidement les quelques mètres qui nous séparent, soulève la couette et attrape sa cheville pour essayer de le tirer hors du lit. « Tu es sérieux là ?! Va au moins prendre une douche ! » Mes draps sont propres, je n'ai pas besoin qu'il ne salisse tout. Voyant que je ne vais pas y arriver de cette manières là, je monte au dessus de ses jambes, et tire sur son bras pour qu'il se lève. Mon regard ne quitte plus le sien. « Yaël, je ne rigole pas ! » J'te prête mon lit si tu veux, mais va te laver. Mes doigts sur sa peau brûlante, l'électrochoc quand je regarde son torse nu, habillé d'une simple caleçon, dans mon lit. Je secoue la tête pour faire fuir les images qui y apparaissent malgré moi. Je me mords la lèvre inconsciemment. Il faudrait que je le mette dehors, mais je crois que je n'en ai plus la force.


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Tu lèves les yeux au ciel lorsque sa remarque désobligeante parvient à tes oreilles, tu rigoles même un peu. Un mec comme toi, ça veut tout et rien dire mais venant d'elle, tu prends ça comme un compliment. Tu es loin d'être le mec parfait et ça te convient parfaitement. Tu sais que tu ne plais pas à tout le monde et heureusement, tu aimes faire polémique, ça te plait de déranger et ne pas faire l'unanimité. - Que cet après-midi oui, c'est calme en ce moment les cours, je commence bientôt mon stage de 3 semaines, j'ai beaucoup de trucs à préparer. Bref. Tu n'entres pas dans les détails, tu sais qu'elle s'en fou et tu n'es pas du genre à parler beaucoup de toi. Tu es parfois bien égoïste mais surement pas égocentrique ou narcissique. Rapidement tu défais ton jean que tu laisses tomber par terre. Ses couettes sont douces, t'as surement jamais été dans des draps aussi soyeux. C'est une putain de riche la Rothschild, tu l'envies parfois, tu te demandes comment serait ta vie si ton compte en banque ne passait pas dans le rouge tous les deux jours. Olympe s'approche de toi et défait la couette pour découvrir ton corps, tu baisses la tête en râlant, t'étais bien au chaud là. - Ouais je suis sérieux, pourquoi une douche, t'as peur que je salisse tes draps blancs ? T'as quand même pas une couche de crasse sur toi. Tu t'amuses à la taquiner alors que tu sais pertinemment que tu as l'odeur d'une autre sur toi. C'est plaisant de la faire chier. Elle grimpe sur le lit pour te dominer de haut, tu souris parce qu'elle ne se rend pas compte de la vue qu'elle t'offre. Elle est au courant Olympe que son bas en dentelle est transparent ? Surement pas, sinon elle ne ferait pas ça. Elle t'agrippe le bras et essaie de te tirer dehors. Tu rigoles en constatant la force de mouche qu'elle a. - Moi non plus je ne rigole pas, j'ai l'air de rigoler ? A ton tour, tu choppes son bras et tu tires dans ta direction pour qu'elle tombe sur toi. - Tu vas être une gentille fille et me laisser dormir dans ton lit, c'est dommage pour toi, tu n'as pas assez force pour me virer de là. Tu la sens plutôt mal à l'aise ou tu rêves ? Maintenant qu'elle est assise sur toi, tu viens t'asseoir pour rapprocher ton corps du sien. - Je vais prendre une douche à une condition. Tes doigts se posent malicieusement sur la fermeture éclair de ton pull. - Tu me rends mon pull ... maintenant. Tu la défies du regard, tu veux juste vérifier si elle est vraiment mal à l'aise de cette soudaine proximité ou si elle bluffe.
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Il me parle de ses cours et de son stage qui va bientôt débuter, mais je m'en fiche totalement. Je veux juste trouver un moyen qu'il ne parte de ma chambre, et rapidement. Il n'a malheureusement pas de cours avant un moment, alors cette technique là ne fonctionne pas. Et je me prends une gifle quand je comprends qu'il a bien l'intention de rester dans mon lit un long moment. Je suis un peu maniaque, je ne supporte pas les odeurs des autres dans mon lit, encore moins d'une fille de ma confrérie mélangée à l'odeur de Yaël. Ça me donne des hauts le cœur, rien que de l'imaginer. Je n'arrive pas à le faire bouger d'un iota. Sans abandonner, je l'écoute camper sur ses positions. Hors de question que tu restes dans mon lit alors que tu es dégueulasse ! Alors que ma colère monte, il m'attrape le bras, me déséquilibre et je finis par tomber sur lui. Mon malaise était déjà important, mais il devient presque palpable. Mon corps froid se réchauffe au contact du sien. « Je ne suis pas une gentille fille. Et tu es chez moi ne l'oublie pas ! » Que je grogne, mécontente de me retrouver comme ça sur lui, et comprenant enfin la vision que je lui offre. Je penche la tête en avant, observe mon entre-jambes et la dentelle qui ne cache finalement pas grand chose. Quelle idiote... Il se redresse, et je me retrouve à califourchon sur ses jambes. La chaleur de son torse traverse le tissu de la veste, et nos visages se rapprochent dangereusement. « Quelle condition ? » Il croit qu'il est en position de supériorité en plus. Ses doigts s'approchent de ma poitrine, avant de se poser sur la fermeture éclair. « Tu te moques de moi ? » Il crève d'envie de les voir mes seins, depuis des années peut-être, et je ne veux pas lui faire ce plaisir. Ses yeux ne quittent plus les miens, et je suis coincée dans le dilemme qu'il me propose. Je ne suis pas ce genre de fille qui se déshabille devant un mec parce qu'il le demande. Mais je refuse qu'il ne remarque que je suis mal à l'aise, ainsi assise contre lui, mes hormones en feu. Il faut jouer, tant pis pour ma dignité détériorée. « Soit. » La voix claque comme un fouet, la décision est prise à contre cœur. Je pousse vivement sa main, et descend la fermeture éclair moi même. Mon cœur bat la chamade dans ma poitrine. La veste vite enlevée, il n'a que peu de temps pour me voir seins nus et je lui plaque la veste sur le visage. Mon bras gauche cache ma poitrine le temps qu'il ne se débarrasse de ce qui cache sa vue. « T'es un sale pervers Marshall... » Un peu dépitée par le jeune homme et sa demande. Un gamin, voilà ce qu'il est.


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C'est un moment un peu bizarre que tu partages avec Olympe en ce moment. Elle t'énerve par sa condition de princesse superficielle et imbus d'elle-même mais tu ne peux pas nier l'évidence. Elle est belle et si elle n'était pas aussi capricieuse, elle pourrait te plaire. C'est sur même. Les doigts sur la fermeture éclair, tu meurs d'envie de l'abaisser lentement pour voir, ne serait ce que le creux entre ses deux seins. Tu n'es pas obligé de tout voir, juste un peu, de quoi nourrir ton imagination débordante. Tes yeux se plantent dans ceux d'Olympe, le silence règne autour de vous et est propice à ce rapprochement. Tu flirtes avec elle, clairement, tu ne t'en caches pas. Même si tu ne connais absolument rien d'elle hormis le fait que c'est une Rothschild, elle arrive à attiser ta curiosité. C'est rare. Contre toute attente, elle acquiesce et semble prête à te donner ce que tu veux juste pour que t'ailles te doucher. Tu baisses machinalement tes yeux pour admirer la vue. Un sourire pervers se place sur ton visage. Tu aperçois furtivement un téton puis deux mais elle te jette bien vide ton pull en pleine gueule. Tu as juste le temps de fermer les yeux pour éviter de recevoir un cordon dedans. - Houuu ... Tu n'as même pas le temps de réagir qu'elle a déjà caché ses seins avec son bras. T'es partagé entre la déception et l'excitation. Elle ne bluffait pas tout à l'heure en fait. - Si c'est être un pervers que de vouloir admirer tes formes parfaites alors oui, je suis un pervers, un putain de gros pervers même. Tes yeux se lèvent pour la regarder, tu n'es pas gêné, tu es satisfait de ce que tu viens d'avoir.- Je n'ai qu'une parole Rothschild, vires ton petit cul de sur moi, je vais prendre une douche. Tu la regardes se bouger avec une furieuse envie de lui sauter dessus. Calmes-toi Yaël. A ton tour, tu te lèves et attrapes ton jean au passage. Il est hors de question que tu ne lui laisses ton portable, tu n'as pas confiance en cette bourge. - Je laisse la pote ouverte Rothschild, je suis certain que ta douche est assez grande pour deux. Si tu ne sais pas quoi faire, rejoins-moi, que tu dis sans te retourner. Tu entends déjà ses remarques négatives et désobligeantes à ton sujet, ça te fait délirer d'avance.
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Oui, tu es un gros pervers Marshall, et tu finis même par l'avouer. Je n'en reviens pas de ce que je viens de faire. Et je me sens légèrement excitée d'être sur lui, ma culotte en dentelle me couvrant à peine, laissant l'imagination du jeune homme fonctionner. Et mon corps essaye de prouver à mon cerveau qu'il me plaît assez. Qui aime bien, châtie bien dit on. Mais toutes ces années, je n'ai vu que notre guerre se jouer. On se déteste, c'est comme ça, il ne faut pas l'oublier. Ce qui me plaît, c'est qu'il n'a qu'une seule parole. Je me soulève un peu, me cachant sous la couette dès que je le peux. Est ce que je le quitte à contre cœur ? Peut-être un peu, mais je secoue la tête pour ne pas y penser. Je le regarde se lever, et bougonne quand j'entends que je peux le rejoindre sous la douche si je m'ennuie. « Dégage de là, j'veux plus te voir au moins quelques minutes ! » Je lance mon coussin dans sa direction, mais il s'écrase contre le mur à côté de la porte de ma salle de bain. « Tu vas sentir la fleur de tiaré, ça sera toujours mieux que cette odeur affreuse de transpiration... » Mais je ne suis plus certaine qu'il m'écoute. L'eau coule, et je me lève en vitesse pour enfiler le soutien gorge assorti au shorty, avant de m'enrouler dans un peignoir en soie rouge. Je recherche mon portable des yeux, et me cogne le front avec la paume de ma main en repensant qu'il est dans la salle de bain. Il est hors de question que je le laisse avec mon téléphone, avec toutes les conneries qu'il pourrait faire dessus. Un soupire sort d'entre mes lèvres. Franchement... je suis obligée de faire ça ? J'avance vers la porte, et frappe, mais aucune réponse. Je finis par décider d'entrer, me cachant les yeux de la main, tournant la tête à l'opposé de la douche. « Je ne rentre pas pour te voir à poil... ni pour te rejoindre sous la douche. » Je remarque ses vêtements à lui, les évite, et cherche mon téléphone. Le bruit de l'eau qui frappe sa peau m'attire. J'écarte un peu les doigts, l'observe discrètement derrière la paroi vitrée, floutée au niveau de son entre jambes. Et je maltraite ma lèvre une nouvelle fois avec mes dents. Cette douce torture. Je préfère fermer les yeux d'un coup sec de paupières, et reprendre la recherche du portable.


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Bien sûr que tu vas laisser la porte ouverte, tu n'es pas pudique et tu as bien remarqué qu'elle ne bluffe pas. Tu entres dans la salle de bain et mets la porte contre, sans la fermer. Le temps va se charger du reste. Tu fais un repérage visuel des yeux et la première remarque qui te viens à l'esprit c'est : putain la salle de bain de bâtard. Elle est immense, plus grande que ta cuisine et ton salon réunis. Tu souris bêtement, t'as cette foutue impression de ne pas avoir le droit d'être là. Le luxe ce n'est pas ton truc mais tu ne dis pas non à une bonne douche dans un endroit aussi spacieux et éclairé. J'exagère surement un peu, tu ne vis pas dans un taudis insalubre mais presque. Tu fais glisser ton caleçon jusqu'à tes chevilles et le balance sur un banc d'un mouvement de pied. Putain, tu y crois toi ? Elle a un banc dans sa salle de bain, t'as jamais vu ça. Tu sautes rapidement dans la douche et fait couler l'eau tiède sur toi. Tu meurs d'envie d'une douche depuis que tu t'es réveillé mais tu ne vas surement pas l'avouer à Olympe. Bah nan, tu joues aux cons jusqu'au bout. Tu actionnes le pommeau au dessus de toi et te mets dans l'angle de l'eau qui te recouvre entièrement. Tu soupires de bien être et attrapes aveuglement la première bouteille venue, tu ouvres un oeil et constate que c'est du shampoing. Tu renverses du liquide dans ta main avant de l'appliquer sur ton épaisse tignasse. L'eau vient rincer la mousse et, avant que tu ne partes en exploration pour trouver la bouteille de gel douche, tu entends la Rothschild parler dans la salle de bain. - Tu rentres pour mater mes fesses, assumes-le au moins, dis-tu en expulsant le peu d'eau qui est entré dans ta bouche. Tu ouvres un oeil et te retourne pour passer la tête hors de la douche. Tu vois Olympe, une main sur ses yeux, l'autre cherchant désespérément quelque chose. Tu fais quoi là ? Ça fuse dans ta tête, tu as trois secondes pour agir, pas une de plus. Soit tu laisses ta raison agir et tu retournes bien sagement te doucher, soit tu improvises. Va pour l'improvisation ? Ok. Ni une, ni deux, tu attrapes sa main libre et la tire vers toi. Tu ne lui laisses pas le temps de capter ce qu'il se passe que tu l'entraînes avec toi sous la douche. Son peignoir se mouille délicatement, l'eau c'est toi qui l'a pour l'instant. - Je veux juste m'assurer que la douche est assez grande pour deux, ça a l'air d'aller ... tu murmures en t'approchant dangereusement d'elle. Le dos d'Olympe bute délicatement contre la paroi, l'eau coule sur le tien de dos. T'es proche d'elle, bien plus proche que tout à l'heure. Ta respiration se rend audible. God. T'as juste envie de l'embrasser, c'est pas normal ça.
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