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(elliga) will you be the light i need so desperately?

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Je serre doucement tes doigts dans les tiens. « Je peux te promettre que je vais essayer… » Mais j’peux pas te promettre que j’me mettrai pas en danger. Surtout que pour moi, ça n’avait pas été inutile. J’avais rendu justice à mon bro quand les flics ne faisaient pas leur taf. Ouais, j’vais finir justicier de Boston. Et je caressais vaguement ta joue quand tu proposais de me garder debout, m’assurant qu’on pouvait guérir de tout. Un geste doux, tendre, furtif presque. « Forcément, personne n’aura la même vision de toi selon les histoires que t’auras vécu avec eux, selon s’ils te connaissent vraiment ou pas… Mais pour moi, t’es assez, et t’es une bonne personne. » Après, j’pouvais pas dire si tu jouais un rôle ou pas avec moi. J’pense pas, mais je suppose que je ne te connaissais pas assez pour réellement le savoir. Mes mains dans les tiennes, tes mots, ils me touchaient ouais, parce que personne ne s’était posé pour me dire quelque chose comme ça. Et pour simple réponse, je me penchais pour t’offrir un réel baiser, sincère, intense, plein d’émotion, de tendresse, de douceur, mais aussi de passion. Ce genre de baiser explosif tellement il contient de choses. Ce baiser qui nous coupe le souffle et nous donne une sensation de trop-peu, une envie d’aller plus loin. « Tu veux qu’on rentre? J’pense qu’on a passé assez de temps ici… » que je chuchote contre tes lèvres rosies par mon baiser, posant mon front contre le tien, l’une de mes mains glissant sur ta joue pour ensuite se perdre dans tes cheveux. J’suis bien avec toi. Et je sais que t’as besoin d’étiquette, mais moi, j’ai juste pas envie de perdre ça pour l’instant. J’veux juste profiter un peu de ce bonheur inattendu.

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« je crois que je vais me contenter de ça pour le moment alors » que je soufflais d’un léger sourire. c’était mieux que rien et sûrement que je n’avais pas assez d’impact sur toi pour réellement te demander de changer ta manière d’agir ou de faire les choses. et j’sais pas, j’étais bien là. parce que t’arrivais à me rassurer avec tes paroles, t’arrivais à me faire sentir importante à tes yeux et.. les gestes que t’avais envers moi.. ouais, j’étais clairement sur un petit nuage quand j’étais en ta présence et ouais, j’voulais juste rester comme ça. « j’aime t’entendre dire ça » vraiment. c’était rassurant. j’aimais cette image que tu avais de moi. j’aimais entendre que tu me considérais comme une bonne personne. mais ce qui était encore mieux que ça, c’était le fait que tu poses tes lèvres sur les miennes juste après m’offrant l’un des plus beaux baisers qu’on aient jamais eu. et je dévorais tes lèvres, littéralement. j’en perdais limite le souffle à t’embrasser de la sorte comme si c’était la meilleure chose au monde. « qu’on rentre où ? » que je soufflais à mon tour. parce que là, j’avais juste pas envie d’être avec les autres, j’voulais juste être avec toi. et j’revenais chercher tes lèvres avec douceur, mes doigts s’accrochant à tes cheveux, ma langue venant chercher la tienne avec une envie non contenu. j’savais même pas pourquoi tu me faisais autant d’effet mais c’était le cas. ça me prenait littéralement aux tripes par moment, comme maintenant. « parce que chez toi, ça me semble être plutôt une bonne idée. » que je reprend doucement contre tes lèvres te relâchant un peu.
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Et j’pourrais le répéter encore et encore. Parce que moi, j’étais pas comme toi, j’pensais pas que tout le monde était bon, j’savais que y’avait du noir et y’avait du blanc en chacun de nous, mais chez toi, le blanc surpassait le noir. T’étais un beau gris clair. Un bel argenté. Alors je me contente de me la fermer, et de venir t’embrasser à la place, avant de te proposer de rentrer. Et tu revenais prendre mes lèvres d’assaut, ma main s’accrochait un peu plus dans tes cheveux pour intensifier notre échange, nos langues s’entrelaçant avant que tu ne quittes à peine mes lèvres pour chuchoter. Ah oui, j’aurais du préciser. Mais bien sûr que je voulais dire, rentrer chez moi ou chez toi. J’hoche donc la tête dans un petit sourire, te volant un dernier baiser avant de me décaler jusqu’à la fenêtre pour l’enjamber en sens inverse, te tendant la main pour que tu me rejoignes. « Tu viens quand même souvent chez moi je trouve, va falloir instaurer des règles moi j’dis. » Toujours ce même sourire malicieux aux lèvres, ce sourire qui disait ‘non, ça me dérange pas le moins du monde de passer mes nuits avec toi mais qui aime bien châtie bien’.

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et c’était tellement pas moi ça. j’étais le genre de fille sage. j’couchais pas pour coucher. les coups d’un soir ça ne m’intéressait pas et sûrement que du coup ça faisait de moi une nana pas drôle mais c’était comme ça. sauf que là, il s’agissait d’elliot et peut être que j’espérais au fond que les choses évoluent vraiment. qu’il finisse par vouloir mettre des étiquettes. j’en savais rien en vrai. pour la première fois, je me laissais juste porter par mes envies en fait. et là, j’avais envie d’être avec lui. juste avec lui. attrapant ta main, j’enjambais la fenêtre à mon tour savourant sûrement un peu trop la chaleur intérieure. « ah oui ? j’suis curieuse d’entendre ça. » que je répondais du même sourire entourant son cou de mes bras pour venir l’embrasser une nouvelle fois. « alors, quelles sont les règles chef ? » que je demandais amusée. et en soit, ce n’était rien d’autre que la troisième fois et.. ah ouais, notre quatrième rendez-vous. donc peut être que ouais, j’allais un peu souvent chez toi en fait. prenant un air innocent, je passais ma main dans tes cheveux avant de finalement la glisser dans ta main pour t’entrainer hors de la salle de bain. dans tous les cas, règles ou pas, on allait chez toi donc autant se mettre en route. « t’as besoin d’aller récupérer quelque chose ? » parce que tu étais arrivé largement avant moi alors en soit, peut être que tu avais des affaires ou quelqu’un à aller voir.
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Je t’invite à me rejoindre à l’intérieur et ouais, la chaleur de la villa me fait un bien fou parce que j’ai la peau glacée. Faut dire que c’est toi qui porte mon sweat, moi je suis toujours torse nu et il fait pas super chaud dehors. Bien sûr, t’es là pour faire monter la température, mais… Non, faut pas que mon esprit dévie sur ce chemin là. Donc j’utilise l’humour, je plaisante sur des potentielles règles à instaurer puisque tu dors quand même souvent chez moi. En vrai, j’sais pas si c’est souvent. J’sais juste que c’est arrivé quelques fois en très peu de temps. Alors moi, ça me parait être assez souvent. Bref, mon cerveau, je me suis compris. Tes bras passent autour de mon cou et mes mains se posent sur ta taille quand tu m’embrasses à nouveau. Putain, j’pourrais vraiment prendre goût à tout ça et… ouais, ça craint pour mon coeur ça. Tu caresses rapidement mes cheveux, geste qui m’arrache un frisson et je souris quand tu m’attires hors de la salle de bain. Je reprends les devants pour descendre les escaliers et je secoue la tête à ta question. « J’enverrai un message à Ernesto mais j’pense qu’il doit être bien entouré actuellement… » C’était un tombeur, il devait se retrouver avec une ardoise de verres en réserve ce gars. « Allez viens. » dis-je en te tirant à travers la porte d’entrée pour définitivement quitter cette soirée mouvementée. On marche un peu et j’attends que le boum boum des basses soit quasiment inaudible pour reprendre la parole. « Aloooors, les règles… » J’hausse quelque peu les sourcils de façon amusée pour te taquiner. Main dans la main, je décide qu’on fasse un bout du chemin à pied. Ma villa n’était pas à côté mais on prendrait un taxi en cours de chemin au pire. J’aimais bien l’air frais et la tranquillité de la nuit pour l’instant. « Tu vois, moi, j’ai mes habitudes chez moi, et quand t’es venue jusqu’à présent j’ai fait attention parce que ben, voilà c’était les premières fois qu’on se voyait. Mais comme tu viens assez régulièrement, va falloir te faire à mes habitudes. » J’arque un sourcil, un air de défi sur le visage. « Je me balade toujours en boxer dans la villa. Et je dors nu normalement. Bon, si t’insistes je t’épargne la nudité, mais j’mettrai rien de plus qu’un boxer parce que je supporte pas les fringues. » Dixit le gars torse nu dans les rues de Boston, au calme. « Normalement je partage pas mon plaid mais j’veux bien faire une exception pour toi s’il est partagé équitablement. » Pas comme l’autre fois, hein! « Et t’as le droit de laisser quelques affaires chez moi si tu veux… Genre, quelques fringues, du shampoing, une brosse à dents. Ça t’évitera de toujours ramener un gros sac quand tu passeras la nuit dans mon lit. » Même Cléo n’avait jamais eu de brosse à dents chez moi. En même temps, faut dire qu’elle y avait dormi, quoi? Deux fois? C’était toujours moi qui allait chez elle. « Et je veux pas des cheveux partout dans la douche hein! » Attention, parfois j’suis maniaque. « Je dors dans le noir complet, aucune lumière sinon j’arrive pas. Et faut pas que t’aies peur, parfois je fais des insomnies ou des cauchemars. Ou des crises de panique. Ah, et j’préfère les petits-déjeuners anglais. Oeufs brouillés et bacon. » Je tournais la tête vers toi après toutes ces infos, pour voir ton expression. Est-ce que j’t’avais fait flippé? Est-ce que y’avait eu trop d’informations d’un coup?

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« ça marche » que je souffle d’un sourire, ma main toujours dans la tienne, te suivant à travers les escaliers. et on avançait dans la rue, moi toujours dans ton sweet, toi toujours torse nu malgré la fraîcheur de la nuit. et il se passait un temps infini sans un mot hormis les basses résonnant jusque bas dans la rue. finalement, c’était toi qui reprenait la parole, les règles revenant sur le tapis. esquissant un sourire, je gardais pourtant le sourire prête à entendre les exigences que tu pouvais avoir. et clairement, j’avais l’impression de passer par toutes les émotions au fur et à mesure de tes mots. renfrognée par moment, ne pouvant m’empêcher de sourire à d’autre. quand t’avais fini, c’était encore le silence qui venait nous envelopper, je continuais à avancer, assimilant tout ce que tu venais de me dire. « dooonc, toujours à moitié nu, le plaid tant qu’il est en garde partagé, brosse à dent et shampoing chez toi, nettoyer mes cheveux dans la douche et zéro lumière pour dormir » joli synthèse non ? « il parait que je fais les meilleurs oeufs brouillés au monde » donc c’était ma manière à moi d’accepter toutes les règles que tu venait d’énoncer. continuant à marcher quelques secondes, je m’arrêtais soudainement lâchant ta main. « maaais, j’ai quelques règles aussi » un petit sourire malicieux et je reprenais marchant à reculons pour continuer à te regarder. « si je viens à dormir chez toi souvent et que je laisse des affaires, ça veut dire que je suis la seule à avoir ce privilège » donc concrètement, je partage pas le pot de brosse à dent avec une autre que tu aurais envie de voir quand je ne serais pas présente. « je prépare chacun de tes petits déjeuners si j’ai le droit de venir au moins deux fois par semaine » j’arrêtais de marcher croisant mes bras sur ma poitrine « et si tu dors nu ce n’est pas mon cas donc pas de négociation de ce côté là » peut être un peu trop pudique, pardon.
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Tu faisais un bref résumé de tout ce que je venais de dire et… ouais, c’était à peu près ça. Et ta remarque sur les oeufs brouillés me fit sourire. Ça veut dire oui? Je crois bien, puisque tu continues d’avancer. « J’ai hâte de voir ça. » Attention, j’suis un connaisseur, je me suis fait les meilleurs brunchs de la ville. Et soudainement, tu te stoppes dans ton élan, m’annonçant que toi aussi t’avais quelques règles. « Toi, t’as des règles pour chez moi? Ben tiens. Culottée. » que j’observe, sourcil arqué, sourire quelque peu amusé. Tu reprends ta marche à reculons face à moi. Je t’écoute, vas-y. Mes sourcils se froncent quelque peu. Tu veux avoir le privilège d’être la seule avec un tiroir à toi chez moi? « C’est déjà le cas. » Personne n’avait d’affaires chez moi, pas même Serah. « T’es prête à préparer tous mes petits-dej? T’es sûre de toi? Parce que j’risque de râler si tu tiens pas ta promesse. » Ouais, ça aussi ça voulait dire que j’acceptais que tu viennes dormir avec moi au moins deux fois par semaine. Tu stoppes à nouveau ta marche et croises les bras sur ta poitrine. Et je roule des yeux. « Tu dors comment alors? » Si tu dormais avec un sweater et un pantalon, j’pouvais peut-être négocier un short et un débardeur non? « Et arrête de faire ton autoritaire, ça marche pas avec moi. » dis-je en pointant des bras croisés de mon index, venant à la place attraper ta main, levant la deuxième pour interpeler un taxi. « Comment tu vas tenir les comptes? Tu vas des croix sur le calendrier? » Et mis à part les plaisanteries, j'savais pas ce qu'on foutait là, j'savais pas à quoi on était en train de jouer. Mais j'savais qu'à partir de maintenant, notre relation avait pris un nouveau tournant. Et j'étais pas sûr de savoir si ça m'excitait ou si ça m'effrayait. Peut-être les deux en même temps, en fait.

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donc ouais, j’avais fini par exposer mes propres règles. et oui, tu avais raison sur le fait que j’étais culottée. parce que comme tu venais gentiment de le faire remarquer, j’imposais des choses chez toi. mais c’était moi et ma spontanéité alors ouais, je faisais ma propre liste des choses que je voulais amusée des commentaires que tu pouvais faire. « tous tes petits-dej quand je serais là. ne crois pas non plus que je vais me lever le matin pour venir te cuisiner quoi que ce soit si je suis chez moi » que je corrige. parce qu’il ne fallait pas non plus abuser sur certaines choses. « avec un tee-shirt ? » que je répondais en haussant les épaules. genre, un tee shirt de foot généralement. qui me tombait juste au dessus des genoux. rien d’étrange en fait. t’adressant une grimace, je te laissais reprendre ma main alors que t’appelais un taxi par la même occasion. « probablement. un planning exprès pour ça avec des pastilles de couleur pour bien différencier chaque chose. je t’en ferais un si tu veux » désolée mais j’étais pire qu’organisée dans ma vie, j’y pouvais pas grand chose. et sûrement qu’en fait, j’aimais un peu trop contrôler les choses. montant dans le taxi, toi à ma suite, je te laissais donner l’adresse alors qu’on débattait sur les règles pendant tout le trajet. et une fois arrivés à destination, tranquillement installés dans ta chambre, on pouvait reprendre ce que l’on avait commencé sur le toit sans se soucier de quoi que ce soit. c’était juste toi, moi et l’alchimie bien présente qu’il pouvait y avoir entre nous.
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