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(zeno) i hope we find our peace someday

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(zeno) i hope we find our peace someday 170712035502280127


Toi et moi, c’était de l’histoire ancienne. Un truc de vacances à la con, un truc d’ados qui ne savent pas ce qu’ils sont en train de faire. Alors pourquoi j’t’avais lié? Pourquoi ma curiosité m’avait poussé à voir si c’était bien toi? Pourquoi t’en avais fait de même? Pourquoi j’t’avais incité à venir chez moi ce soir? J’voulais pas de tout ça. J’avais changé, grandi, muri. J’étais un homme à femmes, rien d’autre. Et puis cette histoire, ce semblant d’histoire qu’il y a eu entre toi et moi, je n’en ai jamais parlé à personne. Pas même à Nath. J’enfile un t-shirt pour éviter d’être torse nu quand tu frappes à la porte. D’ailleurs, tes coups retentissent et je viens finalement t’ouvrir la porte. T’as pas changé. T’as la même belle gueule, peut-être un peu durcie par l’expérience de la vie. Et ça me fout une claque de te revoir, mais bien sûr, j’le montre pas. Non, j’me décale juste de la porte pour te laisser entrer dans ma villa. Super idée hein? Comme ça maintenant, si t'as envie de débarquer, tu sais où j’habite. Super malin, Elliot, bravo.
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J’pensais pas te revoir. Ni maintenant, ni jamais. Parce que t’étais ce mec que j’avais rencontré en vacance, celui avec qui j’avais probablement passé les plus belles vacances de ma vie d’ailleurs, mais qui était voué à n’être que ça –un summer fling. Pas d’étiquette, pas de mot compliqué, pas de sentiments exprimés à voix haute. Juste un moment parfait qui s’était terminé trop vite et qui resterait toujours là, dans ma mémoire. Sauf que t’étais à Boston et moi aussi. Que t’étais sur Tinder et moi aussi. Que tu m’avais liké et moi aussi. Alors bien sûr, j’avais été obligé de pousser… Pousser jusqu’à m’inviter chez toi et me trouver devant la porte de ta villa. Je lâchai un petit rire en voyant la piaule, of course, notre appart avec Vega et Saphir pourrait probablement tenir dans votre salon. C’est beau avoir du fric. Je cogne. Une fois, deux fois, trois fois jusqu’à ce que la porte s’ouvre sur toi, l’air nonchalant. J’avale de travers, serre la mâchoire et entre. Merde. T’as bien vieillit, ta photo d’profil te rend pas justice –du tout même. Je plonge les mains dans mes poches et lève légèrement les yeux. Depuis quand t’es plus grand que moi exactement? Putain, tu dois bien faire 5cm de plus que moi –autrement dit, juste assez pour que je lève un peu les yeux pour te regarder. « Salut.. »
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Clairement, j’savais même pas pourquoi on se revoyait. À quoi bon? À quoi ça servirait? Rien. Parce qu’on n’était rien toi et moi. J’étais même pas sur qu’on l’ait été à un moment donné. Cet été là, ces deux semaines partagées à Brisbane? Est-ce que ca comptait réellement? J’avais seize ans. T’en avais pas beaucoup plus - dix huit je crois? On était deux gamins. Toi un peu plus sûr de toi que moi. Un peu plus libre aussi. T’avais pas hésité à me faire des avances alors que moi, j’pensais ne devoir avoir des yeux que pour les filles. Depuis, j’avais bien changé. Enfin, j’crois. J’avais eu quelques coups d’un soir avec des hommes. J’avais couché avec Hae-Seong aussi, assez récemment. Mais est-ce que je l’assumais totalement? Pas sûr. J’étais honnête quand on me posait la question. Mais j’voulais pas forcément être vu au bras d’un gars. J’le disais pas de moi-même. C’était presque tabou. Alors quand j’réalisais que je t’avais donné mon adresse, tout ça se compliquait. Parce que tu pourrais débarquer quand bon te semblait. T’étais comme ça toi, quand t’as envie tu prends. Sans forcément demander. Mais c’est trop tard pour reculer, tu frappes déjà à la porte et je t’ouvre - pas tout de suite ceci dit. Je vois ta mâchoire se contracter, je me décale pour te laisse entrer presque à contre-coeur. J’regrette déjà tout ça. T’as pas changé non, juste marqué par la vingtaine, comme moi. Je referme la porte et me dirige vers la cuisine à l’américaine. “Un verre?” que je dis en ouvrant le frigo et les placards pour en sortir quelques bouteilles. J’attends pas ta réponse en fait, je prépare rapidement deux grands Sex on the beach - non, c’était pas intentionnel. Je te le pose sur le comptoir et bois une gorgée du mien. “Ça va?” Que veux-tu que je te dise moi? J’sais même pas pourquoi t’es là.
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Tu ne me retournes pas mes salutations, te contente de tourner les talons pour te diriger vers la cuisine. Je te suis en silence. “Un verre?” J’ouvre les lèvres pour répondre, mais je vois que tu sors déjà deux verres alors j’vois pas trop l’intérêt maintenant. D’toute manière, j’allais pas refuser, j’en avais besoin. Sois toi-même qu’avait dit Vera… ouais, pas si simple. Tu termines tes préparations et te retourne finalement avec deux grands verres de ce qui semble être des Sex on the beach. T’as fait exprès? “Ça va?” Mon regard passe des verres à tes yeux vairons et je prends une grande gorgée avant d’hocher la tête. « Ça va. Et toi? » Eh merde. C’est pas avec du small talk comme ça qu’on ira bien loin. Faut que je trouve un truc à dire, que je te fasse sortir un peu de ta léthargie. Sauf que j’ai les idées aussi sèches que la gorge et j’me retrouve à prendre une gorgée plutôt qu’à parler. Y’a un malaise entre nous, un malaise qui prouve à lui seul que cette histoire entre nous n’est pas que du passé et que ces retrouvailles font indéniablement remonter quelque chose. Je n’sais simplement pas quoi encore. « Écoute mh.. » Où est-ce que j’vais avec ça, hein? J’sais même pas c’que j’veux dire.
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Ouais j’te sers un verre parce que j’en ai besoin. Te voir là en face de moi, ça fait remonter des souvenirs que je pensais avoir totalement oubliés. Normal, ils ont pas eu l’occasion de refaire surface après le crash d’hélico. C’est quand j’ai vu ton nom sur l’écran que quelque chose a tilté dans ma tête. J’pensais réellement ne jamais te revoir. Et ça m’allait. C’était bien comme ça. J’voulais pas que t’habitues dans la même ville que moi. Même un pays différent, c’était cool. Je te lance un ‘ça va?’ qui est simplement là pour dire d’être là, pour être poli. Tu t’enfonces dans ton verre d’alcool avant de me retourner la simple question. Putain, sortez moi de cet enfer. Et quand tu prends enfin la parole, j’te la coupe. « Dis rien. J’vais t’épargner. Je sais pas ce que tu fous là, je sais pas pourquoi t’as réclamé à me voir, mais peu importe ce qu’il s’est passé y’a 6 ou 7 ans j’en sais rien, c’est du passé, c’est fini, ça comptait pas. C’était l’histoire de deux semaines, le soleil qui nous a trop tapé sur la tête, l’effervescence des vacances, j’en sais rien, mais j’veux pas le savoir parce que c’est fini et puis c’est tout. » Putain, elle avait quoi l’Australie, pour m’amener des relations toutes plus compliquées les unes que les autres?

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J’ai même pas le temps de mettre mes idées en place, tu me coupes déjà la parole : « Dis rien. J’vais t’épargner. Je sais pas ce que tu fous là, je sais pas pourquoi t’as réclamé à me voir, mais peu importe ce qu’il s’est passé y’a 6 ou 7 ans j’en sais rien, c’est du passé, c’est fini, ça comptait pas. C’était l’histoire de deux semaines, le soleil qui nous a trop tapé sur la tête, l’effervescence des vacances, j’en sais rien, mais j’veux pas le savoir parce que c’est fini et puis c’est tout. » J’ai un mouvement de recule en entendant tes paroles et je me renfrogne rapidement, serrant les poings et la mâchoire suffisamment fort pour pratiquement me donner une crampe. « Ah ouais, alors tu crois que tu peux tout balayer comme ça du revers de la main? » Je renâcle et plisse les yeux. « Quoi que ce soit qu’il y avait entre nous, tu sais comme moi que c’était pas rien et tu sais aussi que c’est pas que du passé. » Je désigne la pièce d’un mouvement du bras. « J’serais pas ici sinon! » Je dépose mon verre sur le comptoir et traverse la distance entre nous, te pointant d’un doigt menaçant sur ton torse, voix rauque. « Ni tant que tu veux, ton corps t’as toujours trahi. » Mon regard glisse sur ton torse et un peu plus bas avant de venir se reposer dans le tient.
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Tu fais un pas en arrière en entendant mes mots qui sont peut être un peu trop froids pour vraiment me ressembler. Que veux-tu Zeno, j’suis pas moi-même avec toi, parce que tu me rappelles quelqu’un que je suis pas. Une histoire que j’avouerais pouvoir effacer. Peut-être simplement parce que j’l’assume pas entièrement. Parce que coucher avec des mecs, ça m’arrive vite fait une fois tous les trente-six du mois. Mais c’est pas régulier. C’est pas récurrent. Loin de là. Moi ma came, c’est les meufs. Enfin, c’est Cléo. Techniquement j’suis toujours en couple. Tu deviens presque menaçant, poings et mâchoire serrée. Quoi? Tu vas me foutre sur la gueule? Come on. « Ouais, exact, c’est exactement ce que j’ai fait en fait. » Tout balayer du revers de la main. J’en ai jamais parlé à personne, pas même à Nath, t’existes pas, t’existes que dans ma mémoire et celle-ci reste parfois floue te concernant. Tu t’avances et enfonces un doigt accusateur dans mon pectoral, ce qui me fait froncer les sourcils. « Tu te prends pour qui au juste? » T’es juste un gars du passé. Du passé très loin. Et tes mots là, ils ont le don de me gaver. Alors j’envoie valser ton bras pour rompre le contact et je recule d’un pas pour instaurer à nouveau de la distance entre nous. « Ne me touche pas. » Et relève les yeux aussi, au lieu de me dévorer. Mon corps, il te dit rien à part d’aller te faire foutre présentement. À quel moment t’as le droit de débarquer dans ma vie comme ça, six ans plus tard? Tu peux pas, t’as pas le droit.
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« Ouais, exact, c’est exactement ce que j’ai fait en fait. » J’ai peine à croire c’que j’entends. Tu niais ton attirance pour moi à l’époque, mais t’as quand même jamais été aussi borné. Là, on croirait un putain d’enfant gâté qui veut pas grandir. Ouais, t’es pire que Peter Pan en fait. « Tu te prends pour qui au juste? » Je ne réponds même pas à ta question, continuant sur ma lancée en te regardant intensément de la tête aux pieds, un doigt enfoncé violemment dans ton torse. Tu me repousse aussitôt et recule même d’un pas pour instaurer une bonne distance entre nous. « Ne me touche pas. » Je renâcle en secouant la tête, mon sang bouille dans mes veines et, honnêtement, j’ai autant envie de te foutre mon poing sur la gueule que de t’attraper par le col pour t’embrasser. « Moi qui croyait que t’apprendrais à porter tes couilles, apparemment, t’assumes toujours pas ton attirance. » Ma voix n’est que venin alors que je contemple mes options. Partir ou rester, te frapper ou t’faire voir que j’ai raison. Vient pas m’faire croire que j’te plais pu physiquement Elliot, même si tu le jurais sur la tête de ta mère j’te croirais pas.
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J’veux pas que tu me touches, j’veux que t’arrêtes de me regarder avec ces yeux intrusifs, que t’arrêtes d’essayer de lire en moi comme à l’époque. Je suis plus le gamin de seize ans que j’étais, j’ai une vie maintenant, j’suis en couple, et j’ai clairement pas envie de ressasser mes amourettes de vacances insignifiantes. « J’ai rien à assumer, y’a pas d’attirance. » T’es qu’un souvenir, qu’un mirage d’une autre vie. C’était cool, c’était fun, mais c’est fini depuis bien des années. T’façon, t’as toujours été plus avenant que moi. Toi, tout ça, ça t’a jamais dérangé. Ben excuse-moi de ne pas être comme toi. J’suis pas nécessairement à l’aise face à toi, en fait.

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J’peux pas croire qu’on en soit là. Après une discussion plus qu’houleuse sur Tinder et des étranges retrouvailles dans nos vies actuelles alors que nous étions tous les deux persuadés de n’être que du passé, j’découvre que t’es toujours aussi coincé. C’est pas croyable. Et honnêtement? J’crois pas non plus avoir été le premier et dernier gars avec qui t’as baisé. C’est juste pas possible en fait. « J’ai rien à assumer, y’a pas d’attirance. » J’inspire un coup, mais y’a plus rien qui y fait, j’suis beaucoup trop vénère pour empêcher mon poing de partir et de s’abattre directement sur ta belle petite mâchoire dans un craquement sourd. Respiration irrégulière et regard noir, je te fixe en m’attendant à ce que tu me rendes mon coup d’une seconde à l’autre, mais j’men fiche. Parce que je préfère encore ça à aucune réaction de ta part.
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