Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityRose ✱ Le temps s'est arrêté sans toi. Et pourtant quand je te vois, tout redevient normal
-43%
Le deal à ne pas rater :
-100€ Pack rééquipement Philips Hue Play : 3 barres lumineuses ...
129.99 € 229.99 €
Voir le deal


Rose ✱ Le temps s'est arrêté sans toi. Et pourtant quand je te vois, tout redevient normal

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Le temps s'est arrêté sans toi. Et pourtant quand je te vois, tout redevient normal
— with @Rose Bourgeois  

Je quitte une seconde mon appartement. J’avais fini mes dossiers. Tout était prêt pour la semaine prochaine. Et j’avais même appelé ma mère pour lui dire de descendre sur Paris. Elle allait pouvoir profiter du père de Rose. Je savais qu’ils étaient très amis, même si le père de Rose était l’ami d’enfance de mon père. Mais je trouvais ça bien. Je passe ma main dans mes cheveux. J’ai décidé d’y aller à pied. Parce que Franck ce soir avait sa soirée. Et je pouvais profiter d’être dehors. Je passe donc chez le restaurant à emporter français de la ville. Celui qui font les meilleurs plats. Et j’avance jusqu’à l’appartement de Rose. Je suis un peu en retard. Mais je suis là. C’était le plus important non ? J’avais caché mes bleus jaunâtres sous quelques techniques d’Harper. Elle me les avait camouflés pendant un petit moment. Donc je pouvais le faire seul. Ainsi quand j’arrive à la porte pour frapper. Je savais qu’elle avait vu sa meilleure amie. Mais qu’elle devait être aussi fatigué. Le Jet lag était horrible. Surtout si elle ne le connaissait pas. Moi cela ne me posait jamais de soucis. Non. Aucun. J’attends que la porte s’ouvre. Et je la vois. Je n’avais pas misé sur ma tenue. Un simple polo rose et un jeans. Rien de plus. Et je montre le sac à emporter. Je viens pour satisfaire les envies culinaires de madame Petit sourire faible. Je fais une moue. J’ajoute même un petit rire.

© MADE BY SEAWOLF.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Le temps s'est arrêté sans toi. Et pourtant quand je te vois, tout redevient normal // @Franklin Z. De Spoelberch ※※※ Je venais de passer la semaine à Paris et je mentirais si je disais que ça ne m'avait pas fait du bien d'y retourner. Je me suis demandé plusieurs fois si j'avais prit la bonne décision en revenant à Boston et en décidant de m'y installé à nouveau. Alors maintenant que je savais que mon père n'était pas en bonne santé, je me questionnais de plus en plus. J'avais fait au mieux pour lui simplifier la vie en mon absence mais je ne pouvais rien contre la solitude. J'avais alors apprécié la proposition de Franklin, sa mère serait la personne idéale pour passer du temps avec mon père. Je m'étais confié à mon père à propos du jeune homme, il avait été de bons conseils. Ayant passé l'après midi avec Isis, je me sentais de bonne humeur ce soir bien que fatigué par tout ses événements. Je m'étais alors allongé sur le canapé en regardant la télévision, jusqu'à ce que j'entende la porte. Je me levais et me passais la main dans les cheveux pour les remettre en place avant d'ouvrir au jeune homme. « Que les envies culinaires ? Quel dommage. » Dis-je pour le taquiner un peu avant de me pousser pour le laisser entrer et en riant légèrement. Je refermais la porte et le suivait jusqu'au salon. « Merci d'avoir ramener le dîner, je suis trop fatigué pour faire la cuisine. » Je venais déposer un tendre baiser sur sa joue et l'on prenait place sur le canapé. « Alors dis moi, comment ça se passe pour toi ? »
(a) blue moon

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Le temps s'est arrêté sans toi. Et pourtant quand je te vois, tout redevient normal
— with @Rose Bourgeois  

Passer du temps avec Rose. C’était ce qu’il me fallait. J’en avais assez de jouer au chat et à la souris. C’était fini. Et puis avec les récents événements. C’était compliqué. Je décidais de faire la trêve. Fini tout ça. Autant avoir une bouteille de vin. Et aussi des plats français. Séduire des femmes. C’était facile. Séduire cette française. C’était difficile. Elle ouvre la porte. Je souris. Je la regarde. Je rigole même à sa petite blague. Je n’ai pas pris de dessert si tu veux. Je ne savais pas ce qu’elle voulait aussi. Donc je n’avais rien pris. Contrairement aux plats français dans le sac. J’avais bien joué mon coup. Ou pas. Je ne savais même pas. Et elle me laisse rentrer. Je décide d’enlever ma veste. Je prends même le temps d’avancer dans son appartement. Je dépose les plats à côté du canapé. Juste sur la table basse avec la bouteille de vin. Et elle me sort cette remarque. Je ne peux que rire. Je ne savais même pas que tu cuisinais. C’est comestible ? Oui. Une petite blague. Je peux changer. Je suis humain. Je souris même à ma propre blague. Et voilà qu’elle s’installe. Je fais de même. Elle me pose la question. Je ne sais même pas quoi répondre en fait. Je soupire doucement. C’est … Compliqué. Et toi ? Je veux aussi prendre des nouvelles de son père par la même occasion. Je la regarde. Je ne voulais pas non plus la forcer à parler. Elle ne veut pas. Très bien. Elle veut. J’écoute.

© MADE BY SEAWOLF.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Le temps s'est arrêté sans toi. Et pourtant quand je te vois, tout redevient normal // @Franklin Z. De Spoelberch ※※※ Ma relation avec Franklin faisait du sur place depuis quelques temps déjà, naviguant sur la frontière de l'amitié et des sentiments. J'étais perdue dans tout ça, parce que je n'avais pas réussi à m'en tenir à ce que nous avions. Sa compagnie avait fait naître en moi des sentiments que je ne pouvais pas refouler. Je les gardais pourtant pour moi, craignant une nouvelle fois de le bousculer avec mes bêtises. Alors oui, quand il se trouvait près de moi, je me sentais plus sereine. Je gardais un léger sourire sur les lèvres alors que j'ajoutais pour l'amuser : « Parfait, tu seras un excellent dessert dans ce cas. » Je l'invitais à me suivre jusqu'à ce que nous prenions place dans le canapé où je m'étais étendu avant qu'il n'arrive. Je retirais le plaid et finissais par le regarder. « Bien sûr, je suis une excellente cuisinière, mon père disait que pour séduire un homme il fallait commencer par son estomac. » Mon sourire s'agrandit en y repensant. Je réalisais que j'avais toujours été proche de mon père et que je regrettais qu'on ne met pas laissé vivre avec lui lorsque j'étais enfant. Maintenant, je redoutais chaque fois de le perdre. D'ailleurs, je tentais de ne pas perdre mon sourire en y pensant. Son soupire ne m'échappait pas et je réalisais qu'il ne devait pas allé si bien que ça. Seulement, je n'insistais pas parce que c'était à lui de désirer ce confier. « J'essaye de pas dramatiser. J'ai appris qu'il avait fait un léger infarctus. Il doit se reposer mais il se refuse à le faire. Il ne lui reste plus que son job alors il ne veut pas arrêter. » Je jouais avec mes doigts, je refusais de le perdre lui aussi. J'avais besoin de changer de sujet avant de casser ce moment avec des pleures. Alors je me levais pour attraper deux verres de vins et revenait pour que Franklin puisse l'ouvrir et lâchais l'air de rien : « Dis moi, est-ce que tu voudrais être mon cavalier pour le bal ? »
(a) blue moon

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Le temps s'est arrêté sans toi. Et pourtant quand je te vois, tout redevient normal
— with @Rose Bourgeois  

Face à moi. Elle est en face. Et je souris à sa remarque. Elle me fit sourire. Ce qui était rare en ce moment en fait. Mais ce n’était qu’un détail. J’observe la jeune femme. Et son habitation ensuite. Je profite pour regarder. Juste quelques secondes. Puis je reviens vers elle. Il faut dire qu’il avait raison son père. Et je souris doucement Je pense que oui. Et puis, si tu sais cuisiner, tu sais tout faire. Enfin pour ma part. Je ne savais cuisiner qu’une seule chose. Et c’était belge. Donc autant dire qu’à côté de certaines personnes. J’étais nul. Je regarde la jeune femme. J’avais déposé toutes les affaires sur la table basse. Mais elle vite pris la parole pour son père. J’étais désolé pour elle. Son père était quelqu’un de formidable. Malgré ce que les gens pensaient. Et cela me peinait de voir qu’il était malade. Ne t’inquiète. Ma mère va passer la semaine avec lui. Elle va lui apprendre le mot repos. Et oui. Comme toute femme parfaite. Ma mère était douée pour ce genre de choses. Mettre les gens au lit et s’occuper de tout. Donc son père était entre de bonnes mains. Je la vois se lever pour prendre des verres. Alors que j’en profite pour ouvrir la bouteille de vin. Je déballe ensuite les affaires. Plusieurs plats. Une petite vingtaine. Tous de petites proportions. Il y avait tout. Tout français. Tout chaud. Tout parfait. Je n’avais plus qu’à lui tendre la fourchette. Mais elle me posa cette question. Je finis un arrêt sur image. Je fronçai les sourcils.  Euh … Rose … Je me grattai légèrement la nuque. Ce n’est pas que je ne veux pas … Mais j’y vais avec une amie … Elle n’avait pas de cavalier et elle voulait au bal … Je suis désolé … Cela aurait été avec plaisir. Tu le sais … [/color] Je me sentais idiot à cet instant. J’avais proposé à Violet de venir. La veille ou l’avant-veille. J’avais l’impression de lui mettre un couteau dans le dos.

© MADE BY SEAWOLF.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Le temps s'est arrêté sans toi. Et pourtant quand je te vois, tout redevient normal // @Franklin Z. De Spoelberch ※※※ Je souriais alors que nous allions nous installé au salon, ravie de savoir que mon père avait été de bons conseils sur les hommes. Même lorsque je lui avais parlé de Franklin, il avait eu ce sourire satisfait sur les lèvres et il m'avait simplement confié que je ne devais pas réfléchir trop longtemps si je ne voulais pas voire une autre me devancer. J'imaginais que c'était un conseil avisé puisque mon père était un bon parti et ma mère était parvenue à gagner son cœur bien qu'elle n'était pas d'une famille importante. Alors ce soir, je refusais de me montrer encore hésitante ou sur la réserve. Pourtant, j'ignorais encore si il m'était possible de gagner le cœur de Franklin. Je le regardais alors de nouveau parce que ça me faisait du bien de savoir qu'il se souciait de mon père. « Je l'appellerais alors pour la remercier et pour lui proposer qu'on aille déjeuner ensemble. » Je souriais grandement, sa mère était une femme aimante et adorable, je lui avais souvent envié parce que ma mère avait toujours préféré Lucas et elle ne s'était jamais vraiment soucier de moi. Bien qu'aujourd'hui tout ça n'avait plus vraiment d'importance. Et puis, dans un moment de courage, je m'étais décidé à l'inviter au bal, maintenant que je savais qu'Isis avait un cavalier je m'étais dit qu'il fallait que je me décide à l'inviter. Seulement, un malaise s'installa et je comprenais tout de suite que ça ne serait pas possible. Je le regardais et je me pinçais les lèvres finissant par baisser la tête mal à l'aise. « Oh.. ça ne fait rien. Tu as bien fait de l'inviter. Oublions ça. » Je prenais alors les plats pour découvrir ce qu'il avait acheter pour nous ce soir, tout en essayant de me reprendre. J'aurais dû m'en douter.
(a) blue moon
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Le temps s'est arrêté sans toi. Et pourtant quand je te vois, tout redevient normal
— with @Rose Bourgeois  

Je pose mon regard sur elle. Je souris faiblement. Ma mère était en Belgique depuis la séparation. Dans le palais de Zeus. Donc elle était en sécurité. Mais il lui arrivait de sortir. Voir un veil ami. Surtout si il est de son côté. Elle avait accepté tout de suite. Surtout si il était malade. J’hoche la tête. Ca sera avec plaisir je pense. Je lui proposerai quand elle viendra à Boston. Elle devait passer normalement en mai. Si tout se passait pour elle. Mais ce n’était pas sur encore. Donc autant dire que cela risque d’être compliqué. Rose était une femme adorable. Et parfaite. Surtout physiquement. Que mentalement. Alors quand elle avait proposé la chose. Je me sentais honteux. Dégouté aussi. Un malaise qui s’installe malgré moi. Je danserais avec toi si tu veux. La réflexion n’était pas mon fort ce soir. Je venais de parler sans réfléchir. Une phrase qui voulait dire beaucoup de choses. Mais une phrase folle. Je ne savais pas danser. Encore moins essayer. Donc j’allais me ridiculiser. Mais s’il fallait cela pour la voir sourire. Je le ferais. Je décide de m’asseoir à côté d’elle. Elle prend les premiers plats. Je me sens idiot d’être comme ça. Je la regarde faire. Silencieux. J’observe les plats. Puis mon verre de vin. Je le prends en main pour le boire. Juste une gorgée. C’est tout. J’en profite pour le reposer. Je suis désolé… Tu me n’en veux pas trop ? … Enfin tu as le droit de m’en voulais … Oui. Je ne l’avais pas attendu. C’est horrible en y repensant finalement.

© MADE BY SEAWOLF.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Le temps s'est arrêté sans toi. Et pourtant quand je te vois, tout redevient normal // @Franklin Z. De Spoelberch ※※※ J'appréciais énormément la mère de Franklin, elle s'était toujours montré très charmante et à mon écoute lorsque j'étais enfant. Alors je me réjouissais à l'idée de la revoir dans les prochaines semaines ne serait ce que pour la remercier de ce qu'elle faisait pour mon père. « Je te remercie. » Si tout semblait aller pour le mieux, j'avais comme qui dirait mit les pieds dans le plat en lui proposant de m'accompagner au bal. Pour être honnête, je n'avais pensé qu'à lui, ça me semblait une évidence et je me sentais alors déstabilisé. Comme quoi fallait pas forcément ce fier aux apparences. Je tentais alors de passer au dessus en prenant les plats et en essayant de passer à autre chose. Car même si l'idée d'une danse aurait dû me consoler ce fut tout l'effet inverse. Je prenais le verre de vin qu'il venait de me tendre et trinquais rapidement pour avaler une longue gorgée. Je me sentais tellement gênée à cette instant. Je décide pourtant de me montrer honnête comme je l'ai toujours fait même si parfois j'aurais dû garder les choses pour moi, seulement j'étais une femme transparente et je n'aimais gardé les ressentiments qui finirait par créer une dispute tôt ou tard. Alors je soupirais et je me tournais pour le regarder. « Je ne peux pas t'en vouloir, tu me dois rien. Seulement, je pensais qu'on irait tous les deux, j'ai jamais imaginé qu'il puisse en être autrement en réalité. J'irais sans cavalier peut importe. » Je me levais pour aller nous chercher des couverts et j'en profitais pour reprendre mon souffle. Ne voulant pas le laisser seul trop longtemps j'attrapais des serviettes et revenais m'asseoir.
(a) blue moon
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Le temps s'est arrêté sans toi. Et pourtant quand je te vois, tout redevient normal
— with @Rose Bourgeois  

Je passais beaucoup de temps avec Rose. Surtout avant. J’aimais sa compagnie. J’aimais son délire. J’aimais son franc parlé. Mais j’étais perdu. Parce que je ne savais pas ce que je ressentais. J’éprouvais quelque chose pour Harper. Elle était devenue un centre d’intérêt trop fort. Et le souci. Je construisais lentement quelque chose avec Rose. Quelque chose qui me plaisait. Sans oublier Violet qui venait de revenir sous mes yeux. C’était le bazar. J’étais perdu. Je voyais bien que cela lui faisait. Je souriais faiblement. Je me sentais bien avec elle. Et le verre de vin en main. Je me sentais maintenant idiot. Idiot de tout ça. Je venais de lui refuser le cavalier. Je venais de lui refuser la chose. Mais Violet avait accepté avant. Quel idiot. Je déposais mon verre. Elle s’expliquait. Je tournais la tête vers elle. Elle se leva. Je soupirais. Elle venait de revenir. Elle déposa les serviettes. Un moment d’inattention ? Je l’embrasse. Une seule seconde. Comme un baiser volé. J’en avais envie. Comme j’avais envie qu’elle soit au bal avec moi. Mais je n’étais pas quelqu’un a revenir sur ses mots. Je la regarde. Promets-moi de venir Rose. Parce que je voulais danser avec elle. Parce que je voulais être aussi avec elle. J’avais envie qu’elle vienne pour s’amuser. Pour qu’elle oublie ses problèmes. Qu’elle se lâche. Je caresse sa joue doucement. Je la regarde. Je souris faiblement. Je me suis idiot de nouveau. Puis je me tourne vers les plats.   Euh .. Tu veux quoi exactement. Je ne savais pas exactement ce que tu prenais en priorité. Donc j’ai pris un de chaque. D’où la vingtaine de sachets. D’où les nombreux plats. J’assure mes arrières. Juste au cas où.  

© MADE BY SEAWOLF.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Le temps s'est arrêté sans toi. Et pourtant quand je te vois, tout redevient normal // @Franklin Z. De Spoelberch ※※※ Je suis mal à l'intérieur, pourtant j'essaye de ne rien parraître de resté fidèle à moi-même. Pourtant, je sais il ne m'a rien promis, seulement je suis piquer, j'ai des sentiments alors le savoir au bras d'une autre ça me retourne l'estomac. C'est sans doute la raison pour laquelle je préfère m'éclipser quelques instants. Besoin de me remettre et d'accepter la situation, accepter que les choses puissent en resté là. Je me rends bien compte qu'il n'est plus aussi présent et j'ai peur de savoir pourquoi. Revenant vers lui, je prends place à ces côtés, alors qu'il me volait un baiser. Je restais silencieuse à l'observer essayant désespérément de comprendre ce qu'il attendait de moi. Parce que je ne voulais personne d'autre, j'étais pas comme ça et j'aurais sûrement pu demander à Isis, mais elle avait un cavalier. Est-ce que j'étais vraiment capable d'y assister et de le voir avec cette fille, ou encore revoir les regard que lui lançait la brune à son anniversaire. J'avais le sentiment de me faire écraser par un monde qui n'était pas le mien. Je craignais le bal ne devienne plus une épreuve pour moi qu'autre chose.. Je craignais avoir prit la mauvaise décision en décidant de rentrer quelques jours de peur de l'avoir laissé s'éloigner de moi. « Je te le promets. » Je pourrais toujours quitté la fête si ça devient trop difficile pour moi. Mon regard planté dans le sien, je regardais ses lèvres, mais il détourna le regard pour se focaliser sur les plats. Je pris le premier qui me venait. « J'aime tout, je suis pas difficile, c'est gentil à toi en tout cas. » Tu lui souris alors que tu commences à manger, bien que t'es plutôt l'estomac noué à cet instant.
(a) blue moon
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)