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Enervée par toutes ces conquêtes que je voyais à Harvard notamment l’une d’entre elles, je décidais de tout déballer. Tout ce que j’avais sur le coeur. Mais il calmement, il se mit à me parler. Je l’écoutais avec des yeux de plus en plus décontenancés. A chacune de ses phrases, mon coeur bondissait. Ses mots, ces évidences … Sa voix me murmurait petit à petit des choses que j’aurai bien du mal à oublier. Happée par cette voix, ce regard, je m’approchais doucement de lui, sans le quitter du regard. C’était si tentant. Le lui dire. Mon corps, mon esprit me criait de lui dire que je voulais de lui. Lentement, mon pouce vint caresser la lèvre inférieure, me donnant fortement envie de venir l’embrasser. J’avais conscience que lui demander de m’attendre, attendre que j’aille mieux était d’un égoïsme total, et je ne pouvais pas l’être avec lui. A la place, je continuais simplement de l’observer, tentée par ses lèvres. Mais je venais déposer un baiser frustrant à la mort dans la commissure de sa lèvre, avant de venir murmurer à son oreille. « Si tu savais à quel point j’ai envie d’être à toi, Zeph. A quel point j’ai besoin de te sentir contre moi constamment. A quel point j’ai envie de t’embrasser ce soir … A quel point j’ai envie de toi là maintenant. » Je revenais à ma place, le regardais de nouveau, hochant doucement la tête de gauche à droite. « Mais … c’est tellement compliqué … » finissais-je. Je passais à Rose, mais il n’avait visiblement pas envie de parler d’elle. Je venais m’asseoir près de lui sur le bord du lit, glissant timidement ma main sur la sienne, avant de me laisser tomber dessus, regardant le plafond. « Tu penses qu’on est maudits, tous les deux ? »
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Elle est là. Face à moi. En face de moi. Elle me caresse la lèvre. J’ai envie de l’embrasser. D’embrasser tout son corps. De la toucher. De la toucher entièrement. D’enlever tous ses vêtements. De sentir son souffle sur ma peau. Sentir son cœur battre. Et puis coucher avec elle. L’entendre hurler mon prénom. L’entendre hurler même tout court. L’entendre simplement. Et la sentir partir. M’entendre à ses côtés. Nus totalement. Et se réveiller le lendemain sans personne. Juste parce qu’elle s’est échappée. Mais c’est impossible. Impossible malheureusement. Parce qu’elle est trop proche. Parce que j’ai promis de rester sage. Mais ma main glisse. De sa tempe jusqu’à sa joue lentement. Elle embrasse cette commissure. J’aurais tellement aimé plus. J’embrasse ? Non je suis pris au piège. Elle se retire. Elle me chauffe presque en quelques mots. Elle a décidé de tout arrêter. Elle vient de mettre ce frein à mes paroles. Je viens de parler. De parler de sentiments. D’émotions. J’ai essayé. Mais c’est le revers. La vague échouée. Je soupire doucement. Je soupire. C’est compliqué. Trop compliqué. J’humecte mes lèvres. Et finalement je me pose sur le lit. Je suis réellement perdue. Je suis réellement ailleurs. Je passe ma main dans mes cheveux. Je commence souffler. Elle vient s’asseoir au bord du lit. Elle me prend la main. Et elle se laisse tomber sur le lit. Je ne dis rien. Je ne fais rien. Je décide même de la regarder doucement. D’analyser ses traits. De caresser son visage de mes yeux. Seul le temps me manque. Mais je m’en fiche. Je veux être avec elle. Et si je vire ce Dunster ? Je vais droit au mur. Juste droit directement. Si j’arrive à faire en sorte qu’il ne s’approche plus de toi ? Qu’il ne fasse plus rien avec toi. J’aurais une chance. Je m’accroche. Elle doit le voir ? Elle doit le sentir ? Elle doit le ressentir ? Je soupire doucement. Finalement je me lève. Je coupe le contact avec elle par nos mains. Je passe mes mains sur mes nuques. Je fais les cents pas. Il faut que je me calme.
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Ma main sur la sienne, je caresse sa peau du bout de mes doigts avant de me laisser retomber sur le lit. J’ai la sensation que nous sommes maudits. Nous avons le temps contre nous. Ma fragilité contre nous. Nous nous sommes aperçu de la chose trop tard ? Ou trop tôt ? Je fermais un instant les yeux, sentant son regard sur moi. Je les ouvre finalement, nos yeux se croisent. Je tiens le regard sur lui. C’est à mon tour de l’observer. Je serre sa main alors que je constate davantage la perfection de ses traits. Je le regarde silencieuse, presque émerveillée. Mais il coupe ce silence avec ses mots, me parlant d’Alejandro. « Ca servirait à quoi ? Je ne veux être avec personne pour le moment. Je ne peux pas … » Mais il se relève brusquement. Je me redresse immédiatement. Je l’observe presque apeurée, faire les cents pas dans la suite. Je me sens horriblement mal. Tout es de ma faute. Je me déteste de le faire souffrir. Je me hais tellement. « Zeph … Je t’en prie … » Je me lève et viens vers lui alors qu’il fait les cents pas. Je m’approche de lui, mon corps à quelques centimètres du sien, le calant dos au mur, doucement. Je prends ses mains dans les miennes, collant mon front contre le sien cherchant à l’apaiser. Je murmure tout bas, les yeux fermés. « Je suis là. je serai toujours là. » C’est une façon cachée de lui dire que quoi qu’il advienne, je serai toujours, éternellement sienne. Parce que je l’avais toujours été. Depuis la première fois que je l’avais rencontré lors de ce gala à New York. Nous n’avions que cinq ans, nous avions joué ensemble toute la soirée. Nous nous étions même endormis l’un près de l’autre d’épuisement tant nous avions couru dans toute la salle de réception. Je venais de perdre mes parents. Il ne sait toujours pas qu’il avait été le premier à me redonner le sourire. Moi qui sortais d’une année entière de mutisme total. J’étais sienne depuis le tout début. Il n’en savait rien. Je caresse sa joue lentement, rapprochant davantage mon corps du sien. Finalement, je viens l’enlacer. J’enfouis mon visage dans le creux de son cou. Il ne sait pas à quel point ce qu’il y a entre nous est puissant.
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Regard déposé sur sa personne. Silence qui se veut profond. Je soupire. Je ne veux pas me battre avec elle. Je suis silencieux. Désireux de continuer de la voir. Je veux continuer de la regarder dormir. De la regarder rire. Ou même de la regarder tout court. Je soupire. Une première fois sans doute mais pas la dernière. Bien sur que si tu peux, c’est juste que tu ne veux pas de moi et j’ai compris. Arrêtons d’en parler. Le silence d’une vie. Et pourtant je me lève. Je soupire fortement. Une nouvelle fois. Je commence à marcher. Parce que je ne supporte pas ça. Je ne veux pas de ça. Je ne veux pas entendre ça. Je suis obligé. Je viens de l’entendre. Je viens de découvrir ça. Je passe ma main sur ma nuque. Elle me parle. Je m’en fiche. Je m’en tape royalement. Mais elle m’arrête. Mais elle m’arrête réellement. Je la regarde dans les yeux. Je suis incapable de m’arrêter. Je suis incapable de bouger. Elle me met contre le mur. Elle est si proche. Et ses paroles ne me rassurent pas. Parce qu’elle ne sera jamais réellement là. Jamais réellement avec moi. Jamais totalement. Je soupire légèrement. Je ferme les yeux. Mon front collé au sien. Mon nez touchant le sien. J’ouvre légèrement les yeux. J’ai cette vision. Cette vision de ses lèvres. Tu devrais te reculer Harper … Je suis honnête. Je n’ai aucune envie de me faire repousser une nouvelle fois. Et pas aujourd’hui. Pas ce soir en fait. Je soupire légèrement. Je caresse sa joue doucement. Malgré les mains prises par les siennes. Je vais finir par le faire. Réellement. Sans qu’elle m’y oppose. Mais je ne veux pas ça. Parce qu’elle va m’en mettre une. Ou pire encore. Me rayer de sa vie.
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Je fronce les sourcils, je l’observe. Comment peut-il dire une chose pareille. La il fait l’enfant. Le gamin. Il ne veut juste pas comprendre. Je ne réponds rien, sinon je vais m’énerver aussi. Mais le voilà qu’il s’énerve avant moi. Il se lève et commence à faire les cents pas dans la suite. Je me sens mal tout à coup. Parce que je suis l’auteure de ce drame. De cette tragédie qui emmène notre relation droit au mur. Je me sens coupable de m’être laissée emportée par mes sentiments pour lui alors que je démarrais quelque chose avec Alejandro. Je suis prise au piège. Je me lève brusquement, venant vers lui. Je me colle tout près de lui. J’essaye de le calmer du mieux que je peux, l’apaiser. Je colle mon front au sien, je sens son nez chatouiller tendrement le mien. J’ai fortement envie de l’embrasser. Je le plaque contre le mur alors que je l’enlace, m’évitant ainsi une énième bêtise. Je sens les battements de son coeur contre le mien, je lui parle. Mais il me repousse avec les mots. Je fronce de nouveau les sourcils, mais obéis. Je recule d’un pas, sans le quitter du regard. Il me rejette. Ses caresses ont un gout amer. Il ne lit pas à travers les lignes. Il n’essaye pas de comprendre ce que j’essaye de lui dire. Je m’énerve. « J’ai rien demandé moi ! Ca fait des années que je suis là devant toi, Zéphyr ! Vingt putain d’années ! Et il a fallu qu’Alejandro entre dans ma vie pour que tu te décides enfin de te bouger le cul ? » Je soupire avant de reprendre un peu plus calmement. « Tu sais quoi ? Je pense simplement que t’as peur de me partager. Parce que c’est la toute première fois que je ne serai plus vingt-quatre heures sur vingt-quatre avec toi. Et ça, t’aimes pas ! Mais je ne suis pas ton jouet, Zeph ! Je suis une personne ! Merde ! » Il n’avait en fin de compte peut-être pas les mêmes sentiments que j’éprouvais pour lui, pensais-je.
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Cette relation partait en éclat. Tout ça à cause de moi. Je n’étais pas jaloux. Je n’étais pas certainement jaloux d’un type qui n’était rien. Je soupire. Je souffle. Ce n’est pas possible. Je me retrouve contre ce mur. Face à elle. J’aurais aimé l’embrasser. Juste l’embrasser. Comme la dernière fois. Juste elle. Seulement elle. Mais non. Je lui demande de se reculer. Je lui demande d’être moins proche de moi. Je pince mes lèvres légèrement. Je soupire. Je la vois. Elle est énervée. Je l’écoute. Parce qu’avant que tu ne couchais pas avec eux. Alors je n’avais pas peur de te perdre. Parce que c’était vrai. Je l’ai remarqué. Je vois tout. Elle a changé. Dans sa façon de se coiffer. De s’habiller. Elle a tout changé. Et pourtant elle n’a rien changé pour les autres. C’est moi qui le voit ça. Je vois tout. Je sais qu’elle a couché avec lui. Et j’humecte mes lèvres légèrement. Je dois être à bout de nerf pour sentir mes yeux me faire mal. Je n’ai jamais eu à te partager parce que tu étais tout le monde avec moi. Et là tu t’en vas. Je le sais. Et ce n’est pas ce que je veux. Parce que … Parce que depuis qu’on l’a fait. Je n’ai pas envie de te voir avec un autre Harper… Et je n’ai pas envie que tu le touches comme tu m’as touché. Que tu l’embrasses comme tu m’as embrassé. Que l’excites comme moi tu m’excites… J’ai ajouté le présent. Parce qu’elle arrive toujours à le faire. Toujours. D’une certaine manière. Je regarde la jeune femme. Puis je soupire. Je baisse les yeux. Je finis par passer à côté d’elle. Je commence à ramasser mes affaires. Je vais rentrer. Je te laisse dormir. Tu dois être crever. Je venais de lui dire que ce que je ressens en exactement trente minutes tout rond. Seul avec elle. Dans cette chambre. C’était moche. J’ai dû me prendre soixante-dix râteaux. Quarante non. Et le pire. C’est que je suis à bout. Et je sens que je vais la perdre. Autant le faire aujourd’hui.
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Pardon ? Je n’ai pas bien entendu. Quoi ? Je penche la tête sur le côté le regardant, fronçant les sourcils. « Heu … et donc tu pensais que j’allais rester vierge toute ma vie à tes cotés ? » Non parce que là … Non, vraiment je ne comprends pas, j’ai juste grandi en fait. Je suis juste devenue une femme, et moi aussi, j’ai des besoins. Il ne pensait tout de même pas que j’allais finir seule quoi ! Je continue de l’écouter avant de hocher la tête de gauche à droite lentement l’air de dire ‘ mais je rêve ‘. Je m’auto-pointe du doigt avant de répliquer. « Je ne m’en vais nulle part ! J’ai simplement une vie, moi aussi ! Tu croyais qu’on allait finir toute notre vie collés l’un à l’autre comme des siamois ? Tu devais forcément t’attendre à ce que je rencontre quelqu’un, non ?! Tu as eu des exs et jamais je n’en ai fait toute une histoire ! » finissais-je avant de penser intérieurement que en fait si, plusieurs fois je leur avais fait la misère à ses exs. Mais je continue. « Pourquoi tu ne t’es pas battu pour moi avant ? Pourquoi ? » Je le déteste d’avoir mis autant de temps à s’en rendre compte. « Lui et toi c’est pas pareil … Ce que nous avons fait nous appartient qu’à nous, et tu ne seras jamais remplaçable. » Mais je l’excite. Cette phrase me donne automatiquement envie de lui. Je me mord la lèvre inférieure. Je me sens mal de ne rien pouvoir faire. Je me tais, à vrai dire, je baisse les yeux. Je le sens passer près de moi, me frôlant. Il s’en va. Je me retourne vers lui, écarquillant les yeux. J’ai envie de lui dire quelque chose pour l’arrêter net, mais je n’en ai pas le temps. Je ne réfléchis pas, je prends sa main et l’attire vers moi, avant de doucement déposer mes lèvres sur les siennes. Je l’embrasse fougueusement, passionnément. J’en mourrais d’envie.
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Je le regarde. J’ai parlé. Maintenant c’est à elle. Et je soupire. Je ne me voyais pas répondre à ses questions. Je ne me voyais pas discuter encore avec elle. Mais elle m’avoue que je suis irremplaçable. Personne ne pourra me remplacer d’une manière ou d’une autre. J’avais envie de sourire. Mais je n’avais plus la force. Plus la force de rien. Je pince légèrement mes lèvres. Je soupire même. Je préfère rentrer dans ma chambre. Je préfère de loin rentrer pour dormir. Alors j’avance dans la suite. Je marche jusqu’au canapé. Je prends mes affaires. Je mets ma veste. Je commence à prendre mes affaires. Je me tourne vers elle. Sa main rejoint la mienne un instant. Je la sens ensuite proche de moi. Trop proche pour réagir. Elle m’embrasse. Je ne sais pas quoi faire. Je la laisse faire. Ma main glisse sur sa taille. L’autre sur sa joue. J’ai envie de l’embrasser. Et j’y réponds. Je réponds avec la même envie. La même façon. La même caractéristique. Je lui réponds. Ce baiser dure énormément de temps. Mais pour moi seulement une seconde. Je suis obligé de le briser. Je suis obligé de lâcher ses lèvres. Mais je reste contre son corps. Je reste contre elle. J’ai les yeux encore fermés. Puis je colle ce front au sien. Je suis silencieux. Tellement. Je ne sais pas quoi dire. Je caresse sa joue doucement. Je caresse sa joue une nouvelle fois. J’ai le droit de t’embrasser une nouvelle fois ? Je pince mes lèvres doucement. J’ai encore les yeux fermés. Mi ouvert sur ses yeux. Elle ne le voit pas. Il ne vaut mieux pas. Elle va voir que je veux rester près d’elle. Elle va voir que je veux dormir avec elle. Elle va voir que je ne veux qu’elle. Mais c’est encore lui dire. Et encore être pris pour un idiot.
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Zéphyr ne me répond même pas. Il ne dit rien, et ce silence me pèse. Il soupire avant de se pincer les lèvres. Je le vois s’en aller. Il ramasse ses affaires devant moi pour s’en aller. Je me sens tellement impuissante devant cette scène. J’ai fait ce voyage de sept heures et demi pour cette conversation qui nous mène droit au mur. Ni une ni deux, je me retourne vers lui, lui attrape la main pour l’attirer vers moi, l’embrassant avec passion. Est-ce une façon de lui dire adieu ? Je ne veux pas. J’ai trop peur de le perdre. Je me sens complètement paumée, mais une chose est sûre en cet instant, je veux ses lèvres. Alors j’y mets toute ma foi, ma passion, mon envie dans ce baiser. Je sens sa main glisser sur ma taille avec les frissons qui vont avec. Mon corps brule de nouveau, un luxe que je ne peux plus me permettre avec lui, nous avions dépassé les limites déjà. Son autre main vient prendre ma joue, trop tard, je suis sous son emprise, mais il se détache de moi. Tout contre moi, il colle son front au mien. Il a l’air de réfléchir, ou d’être encore perdu dans ce baiser tout autant que moi. Il me parle. « Je .. je sais pas … » dis-je faiblement. Je me sens mal. Terriblement mal. Parce que je sais que la dernière fois on est allés trop loin. Mais je continue. « Mais j’en ai très envie. » Je lui caresse la main, puis la remonte, frôlant son avant-bras avec tendresse, avant de caresser son bras, puis son épaule pour enfin venir à sa nuque, ses cheveux. J’enfoui mon visage dans le creux de son cou que je viens parsemer de baisers. Je murmure alors à son oreille. « Je t’en supplie ne pars pas comme ça. Ne me laisse pas comme ça. » Même si ce soir nous ne faisons pas l’amour, je veux au moins dormir dans ses bras. Comme avant, au temps ou tout était plus simple. Ou tout était plus facile.
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Face à elle. Totalement à elle. Dans cette chambre d’hôtel. Dans ce moment. Finalement. Je suis épris. Totalement épris d’elle. Sa façon d’être. Sa façon de parler. De bouger. Elle me rendait dingue. Elle me retourne. Elle plaque ses lèvres contre les miennes. Elle m’a encore eu. Je l’embrasse. Je réponds. Avec envie. Mais finalement c’est silence. Je pince mes lèvres. Je fais jouer mon doigt sur ses lèvres. Je souris doucement. Elle ne sait si je peux encore. Encore poser mes lèvres sur les siennes. Pouvoir gouter à cette addiction. A ce plaisir. Mais elle en a envie. Je l’embrasse simplement. Plusieurs fois. Un peu plus longue à chaque fois. Je n’avais pas envie de la voir s’échapper. Je caresse sa joue lentement. Et voilà qu’elle s’échappe. Ses lèvres sur ma peau. Dans mon cou. J’en soupire. Je pince mes lèvres. Je reste … Les paroles sortent. Je ne contrôle rien. Elle me laisse comme ça. J’ai glissé ma main dans mes cheveux. Je me sens pris au piège. Elle me tient. Comme à chaque fois. Je la garde dans mes bras lentement. Je ferme les yeux un instant. Je l’ai contre moi. Je suis bien là. Tu veux aller dormir ? Je demande. Elle avait le jet lag aussi. Je demande après tout. Je veux savoir. Parce que moi j’étais crevé aussi.
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