Jally (+) Happy Birthday Zoé.

"Pas ce soir alors." Je souriais en laissant mes mains contre mon bidon, il était fort mais j'essayais de résister à son charme, pas facile quand on avait l'homme de vitre vie dans votre lit et qu'il vous cherchait, il avait aussi réponse à tout à propos du chiot et cela avait le don de m'énerver autant que me faire sourire. "Mon homme à quand même zapper mon baiser." Je lui adressais un sourire de manière amusé avant de coincer sa main entre mes cuisses autant dire qu'il faisait tout pour me faire craquer et je sentais ses doigts bouger contre le tissu de mon string, je me mordillais la lèvre avant de dire. "Non c'est toi qui a gagner." De là j'attrapais sa nuque pour le tirer vers moi et l'embrasser langoureusement, il connaissait mes points faibles c'était trop facile pour lui.

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Tu avais vite fini par comprendre que tu n'aurais rien de tout ça ce soir. Elle s'était pas mise au lit pour rien de toute façon. Vous n'aviez plus qu'à profiter d'un petit moment au lit gentiment à vous chamailler comme deux gamins. Et ma femme on en parle ? Elle a adopté un chiot et veut m'imposer sa présence dans notre nid d'amoureux. Tu trouves pas ça insensé ? Oui tu allais bien finir par lui faire entendre raison. Ce chiot était bien trop petit pour pouvoir dès le début prendre de vilaines habitudes, et toi apparemment tu tenais à ce que certaines soit carrées. Tu n'étais pas psychoridige mais tu étais peut-être un peu maniaque et soucieux de maintenir tes habitudes. Main coincée, taquin et joueur, tu finissais par la regarder agréablement surpris du dénouement. Tu te laissais attiré, sans pouvoir retenir ton sourire vainqueur aux lèvres malgré votre baiser langoureux.

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Il se plaignait gentiment et moi cela me faisait sourire même si j'étais censé lui faire la tête mais c'était dur de faire la tête à une homme aussi parfait de qui on est amoureuse. "Quoi que officiellement je ne suis pas ta femme et je dis juste que ce chiot est encore petit et qu'il a besoin d'affection arrête de faire ton jaloux." Je lui lançais un sourire et un regard taquin avant de me mordre la lèvre en sentant que je craquais. J'avais attrapé sa nuque pour venir l'embrasser à pleine bouche de façon à lui faire comprendre que oui il avait gagné je m'avouais vaincu et à cet instant je détestais son petit sourire.

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Tu connaissais Sally et cette précision tu aurais du t'y attendre venant de sa part. Pourtant ça ne t'avait pas empêcher de finir bien amusé. Ah oui, on joue sur les mots maintenant ? Tu étais donc son homme mais techniquement elle n'était pas ta femme ? Au nom de quoi cela fonctionnerait-il dans un seul sens ? Bonne question, cela dit tu savais bien que par là elle te rappelait que vous n'étiez pas mariés. Mais qu'importe, si tu étais son homme, elle était ta femme au moins tout autant. Je ne serai jamais jaloux d'un chiot chérie. Oui, cela te semblait logique. Pourtant Sally était pas non plus à côté de ses pompes quand on sait comment tu avais rejeté cette petite boule de poils. Mais qu'importe, tu avais gagné, il n'était pas avec vous dans cette chambre et ça te suffisait. Sans ça, tu n'aurais pas pu profiter d'un moment de tendresse tel que celui que vous viviez à cet instant. Puis, tu avais réussi à avoir ton bisou, puis même plusieurs, veinard.

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Le truc quand y pense c'est que je pouvais essayer de l'embêter et lui faire la tête je n'y arrivais pas très longtemps alors heureusement il me restait les taquineries. "J'ai pas de bague au doigt et je m'appelle pas Wheeler je ta rappelle." On était pas d'accord sur le fameux chiot mais je ne viendrais pas à aller contre son avis, enfin si juste pour l'embêter mais si je commençais ce soir même juste pour l'embêter Snoopy prendrait vraiment de sales habitudes. J'avais donc craquer, j'étais faibles et je lui avais donné plusieurs baisers, en restant contre lui avant de poser ma main contre son torse pour le repousser. "Bon c'est bon tu en as assez profiter."

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Tu ne pouvais pas continuer à être celui qui la travaillait pour avoir ce qu'il voulait, alors forcément tu changeais de fusil d'épaule à cet instant en lui disant. Oui, ça fait sens. As-tu dit prenant l'air du mec qu'on essayait de convaincre. Tu savais qu'elle aurait préféré entendre que mariage ou pas vous vous apparteniez, et qu'elle était ta femme comme tu étais son homme. Et parce que tu te doutais qu'elle adorerait entendre qu'elle était ta femme même sans mariage, tu changeais ta stratégie pour l'embêter un peu. Malin, hein ? Hé ! Tu me repousses maintenant ? Difficile à croire quand on connait vos antécédents hein ? Cela dit, tu reprenais doucement ta place auprès d'elle sans trop t'en éloigner. Tu étais un mec de proximité.

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Je pensais justement qu'il me dirait que même sans bague au doigt j'étais sa femme mais non il affirmait mes dires et je fronçais légèrement les sourcils. "Et à ce train là je resterais longtemps une Mendoza." Après un léger petit pique je me retrouvais à le repousser pour qu'il ne profite pas trop et il revenait à la charge et moi je répondis juste pour me venger. "Mais tu vois le truc c'est que tu ne mérite pas trop que je sois généreuse avec toi."

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Les doigts dans le nez, tu marquais un point. Une fois de plus. Tu étais en forme ce soir ! C'était amusant quand on sait qu'elle jouait sur les mots. Jusque là, tu étais ma Mendoza, mais apparemment ça ne compte pas. As-tu dit amusé. Prenant appui sur ton coude, tête contre ta main, tu soulignais malgré tout le fait qu'elle avait nié être ta femme aux motifs d'un mariage inexistant. Pourtant toi, tu la considérais comme ta femme cette jolie mexicaine. Mais je ne demande rien si ce n'est m'endormir à tes côtés.. sans chiot. As-tu précisé amusé pour l'enquiquiner un peu plus. Mais tu disais vrai.

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Je savais très bien qu'il jouait et qu'il réussissait pas mal à m'avoir mais bon j'étais bonne joueuse parce qu'il m'arrivait aussi de réussir à l'avoir parfois, c'était de bonne guerre. "Ouais j'étais.." Je lui fis une petite grimace avant de lui répondre avec un sourire aux lèvres quand il ce redressait sur son coude. "Et ben te voilà dans un lit et sans chiot alors bonne nuit Wheeler." De là je lui tournais les fesses comme ci je m'apprêtais à dormir.

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Elle était vilaine quand elle s'y mettait. En parler au passé c'était vilain de sa part, mais ça ne changeait bien évidemment pas ce que toi tu en pensais. Elle était ta Mendoza, ta jolie mexicaine, ton avion de chasse, ta partenaire, ta femme. Quoiqu'elle en dise. Elle n'était pas ton épouse, mais elle était ta femme. Mais pour l'embêter tu n'avais pas insisté dessus. Tu es sans pitié quand tu t'y mets hun, tu le sais ? Cela dit tu restais amusé, et ça restait bon enfant. Tu t'étais appuyé sur ton coude pas contre prolonger la conversation mais là encore tu te prenais un vent. Alors tu as simplement éteint la lampe de chevet alors qu'elle te tournait le dos. Tu te sentais presque seul à cet instant alors forcément tu as glissé ton bras autour de sa taille. Dormir en cuillère pour des amoureux c'était aussi agréable. Papouilles ? As-tu presque murmuré taquin mais pourtant sérieux. C'est vrai quoi, c'était le week-end, jour de fête. C'était jamais aussi distant entre vous et même si c'était que plaisanterie, tu semblais pas vouloir finir ta journée comme ça.

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