Aelora ♡ You're mine

you're mine // @Zora Fawkes Underwood ※※※ Est-ce qu’il était capable de la laisser partir ? Sûrement pas. Il avait besoin de savoir qu’elle était toujours à lui dans un sens, de savoir qu’elle resterait dans sa vie de cette manière-là et ça paraissait juste dingue dans le fond, mais pas tellement. Zora avait été sa première copine, la seule et l’unique en fait, jamais il n’avait pris la décision de se mettre en couple avec quiconque après elle. Ael savait à quel point il lui avait fait du mal, à quel point elle était sortie de cette relation complètement brisée et cassée grâce à son attitude, à cause de lui et sa façon de vivre. Il s’en voulait peut-être un peu, mais jamais il n’allait lui dire, comme jamais elle ne serait que pendant un moment elle avait compté, qu’elle comptait encore et que sa place dans sa vie, personne ne pourrait lui prendre. Il n’avait pas envie de reconstruire quoi que ce soit avec la blonde, elle méritait mieux de toute façon autant le dire. Le mather finissait par craquer tout en lui demandant de sortir de la voiture, il avait besoin de retrouver sa solitude surtout après ce qu’il venait de lui dire. Elle connaissait une partie de sa vie, elle comprenait mieux son attitude avec tout ça, c’était la première fois et sûrement la dernière qu’il s’ouvrait autant. Alors ouais, il avait besoin d’être seul pendant un moment. « Je te laisserais pas là, juste quelques minutes Zora. S’il te plait. » passant sa main dans ses cheveux, il se laissait totalement aller pour le coup montrant clairement une partie de lui qu’elle ne connaissait pas. Il la suppliait de sortir, ça montrait à quel point le brun avait besoin de ça, avait besoin de se retrouver seul pendant un petit moment. Clairement, il agissait autrement avec elle et un soupir finit par sortir de sa bouche en la voyant sortir de la voiture. Il passa sa main sur son visage tout en fermant les yeux fortement, il voulait oublier tout ça. Il aimerait tellement que rien ne soit passé, qu’il ne soit pas aussi ouvert à la jeune femme. Ce n’était pas à elle qu’il en voulait, mais à ses souvenirs qui revenaient avec une force inouïe. Il avait passé la plupart du temps à refouler tout ça, à essayer d’oublier, d’enfermer ses souvenirs dans un coin de sa tête et faire comme si de rien était. Des larmes finissaient par courir le long de ses joues alors qu’il commençait doucement, puis plus forte le volant qui se trouvait devant lui.