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you're mine // @Zora Fawkes Underwood ※※※ Il traversait la ville, sa clope entre ses lèvres encore et toujours, il ne savait pas réellement ce qu’il faisait là, très clairement il ne comprenait pas l’attitude de la blonde, mais il allait à ce rendez-vous. La blonde lui avait reprochés tout un tas de truc, comme quoi il avait été capable de la briser, de lui briser le cœur sauf qu’elle savait avec qui elle se mettait avant de faire quoi que ce soit. Il n’avait jamais vendu du rêve à la jeune femme, il ne lui avait jamais promis un pour toujours et à jamais, ce n’était pas son genre. La jeune lowell s’était un peu trop rapproché de lui au point de se brûler les ailes, c’était presque triste. Enfin s’il en avait quelque chose à foutre ça serait triste, mais pas sur le moment. Zora était toujours à lui, il ne comprenait pas pourquoi il ressentait ça, pourtant c’était le cas. Le jeune mather avait toujours laissé tomber ses exs, sans se prendre la tête, sans avoir envie d’être possessif avec elles, mais encore une fois celle-là c’était différent. Sûrement parce qu’elle était la première – ce n’était pas un mensonge, elle avait été sa première copine et c’était pas rien quand même. Bon, peut-être qu’elle aurait aimé être son premier amour, mais ça c’était impossible. Il ne connaissait pas ça, l’amour et il n’en avait rien à foutre. Mais bon, elle le savait mieux que personne puisqu’elle savait parfaitement qu’il n’aimait personne sauf lui-même. Zora avait une place différente dans sa vie, même si elle n’avait pas envie de le croire, peut-être qu’à force d’être avec elle, d’avoir eu une aussi longue relation avec cette femme-là, elle avait pris une place un peu importante dans sa vie. Sauf qu’il était trop fier pour l’avouer, trop pudique et il détestait ce genre de chose, c’était une putain de faiblesse et hors de question qu’il le soit. Après quelques minutes, il arrivait devant l’adresse qu’elle lui avait donné, il espérait qu’elle allait se dépêcher parce qu’hors de question qu’il reste là comme un con à l’attendre pendant des heures et des heures, s’il attendait ça venant d’un homme, qu’elle n’espère pas que ce soit lui.
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va savoir quel bête t’as piquée, peut être que tu avais envie de comprendre le comment du pourquoi, savoir d’ou venez cette énorme barrière que tu avais dresser avec l’amour ou sa signification en elle même. tu restes stoïc après qu’il est accepter l’invitation et te dépêche ensuite de te préparer avant son arrivée. il t’avais détruire, c’était un fait, mais il n’avais aucune raison de le faire aujourd’hui, car tu été usée pour sa personne. tu ne l’avais pas revu depuis, vous allez passer d’amant à étranger, mais la sensation nouvelle de le retrouver à nouveau te traverse, comme si tu découvrais pour la deuxième fois un endroit mais avec de nouveaux yeux. tu reconnais sa voiture et y pénètre en glissant sur le siège, laissant ta sac sur la banquette arrière. ton coeur manque un battement quand vos yeux se retrouve, toujours ces iris aussi attirante, toujours ce regard aussi langoureux. tu en oublie même ce que tu voulais dire. « mh, je, mh, salut. » tu refermes la portières et attaches ta ceinture, quoi maintenant? « je sais que c’est bizarre. » un peu trop même, tu évites son regard, fix tes mains qui ne cesse de gesticuler à chaque parole que tu peux dire. « c’est juste que.. je pense que j’ai besoin de te voir, pour comprendre ce que j’ai pu faire de mal dans ma vie pour que personne ne tombe jamais amoureux de moi. explique moi Ael. pourquoi tu ne m’a jamais aimer ? pouruqoi tu ne m’as jamais embrasser comme dans les films à l’eau de rose ou tout l’amour se ressent dans le bout des lèvres ? pourquoi je ne me suis jamais sentit comme emprisoner par ton amour ? j’ai l’impression d’être pieger par le passer et pieger par ta personne, cinq longues années après et je voulais… je veux, j’exige même, que tu me libères. » il savait très bien de quoi tu parlais, il savait très bien de quel appartenance tu parlais, il n’est pas christian grey et tu n’es pas anastasia, pourtant tu lui appartiens quand même.
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you're mine // @Zora Fawkes Underwood ※※※ C’était sûrement une erreur de faire ça, enfin pas sûrement. C’était juste une erreur, mais il n’avait pas pu s’empêcher d’accepter sa demande, d’accepter son invitation même s’il ne devrait pas. Tant pis, il était devant dans sa voiture et il n’avait plus le temps – ni l’envie de faire marche arrière. Pour la première fois de sa vie, il attendait, il essayait d’être patient, mais ce n’était pas dans ses habitudes, mais il le devait. Quoi qu’il n’allait pas faire ça pendant des lustres, pendant des heures. Peut-être que Zora voulait le voir, mais il n’était pas non plus à son service, il restait un connard. La blonde n’avait sûrement jamais oublié ça. Il tirait encore sur une cigarette qui était entre ses doigts, il entendait la porte s’ouvrir à ses côtés et sans attendre, il démarra. Ael connaissait assez la jeune femme pour savoir qu’elle prendrait la parole dès qu’elle en avait envie, dès qu’elle en avait besoin. « Salut. » Le jeune mather lança un regard assez rapidement vers la jeune femme avant de regarder devant lui, c’était préférable et il l’écoutait. Sans rien dire, il entendait ce qu’elle venait de lui dire et il savait parfaitement pourquoi lui, personne n’était au courant. Son passé guidait juste sa vie, faisait de sa vie un enfer et il faisait vivre un enfer aux autres pour qu’il sombre en quelque sorte avec lui, ce n’était pas humain de faire ça, mais c’était sa manière d’agir. Elle avait le droit de savoir, non ? La première qui serait au courant de tout ça, il avait presque envie d’en rire. « Je te l’ai déjà dit, c’est pas toi le problème. » C’était lui tout simplement. « Ma mère est morte en me mettant au monde et mon père était fou amoureux d’elle. Il a perdu la femme de sa vie et il a gagné un enfant. Je l’ai vu sombré tout simplement pourtant je garde que des bons souvenirs avec lui, mais il s’est plongé dans l’alcool pour pouvoir survivre à la perte de la femme qu’il aimait plus que tout. » Il haussa ses épaules regardant devant lui. « Mais il est mort. Quand j’avais huit ans. J’suis resté plusieurs jours à ses côtés, pensant qu’il dormait… » Il lâcha un petit rire nerveux. « Je sais ce que ça fait d’être fou amoureux d’une personne, j’ai vu ce que ça pouvait faire donc je refuse de sentir ça pour quiconque. » S’arrêtant à un feu rouge, il finit par se tourner vers Zora. « Il est hors de question que je te libères. » C’était sa manière à lui de lui dire qu’elle avait un peu une place différente des autres dans sa vie. « T’es la seule à savoir ça, j’te fais confiance. »
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et la conversation a tournée de la manière la plus intime qui soit. tu ne t’attendais pas à moins que ça, car oui tu voulais qu’il lache les vannes, qu’il extériorise, qu’il te crache sa rage et sa haine à la gueule, même si tu doit en être brisée après. tu n’avais plus rien à perdre, plus personne, alors tu été prête à ce qu’il te dise tout ce qui n’allait pas chez toi, tout les défauts minuscule qui pouvait parcourir ta peau et ton âme, mais il ne fit rien. ses mots sont des rasoirs qui vienne gratter ta peau, un gout d’acier et de tristesse imbibe tes lèvres. tu gardes les yeux braquer sur sa main qui change de vitesse de manière frénétique, ne sachant pas à quel moment intervenir. « tu es resté à côté de ton père mort pendant plusieurs jours? » ça sonnait comme une question, comme si tu voulais qu’il répète, mais en réalité tu voulais juste que ce soit marquer dans ton esprit. tout été si chambouler et si dramatique et tu ne savait pas comment réagir. le feu passe au rouge et tu voit les néons sur son visage, ses yeux se tournent vers toi et tu peux revoir un jeune Ael de huit ans à peine se demander ce qu’il allait faire maintenant, un garçon trop petit et trop innocent pour comprendre ce qui se passe, un adolescent déranger qui fuit l’amour comme la peste, car apeurer de vivre ce qui venait de se dérouler devant ses yeux. « j’aurais aimer te sauver. » impossible, tu n’aurais pas réussir à porter tout ça, dix sept ans à peine, ça vous aurez brisée tout les deux. « j’aurais aimer t’aider, te faire comprendre que l’amour n’a rien d’horrible. regarde moi. je t’ai aimer, je t’ai tout donner, mon corps, mon coeur, mon âme… je t’ai tout donnée. et je suis encore là. » peut être pas entière, peut être pas intacte, un peu égratigner mais tu été quand même là. tes doigts sert le tissu de ta robe, un sentiment étrange t’envahit, comme émue et terrifier par cette histoire. tu es la seule qui soit au courant. « je ne dirait rien promis. » tu expires. « pourquoi tu me le dit uniquement maintenant? pourquoi tu ne t’es jamais confier à celle qui été ta petite amie ? j’aurais pu… j’aurais pu essayer de porter tes peines. on aurait surmonter ça ensemble. » tu ne sais pas quoi faire aujourd’hui, tu ne sais pas si tu sera capable de faire quoi que ce soit, mais tu voulais être là pour lui.
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you're mine // @Zora Fawkes Underwood ※※※ Pourquoi il venait de s’ouvrir à elle comme ça ? Bonne question. Il ne le savait pas lui-même, mais en tout cas il venait de faire et il ne pouvait pas retourner en arrière. Heureusement pour la blonde, il n’avait pas envie de le faire pour une fois dans sa vie. Peut-être qu’il voulait juste lui montrer qu’elle avait une place dans sa vie et peut-être dans son cœur, sauf que jamais il ne dirait ça à haute voix, il en était juste hors de question. « Je crois que ça se compte en semaine. Peut-être en mois. » Ael haussa les épaules comme si ça ne lui faisait rien du tout alors qu’il sentait juste son cœur se serrer un peu plus en pensant à ça, il se souvenait de tout, de ces journées à se lever faire sa petite vie avant de revenir s’allonger aux côtés de son père. Il serrait le volant qui était devant lui, essayant juste de se calmer parce que c’était le genre de souvenir qu’il détestait, il sentait son cœur battre un peu plus vite, ses yeux devenir beaucoup trop humide à son goût. « On peut pas sauver quelqu’un qui est déjà condamné tu sais ? » Parce qu’il se voyait comme ça le jeune mather, comme une âme déjà damné et il n’y avait plus rien à faire pour lui. Personne ne pouvait le sauver parce qu’il refusait qu’on l’aide, il refusait juste d’être sauvé parce que de toute manière, il allait finir comme son père. Il finirait par mourir à cause de l’alcool ou peut-être de la drogue après tout c’était devenu ses deux meilleurs amis au fil du temps. « Et regarde ce que je t’ai fait ? Je t’ai brisée complètement et malgré tout, j’veux pas te laisser partir. J’veux juste que tu restes la mienne point barre. » S’il avait un cœur, un vrai comme tout le monde, il la laisserait faire sa vie tout simplement. Il ferait en sorte d’y sortir pour qu’elle soit heureuse, mais il était un putain d’égoïste et il ne pouvait simplement pas sortir de sa vie, il n’en avait pas envie. Ael n’aurait jamais d’explication, mais Zora serait toujours la sienne. « Parce que quitte à être condamné, je préfère sombrer tout seul. Enfin du moins, je préfère te sauver de tout ça que de te faire tomber avec moi. Je tiens trop à toi pour te faire vivre mon enfer. » Aller ce soir, c’était open bar. Il s’ouvrait un peu trop à la jeune femme, le pire c’était qu’il n’avait rien fumé ou même bu. « T’es la première donc j’crois que je veux te protéger en quelque sorte. Enfin pas de moi, mais du reste. De mon passé. Tu mérites mieux que ça. » Il haussa les épaules tout bêtement, il était bien heureux de conduire pour le coup parce qu’il ne s’était jamais montré aussi ouvert avec elle.
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« Ael.. » c’est horrible, tu peux le dire, en fait le son de ta voix est assez explicite pour le faire comprendre. elle était à la fois sincèrement désolée et écoeurer par l’image qui venait de traverser tes yeux. tu imaginer l’odeur de la maison et la tristesse qu’un enfant pouvait ressentir quand il été livrer à lui même. vous aviez un point en commun : vous aviez tout les deux une vies de seconde choix, celle qui a été décidé pour vous mais pas par vous, celle qu’on vous a donnez parce que la première été trop bâcler. et c’est ce sentiment aussi infime qui soit qui vous a fait accrocher l’un à l’autre pendant toutes ses années. comme pour combler l’absence de choix que vous aviez eu. pourtant… pourtant ta vie n’avait rien avoir avec la sienne et tu n’en avait jamais pris conscience. « tu n’es pas condamné. on t’as donner une chance de vivre, il faut… la saisir. » tu ne sais même pas si tu crois en tes mots, oui sa vie a été un calvaire et pourtant il été encore là, il été encore debout sur ses deux jambes et aussi majestueux qu’un aigle royale triomphons sur le drapeau américain. si il avait un coeur, un vrai, il t’aurais laisser partir, il ne t’aurais pas pris en chasse comme une proie, il ne te laisserais pas enfermer comme un plan de secours, il t’aurais libéré, mais tu voit dans sa poigne ferme qui change la vitesse avec ardeur que ça n’allait pas changer aujourd’hui. « tu ne m’a pas brisée… » si. bien plus que ça même, bien plus que tu ne le pense. il t’as réduit en cendre, en miette, en lambeau, ne reste de toi qu’un corps contrôler par le désire et un coeur trop fragile pour s’autorisée a se donner entièrement. tu détournes ne regard pour éviter de le regarder, affronter ses iris qui allaient te rendre mal à l’aise. « pourquoi tu n’a pas appeler de l’aide? je veux dire pour ton père, t’aurais pu… te sortir de là. » aller ailleurs, dans un orphelinat et les gens? personne ne s’inquiété qu’un gosse de huit ans arrive à aller en cours tout seul ? et les adultes dans cette histoire, pourquoi personne n’a réagis ? il en avait déjà dit beaucoup et tu ne pense pas qu’il répondra à tes questions, alors tu sert ta ceinture et garde ton regard droit devant toi. « c’était de l’amour. que tu le veuille ou non, le simple besoin de me protéger c’est de l’amour et peut être que tu ne t’autorise pas à le vivre pleinement, mais je peux te dire que c’est de l’amour. et parfois ça ne détruit pas seulement l’amour, ça peut construire aussi, ça peut guérir aussi. » tu dis ça pour lui mais aussi pour toi, pour Isis qui a toujours crus qu’il ne te faisait que du mal, pour levi qui ne voulait pas le regarder en face sans lui cracher dessus, à toute ses personnes qui doute qu’ael thompson ai pu éprouver un jour quelque chose pour zora fawkes underwood, je vous emmerde, il m’aimais, en fait il m’aime toujours.
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you're mine // @Zora Fawkes Underwood ※※※ « Je veux pas de ta pitié. » En fait, il voulait de la pitié de personne. Il avait grandit comme ça, il ne voulait pas qu’on le regarde avec de la pitié, qu’on se demande comment il avait pu vivre comme ça. Le jeune mather avait juste vécu comme ça, la vérité c’était que son père ne buvait pas devant lui, il attendait que son fils dorme pour s’enfiler une bouteille voire plus avant de reprendre une journée ordinaire. Ael n’avait que de bons souvenirs avec son père malgré ce qui avait pu se passer durant ses quelques semaines, ses journées à côté de ce corps sans savoir ce qu’il se passait. Il finit par laisser un petit rire sortir de sa bouche ne pouvant pas faire autrement en l’entendant lui dire un truc pareil, il l’avait fait souffrir totalement, il le savait et elle continuait de dire qu'il n'était pas condamné. « Arrête d’être naïve Zora. Je suis condamné depuis des années maintenant. Je fais souffrir tout le monde, je suis pourri c’est comme ça. » En fait, il n’avait pas besoin de se trouver des raisons, des excuses pour dire qu’il était condamné, c’était juste la vérité. Il avait un putain de souci, depuis sa naissance, depuis qu’il était la raison pour laquelle sa mère était morte. Putain, pourquoi il parlait de ça sérieusement ? Il détestait juste ça. Pourquoi elle était revenue dans sa vie en fait ? Il détestait encore plus ça. Il serrait de plus en plus fort le volant, passant les vitesses toujours aussi rapidement et violemment. Au contraire, sa voix était calme, il n’avait pas envie de s’énerver, mais en même temps avec cette masse de souvenirs qui le faisaient juste souffrir, il ne pouvait pas faire autrement. C’était atroce. « Ne me mens pas putain ! » Il laissait pour la première fois sa colère se faire entendre dans sa voix, elle pouvait dire ce qu’elle voulait, mais surtout pas ça. Elle ne pouvait pas lui mentir, pas à lui et encore moins pour un truc qu’il avait fait, qu’il savait avoir fait. Il n’était pas idiot, il savait que ses actions avaient eu des impacts non négligeables sur la vie de la blonde. « Parce qu’il n’était jamais bourré devant moi. Il faisait en sorte que je passe toujours une bonne journée, que j’ai des souvenirs incroyables avec lui. Pourquoi un gamin voudrait perdre ça ? » Ouais, c’était ça aussi qui le rendait comme il était. Parce que les souvenirs étaient incroyables, inoubliables, mais la douleur était deux fois plus forte, tellement plus intense que ses souvenirs. « C’est pas de l’amour chaton. C’est de la possessivité, j’veux pas te partager. Je refuse faire un truc pareil. T’es à moi et ça n’a clairement rien à voir avec de l’amour, ne rêve pas. »
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tu ne lui donner pas de la pitié, loin de là, mais tu sentit que c’est surement le ton de ta voix ou le regard que tu lui a lancer, alors tu tournes la tête et mord ta lèvre inférieur comme si ça pouvait arranger tes erreurs. tait toi, réfléchis avant de parler. la discussion vire au plus dramatique, tu sent que le ton monte, que les gestes ont de plus en plus brusque. il change de vitesse, tu t’aggripe à ta ceinture de manière machinal, essayant de l’écouter en même temps. « je serais pas tomber pour toi, si t’étais si pourris que ça. » non, tu n’aimes que les étoiles, les personnes qui brillent de leurs présences, les soleils illuminant ceux qui sont dans l’ombre et tu été dans l’ombre et il a été l’étoile qui t’as guider vers je ne sais quel relation étrange. tu l’as aimer, il t’’as détruire, mais tu ne fera jamais l’impasse sur ce qui vous aviez été. tu comprend son mal être, tu comprend son passer, les choses prennes doucement place dans ta tête comme un puzzle que tu aurais commencer il y a cinq ans de cela. tout a été si attroce pour lui, si horrible. pas de regard de pitié, pas de mot dit avec le même temps, tu sert les dents et les mains autour de la ceinture. « doucement, Ael, tu roules un peu trop vite là. » c’était plus une remarque qu’un ordre et je pense qu’il est au courant, il te gueule dessus et tu fronces les sourcils. avant tu te serait échapper en tournant le talons et te cachant pour te lamenter sur ton sors, aujourd’hui tu l’affrontes et puis il n’y avait aucune échappatoire. « appel ça comme tu veux, mais moi je considère ça comme de l’amour. » peut importe comment il l’appel. pourquoi t’es revenu ? pourquoi tu t’affliges ça ? pourtant tu es loin d’être sadomaso. tu veux juste ta liberté, tu veux juste qu’il te libère, alors tu redemandes, sur un ton plus stricte que celui que tu as utilisé depuis. « Ael, je veux pouvoir aimer de nouveau. j’en ai assez de juste être utiliser, je veux qu’on m’aime et je veux aimer en retour. mais j’peux rien faire si tu me libères pas. s’il te plais : relâche moi. »
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you're mine // @Zora Fawkes Underwood ※※※ Il se passait beaucoup trop de trucs dans sa tête là, il se rappelait de beaucoup trop de souvenirs, de cette vie à laquelle il avait du dire au revoir du jour au lendemain. Il devait s’expliquer, il devait expliquer son enfance et bordel c’était la première fois qu’il faisait un truc pareil. Ce n’était pas la meilleure idée du monde, c’était même la pire parce que les souvenirs revenaient avec tellement de force. Ael n’était pas assez fort pour les repousser comme toutes les autres fois, c’était pire que ça même, il finissait par se laisser bouffer par ses souvenirs, il accélérait, il s’énervait parce que ça le foutait juste mal. Pourquoi était-elle revenue dans sa vie en fait ? Sa liberté elle l’avait eu, elle l’avait toujours eu avant qu’elle ne revienne lui parler, sur tinder et ensuite cette rencontre. Le jeune homme ne comprenait pas et il n’écoutait pas non plus les mots de la blonde qui était à ses côtés restant toujours concentrer sur la route qui était devant lui, il devait peut-être ralentir puisqu’il finirait par avoir des soucis par la suite, mais il n’en avait rien à faire. Un problème de plus ou de moins avec les flics, ça ne faisait aucune différence pour lui. Le mather était trop bloqué dans le passé pour faire attention au présent, pour avoir toute son attention sur le présent pourtant c’était encore une fois les mots de la jeune femme qui était à ses côtés qui finissait par le faire sortir. Il s’arrêta violemment dans un coin paumé pour prendre la parole, doucement contrairement à la dernière fois qu’il avait pu prendre la parole. « Sors de la voiture un instant. » Il avait besoin d’être seul là, pour se calmer, pour reprendre cette façade de mec insensible qui n’avait pas eu une vie de merde, mais Zora ne bougeait pas. Ael finit par se tourner vers elle pour prendre sa mâchoire entre ses doigts pour plonger son regard dans le sien. « Sors de cette putain de voiture, Zora. Sinon je te jure que je t’embrasse là, maintenant et c’est pas ce que tu veux. Donc sors. » Après ses mots, il finit par lâcher sa prise sur elle pour tourner son regard vers sa vitre, il n’attendait que ça, qu’elle s’éloigne de lui pour quelques secondes, voire minutes. Le temps que son cœur se calme, que sa colère s’éloigne ainsi que les souvenirs qui le bouffer doucement.
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et cette discussion devenait beaucoup trop intense. sa voix calme du début commencer à dérailler, tu sentait qu’il se concenter sur la route pour éviter tout contacte avec toi et tu as franchis le pas quand il a acceler soudainement dans une zone à 80 kilomètres. tu connais assez Ael pour savoir quand il faut t’arreter, mais tu été beaucoup trop lancer pour t’arrêter dans cette discussion si sérieuse et intense, alors t’as pas pu t’empêcher de dépasser tes propres limites. inconsciament tu avais envie de prendre le dessus dans cette relation ou tu as toujours été celle qui disait oui à tout. tu été la faible, la manipuler, le pantin, il te faisait croire au père noël et tu lui écrivait des lettres à l’attention du pôle nord. aujourd’hui, là, tout de suite, tu voulais te prouver à toi même que tu pouvais aller par dessus tout ça, que tu n’es plus la naïve petite zora et au final, tu t’en mord les doigts. stupide zora. la voiture s’arrête et tu relaches enfin ta ceinture, le souffle cours, tu essaie de modéré les battements trop intense de ton coeur. « hein? non, tu vas pas me laisser au milieu de nul part. » même un instanct, tu es persuadée qu’il peut te laisser sortir de la voiture et redémarer aussitôt pour ne plus avoir affaire avec toi. « attend ael, je… » tu t’apprêter à t’excuser en lui disant que t’avais dépasser les limites, mais ses mains vienne chopper ton menton, plantant ses yeux dans les siens, tu as essayer de te débattre en posant tes mains sur les siennes et essayant de le dégager mais il avait trop d’emprise sur toi. il fini par te relacher, ton corps se remet à battre la chamade. tu sors de la voiture, le souffle cours et avant de quelque pas pour éviter de le gêner dans ce qu’il veux faire. putain, tu fou quoi zora? bordel. non tu ne veux pas qu’il t’embrasse, mais le temps d’un instant tu as imaginer ce que la sensation pouvait faire de, de nouveau avoir ses lèvres sur les tiennes et tu te mords la lèvre en y pensant. tu te met assise sur un rochet assez haut pour que tu n’es pas à être au sol, et garde el regard perdu dans le sol dégueulasse de cette air d’autoroute.
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